Classement DVDClassik des années 80

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Requiem
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Message par Requiem »

Pour les Suzuki Seijun, je ne les ai malheureusement pas vus, mais Zigeunerweisen est réputé somptueux. Cela fait longtemps que j'hésite à me prendre les DVD Jap, mais sans sous titre c'es un petit peu hardcore...
Oui je triche, mais pas toujours consciemment... :lol: Dans mon souvenir, Summer Soldiers appartenait à la dernière période de Teshigahara.
Et même si finalement ils ne sont pas très années 80 (au contraire ils sont très marqués 70s), les Hasegawa sont à découvrir absolument, un très bon film (The Youth Killer) et un de mes films préferés : The Man who Stole the Sun.
Sinon Vic Vega, je veux bien pour le reste, mais dire que le cinéma indépendant "n'a pas encore pointé le bout de son nez" c'est un peu fort... Certes dans les années 80 il est en crise, mais l'explosion de la production indépendante date de 1964-65. :wink:
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Vic Vega
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Message par Vic Vega »

Requiem a écrit :Pour les Suzuki Seijun, je ne les ai malheureusement pas vus, mais Zigeunerweisen est réputé somptueux. Cela fait longtemps que j'hésite à me prendre les DVD Jap, mais sans sous titre c'es un petit peu hardcore...
Oui je triche, mais pas toujours consciemment... :lol: Dans mon souvenir, Summer Soldiers appartenait à la dernière période de Teshigahara.
Et même si finalement ils ne sont pas très années 80 (au contraire ils sont très marqués 70s), les Hasegawa sont à découvrir absolument, un très bon film (The Youth Killer) et un de mes films préferés : The Man who Stole the Sun.
Sinon Vic Vega, je veux bien pour le reste, mais dire que le cinéma indépendant "n'a pas encore pointé le bout de son nez" c'est un peu fort... Certes dans les années 80 il est en crise, mais l'explosion de la production indépendante date de 1964-65. :wink:
Je voulais parler de la scène indie des années 90 -la Suncent de Takenori Sento qui produira Kawase, Suwa, Ishii Sogo, Aoyama par exemple ou Kiyoshi Kurosawa qui fait à l'époque du direct to video- qui fera revenir le Japon au premier plan dans les festivals.
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Requiem
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Message par Requiem »

Vic Vega a écrit :
Requiem a écrit :Pour les Suzuki Seijun, je ne les ai malheureusement pas vus, mais Zigeunerweisen est réputé somptueux. Cela fait longtemps que j'hésite à me prendre les DVD Jap, mais sans sous titre c'es un petit peu hardcore...
Oui je triche, mais pas toujours consciemment... :lol: Dans mon souvenir, Summer Soldiers appartenait à la dernière période de Teshigahara.
Et même si finalement ils ne sont pas très années 80 (au contraire ils sont très marqués 70s), les Hasegawa sont à découvrir absolument, un très bon film (The Youth Killer) et un de mes films préferés : The Man who Stole the Sun.
Sinon Vic Vega, je veux bien pour le reste, mais dire que le cinéma indépendant "n'a pas encore pointé le bout de son nez" c'est un peu fort... Certes dans les années 80 il est en crise, mais l'explosion de la production indépendante date de 1964-65. :wink:
Je voulais parler de la scène indie des années 90 -la Suncent de Takenori Sento qui produira Kawase, Suwa, Ishii Sogo, Aoyama par exemple ou Kiyoshi Kurosawa qui fait à l'époque du direct to video- qui fera revenir le Japon au premier plan dans les festivals.
Là on est d'accord. :wink: A ce propos, quelqu'un a déjà vu un Kurosawa Kyoshi des années 80 voire antérieur ? :)
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Message par Jake Scully »

Des 80's?? Ok...

