Sam Wood (1883-1949)
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Sam Wood (1883-1949)
EDIT DE LA MODERATION:
N'hésitez pas à consulter les topics dédiés à
Un homme change son destin (1949)
Embuscade (1950)
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Revu Good Bye Mr Chips de Sam Wood, l'un de mes films préférés lorsque j'étais môme (j'avais même lu le bouquin). Le récit de la carrière (a priori assez terne) d'un professeur de Public School britannique, d'abord bredouillant et effacé puis véritable institution locale. Un destin qui sert également à mettre en relief le devenir de l'Angleterre, ses grandes fractures de la seconde moitié du XIXe au début du XXe, mais également, la façon dont se perpétuent ses "valeurs intemporelles". Il reste encore un peu de magie, même si le film connaît certaines longueurs et apparaît parfois bien artificiel (une nostalgie un peu forcée).
N'hésitez pas à consulter les topics dédiés à
Un homme change son destin (1949)
Embuscade (1950)
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Revu Good Bye Mr Chips de Sam Wood, l'un de mes films préférés lorsque j'étais môme (j'avais même lu le bouquin). Le récit de la carrière (a priori assez terne) d'un professeur de Public School britannique, d'abord bredouillant et effacé puis véritable institution locale. Un destin qui sert également à mettre en relief le devenir de l'Angleterre, ses grandes fractures de la seconde moitié du XIXe au début du XXe, mais également, la façon dont se perpétuent ses "valeurs intemporelles". Il reste encore un peu de magie, même si le film connaît certaines longueurs et apparaît parfois bien artificiel (une nostalgie un peu forcée).

I would prefer not to
- Jeremy Fox
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Kitty Foyle de Sam Wood
Oui Dalton Trumbo a pu être remarquablement.... mauvais
Oui la mise en scène de Sam Wood est étonnement.... affligeante
Oui Ginger Rogers a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour une de ses prestations les plus.... fades
Oui les dialogues sont superbement.... bêtes à pleurer
....
Un effroyable mélo d'une consternante nullité
Oui Dalton Trumbo a pu être remarquablement.... mauvais
Oui la mise en scène de Sam Wood est étonnement.... affligeante
Oui Ginger Rogers a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour une de ses prestations les plus.... fades
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Jeremy Fox a écrit :Kitty Foyle de Sam Wood
Oui Dalton Trumbo a pu être remarquablement.... mauvais
Oui la mise en scène de Sam Wood est étonnement.... affligeante
Oui Ginger Rogers a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour un de ses prestations les plus.... fades
Oui les dialogues sont superbement.... bêtes
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Il fallait bien vivre !!!
- Jeremy Fox
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Absolument. Ceci dit, ce n'est pas de loin son seul mauvais scénario : il a souvent la patte assez lourde même si certains de ses "travaux" sont remarquables.Majordome a écrit :Jeremy Fox a écrit :Kitty Foyle de Sam Wood
Oui Dalton Trumbo a pu être remarquablement.... mauvais
Oui la mise en scène de Sam Wood est étonnement.... affligeante
Oui Ginger Rogers a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour un de ses prestations les plus.... fades
Oui les dialogues sont superbement.... bêtes
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For Whom the Bell Tolls (Pour qui sonne le Glas) de Sam Wood (1943) DVD
Adaptation du célèbre roman d'Ernest Hemingway, ce film raconte un des évènements de la guerre d'Espagne.
Sam Wood tourna ce film dans les magnifiques paysages de la Sierra Nevada, mis en valeur par un technicolor somptueux. L'idylle passionnée de Jordan (Cooper) et de Maria (Bergman) est plaisante à l'écran.
Les rares scènes d'actions du film démontrent la dureté de cette guerre et de ses participants.
Aux côtés de Gary Cooper et 'Ingrid Bergman (cheveux à la garçonne, Spoiler ses parents ont été fusillés, elle-même fut rasée et violée) Fin du spoiler on trouve Akim Tamiroff, Katina Praxinou tous deux excellents.
Le réalisateur devait retrouver ses deux interprètes principaux pour le film "l'Intrigante de Saratoga (1945).
Note : 7,5/10
Adaptation du célèbre roman d'Ernest Hemingway, ce film raconte un des évènements de la guerre d'Espagne.
Sam Wood tourna ce film dans les magnifiques paysages de la Sierra Nevada, mis en valeur par un technicolor somptueux. L'idylle passionnée de Jordan (Cooper) et de Maria (Bergman) est plaisante à l'écran.
Les rares scènes d'actions du film démontrent la dureté de cette guerre et de ses participants.
Aux côtés de Gary Cooper et 'Ingrid Bergman (cheveux à la garçonne, Spoiler ses parents ont été fusillés, elle-même fut rasée et violée) Fin du spoiler on trouve Akim Tamiroff, Katina Praxinou tous deux excellents.
Le réalisateur devait retrouver ses deux interprètes principaux pour le film "l'Intrigante de Saratoga (1945).
Note : 7,5/10

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C'est précisément ces seconds rôles - un Russe et une Grècque pour jouer des Espagnolsbogart a écrit :For Whom the Bell Tolls (Pour qui sonne le Glas) de Sam Wood (1943) DVD
Adaptation du célèbre roman d'Ernest Hemingway, ce film raconte un des évènements de la guerre d'Espagne.
(...) Akim Tamiroff, Katina Praxinou tous deux excellents.



Dommage, car le sujet était rare au cinéma à l'époque (Franco étant au pouvoir en Espagne

I love you, Ingrid

En plus, Sam Wood s'était vraiment surpassé...

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A Night at the Opera de Sam Wood : après 20 premières minutes plutôt laborieuses (j'ai même hésité à abandonner), on assiste à un véritable festival.
Ca va à 100 à l'heure, les vannes fusent (parfois, elles fusent même un peu trop vite), et tout ça se termine dans un final survolté à l'opera, prétexte à un nombre incroyable de gags visuels.
Alors bien sûr, tout n'est pas hilarant et certaines punchlines tombent carrément à plat. Mais ça reste 90mn qui passent super vite, et desquelles on ressort content.
Ca va à 100 à l'heure, les vannes fusent (parfois, elles fusent même un peu trop vite), et tout ça se termine dans un final survolté à l'opera, prétexte à un nombre incroyable de gags visuels.
Alors bien sûr, tout n'est pas hilarant et certaines punchlines tombent carrément à plat. Mais ça reste 90mn qui passent super vite, et desquelles on ressort content.

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POUR QUI SONNE LE GLAS de Sam Wood
Belle histoire d'amour sur fond de guerre d'Espagne. Ce qui est amusant à noter c'est que, se passant pourtant en pleine montagne, c'est ici presque un huis-clos avec une poignée de personnages. J'avoue avoir eu un peu de mal à me concentrer et donc à savourer le film comme il le fallait. Peut-être à cause de sa longueur (2h40)?
Reste la qualité des images, photographiées dans un beau technicolor (dominantes grises et vertes). Le transfert récemment restauré est vraiment incroyable. Ce n'est pas du niveau d'AUTANT EN EMPORTE LE VENT 4dvd, mais on en est pas loin... Ingrid Bergman est toute jeune, ses gros plans sont bigrement craquants... Sam Wood aime visiblement les yeux clairs sur peau mate (ici les acteurs sont maquillés).
Belle histoire d'amour sur fond de guerre d'Espagne. Ce qui est amusant à noter c'est que, se passant pourtant en pleine montagne, c'est ici presque un huis-clos avec une poignée de personnages. J'avoue avoir eu un peu de mal à me concentrer et donc à savourer le film comme il le fallait. Peut-être à cause de sa longueur (2h40)?
Reste la qualité des images, photographiées dans un beau technicolor (dominantes grises et vertes). Le transfert récemment restauré est vraiment incroyable. Ce n'est pas du niveau d'AUTANT EN EMPORTE LE VENT 4dvd, mais on en est pas loin... Ingrid Bergman est toute jeune, ses gros plans sont bigrement craquants... Sam Wood aime visiblement les yeux clairs sur peau mate (ici les acteurs sont maquillés).
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- Mogul
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Un jour aux courses
Un marx brothers ça fait toujours plaisir.
Le constat est cependant un peu decevant, la faute à une durée trop longue ( 1h50 ). La première partie est excellente et offre des séquences mémorables ( Chico vendant ses tuyaux à groucho ; groucho au téléphone avec son rival ; la scène de séduction avortée par Chicco et Harpo etc...).
Le dernier tiers qui virent dans le bordel généralisé tombe dans le piège du manque de rigueur qui fait que la folie ne passe pas plus que ça à l'écran ( la scène de l'osculation tombe un peu à plat ; le final ne décolle jamais vraiment ).
Sinon, comme souvent le film subit des intermèdes musicales pafois réussi ( Harpo, sa flute et les noirs ; le ballet sur la plate-forme aquatique ; les toujours impressionnants doigts de Chicco sur un piano ) parfois raté ( les chansons du beau gosse de service ).
Niveau Réalisation, Sam Wood essaye parfois de faire quelque chose mais on le sent ( comme 90% des réalisateurs bossant pour les Marx ) complétement dépassé par les frangins.
Un marx brothers ça fait toujours plaisir.

Le constat est cependant un peu decevant, la faute à une durée trop longue ( 1h50 ). La première partie est excellente et offre des séquences mémorables ( Chico vendant ses tuyaux à groucho ; groucho au téléphone avec son rival ; la scène de séduction avortée par Chicco et Harpo etc...).
Le dernier tiers qui virent dans le bordel généralisé tombe dans le piège du manque de rigueur qui fait que la folie ne passe pas plus que ça à l'écran ( la scène de l'osculation tombe un peu à plat ; le final ne décolle jamais vraiment ).
Sinon, comme souvent le film subit des intermèdes musicales pafois réussi ( Harpo, sa flute et les noirs ; le ballet sur la plate-forme aquatique ; les toujours impressionnants doigts de Chicco sur un piano ) parfois raté ( les chansons du beau gosse de service ).
Niveau Réalisation, Sam Wood essaye parfois de faire quelque chose mais on le sent ( comme 90% des réalisateurs bossant pour les Marx ) complétement dépassé par les frangins.
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
- cinephage
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Oui, les Marx Brothers font de l'ombre à ceux qui les entourent (excepté Margaret Dumont, véritable Marx Brother en soi). Du coup, les intrigues sont bien fades, les méchants plutôt médiocres, les numéros musicaux assez ternes (sinon ceux qu'orchestrent les frangins). Il y a toujours un beau gosse de service, une mignonette, un complot foireux... Au milieu de cette tiédeur cinématographique, la fulgurance et la cinégénie des Brothers n'en est que plus éclatante (et, curieusement, plus on connait leur films, plus ils sont drôles).Kevin95 a écrit :En général, les acteurs aux cotés des frangins, font tous pale figure et ralentisse l'action !bruce randylan a écrit : parfois raté ( les chansons du beau gosse de service ).

I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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- Mogul
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Yep, Margaret Dumont me fait toujours marré.cinephage a écrit :Oui, les Marx Brothers font de l'ombre à ceux qui les entourent (excepté Margaret Dumont, véritable Marx Brother en soi). Du coup, les intrigues sont bien fades, les méchants plutôt médiocres, les numéros musicaux assez ternes (sinon ceux qu'orchestrent les frangins). Il y a toujours un beau gosse de service, une mignonette, un complot foireux... Au milieu de cette tiédeur cinématographique, la fulgurance et la cinégénie des Brothers n'en est que plus éclatante (et, curieusement, plus on connait leur films, plus ils sont drôles).Kevin95 a écrit :
En général, les acteurs aux cotés des frangins, font tous pale figure et ralentisse l'action !
D'ailleurs comment s'est-elle retrouvé dans cette galère et quelle était ses rapports avec les frangins ?
Pour les intrigues et les chansons des marx je sais déjà à quoi m'attendre. C'est d'ailleurs ce qui fait que la Soupe aux canards est mon préféré. Rien n'est rajouté, c'est du 100%

