Frank Capra (1897-1991)
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Blonde platine de Frank Capra
Avec ce qu'en avait dit George Bailey, j'aurais pu m'y attendre mais ma surprise est encore plus grande, le début des années 30 m'ennuyant souvent au cinéma. Impertinent, drôle, rapide, cette comédie est une petite merveille avec des dialogues incisifs, une mise en scène inventive et assez virtuose (on dit rarement ça avec Capra mais les travellings sont ici assez étourdissants pour l'époque) et une interprétation de tout premier ordre : Loretta Young est craquante et l'acteur principal assez extraordinaire.
Une belle découverte qui n'a absolument pas pris une ride mais qui n'atteint cependant pas les sommets du cinéaste comme NY-Miami
Avec ce qu'en avait dit George Bailey, j'aurais pu m'y attendre mais ma surprise est encore plus grande, le début des années 30 m'ennuyant souvent au cinéma. Impertinent, drôle, rapide, cette comédie est une petite merveille avec des dialogues incisifs, une mise en scène inventive et assez virtuose (on dit rarement ça avec Capra mais les travellings sont ici assez étourdissants pour l'époque) et une interprétation de tout premier ordre : Loretta Young est craquante et l'acteur principal assez extraordinaire.
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En dehors de ces films muets que je n'ai pas vu , son oeuvre est pour moi l'une des plus importante du cinéma américain.
Un grand réalisateur, un grand Monsieur qui aimait son art.
1- La vie est belle (le final avec James Stewart, préparez vos mouchoirs)
2- Vous ne l'emporterez pas avec vous (fable sur la vie)
3- L'homme de la rue (parabole les faibles contre les puissants)
4- Blonde Platine
5- Monsieur Smith au sénat
et bien d'autres, L'extravagant MR Deeds, New York-Miami, Horizons perdus, Lady For A Day, The bitter Tea of Général Yen , Arsenic & Vieilles Dentelles
Un grand réalisateur, un grand Monsieur qui aimait son art.
1- La vie est belle (le final avec James Stewart, préparez vos mouchoirs)
2- Vous ne l'emporterez pas avec vous (fable sur la vie)
3- L'homme de la rue (parabole les faibles contre les puissants)
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Que je suis content que ça t'ai plu. Pour le coup, je pense que ce film n'est pas estimé à sa juste valeur.Jeremy Fox a écrit :Blonde platine de Frank Capra
Une belle découverte qui n'atteint cependant pas les sommets du cinéaste comme NY-Miami
Des dialogues incisifs, des sous-entendus audacieux, une critique acerbe de la haute société, une direction d'acteur hors-pair.
Ce film est un petit joyau .
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Exact. C'est très rare qu'un film me procure autant de plaisir lors de sa vision.Jeremy Fox a écrit :J'aurais pu dire ça aussi. Et je t'avoue avoir été étonné de la modernité de la mise en scène par rapport à l'ensemble des films du début du parlant.
J'adore le personnage principal : sa désinvolture, sa nonchalance, son indépendance d'esprit et surtout ses répliques.
En parlant à sa belle-mère , il a l'habitude de commencer ses phares par mère, je......
La belle-mère; qui ne l'apprécie pas, lui demande de ne plus l'appeler mère.
Et lui de répondre, d'accord, je vous appelerai grand-mère.
Une réplique qui tue.
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Superbement rythmé, interprété avec brio, des dialogues étincellants.. c'est vraiment une perle !George Bailey a écrit : Que je suis content que ça t'ai plu. Pour le coup, je pense que ce film n'est pas estimé à sa juste valeur.
Des dialogues incisifs, des sous-entendus audacieux, une critique acerbe de la haute société, une direction d'acteur hors-pair.
Ce film est un petit joyau .
Ce qui m'a le plus marqué reste cette critique de la haute société dont tu parle. Pertinente et jouissive elle emporte l'adhésion.
Je demandais à Jeremy ce qu'il pensait de Jean Harlow, car j'ai vu ici où là des critiques qui me sembalient injustifiées sur son jeu.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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