Mosin-Nagant wrote: ↑15 Apr 25, 00:05
Reçu le 10 avril :
murphy wrote: ↑12 Apr 25, 13:16Des fois, vos discussions de recherche de la meilleure édition me fait penser à la pub de la lessive Omo qui lave le linge plus blanc que blanc.
Ici, mon cher murphy, le flacon importe tout autant que l'ivresse.
Surtout que les mecs en profitent pour faire des vannes : Mr & Mme Porter ont un fils...Cole.
“Le monde qui nous entoure est dégueulasse et sordide. Je ne cherche pas à le maquiller comme 99 % des films hollywoodiens.”
Hier et aujour'hui j'étais a paris je suis allé au Forum des halles, a la fnac j'étais comme un gosse dans un magasin de jouets
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Le pack polak chez intersections, que j’avais préco puis oublié, jusqu’à un avertissement mondial relay
J’ai visionné l’homme de fer. Assez impressionnant dans la représentation entre fiction et docu de cette époque troublée. Une partie de la musique (électronique façon Tangerine) m’a donné une émotion toute personnelle à des images très fortes. De Wajda je n’avais jusqu’à présent vu que Danton (très réussi également).
Présentations absolument impeccables : boitiers tranlucides avec jaquettes totales plus fourreaux (important le fourreau). Discret mais très classe. Sans parler du copieux livret. Merci intersections !
Ps : l’image aussi est splendide, semble pas bidouilllée.
Souhaits : Alphabétiques - Par éditeurs - « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -