Brian De Palma

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Jake Scully
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Brian De Palma

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Steven Spielberg, Martin Scorsese, Brian De Palma, George Lucas et Francis Ford Coppola
à l’anniversaire de Scorsese


http://briandepalma.over-blog.com/article-35505123.html
Brian Russell De Palma, né le 11 septembre 1940 à Newark dans le New Jersey, est le cadet d’une famille protestante de trois fils. Les parents, Anthony et Vivienne De Palma, laissent leurs garçons cohabiter dans un climat de concurrence, où chacun vit pour soi et s’achète, par exemple, les mêmes revues de science fiction pour compléter sa propre collection. Les yeux sont surtout tournés vers l’aîné, l’arrogant Bruce dont l’orgueil finira par lui faire perdre la raison. Insociable, il deviendra peu à peu misanthrope, partira vivre sur une île de Nouvelle-Zélande et mourra dans la plus grande solitude à la fin des années quatre-vingt-dix. De son côté, le jeune Brian cultive très tôt une passion pour la physique dont il décide de faire sa spécialité (en partie pour s’attaquer au terrain de Bruce, également passionné de ce domaine). Adolescent surdoué, fasciné par l’astronomie et la science-fiction, il conçoit lui-même des ordinateurs et reçoit de nombreux prix, localement puis au niveau national. À dix-sept ans, il est récompensé par une médaille d’or pour une thèse portant cet obscur titre de : L’application de la cybernétique à la résolution d’équations différentielles (An Analog Computer to Solve Differential Equations). Plus intéressé par l’univers électronique des ordinateurs, il n’accorde pas encore beaucoup d’importance au septième art qu’il considère comme du loisir. Les films qui passent au cinéma le samedi soir représentent surtout l’occasion de sortir avec une petite copine. Néanmoins, deux films de Michael Powell découverts à la télévision le marquent : The Red Shoes et The Thief of Bagdad. Pendant ce temps, les relations entre ses parents se dégradent. Son père, qui exerce les métiers de professeur médical puis de chirurgien orthopédique, trompe sa femme avec une infirmière. La mère n’a pas suffisamment de courage pour le quitter mais assez pour tenter de se suicider. Après l’avoir trouvée avec une boite entière de barbituriques vidée, Brian conduit sa mère à l’hôpital. Ne pouvant pas laisser une situation comme celle-là s’envenimer, le jeune surdoué de la technique ira, muni d’un appareil photographique, sur les traces de son père qu'il suivra pendant plusieurs jours. En prenant des clichés de lui avec sa maîtresse, Brian acquiert ainsi le matériel nécessaire à présenter pour obtenir le divorce de ses parents…

Brian De Palma quittera le foyer familial pour entrer à l’université Columbia de New York dans le but d’achever sa formation et de devenir astrophysicien. Mais pendant sa première année de faculté, âgé alors de dix-huit ans, il est fortement marqué par la vision d’un film découvert dans une salle new-yorkaise : Vertigo d’Alfred Hitchcock. La compagnie d’étudiants cinéphiles, d’amateurs de théâtre, l’arrivée d’Europe de nouvelles formes cinématographiques avec Godard, Truffaut, Rossellini ou Antonioni, et la fréquentation régulière des ciné-clubs, créeront chez lui la révélation. En 1958, Brian De Palma laisse définitivement tomber la physique, et s’oriente vers des études artistiques…
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Jean-Luc Godard a une influence considérable sur lui. Il réalise son premier court métrage d’étudiant en 1960, Icarus, suite à l’abandon de son réalisateur initial. C’est suivi l’année suivante de 6601224, The Story of An IBM Card, et surtout Woton’s Wake en 1962, pour lequel il remporte plusieurs prix. Au cours de ses études au Sarah Lawrence College, De Palma aborde le long-métrage avec The Wedding Party, co-réalisé avec Cynthia Munroe et un professeur d’art dramatique, Wilford Leach, qui aura une importance déterminante pour De Palma. C’est une comédie en partie improvisée par les comédiens dont c’est les débuts à l’écran : Robert De Niro et Jill Clayburgh. Le réalisateur en herbe poursuit son apprentissage sur divers documentaires et courts métrages dont The Responsive Eye consacré à une exposition d’Op Art au Musée d’Art Moderne de New York. En 1967, il revient au long métrage avec Murder à la Mod, thriller sophistiqué émaillé de références hitchcockiennes. L’euphorie contestataire des années soixante inspire De Palma. En s’interrogeant sur les paradoxes artificiels de la société américaine et l’absurdité de la guerre du Vietnam, il livre des comédies satiriques novatrices Greetings (Ours d’Argent au Festival de Berlin) qui sera le premier film classé X aux Etats-Unis, et Hi, Mom!, deux films prouvant que c’est l’un des meilleurs jeunes talents de la Nouvelle Vague américaine. Entre-temps, il réalise Dionysus in ‘69, film documentaire sur un happening filmé en écran partagé, technique qu’il reprendra dans plusieurs de ses films.

