Genre, plutôt Les Dix Commandements ou Mon Curé Chez Les Nudistes, dans le genre film d'après-midi de jour férié ?Eudoxie a écrit :Vu hier soir. Divertissant et un peu long, comme les films qu'on regarde les après-midi des vacances de noel, à la télé, étant môme.
Hellboy (Guillermo del Toro - 2004)
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en film de fin d'après midi je verrais plutôt Beethoven 3 ou Asterix et les 12 travauxM_RiK a écrit :Genre, plutôt Les Dix Commandements ou Mon Curé Chez Les Nudistes, dans le genre film d'après-midi de jour férié ?Eudoxie a écrit :Vu hier soir. Divertissant et un peu long, comme les films qu'on regarde les après-midi des vacances de noel, à la télé, étant môme.
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Bizarre ton jour férié.M_RiK a écrit :Genre, plutôt Mon Curé Chez Les Nudistes, dans le genre film d'après-midi de jour férié ?
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il faudrait avoir les statistiques des films les plus souvent diffusés ces après-midis là (Daisy Town, le Robin des bois de Disney...). Alors que ces jours-là seraient le moment idéal pour nous rendre Howard the Duck ou Bigfoot et les Henderson !Tuck pendleton a écrit :en film de fin d'après midi je verrais plutôt Beethoven 3 ou Asterix et les 12 travauxM_RiK a écrit : Genre, plutôt Les Dix Commandements ou Mon Curé Chez Les Nudistes, dans le genre film d'après-midi de jour férié ?
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A part Mon curé chez les nudistes, un mélange de tous les films cités.Tuck pendleton a écrit :en film de fin d'après midi je verrais plutôt Beethoven 3 ou Asterix et les 12 travauxM_RiK a écrit : Genre, plutôt Les Dix Commandements ou Mon Curé Chez Les Nudistes, dans le genre film d'après-midi de jour férié ?
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Je l'ai enfin vu hier soir....et le film vieillit déjà très bien dans mon esprit.
Contrairement à beaucoup, le rythme du film ne m'a absolument pas gêné. Bien au contraire : ça faisait longtemps que 120mn de ciné ne m'avaient pas paru aussi courtes !
Ce que je retiens surtout, ce ne sont pas les scènes d'actions (bien troussées mais pas extraordinaires...on est loin de la mestria de Blade II) mais bel et bien le traitement "humain" accordé à ce freak de Hellboy (définitivement un des personnages les plus charismatiques qu'il m'ait été donné de voir sur un grand écran).
Les morceaux de bravoure passent donc au second plan, et Del Toro s'intéresse davantage à son héros torturé et incroyablement touchant.
Cette histoire du triangle amoureux m'a beaucoup plus, notamment via cette excellente scène où Hellboy espionne Liz et Myers en train de flirter.
Si l'on rajoute à ça des plans hyper iconiques (celui sur Hellboy lors de l'enterrement de son "père", le Hellboy cornu faisant face au monde apocalyptique), des SFX extraordinaires (Abe Sapiens ! ), une partition sombre et gothique de Beltrami, un univers lovecraftien rarement aussi bien rendu qu'ici...on obtient donc une adaptation extrêmement réussie et intéressante (pour peu que l'on ne s'attende pas à un gros film de bourrin, bien sûr).
Seul gros grief que j'exprimerais : une intrigue un peu brouillonne, qui nous donne parfois l'impression qu'il manque même des bouts à cette version longue (rien compris à ces histoires de petits papiers).
Quant à ce final soi-disant expédié, je le trouve tout à fait cohérent par rapport à la suite du métrage : Hellboy n'est pas un super-héros à la Superman et, comme l'a dit je ne sais plus qui dans ce topic, le véritable climax du film ne se situe pas dans ses 10 dernières minutes.
Je ne trouve donc pas qu'il soit exagéré de comparer ce Hellboy à un film d'auteur tant on sent l'amour qu'a Del Toro pour le matériau de base, ainsi que dans sa manière de détourner tous les clichés du genre "adaptations de comic books".
Un film à part, donc...une sorte de Hulk réussi.
5/6
Contrairement à beaucoup, le rythme du film ne m'a absolument pas gêné. Bien au contraire : ça faisait longtemps que 120mn de ciné ne m'avaient pas paru aussi courtes !
Ce que je retiens surtout, ce ne sont pas les scènes d'actions (bien troussées mais pas extraordinaires...on est loin de la mestria de Blade II) mais bel et bien le traitement "humain" accordé à ce freak de Hellboy (définitivement un des personnages les plus charismatiques qu'il m'ait été donné de voir sur un grand écran).
Les morceaux de bravoure passent donc au second plan, et Del Toro s'intéresse davantage à son héros torturé et incroyablement touchant.
Cette histoire du triangle amoureux m'a beaucoup plus, notamment via cette excellente scène où Hellboy espionne Liz et Myers en train de flirter.
Si l'on rajoute à ça des plans hyper iconiques (celui sur Hellboy lors de l'enterrement de son "père", le Hellboy cornu faisant face au monde apocalyptique), des SFX extraordinaires (Abe Sapiens ! ), une partition sombre et gothique de Beltrami, un univers lovecraftien rarement aussi bien rendu qu'ici...on obtient donc une adaptation extrêmement réussie et intéressante (pour peu que l'on ne s'attende pas à un gros film de bourrin, bien sûr).
Seul gros grief que j'exprimerais : une intrigue un peu brouillonne, qui nous donne parfois l'impression qu'il manque même des bouts à cette version longue (rien compris à ces histoires de petits papiers).
Quant à ce final soi-disant expédié, je le trouve tout à fait cohérent par rapport à la suite du métrage : Hellboy n'est pas un super-héros à la Superman et, comme l'a dit je ne sais plus qui dans ce topic, le véritable climax du film ne se situe pas dans ses 10 dernières minutes.
Je ne trouve donc pas qu'il soit exagéré de comparer ce Hellboy à un film d'auteur tant on sent l'amour qu'a Del Toro pour le matériau de base, ainsi que dans sa manière de détourner tous les clichés du genre "adaptations de comic books".
Un film à part, donc...une sorte de Hulk réussi.
5/6
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vu le film hier soir (5 personnes dans la salle) et j'ai beaucoup aimé. Del Toro s'éloigne un peu de l'univers de Mignola mais ca reste toujours dans le meme esprit. Le personnage d'Hellboy est très réussi, à la fois cynique et désabusé comme dans la BD. Les seconds roles qui l'entourenr sont eux aussi excellent, rien a redire.
La séquence d'ouverture est vraiment excellente!
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- Flol
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