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LES INCORRUPTIBLES (THE UNTOUCHABLES) de Brian De Palma
SCARFACE de Brian De Palma
OUTRAGES (CASUALTIES OF WAR) de Brian De Palma
FULL METAL JACKET de Stanley Kubrick
SHINING de Stanley Kubrick
LA MOUCHE (THE FLY) de David Cronenberg
SCANNERS de David Cronenberg
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RAGING BULL de Martin Scorsese
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Message par vic »

Requiem a écrit : A ce propos, quelqu'un a déjà vu un Kurosawa Kyoshi des années 80 voire antérieur ? :)
Hélas non, je suis déjà à la bourre pour ceux des 90's/00's... :roll:
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acidparadouze
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Message par acidparadouze »

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Message par Happy Charly »

LE MEILLEUR DES ANNÉES 80 en vingt titres :? :? :?

Pfiou, vaste question...

Mais qu'est-ce que c'était pour mwoua ces années 80 d'abord ?
En dehors de huit ans de politique américaine signées d'un ancien acteur, Ronald Reagan, du triomphalisme français de la gauche et du règne quasi-monarcale de Mitt'rand, son fiéfé représentant, et de l'avénement d'un Pape polonais au Saint Siège, je vois plus trop bien ce qu'ont été ces dix années de mon enfance qui m'auront emmenées de la maternelle au banc du lycée.
L'émergence de groupes un peu plus brutal d'un point de vue musical sur la scène californienne, l'anti-socialisme de Bernie et Trust, l'autre monde de Téléphone, etc, etc... La fierté de se promener avec une main jaune hurlant de ne pas toucher à mon pote sur le torse pour crier sa haine commune au racisme, peut--être ( aussi ).

Mais d'un point de vue cinématographique et des productions sorties dans cette décennie, à quoi peut se résumer 1980 à 1989 :?:

La prise de contrôle d'une nouvelle générations de jeunes génies du cinéma, qui élevés au cinéma et à la télévision dès leur plus jeune âge auront plus aisément assimilés les codes et us de cet univers pour les restituer avec aisance dans un milieu qui n'était pas encore refermé sur lui-même...
De jeunes acteurs se faisant aussi et en même temps connaître et parmi lesquels on ne trouvait pas encore des nuées de fils de : de jeunes gens que leur physique alors pouvait encore sortir du lot et leur offrir une chance de connaître ce nouvel eldorado qu'était Hollywood...

1 :arrow: Mais les eighties, ça aussi été ( et sûrment ) la fin d'un cinéma classsik qu'on pourrait dire de pôpa(s) avec ces maquillages dignes du carnaval local et dans lesquels des vieux de la vieille venaient jouer les acteurs avec toute la classe et le talent qui leur étaient propres. L'apogée d'un certain cinéma comme on en fait plus à la veille d'une révolution ( visuelle, scénaristique, ... ) et que ce "CLUB DES MONSTRES" ( 1980 ) de Roy Ward Baker représente le plus en donnant tout un sens à son titre par son casting de monstres sacrés du cinéma fantastique : Vincent Price, John Carradine, Donald Pleasance venant en quelques sortes tirés ici leur révérence...

2 :arrow: Une révolution qui se résume à un seul nom - et l'expression n'étant pas infondée, puisqu'on ne dit plus un film de Steven Spielberg mais un film de Spielberg : le jeune génie du cinéma, ayant fait ses galons d'essai pour la télévision, venant exploser ces années là de ses productions infantiles et alors encore trop sous-estimées ( l'Oscar ne lui arrivant que bien plus tard ). Le summum de son cinéma ayant pour titre ( avis personnel :wink: ) : Indiana Jones, que ce soit à la recherche d'un "ARCHE PERDUE" ( 1981 ), "LE TEMPLE MAUDIT" ( 1984 ) ou pour une "DERNIÈRE CROISADE" venant clôturer la décennie et les aventures, en 1989, dont l'indicatif du générique est sur toutes les lêvres et que deux accessoires suffisent à identifier.
Le modèle du nouvel héros : intelligent, cultivé, courageux mais avec quelques points faibles et surtout ne manquant pas d'humour. Dont on attend encore ( en vain ) les nouvelles aventures, alors que le remplaçant semble être apparu du coté de l'Egypte pharaonique il y a quelques années :wink:

3 :arrow: Et si la trilogie du professeur en archéologie Dr. Jones nous a tous retournés, il en est une autre qui elle nous a scotché aux fauteuils des salles obscures : Robert Zemeckis, avec l'aide de Michael J. Fox ( dans le rôle de sa vie ) et Christopher Lloyd, nous propulsant vers le cinéma de demain à grands renforts d'effets spéciaux en plongeant son Marty MacFly de héros trente ans en arrière pour un "RETOUR VERS LE FUTUR" qui ne fera que commencer en 1985 pour s'achever en 1990 ( troisième et dernier épisode ) via l'explosif second épisode de 1989 :twisted: :twisted: :twisted:

4 :arrow: Autre nom associé aux eighties : celui d'un employé formé à l'école de la débrouille ( de Roger Corman ) et qui après une nuit de délire fiévreux donnera, tel Mary Shelley au siècle précédent, naissance à un mythe de la SF avec son tueur surgit d'un avenir apocalyptique, James Cameron programmant la fin du monde pour 1997 ( selon les versions ) après une explosion nucléaire déclenchée par ces machines que les hommes ne font que programmer et évoluer et ce "TERMINATOR", incarné par le géant Arnold Schwarzenegger, en étant le meilleur représantant... qui remonte le temps jusqu'en 1984 pour tuer "Sarah Connor ?". Avant d'ouvrir la brèche à des Van Damme, Berkoff et compagnie :lol:

5 :arrow: Mais, il n'y eut pas que ces 'ricains à profiter de ce succès phénoménal en adaptatant à leur sauce al dente tous les films de SF qui cartonnent et déchirent tout sur leur passage. L'Italie et Sergio Martino ( pour n'en citer qu'un ) représentant aussi ( beaucoup ) pour moi le cinéma bis et fauché des années 80 avec leur version transalpine de "NEW-YORK 1997" de Big John intitulée "2019, APRÈS LA CHUTE DE NEW-YORK" ( 1984 ), un bijou :twisted: :twisted: :twisted:

6 :arrow: Heureusement que pour moi et les traumatismes à venir, l'Italie nous avait aussi offert Ruggero Deadato et son documenteur de "CANNIBAL HOLOCAUST" ( 1980 ), le film ( découvert bien plus tard tout d'même ) qui a commencé à faire se poser la question du distingo entre la réalité et la fiction, où commence le faux et où s'arrête le vrai, qu'est-ce que le cinéma et ses effets spéciaux.
Un reportage gore qui n'a été que lé début d'une grande série de "CANNIBAL APOCALIPSE" ( 1984 ), "CANNIBAL FEROX" ( 1981 ) et autres films de mordus :twisted: :twisted: :twisted:

7 :arrow: Mais les années 80, ça a été aussi des choses plus propres bien que tout aussi effrayantes avec une génération ( dans le double sens du mot ) de boogeymen les plus kult du cinéma ( hélas aussi en exclusivité américaine ).
Avec pour chef de file ( avis perso ) l'ultime écorché vif de Freddy Krueger qui, après avoir été brûlé pour ses crimes, revient hanter les rêves des enfants de ses bourreaux d'Elm Street dès 1984 dans ces "GRIFFES DE LA NUIT" de Wes Craven... avant d'engager une ( très ) longues séries de films et de macchabés :twisted: :twisted: :twisted:
Les Jason, Chucky, LeatherFace et autres Pinehead ne faisant que suivre :wink:

8 :arrow: Arnold Scwharzenegger, l'acteur de Cam'ron, aura aussi le mérite d'apparaître dans ce top 20 des eighties en incarnant la référence même du héros médiéval d'une héroïc-fantasy se basant sur des mondes et civilisations dites disparues depuis des millénaires et oubliées des hommes : le king "CONAN" de Summérien lui revenant en 1984 dans le film de John Milius du fait de sa carrure de Mister Univers : le film qui le lancera... plus loin que son premier rôle d'"HERCULE À NEW-YORK" ( 1970 ) et les autres "CONAN, LE DESTRUCTEUR" ( 1984 ), "KALIDOR" ( 1985 ) ou même ce "DAR, L'INVINCIBLE" ( avec Marc Singer ) pourtant sorti avant en 1980...