De Palma est vite considéré comme une légende parmi les cinéastes new-yorkais indépendants, et de grands studios hollywoodiens commencent alors à s’intéresser à lui. De Palma se voit ainsi offrir des projets plus importants. On lui propose une comédie, Get to Know Your Rabbit, qu’il réalise en 1971 avec pour acteurs Tom Smothers, Katharine Ross et une grande figure du cinéma sur le déclin, Orson Welles. Mais les relations avec les producteurs sont conflictuelles et De Palma est viré avant le montage. Il se change les idées en partant s’installer en Californie avec le futur «Nouvel Hollywood», dans la maison des actrices Jennifer Salt et Margot Kidder. À Noël, il leur offre un scénario qu’il a écrit pour elles, Sisters, qu’il tourne en 1973. Rompant avec le style à moitié improvisé de ses précédents films, il affirme avec ce film d’exceptionnelles qualités d’écriture, un sens de la construction, du cadrage et du rythme digne des meilleurs réalisateurs hollywoodiens. La consécration artistique arrivera l’année suivant ce coup de maître, lorsqu’il signe le thriller musical Phantom of the Paradise qui remporte en 1975 le Grand Prix du Festival d’Avoriaz. En 1976, il écrit et réalise Obsession, thriller romantique interprété par Cliff Robertson et Geneviève Bujold, où il rend un bel hommage à Hitchcock. Il porte à l’écran le premier roman de Stephen King, Carrie, et c’est le triomphe international qui vaut une nomination à l’Oscar pour Sissy Spacek et Piper Laurie. Le film est une des plus brillantes transpositions de l’œuvre de Stephen King, sa célèbre séquence finale et certains de ses procédés ont été depuis largement imités, et il a révélé John Travolta, Amy Irving et Nancy Allen que De Palma épousera en 1979 (ils divorceront en 1983).

En 1977, De Palma dirige Kirk Douglas, John Cassavetes et Amy Irving dans The Fury, film d’espionnage mêlant occultisme et politique-fiction. En 1978, il réalise Home Movies avec Kirk Douglas et Nancy Allen, et le concours de ses étudiants en cinéma de Sarah Lawrence College. Cette comédie semi autobiographique retrace directement ses propres aventures d’adolescent quand il espionnait son père. C’est au cours des années quatre-vingt que sa réputation d’affreux jojo du cinéma américain prendra forme, avec des films provocateurs où les perversions sexuelles gratinées, les meurtres au rasoir, à la perceuse ou à la tronçonneuse, scandaliseront et lui vaudront quelques démêlés avec les féministes. Ce sera le cas notamment avec Dressed to Kill qu’il réalise en 1980, interprété par Michael Caine, Angie Dickinson et Nancy Allen, qui est considéré aujourd’hui comme l’une des grandes réussites de sa carrière, tout comme Blow Out qu’il écrit et met en scène en 1981, hommage à sa façon au Blow Up d’Antonioni. Il explore avec ces deux films deux thèmes dominants de son œuvre : voyeurisme et manipulation. Mais malgré leurs indéniables qualités, le public n’est pas au rendez-vous. À cause des nombreuses références aux films d’Alfred Hitchcock, on l’accuse de n’être qu’un plagiaire du grand maître du suspense.

