John Carpenter
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
-
- murder on the dance floor
- Messages : 7287
- Inscription : 13 avr. 03, 18:33
- Localisation : Bonne question...
Nut, j'aime bien les mises en scene elegantes, simples, discretes, et efficaces(comme bcp de films hollywoodiens de l'age d'or, de Hawks ou de Wilder). Mais dans le Rilla, je l'ai trouve plate, convenue, et ennuyeuse(a part la scene d'ouverture que je trouve vraiment bonne). D'où académique.
Sinon j'ai hate de découvrir le carpenter pisque pr le coup je suis d'accord avec Alex et Mac lean
Sinon j'ai hate de découvrir le carpenter pisque pr le coup je suis d'accord avec Alex et Mac lean
mais ca n'a rien à voir je parle de l'élégance du film,la mise en scéne de Rilla est simple,mais efficace et elle convient très bien au théme du film.Philip Marlowe a écrit :Nut, j'aime bien les mises en scene elegantes, simples, discretes, et efficaces(comme bcp de films hollywoodiens de l'age d'or, de Hawks ou de Wilder). Mais dans le Rilla, je l'ai trouve plate, convenue, et ennuyeuse(a part la scene d'ouverture que je trouve vraiment bonne). D'où académique.
Sinon j'ai hate de découvrir le carpenter pisque pr le coup je suis d'accord avec Alex et Mac lean
faut pas comparer avec Wilder qui est le roi de l'élégance
différences de générations,de gout ou la simplicité prévalait sur l'esbrouffe...
-
- Mister Ironbutt 2005
- Messages : 7489
- Inscription : 13 avr. 03, 09:15
En même temps on ne peut pas dire que le Carpenter fait dans l'esbrouffe!!... et les scéquences de suicides, de prises de contrôles des actes humains y sont beaucoup plus marquants. La main dans l'eau bouillante ou cette femme s'éloignant pour sortir du champ de la caméra.NUTELLA a écrit : différences de générations,de gout ou la simplicité prévalait sur l'esbrouffe...
il faut voir ce que l'on appelle mise en scène: il n'y a aucune personnalité là dedans dans les mouvements de camras, le découpage, etc,.. si personnalité il y a, c'est dans la conception du look des enfants ou de quelques figures comme le mur. Mais ce n'est pas ça qui fait l'élégance, dont ce film pesant est totalmeent dénué. Et après tu nous sors, Nut, que "Hearts in Atlantis" est un film académique Comment tu justifie ça alors?
-
- murder on the dance floor
- Messages : 7287
- Inscription : 13 avr. 03, 18:33
- Localisation : Bonne question...
G dit Wilder parce que c la 1er qui me venait a l'esprit mais j'aurais tres bien pu dire Preminger ou Mankewicz(au hasard).NUTELLA a écrit :mais ca n'a rien à voir je parle de l'élégance du film,la mise en scéne de Rilla est simple,mais efficace et elle convient très bien au théme du film.Philip Marlowe a écrit :Nut, j'aime bien les mises en scene elegantes, simples, discretes, et efficaces(comme bcp de films hollywoodiens de l'age d'or, de Hawks ou de Wilder). Mais dans le Rilla, je l'ai trouve plate, convenue, et ennuyeuse(a part la scene d'ouverture que je trouve vraiment bonne). D'où académique.
Sinon j'ai hate de découvrir le carpenter pisque pr le coup je suis d'accord avec Alex et Mac lean
faut pas comparer avec Wilder qui est le roi de l'élégance
différences de générations,de gout ou la simplicité prévalait sur l'esbrouffe...
Et arrete un peu la mauvaise foi, tu connais mes gouts cinematographiques, et tu sais bien que je n'aime pas l'esbrouffe et que j'apprecie bcp de films des annees 40 50, ou niveau mise en scene c discret et au service de l'histoire. Mais voila, par exemple on oublie la camera dans un Hawks, mais la mise en scene est recherchee, calculee, et par exemple pr rio bravo d'un bon scenario il tire un chef-d'oeuvre.
Le Rilla n'est pas mauvais, mais voila il se contente justement de filmer son scenario, sans recherche aucune, et d'un film de cinema j'attends un peu plus.
Bon maintenant je ne deteste pas le Rilla loin de la, mais pr ces raisons je ne pense pas le revoir un jour.