9 :arrow: Et quant à James Cameron, je le nommerai aussi une seconde fois en rappelant combien sa menace venue de cet espace, où personne ne vous entend hurler, "ALIENS, LE RETOUR" ( 1986 ) a été le meilleur film de la saga ( avis personnel ) et une claque avec une putain de paire de couilles qui a tout démâté sur sa route et tracé dans le vif du sujet un chemin sanglant pour ces erstaz de "M.A.L.", etc, etc :lol: :lol: :lol:

10 :arrow: Heureusement, un réalisateur comme Ridley Scott venait nous proposer en 1982, malgré une peinture sombre et pessimiste de l'avenir, un monde à venir d'anticipation où l'homme aurait dominé les machines et n'hésiterait pas à retirer ces réplicants défectueux ou refusant leur destin en adaptant le romancier paranoïaque de Philip K. Dick dans son "BLADE RUNNER", un classik des films récents :wink:

La barrière des dix films passées, il ne nous en reste plus que la moitié ( autant ) à proposer...

11 :arrow: "BAD TASTE" ( 1988 ) de Peter Jackson étant alors un 'tit film goreux néo-zélandais... sur lequel j'aurais kiffé les années suivantes, mais qui surtout surtout sera aujourd'hui la révélation du nouveau roi du cinéma hollywoodien et international, depuis son sacre en ayant adapté la trilogie réputée indaptable de Tolkien "LE SEIGNEUR DES ANNEAUX".
Distançant ainsi son frère ennemi de Sam Raimi, venu au cinéma avec son "EVIL DEAD ( 1983 ) et étant aujourd'hui le père de "SPIDER-MAN" :twisted: :twisted: :twisted:

12 :arrow: "OUTSIDERS" ( 1983 ) de Francis Ford Coppola étant aussi un vivier de jeunes talents comptant dans son casting les futurs roi de Hollywood payés à grands coups de cachets innomables et pouvant comptabiliser un nombre con...séquent de statuettes et récompenses : Matt Dillon, Ralph Macchio, Patrick Swayze, Rob Lowe, Emilio Estevez, Tom Cruise... Quoiqu'en ( me ) re-lisant maintenant :lol:

13 :arrow: "PEE-WEE HERMAN'S BIG ADVENTURE" ( 1985 ) de Tim Burton sera en plus d'être le galop d'essai d'un futur cinéaste torturé et talentueux ( Tim Burton ), tout un symbole de l'univers impitoyable d'Hollywood... non pas dans le film mais surtout dans l'histoire qui l'entoure. Paul Reubens, l'interprêtre de ce candide personnage adoré des enfants ( un show TV ayant existé ), ayant été frappé par le statut incorruptible de son rôle lorsqu'il céda aux pulsions de l'homme qu'il est tout simplement. Dans un cinéma pornographique il est vrai :wink: :lol: :lol:
Heureusement, Tim su encore lui tendre la main après sa traversée du désert derrière les barreaux d'une cellule...

14 :arrow: Les années 80 n'ont pas été qu'illuminées par les étoiles de la bannière américaine, fort heureusement.
"LE PÈRE NOËL EST UNE ORDURE" ( 1982 ) de Jean-Marie Gau... heu, Poiré étant aussi, à mon humble avis personnel, l'image du cinéma comique français que ces 'ricains n'auront jamais su nous voler : leur adaptation avec Steve Martin étant resté occulte ( tée ? ), quand d'autres ont tout de même réussi à nous revenir de ce coté de l'Atlantique - "LA CAGE AUX FOLLES", "LES VISITEURS EN AMÉRIQUE" pour citer la plus récente :lol: :lol: :lol:

15 :arrow: Et que seraient ces eighties franchouillardes sans y ajouter un Max Pécas : "ON SE CALME ET ON BOIT FRAIS À SAINT-TROPEZ" ( 1987 ) pouvant se disputer la palme avec "DEUX ENFOIRÉS À SAINT-TROPEZ" ( 1986 ) ou tout autre nanar de sa série tropézienne dénu(d)ée de tout gendarme ou gendarmette, tiens :lol: :lol: :lol:

16 :arrow: Et lorsqu'on parle de Max Pécas à un branleur des années 80, on lui parle aussi inconsciemment de zizi sexuel et de ( ses ) premiers émois ( qui ne devraient pas tarder à lui monter à la tête... vers 1988-89 ) :oops: :oops: :oops:
Et quel autre titre en dehors de "L'AMANT DE LADY CHATTERLEY" ( 1981 ) de Just Jaeckin saurait venir remplacer l'"EMMANUELLE" qu'interprêta la même Sylvia Kristel en 1974 :?: :roll: :oops:
"JOY" (1983) de Sergio Bergonzelli peut-être...

17 :arrow: "LE CHOC DES TITANS" ( 1981 ) de Desmond Davis étant mon coup d'coeur eighties, je crois...

18 :arrow: "HIGLANDER" ( 1986 ) de Russel Mulcahy ne pouvant pas ne pas être ( dans ce classement ) puisque vous commencez à m'connaître, non ?

19 :arrow: "GOTHIC" ( 1986 ) de Ken Russel étant le film ( qui retraçant la nuit lors de laquelle Mary Shelley donna naissance à son monstre de "Frankenstein" ) qui surpasse, dans un tout autre registre ( pourtant ), le "ANGEL HEART" ( 1987 ) d'Alan Parker.
Même si les thème diffèrent j'ai toujours trouvé quelque chose de surnaturelle mais commun à ces deux titres. Le premier possédant pourtant ma fibre cinéphage et gothique :twisted: :twisted: :twisted:

20 :arrow: "AUX FRONTIÈRES DE L'AUBE ( NEAR DARK )" ( 1987 ) de Kathryn Bigelow, "GÉNÉRATION PERDUE ( LOST BOYS )" ( 1987 ) de Joel Schumacher et "LES PRÉDATEURS ( THE HUNGER )" ( 1983 ) de Ridley Scott finissant ex-aequo dans cette liste ( sans ordre ).
Traitant tous les trois du thème d'un vampire relooké : plus cruel, punk, rebelle mais toujours aussi charismatique sans oubliés d'être sensuels. Des immortels que des scores comme Bauhaus, INXS ou les Cramps viennent enfermer dans cette décennie et me laisser rêveur, loins des clichés poussiéreux et classik ( trop ! ) des vampires aristocrates et drapés précédents : les précursseurs de ceux qui auront envahi les décennies suivantes :twisted: :twisted: :twisted:

Enfin, les 70's, c'étaient plus facile à rédiger pour ne pas dire mieux avant...
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greg78
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Message par greg78 »

Requiem a écrit :
Vic Vega a écrit : Je voulais parler de la scène indie des années 90 -la Suncent de Takenori Sento qui produira Kawase, Suwa, Ishii Sogo, Aoyama par exemple ou Kiyoshi Kurosawa qui fait à l'époque du direct to video- qui fera revenir le Japon au premier plan dans les festivals.
Là on est d'accord. :wink: A ce propos, quelqu'un a déjà vu un Kurosawa Kyoshi des années 80 voire antérieur ? :)
j'ai vu ses trois films sortis en France, mais je dois avouer que j'ai du mal avec ce cinéaste.
Au départ, la principale question que je me posais, c'était : mais pourquoi pose t il sa caméra là ? je pense notamment à la scène de la prise d'otage dans Charisma, vue de l'extérieur du batiment.
Puis j'ai compris que les plans de Kurosawa sont des fenêtres ouvertes sur la vie des personnages. C'est un cinéaste qui n'a rien de didactique ou de manipulateur. Mais pour me taper un de ses films, il faut tt de même que je sois dans un certain état d'esprit.... en général, j'adore les histoires, moins leur traitement ! bien que je lui confesse un certain pouvoir hypnotique !
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Message par greg78 »