En 1983, Brian De Palma réalise une nouvelle version baroque et hyper violente de Scarface, sur un scénario d’Oliver Stone d’après celui d’Howard Hawks et Ben Hecht. On y découvre un Al Pacino grandiose en psychopathe cocaïné jusqu’aux tréfonds des sinus, et le film révèle Michelle Pfeiffer. Évidemment, la critique n’est pas tendre, et ne le sera pas non plus avec son prochain film. En 1984, De Palma signe Body Double qui offre son premier grand rôle à Melanie Griffith dans ce qui sera le dernier thriller en hommage à Hitchcock, où les références fourmillent. La scène du meurtre à la perceuse longue mèche a fait pleuvoir des articles de presse incendiaires. Abandonnant temporairement ce genre qui a fait sa réputation, il réalise The Untouchables, d’après la célèbre série télévisée. Marquant le début de la collaboration entre De Palma avec Ennio Morricone pour encore deux films, le film vaudra l’Oscar à Sean Connery et lancera simultanément Kevin Costner et Andy Garcia. Grâce à l’immense succès du film, il peut se permettre de réaliser un sujet plus sensible et qu’il a toujours voulu porter à l’écran : l’histoire vraie du viol d’une jeune Vietnamienne par des soldats américains pendant la guerre du Vietnam. Il dirige ainsi Michael J. Fox à contre-emploi dans Casualties of War avec également Sean Penn. Le succès est cette fois manquant, et la critique trouve encore le moyen de tirer à boulets rouges sur De Palma, comme Village Voice qui met la photo de De Palma en couverture.

En 1990, il adapte le roman de Tom Wolfe The Bonfire of the Vanities avec Tom Hanks, Melanie Griffith et Bruce Willis, mais le film ne sera qu’un gros fiasco financier et critique, le plus difficile à encaisser pour De Palma. Il reste néanmoins créatif et s’est alors risqué à de nouvelles expériences toujours impressionnantes du point de vue artistique, retournant au thriller en 1992 avec Raising Cain qu’interprètent John Lithgow et Lolita Davidovitch, et qui divise ses fans, ou dirigeant Al Pacino dans ce qui est considéré comme l’un des meilleurs polars des années 90, Carlito’s Way, racontant le destin inexorable d’un ancien trafiquant repenti. Entre-temps, il épouse la productrice Gale Anne Hurd, en 1991. Ils auront une fille, Lolita, et divorceront en 1993. Il se remariera en 1995 avec une certaine Darnell Gregorio, avec qui il aura également une fille, Piper, et ils divorceront en 1997.

C’est en 1996 avec Mission: Impossible, interprété par Tom Cruise, Jon Voight, Emmanuelle Béart, Kristin Scott Thomas et Jean Réno, que De Palma connaîtra un succès international (son plus gros à ce jour). Cette adaptation plutôt libre de la série culte sera suivie du thriller Snake Eyes, interprété par Nicolas Cage et Gary Sinise, dont le premier plan est impressionnant de virtuosité. En 2000, sort son premier film de science-fiction : Mission to Mars, interprété par Gary Sinise, Tim Robbins, Don Cheadle et Connie Nielsen. Le film est descendu par la critique et le public ne suit pas. De Palma s’installe en France, parcourt Paris en mobylette, et décide d’y tourner un film sur les mésaventures d’une manipulatrice. Marquant son retour au thriller érotique, il réalise Femme Fatale en 2002, avec Rebecca Romijn et Antonio Banderas, démarrant sur un audacieux vol de bijoux au Palais des Festivals de Cannes.