Heart in atlantis est un film qui ne me touche pas.je n'ai pas dit qu'il était mauvais,juste de l'ennui et du déja vu pour ma part.Brice Kantor a écrit :En même temps on ne peut pas dire que le Carpenter fait dans l'esbrouffe!!... et les scéquences de suicides, de prises de contrôles des actes humains y sont beaucoup plus marquants. La main dans l'eau bouillante ou cette femme s'éloignant pour sortir du champ de la caméra.NUTELLA a écrit : différences de générations,de gout ou la simplicité prévalait sur l'esbrouffe...
il faut voir ce que l'on appelle mise en scène: il n'y a aucune personnalité là dedans dans les mouvements de camras, le découpage, etc,.. si personnalité il y a, c'est dans la conception du look des enfants ou de quelques figures comme le mur. Mais ce n'est pas ça qui fait l'élégance, dont ce film pesant est totalmeent dénué. Et après tu nous sors, Nut, que "Hearts in Atlantis" est un film académique Comment tu justifie ça alors?
Mais je comprends très bien que l'on puisse l'aimer
par contre j'ai beaucoup plus de mal à concevoir que l'on peut préfèrer Le village des damnés de Carpenter à celui de Rilla,désolé pour mon intransigence mais il n'y a vraiment que sur ce forum que j'entends celà
.mais comme je n'ai jamais eu les memes gouts que toi,Alex ou Philip ca ne m'étonne finalement pas tant que ca,c'est meme plutot rassurant d'un autre coté
-
- Mogul
- Messages : 10614
- Inscription : 13 avr. 03, 08:14
-
- Accessoiriste
- Messages : 1724
- Inscription : 14 avr. 03, 12:25
- Localisation : Jersey ( Iles Anglo Normandes- Channel Islands)
Je n'ai pas lu le bouquin mais à priori comme pour The Thing, le film de Carpenter est plus une nouvelle adaptation du livre qu'un réel reamke du film de Rilla.
En tout cas pour moi les deux ont leur intérêt et j'aime beaucoup la version de Carpenter. J'attends mon DVD pour pouvoir me prononcer sur le film de Rilla que je n'ai pas vu depuis un bail.
Stefan
En tout cas pour moi les deux ont leur intérêt et j'aime beaucoup la version de Carpenter. J'attends mon DVD pour pouvoir me prononcer sur le film de Rilla que je n'ai pas vu depuis un bail.
Stefan
une relecture certes,mais il reprend quand meme plan pour plan certaines scénes du film de Rilla,notamment tout le début.ce qui est quand meme assez déplaisant.Cinetudes a écrit :Je n'ai pas lu le bouquin mais à priori comme pour The Thing, le film de Carpenter est plus une nouvelle adaptation du livre qu'un réel reamke du film de Rilla.
-
- Accessoiriste
- Messages : 1724
- Inscription : 14 avr. 03, 12:25
- Localisation : Jersey ( Iles Anglo Normandes- Channel Islands)
-
- Mogul
- Messages : 10614
- Inscription : 13 avr. 03, 08:14
Carpenter rend plus hommage à the thing dans Haloween (avec l'extrait à la télé) que dans le remake qui n'a absolument rien à voir.Cinetudes a écrit :J'attends de revoir le Rilla car mon souvenir n'est pas assez précis pour en juger.
Ceci dit, dans The Thing aussi Carpenter rend hommage au film précédent et malgré cela au final les deux oeuvres sont vraiment différentes.
Stefan
-
- Laspalès
- Messages : 17389
- Inscription : 13 avr. 03, 11:05
- Localisation : Haute Normandie et Ile de France!