"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Beyond the Rocks, de Sam Wood. Quel bonheur que ce film muet réunissant Valentino et Swanson ait pu être retrouvé. Swanson y joue une jeune fille pauvre qui épouse un vieux barbon par piété filiale. Peu avant son mariage, un jeune aristocrate, Valentino, la sauve de la noyade. Ils se retrouvent quelques semaines plus tard à la montagne et comprennent qu'ils s'aiment...
Magnifique mélo qui nous entraîne de la côte anglaise au désert de l'Arabie, en passant par les Alpes, Paris et Londres. Swanson y est rutilante et Valentino plein de charme et de fraîcheur (il joue d'ailleurs mieux que Swanson).
Le DVD (All Zones) du film comporte des stf pour les intertitres et l'introduction du film par Martin Scorsese. Le film a été admirablement restauré par le Filmmuseum (NL) et en regardant le bonus concernant la re-découverte du film, on se dit qu'on peut parler de miracle.
Autre bonus du DVD : The Delicious Little Devil, de Robert Z. Leonard, avec Mae Murray et Valentino. Miss Murray y joue une jeune fille un peu délurée qui se fait passer pour la scandaleuse maîtresse du duc de Sauterne (!) afin d'être engagée comme danseuse vedette d'un théâtre.
Elle y est remarquée par Valentino qui tombe amoureux d'elle. Mais voilà que débarque le duc...
Amusante comédie dotée d'une course-poursuite sympathique. Miss Murray (qui ne nous cache presque rien de ses charmes) y est par moments désopilantes, surtout lorsqu'elle imite Mary Pickford !
Ce DVD est un must pour tous les amateurs de cinéma muet !
Magnifique mélo qui nous entraîne de la côte anglaise au désert de l'Arabie, en passant par les Alpes, Paris et Londres. Swanson y est rutilante et Valentino plein de charme et de fraîcheur (il joue d'ailleurs mieux que Swanson).
Le DVD (All Zones) du film comporte des stf pour les intertitres et l'introduction du film par Martin Scorsese. Le film a été admirablement restauré par le Filmmuseum (NL) et en regardant le bonus concernant la re-découverte du film, on se dit qu'on peut parler de miracle.
Autre bonus du DVD : The Delicious Little Devil, de Robert Z. Leonard, avec Mae Murray et Valentino. Miss Murray y joue une jeune fille un peu délurée qui se fait passer pour la scandaleuse maîtresse du duc de Sauterne (!) afin d'être engagée comme danseuse vedette d'un théâtre.
Elle y est remarquée par Valentino qui tombe amoureux d'elle. Mais voilà que débarque le duc...
Amusante comédie dotée d'une course-poursuite sympathique. Miss Murray (qui ne nous cache presque rien de ses charmes) y est par moments désopilantes, surtout lorsqu'elle imite Mary Pickford !
Ce DVD est un must pour tous les amateurs de cinéma muet !