Qq titres qui me viennent, sans classement, même si le cinéma des années 80 représente une ambivalence pour moi entre les films de mon enfance et ceux découverts plus tard !

films qui ont touchés définitivement le très jeune cinéphile que j'étais :

- les aventuriers de l'arche perdue
- indiana jones et le temple maudit
- gremlins
- les goonies
- retour vers le futur

films qui ont plus tard touchés le cinéphile adulte :

- il était une fois en amérique
- the cruising
- la rose pourpre du caire
- l'année du dragon
- le sixième sens
- rusty james
- raging bull
- la couleur de l'argent
- l'échelle de jacob

je vois cette semaine To live and die in LA, peut être integrera t il ce top....
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Message par Prodigy »

Y'en a une tonne, des films de Cameron aux film de Friedkin en passant par les films de John Hughues, de Coppola, sans parler du véritable âge d'or des films d'horreurs, bref, ça se bouscule dans ma tête là :shock:
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Message par Flol »

Rob-Zombie a écrit :Paul Reubens, l'interprêtre de ce candide personnage adoré des enfants (un show TV ayant existé ), ayant été frappé par le statut incorruptible de son rôle lorsqu'il céda aux pulsions de l'homme qu'il est tout simplement. Dans un cinéma pornographique il est vrai :wink: :lol: :lol:
Heureusement, Tim su encore lui tendre la main après sa traversée du désert derrière les barreaux d'une cellule...
Juste pour préciser une petite chose : "l'affaire" Paul Reubens date d'après 1985.
Au moment de Pee Wee's Big Adventure, Reubens était au somment de sa carrière....et les ennuis sont venus après.
Mais il est vrai que Burton a continué de lui offrir quelques courts rôles dans ses projets suivants (un caméo dans Batman Returns, voix dans The Nightmare Before Christmas).

Voilà voilà....:)
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Message par harry callahan »

Rapidement, en vrac à part les deux premiers :

The thing, Shining, Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, Invasion Los Angeles, Prince des ténèbres.

Conan le barbare, Les aventuriers de l'arche perdue, L'année du dragon, Blade runner, Full metal jacket, Platoon, et j'en oublie ......
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Message par Tom Peeping »

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Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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Message par harry callahan »

Oh bah oui, le con, j'ai oublié Blue velvet. Pas de la petite bière, pourtant .....
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Message par vic »

ratatouille a écrit :
Rob-Zombie a écrit :Paul Reubens, l'interprêtre de ce candide personnage adoré des enfants (un show TV ayant existé ), ayant été frappé par le statut incorruptible de son rôle lorsqu'il céda aux pulsions de l'homme qu'il est tout simplement. Dans un cinéma pornographique il est vrai :wink: :lol: :lol:
Heureusement, Tim su encore lui tendre la main après sa traversée du désert derrière les barreaux d'une cellule...
Juste pour préciser une petite chose : "l'affaire" Paul Reubens date d'après 1985.
Au moment de Pee Wee's Big Adventure, Reubens était au somment de sa carrière....et les ennuis sont venus après.
Mais il est vrai que Burton a continué de lui offrir quelques courts rôles dans ses projets suivants (un caméo dans Batman Returns, voix dans The Nightmare Before Christmas).

Voilà voilà....:)
Et il faut noter sa remarquable prestation dans Mystery Men.
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