En 2005, il réunit Josh Hartnett, Scarlett Johansson, Hilary Swank et Aaron Eckhart pour The Black Dahlia, d’après James Ellroy, film qui déconcerte et son succès est mitigé. Son dernier film, Redacted, sur la vie de soldats américains dans la guerre en Iraq, De Palma retrouve le style de ses débuts où il dénonçait la guerre du Vietnam, et refait parler de lui dans les médias américains scandalisés. Il décroche le Lion d’Argent du meilleur réalisateur au festival de Venise. À bientôt soixante-dix ans, avec son très probable projet de faire The Boston Stranglers, Brian De Palma prouve qu’après quarante-cinq ans de carrière son désir de faire du cinéma reste intact.
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Dirigeant Tom Cruise pour Mission: Impossible

EDIT DE LA MODERATION:

N'hésitez pas à consulter les topics consacrés aux films du cinéaste

Greetings (1968)
Phantom of the Paradise (1974) et sa Chronique Classik
Carrie (1976) et sa Chronique Classik
Furie (1978)
Pulsions (1980)
Blow out (1981)
Scarface (1983), un topic sur les fans du film et sur les comparaisons avec la version d'Howard Hawks
Outrages (1989)
L'impasse (1993)
Snake eyes (1998)
Mission to Mars (2000)
Femme fatale (2002)
Le Dahlia noir (2006) et le topic ouvert à l'annonce du projet en 2003
Redacted (2007)
The Boston stranglers (2010)

la Chronique Classik du dvd Carlotta Brian de Palma, les années 60
Diptyque De Palma/Pacino: vos préférences
le livre "Les 1000 yeux de Brian de Palma" de Luc Lagier (2003) et sa réédition agrémentée (2008)

les projets Toyer (2003), The untouchables: Capone rising (2005)

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Dernière modification par Jake Scully le 7 oct. 09, 21:47, modifié 12 fois.
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

Bravo pour ton site. Et je vois que tu as eu la chance d'interviewer le maître ! 8) :wink:
A propos : sur la photo de la rencontre avec De Palma au Virgin des Champs Elysées auraient pu y figurer quelques membres de la rédaction et des forumeurs de DVDClassiK. :wink:

Quant à ma découverte du cinéma de De Palma, elle date de la fin des années 70 avec Carrie, Pulsions que j'avais vu en trichant au cinéma puis Phantom of the Paradise (l'un de mes films favoris) et Scarface en 83 à sa sortie. Je suis devenu depuis un inconditionnel de De Palma dont j'apprécie la culture cinématographique, l'esprit analytique, le recul ironique, le romantisme désespéré et la sincérité (tout un mélange qui serait paradoxal et autodestructeur chez la plupart des cinéastes, mais pas chez lui).
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Bob Harris

Message par Bob Harris »

Roy Neary a écrit : A propos : sur la photo de la rencontre avec De Palma au Virgin des Champs Elysées auraient pu y figurer quelques membres de la rédaction et des forumeurs de DVDClassiK. :wink:
Tiens, mais moi aussi, j'y étais ! :shock: :lol: :lol:
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Message par Jake Scully »

Roy Neary a écrit :Bravo pour ton site. Et je vois que tu as eu la chance d'interviewer le maître ! 8) :wink:
Merci. En effet, un gros coup de bol... 8) Ça parraissait tellement irréaliste que je n'y croyais pas trop, et je devais être un peu maladroit...
Roy Neary a écrit : A propos : sur la photo de la rencontre avec De Palma au Virgin des Champs Elysées auraient pu y figurer quelques membres de la rédaction et des forumeurs de DVDClassiK. :wink:
Bill Harford a écrit :
Roy Neary a écrit : A propos : sur la photo de la rencontre avec De Palma au Virgin des Champs Elysées auraient pu y figurer quelques membres de la rédaction et des forumeurs de DVDClassiK. :wink:
Tiens, mais moi aussi, j'y étais ! :shock: :lol: :lol:
Z'êtes peut-être sur le film: http://briandepalma.online.fr/brianparis.wmv (note: réalisé à l'arrache vu que les vigils sont de vrais cons et ont voulu nous interdire de filmer... Je me suis présenté comme webmaster du "site officiel français" de De Palma et ça a finalement marché...
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