L'hyperréalisme à la Kechiche, ce n'est pas du tout mon truc. Alain Guiraudie
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Re: Notez les films de mars 2008
Autre excellent film de Sam Wood, un superbe mélodrame que l'on trouve en zone 1 et dans le coffret Ronald Reagan : Kings RowDucdame a écrit :
Ivy Le Crime de Madame Lexton (Sam Wood 1947)
Ce film fait sans doute partie de ceux que l'on pourrait soupçonner d'être une des injustes victimes de la politique de reconnaissance due aux auteurs avec un A. Il semble en effet qu'on ne lui ait jamais prêté grande attention, Sam Wood n'ayant pas vraiment émargé à l' Art-cote des cinéastes de renom.
Et, tout bien considéré, le fait est que si ce film avait été signé Siodmak, Wilder ou du sceau d' un quelconque réalisateur mieux en cour chez la critique respectable, il eût sans doute trouvé son compte et une place confortable dans les listes des meilleurs films noirs.
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Re: Notez les films de mars 2008
The Pride of the Yankees - Sam Wood (1942)
Voilà un biopic hollywoodien plutôt classique sur le parcours d'un grand champion de baseball Lou Gehrig rattrapé par la maladie. Le fil se laisse gentiment voir et se focalise surtout sur le couple vedette formé par Gary Cooper (un peu vieux pour le rôle quand même) et une Teresa Wright assez exquise.
C'est une hagiographie comme Hollywood sais les faire et on peut regretter le manque d'aspérité de l'ensemble. Seule la mère poule d'origine allemande de Gehrig et ses relations à sa belle-fille apporte un peu de piquant à l'ensemble.
C'est un des rares films sur le baseball à avoir été un succès au box office.
Voilà un biopic hollywoodien plutôt classique sur le parcours d'un grand champion de baseball Lou Gehrig rattrapé par la maladie. Le fil se laisse gentiment voir et se focalise surtout sur le couple vedette formé par Gary Cooper (un peu vieux pour le rôle quand même) et une Teresa Wright assez exquise.
C'est une hagiographie comme Hollywood sais les faire et on peut regretter le manque d'aspérité de l'ensemble. Seule la mère poule d'origine allemande de Gehrig et ses relations à sa belle-fille apporte un peu de piquant à l'ensemble.
C'est un des rares films sur le baseball à avoir été un succès au box office.
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Notez les films naphtas - Avril 2009
The Pride of the Yankees de Sam Wood (1942)
Inédit en France The Pride of The Yankees de Sam Wood (Pour qui sonne le glass, également avec Gary Cooper, Embuscade) décrit d'après une histoire vraie la vie de Lou Gehrig champion de baseball qui mourut prématurément à 37 ans d'une forme rare de paralysie.
Le film ne se contente pas d'aligner des maths de baseball, ce qui serait ennuyeux pour les candides que nous sommes, mais relate le destin d'un grand champion qui sut rester humble, et dont le courage face à la maladie bouleversa le peuple américain.
Pour incarner Lou Gehrig qui pouvait mieux que Gary Cooper alors au sommet de sa gloire ( L'homme de la rue, Sergeant York, Le Cavalier du désert, Les Tuniques écarlates) transmettre par son talent et ses dons d'acteurs les valeurs de cet athlète.
A ses côtés la ravissante Teresa Wrigh incarne son épouse, l'alchimie entre les deux comédiens est parfaite. Egalement dans la distribution dans le rôle d'un des deux journalistes sportifs Dan Duryea (bad boy bien connu des films noirs) l'autre étant Walter Brennan (complice de C Cooper dans plusieurs films tels que Le Cavalier du désert L'homme de la rue)
Inédit en France The Pride of The Yankees de Sam Wood (Pour qui sonne le glass, également avec Gary Cooper, Embuscade) décrit d'après une histoire vraie la vie de Lou Gehrig champion de baseball qui mourut prématurément à 37 ans d'une forme rare de paralysie.
Le film ne se contente pas d'aligner des maths de baseball, ce qui serait ennuyeux pour les candides que nous sommes, mais relate le destin d'un grand champion qui sut rester humble, et dont le courage face à la maladie bouleversa le peuple américain.
Pour incarner Lou Gehrig qui pouvait mieux que Gary Cooper alors au sommet de sa gloire ( L'homme de la rue, Sergeant York, Le Cavalier du désert, Les Tuniques écarlates) transmettre par son talent et ses dons d'acteurs les valeurs de cet athlète.
A ses côtés la ravissante Teresa Wrigh incarne son épouse, l'alchimie entre les deux comédiens est parfaite. Egalement dans la distribution dans le rôle d'un des deux journalistes sportifs Dan Duryea (bad boy bien connu des films noirs) l'autre étant Walter Brennan (complice de C Cooper dans plusieurs films tels que Le Cavalier du désert L'homme de la rue)
