Lohmann a écrit : ↑1 juin 24, 17:40(enfin, c'est ce que je crois comprendre )
Ok, c'est bien ce que je craignais.
Flol a écrit : ↑1 juin 24, 18:16 pleine d'humour à froid, de visages impassibles (rien de pire que ces films où tout le monde rigole à ses propres bons mots)
Ce qui me fait penser que le moment qui m'a le plus fait rire est qd aux obsèques de sa mère le perso dit avoir au moins, paraît-il, hérité de son sens de l'humour... mais que comme tout le monde pense en avoir un bon, ça n'a aucune valeur. Preuve que tout tient au timing, c'est pas si drôle résumé ainsi.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
Ayant vu le film, je vois parfaitement à quel moment tu fais référence. Et c’est effectivement très drôle (et là aussi, David Krumholtz excelle à mort).
Dans le style, et en encore plus froid et cynique, ça m’a rappelé Lemon avec Brett Gelman (l’une de mes gueules préférées du moment, celui-là). J’imagine que tu connais aussi.
Flol a écrit : ↑1 juin 24, 19:35Dans le style, et en encore plus froid et cynique, ça m’a rappelé Lemon avec Brett Gelman (l’une de mes gueules préférées du moment, celui-là). J’imagine que tu connais aussi.
De la réalisatrice, j'avais trouvé Zola plus abouti, mais on tient là un bon créneau, ouais... Brett Gelman est exceptionnel dans un second rôle dans Love, en (pseudo)psy à la ramasse, et on lui doit le formidablement malaisant Brett Gelman's Dinner in America (pas sûr de comment ça a vieilli, cela dit).
Quant à la B.O. du Byington, j'ai surtout été content de réentendre un morceau qui vaut ce qu'il vaut mais que je gardais en tête pour le facteur Sevigny de son clip :
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
DANCER IN THE DARK - Lars von Trier (2000) : 7/10 YOUNG MAN WITH A HORN - Michael Curtiz (1950) : 8/10 LE VILLAGE PERDU - Christian Stengel (1947) : 6.5/10 BLOOD OF DRACULA'S CASTLE - Al Adamson (1969) : 5.5/10 LA GUERRE DES POLICES - Robin Davis (1979) : 8.5/10 DISTANT VOICES, STILL LIVES - Terence Davies (1988) : 8.5/10 LE 17ÈME CIEL - Serge Korber (1966) : 8/10 LES GARDIENNES - Xavier Beauvois (2017) : 6.5/10 UNE PURE AFFAIRE - Alexandre Coffre (2011) : 4.5/10 FILIBUS - Mario Roncoroni (1915) : 7.5/10 NO PROFANAR EL SUEÑO DE LOS MUERTOS - Jorge Grau (1974) : 8/10 TEMPÊTE SUR LES MAUVENTS - Gilbert Dupé (1952) : 6/10 SACCO E VANZETTI - Giuliano Montaldo (1971) : 8/10 SATAN'S SADISTS - Al Adamson (1969) : 6.5/10 CRÉPUSCULE POUR UN TUEUR - Raymond St-Jean (2023) : 5/10 LA CASE DE L'ONCLE TOM - Géza von Radványi (1965) : 7/10 BARBARIAN - Zach Cregger (2022) : 5.5/10 VALLEY GIRL - Martha Coolidge (1983) : 6.5/10 SUDDENLY SINGLE - Jud Taylor (1971) : 7.5/10 ÉCOUTE VOIR - Hugo Santiago (1978) : 5/10 THE L-SHAPED ROOM - Bryan Forbes (1962) : 7/10 AUDREY ROSE - Robert Wise (1977) : 8/10 TORN CURTAIN - Alfred Hitchcock (1966) : 8.5/10 VERMINES - Sébastien Vanicek (2023) : 6.5/10 LE MANI SULLA CITTÀ - Francesco Rosi (1963) : 9/10 EVIL LAUGH - Dominick Brascia (1986) : 3/10 FIVE GUNS WEST - Roger Corman (1955) : 6/10 DON'T GO IN THE WOODS - James Bryan (1981) : 5.5/10 THE BEAST WITH A MILLION EYES - David Kramarsky (1955) : 3.5/10 UNE AUSSI LONGUE ABSENCE - Henri Colpi (1961) : 8/10 VADO... L'AMMAZZO E TORNO - Enzo G. Castellari (1967) : 8/10 CRIME AND PUNISHMENT - Josef von Sternberg (1935) : 7.5/10 LE TOUT NOUVEAU TESTAMENT - Jaco Van Dormael (2015) : 5.5/10 APACHE WOMAN - Roger Corman (1955) : 6.5/10 FURIOSA : A MAD MAX SAGA - George Miller (2024) : 8/10 GREY GARDENS - Ellen Hovde, Albert Maysles, David Maysles & Muffie Meyer (1975) : 8.5/10 NINE 1/2 WEEKS - Adrian Lyne (1986) : 5.5/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