- Contact :
+1 ( )Brice Kantor a écrit :Pourquoi les questionnements du film, la frontière entre l'humain et le non humain, tiendrait-elle de la guimauve? D'autant qu'on ne ressent jamais ça dans le film de Carpenter qui reste plutôt sobre. Emotion, humanité, ne veut pas dire forcément "guimauve". Si ça c'est de la guimauve, je ne saurais comment appeler la vraie guimauve? Et je trouve ce développement bien plus intéressant qu'une simple métaphore sur la guerre froide et la paranoïa comme on en retrouve beaucoup dans le fantastique de l'époque de la première adaptation, ce qui pour ma part le date énormément. Le carpenter est plus intemporel à mon gout.NUTELLA a écrit :justement qu'un des enfants soit plus humain dans le film de Carpenter rend desuite l'ambiance moins tendue.le film devient un peu guimauve.le coté petite créature froide est bien plus efficace,et terrifiant dans celui de Rilla
Que le film de Rilla soit reconnu est un fait, trouver que c'est injuste en est une autre, et je partage l'avis d'Alex quand il parle d'académisme, le film étant du point de vue de la mise en scène d'un terrible ennui et à des kilomètres du beau classicisme de Carpenter. Ce que le film de Rilla peut susicitter, et je le comprends, c'est une nostalgie iconique du fantastique... mais on est en droit de remettre en question le status de ce film. Et encore plus de remttre en question le très mauvais accueil qu'avais reçu le film de Big john.
le Rilla m'a vaguement ennuyé,là où j'aime beaucoup le Carpenter (pareil pour le remake de THE THING que je préfère à l'original,quiite à me faire bannir du forum... )!
- Colqhoun
- Qui a tué flanby ?
- Messages : 33435
- Inscription : 9 oct. 03, 21:39
- Localisation : Helvetica
- Contact :
Les aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin - John Carpenter
Un film complétement hystérique, enjoué, qui nous balade d'un endroit à l'autre sans nous laisser le temps de tout saisir, baladant ses personnages dans des décors à la fois cheap et exotiques. Carpenter nous offre ici un personnage principal qui ne pige que dalle du début à la fin de ce qui lui arrive, qui balance, comme l'a justement dit l'ami Johnny des punch-line débiles tout en se prenant des gnons sans jamais pouvoir participer pleinement à l'action.
Kurt Russel y est d'ailleurs totalement jouissif en chauffeur un poil macho et rustre voulant à tout prix récupérer son camion. Le film ne fait donc jamais de pause, si ce n'est les 5 premières minutes et les 2 dernières. ça fait du bien, ça détend et ça nous permet d'introduire LE morceau de la soirée, le monumental
THEY LIVE - John Carpenter
Je gardais de ce film un bon souvenir, pour l'avoir vu dans mon enfance. L'achat de l'édition C+ m'a permis de le redécouvrir dans d'excellentes conditions et il faut avouer que non seulement le film n'a pas pris une ride, mais est véritablement jubilatoire.
Carpenter ici tappe fort et bien, sans effets inutiles pour un film coup de poing, ravageur et violent.
Déjà un must !!!
(j'y reviendrais plus tard, là je dois partir)
Un film complétement hystérique, enjoué, qui nous balade d'un endroit à l'autre sans nous laisser le temps de tout saisir, baladant ses personnages dans des décors à la fois cheap et exotiques. Carpenter nous offre ici un personnage principal qui ne pige que dalle du début à la fin de ce qui lui arrive, qui balance, comme l'a justement dit l'ami Johnny des punch-line débiles tout en se prenant des gnons sans jamais pouvoir participer pleinement à l'action.
Kurt Russel y est d'ailleurs totalement jouissif en chauffeur un poil macho et rustre voulant à tout prix récupérer son camion. Le film ne fait donc jamais de pause, si ce n'est les 5 premières minutes et les 2 dernières. ça fait du bien, ça détend et ça nous permet d'introduire LE morceau de la soirée, le monumental
THEY LIVE - John Carpenter
Je gardais de ce film un bon souvenir, pour l'avoir vu dans mon enfance. L'achat de l'édition C+ m'a permis de le redécouvrir dans d'excellentes conditions et il faut avouer que non seulement le film n'a pas pris une ride, mais est véritablement jubilatoire.
Carpenter ici tappe fort et bien, sans effets inutiles pour un film coup de poing, ravageur et violent.
Déjà un must !!!
(j'y reviendrais plus tard, là je dois partir)
"Give me all the bacon and eggs you have."
- harry callahan
- Mogul
- Messages : 11520
- Inscription : 13 avr. 03, 17:28
- Localisation : Dans un snack de San Francisco, d'où il vaut mieux que je ne sorte pas
I have come here to chew bubble gum and kick ass ... and I'm all out of bubble gum.Enzo a écrit :THEY LIVE - John Carpenter
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?