The Rider a écrit :Z'êtes peut-être sur le film: http://briandepalma.online.fr/brianparis.wmv
Et bien je t'annonce officiellement que les célèbres Roy Neary et Léopold Saroyan sont parfaitement visibles... de dos au début du film ! :mrgreen:

Sinon, je serais curieux de voir la video dans sa résolution originale. :wink:
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Jake Scully
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Message par Jake Scully »

Roy Neary a écrit :
The Rider a écrit :Z'êtes peut-être sur le film: http://briandepalma.online.fr/brianparis.wmv
Et bien je t'annonce officiellement que les célèbres Roy Neary et Léopold Saroyan sont parfaitement visibles... de dos au début du film ! :mrgreen:
Ho?... on vous voit bien qand même? Vous êtes où précisément? il y a un gars au manteau blanc avec un sac... Et puis je me souviens d'un chinois... sinon, hmmouais, je ne me souviens plus bien... Sinon qu'un des premiers gars de la file s'est foutu de la gueule de mon tee-shirt... :evil: :wink:
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Message par Ryo_Saeba »

The Rider a écrit :
Roy Neary a écrit : Et bien je t'annonce officiellement que les célèbres Roy Neary et Léopold Saroyan sont parfaitement visibles... de dos au début du film ! :mrgreen:
Ho?... on vous voit bien qand même? Vous êtes où précisément? il y a un gars au manteau blanc avec un sac...
Oui c'est monsieur Roy Neary :wink:
Tuck pendleton
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Message par Tuck pendleton »

Bill Harford a écrit :
Roy Neary a écrit : A propos : sur la photo de la rencontre avec De Palma au Virgin des Champs Elysées auraient pu y figurer quelques membres de la rédaction et des forumeurs de DVDClassiK. :wink:
Tiens, mais moi aussi, j'y étais ! :shock: :lol: :lol:
Yeah moi aussi...tout le monde se demandait qui était De palma puis il y avait d'autres lourds qu'arretait pas de se la jouer.
Puis je me souviens de Romain qui avait parlé à De Palma plus longtmps que les autres...C'était le premier sur le podium il me semble.
Que de souvenir
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Message par Tuck pendleton »

Est ce que certains d'entre vous ont été au centre pompidou voir Carrie en présence de De palma ?...
Bob Harris

Message par Bob Harris »

Ah, dommage, on ne me voit pas sur la vidéo... :cry:

Vous auriez peut-être eu la chance d'apercevoir mon ex... :lol: :wink:
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Message par Jake Scully »

Ryo_Saeba a écrit :
The Rider a écrit : Ho?... on vous voit bien qand même? Vous êtes où précisément? il y a un gars au manteau blanc avec un sac...
Oui c'est monsieur Roy Neary :wink:
Sérieux?...
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

The Rider a écrit :Sérieux?...
Oui ! 8) :lol:

Et moi aussi j'ai discuté un petit moment avec De Palma qui m'a serré la main 8) (voyant en moi le futur grand chroniqueur d'un site ce cinéma de premier ordre... mais euh là je m'égare...)
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Jake Scully
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Message par Jake Scully »

Roy Neary a écrit :Oui ! 8) :lol:

Et moi aussi j'ai discuté un petit moment avec De Palma qui m'a serré la main 8) (voyant en moi le futur grand chroniqueur d'un site ce cinéma de premier ordre... mais euh là je m'égare...)
:lol:

Hé, j'ai misé juste... c'est pas la classe, ça? 8) En fait on voit deux types au manteau blanc dans le film (un dans la file qui attend -avec des lunettes-, et celui devant moi avec qui on se dépèche d'aller à la rencontre de BdP) on parle bien du premier?
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

Je ne porte pas de lunettes ! :lol:
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Message par Jake Scully »

Roy Neary a écrit :Je ne porte pas de lunettes ! :lol:
J'ai cru en voir...
Roy Neary a écrit :Sinon, je serais curieux de voir la video dans sa résolution originale.
En effet, il faut que je fasse quelque chose! :wink:

C'est pareil question qualité pour ma section d'extraits de films, voilà la B.O. originale de BODY DOUBLE...
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