En mai, visionnages erratiques entre une intensive semaine Kenji Misumi, des problèmes de plomberie et une retraite ascétique (et bénéfique) sur une île bretonne. Pas vraiment de chef-d'oeuvre cette fois-ci, mais quelques films marquants, à commencer par le formidable et étonnant (et film du mois donc)
Rivière de larmes (Kenji Mesumi, 1967)
et aussi :
§ Une valse dans les allées (Thomas Stuber, 2018)
§ Brassard noir sur la neige (Kenji Misumi, 1967)
§ Les combinards des pompes funèbres (Kenji Misumi, 1968)
§ Notes of an itinerant performer (Hiroshi Shimizu, 1941)
§ You were never really there / A beautiful day (Lynne Ramsay, 2017)
You were never really there / A beautiful day (Lynne Ramsay, 2017) 7.5/10
Joker (Todd Phillips, 2019) 7/10
Rivière de larmes (Kenji Mesumi, 1967) 7.5/10
Une valse dans les allées (Thomas Stuber, 2018) 7.5/10
Brassard noir sur la neige (Kenji Misumi, 1967) 7.5/10
Komako, fille unique de la famille Shiroko (Kenji Misumi, 1960) 6/10 (mais je n'ai pas vu la fin)
Le palais de la princesse Sen (Kenji Misumi, 1960) 6/10
Bouddha (Kenji Misumi, 1961) 3/10
Le démon du château de Sendai (Kenji Misumi, 1962) 6.5/10
Les carnets secrets de Senzaburo (Kenji Misumi, 1959) 7/10
Les combinards des pompes funèbres (Kenji Misumi, 1968) 7.5/10
(re) Le temple du démon (Kenji Misumi, 1969) 8/10
Jirokichi le Rat (Kenji Misumi,1965) 7/10
Shaolin Plot (Huang Feng, 1977) 6/10
La famille matrilinéaire (Kenji Misumi, 1967) 6.5/10
(re) Le sens du devoir 3 (Arthur Wong & Brandy Yuen, 1988) 6/10
(re) Duck, you sucker / Il était une fois révolution (Sergio Leone, 1971) 7/10
(re) Enter the fat dragon (Sammo Hung, 1978) 7/10
(re) Dojo Challengers 2: samurai from somewhere (Yasushi Kikuchi & Kôki Matsuno, 1964) 7/10
(re) Epitome (Kaneto Shindo, 1953) 8/10
Arena (Peter Manoogian, 1989) 5.5/10
(re) Battle of the sexes (Charles Chrichton, 1959) 7/10
Raze (Josh C. Waller, 2013) 5/10
Secret chronicles of the ghost cat (Tokuzo Tanaka, 1969) 7/10
(re) Knockabout (Sammo Hung, 1979) 7/10
Notes of an itinerant performer (Hiroshi Shimizu, 1941) 7.5/10
Vic Vega a écrit : ↑1 juin 24, 10:20La Cabina de Antonio Mercero 8/10
D'après wikipédia, les 13 décembre 1972 puis 24 novembre 1973 sur la Première Chaîne furent les premières diffusions. J'étais devant une des deux, tout à fait par hasard, et avait ressenti un mélange d'angoisse et de déprime absolument indescriptible, d'autant que pour l'enfant que j'étais, ça commençait de manière plutôt cocasse.
En plus, j'avais regardé ça tout seul car les grands étaient sortis (je précise que c'était en fin d'après-midi). Cette cabine est légendaire.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Par contre, je suis presque à 100 % certain que je l'ai vu en couleurs en 72-73, donc ça ne pouvait être sur la Première Chaîne, en tout cas pas pour les deux diffusions : Wiki se plante quelque part.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Un peu en retard, bilan de mai. 45 films vus, dont 41 découvertes, un grand film et une déception.
1. FILM DU MOIS : L'Opération diaboliqueSeconds (John Frankenheimer - 1967)
2. Late night with the Devil (Cameron & Colin Cairnes - 2024)
3. The Survival of kindness (Rolf de Heer - 2023)
4. Le Successeur (Xavier Legrand - 2024)
5. La CibleTargets (Peter Bogdanovich - 1968)
Et aussi, par ordre alphabétique :
L'Attaque du fourgon blindéMoney movers (Bruce Beresford - 1979) Civil War (Alex Garland - 2024) La Mort en direct (Bertrand Tavernier - 1980) Vermines (Sébastien Vaniček - 2023)
L'ARNAQUE DU MOIS : Soft & Quiet (Beth de Araújo - 2024)
LA DÉCEPTION DU MOIS : The Jinx - partie 2The Jinx - part two
Après une première saison épatante qui se terminait de manière incroyable pour une série documentaire, place à une seconde saison dans laquelle on n'apprend rien et qui cherche à rééditer le gros coup de la saison précédente en essayant à tout prix de placer une révélation finale un peu ridicule tellement elle sort de nulle part.