Häxan (Benjamin Christensen - 1922)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Lylah Clare
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Message par Lylah Clare »

:shock: :shock: :) :) :D :D :D :D
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gnome
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Message par gnome »

Lylah Clare a écrit ::shock: :shock: :) :) :D :D :D :D
Si c'est ton avis sur le film, entièrement d'accord avec toi. :D
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DaveDevil666
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Message par DaveDevil666 »

gnome a écrit :
Private Joker a écrit :Apparemment édité en zone 1 chez Criterion. :wink:
(Mais je ne sais pas si c'est une bonne édition).

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C'est une excellente édition, je l'ai visionnée ce WE. Le film est présenté dans des conditions optimales pour un film de cet âge dans deux versions :

- celle de 1922 de 104 min (ressortie en 1941 avec une petite intro du réalisateur présente sur le DVD)
- une version de 1968 avec un commentaire de William Burrough qui dure 74 min

Les bonus sont intéressant, surtout les scènes coupées où on voir Christensen faire des essais pour le vol des sorcières sur leur balais. Le réalisateur mimant lui-même la sorcière!!!

Je n'ai pas encore écouté le commentaire audio, mais le reste est passionnant (gallerie de photos de tournage, des gravures ayant servi au film...)

Quant au film, c'est un petit bijou...
Reçu il y a quelques semaines : je confirme le commentaire positif.

Et là, "ça" vient d'arriver dans la boîte aux lettres 8) :

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gnome
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Message par gnome »

DaveDevil666 a écrit :
Et là, "ça" vient d'arriver dans la boîte aux lettres 8) :

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C'est quelle édition du Golem?
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DaveDevil666
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Message par DaveDevil666 »

Alpha Video (acheté via Amazon).

http://www.oldies.com/product-view/4047D.html

Et je viens de me rendre compte qu'ils avaient ce chef d'oeuvre :

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gnome
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Message par gnome »

Si tu veux mon avis : Carnival of souls" tu as intérêt à acheter le criterion qui est SUBLIME!!! (et je parle en connaissance de cause!)

commentaires audios, deux versions du film (pas grand chose qui change, mais...), galleries de photos et historique du resort...

Mais on est un peu HS là...
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Roy Neary
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Re: Haxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par Roy Neary »

UP ! :D

Aujourd'hui DVDClassik met en ligne sa chronique de ce grand classique du muet.
L'analyse est signée de notre collaborateur Pierre Charrel, le DVD est celui édité récemment par Potemkine en 2011.

:arrow: Häxan
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ballantrae
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Re: Haxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par ballantrae »

Chronique très bien conçue pour un film important pour qui veut découvrir le muet, pour qui aime l'inquiétante étrangeté.C'est effectivement une forme hybride telle que le muet pouvait en concevoir avec sa liberté toujours aussi surprenante pour le spectateur contemporain. Dans sa liberté d'expression ,il rejoint le Murnau de Faust et le Epstein de Usher ( à quand en DVD celui-là?).
J'avais vu le film en cinéconcert il y a maintenant une dizaine d'années et cela avait été un choc qui pouvait expliquer la présence de B Christensen dans la casting de Michael , l'un des premiers Dreyer. Dies irae est une sorte d'hommage à cet Haxan et lui doit beaucoup tout comme Dame Marguerite, film méconnu de l'immense Danois vu lors de la rétrospective de la fin des 90' à Orsay (parallèlement à l'expo Hammershoi).
Votre site est décidément des plus précieux et c'est un plaisir sans cesse renouvelé de vous lire!
allen john
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Re: Haxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par allen john »

Excellent article!!

Probablement lun de mes quinze films préférés? Mon premier Criterion (Comme le temps passe!) , et en prime un autre symbole: ce film était le premier "muet du mois", diffusé en janvier 1994 sur Arte...

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http://allenjohn.over-blog.com/
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Demi-Lune
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Re: Haxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par Demi-Lune »

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Vaste et curieux projet que d'évoquer "la sorcellerie à travers les âges". Mais Christensen s'en tire avec les honneurs avec un ton qui fait encore son effet 90 ans plus tard.
Docufiction avant l'heure et film à sketchs (donc inégal), Häxan est un étrange mélange de comédie et de drame.
Après un prologue très didactique qui fait craindre le pire malgré la qualité des images, Christensen introduit un angle caustique ("Observez le zèle des diablotins qui s’occupent du feu !") qui ne dénature pas le propos. En effet le film extirpe la part de grotesque et d'irrationnel de ces superstitions dans l'Histoire, joue dessus tout en les mettant en perspective par rapport à nos perceptions contemporaines beaucoup plus incrédules. Il y a pas mal d'insolence dans cette méthode qui reste moderne, une façon de dire aux spectateurs de l'époque, peut-être encore raidis par leurs croyances, "eh les gars, on va pas trop se prendre au sérieux non plus même si le thème fait froid dans le dos". Il faut voir ces reconstitutions salaces où on baise le cul du Diable dans l'allégresse, où on accouche de petits monstres ridicules ou ces vieilles bonnes femmes qui pissent dans des écuelles, font des tours sur elles-mêmes avant d'envoyer le liquide damnateur sur la porte d'une maison. Le jeu outré des comédiens et les propres commentaires malicieux du réalisateur en off ("Une des mes actrices a exigé d'essayer la poucette quand nous avons tiré ces images, je ne dirai rien des terribles confessions obtenues de la jeune dame en moins d'une minute...") sont à leur manière culottés tant ils pourraient faire basculer le film dans la parodie. Ça n'est jamais le cas à cause de l'imagerie qui surfe sur tout ce que la démonolâtrie peut inspirer. Y a une liberté dans l'exécution qui est réjouissante (plans coquins, démons repoussants et lubriques, trucages en stop motion...) mais également étonnante tant le réal' jongle entre le gag (le diablotin qui semble se masturber :shock: ) et le drame (les tortures infligées aux supposées sorcières, les aveux extorqués).
Ce décalage dans le ton, c'est tout l'objet de la démonstration (le décalage superstition/Raison), plus véhémente lorsque le film continue de tirer le fil en mettant en perspective les assimilations passées à la sorcellerie avec les pathologies identifiées par la science. On peut rester réservé devant la démonstration, mais son humour n'empêche pas le film d'être un pavé jeté en direction de l'Église et de sa misogynie, tout autant condamnées que les superstitions populaires médiévales. Häxan se veut alors autant un exposé qu'une réhabilitation féministe. Encore une singularité à mettre au crédit de ce muet décidément en avance en plus d'être très inventif visuellement.
Un film comme Le marteau des sorcières en 1970 n'apporte finalement rien à un thème déjà très bien traité en 1922.
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Thaddeus
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Re: Häxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par Thaddeus »

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Le règne du sabbat


Aborder La Sorcellerie à travers les âges, c’est en quelque sorte entrer dans la légende. Celle du film d’abord, classique primitif du cinéma fantastique et sulfureuse référence de la contre-culture. Celle de son sujet ensuite : la sorcellerie, et plus précisément la sorcière. Perçue à sa sortie comme une charge anticléricale, un objet de propagande contre la religion, donc vouée par beaucoup aux gémonies, l’œuvre présente une sorte de nomenclature des manifestations démoniaques (ou de ce qui était considéré comme tel) sans que soit évoquée, sinon au début et très succinctement, l’histoire même de la magie noire. Le Danois Benjamin Christensen passe rapidement de l’Antiquité égyptienne au Moyen Âge pour montrer que l’on retrouve en tous temps des êtres humains qui, passionnés par les phénomènes surnaturels, tentèrent de les maîtriser sinon de les exploiter. De là à penser qu’ils avaient commerce avec les forces maléfiques, il n’y avait qu’un pas — et il fut vite franchi. À ce stade, un bref survol historique s’impose. En 785, le Synode de Paderborn, approuvé et repris par Charlemagne, condamnait sans retour la croyance aux prestiges diaboliques qui se serait exprimés ici-bas. Ce n’est qu’à partir du Concile de Latran (1176) que, devant la prolifération des sectes hérétiques, l’Église, fidèle à la mission qu’elle s’était assignée et face au raz-de-marée qui menaçait d’engloutir la Chrétienté, commença à sévir. En France, c’est en 1682 que Louis XIV décréta l’abolition des procès de sorcellerie. Une tradition souterraine a cependant subsisté qui, de l’Angleterre néo-gothique du Hellfire Club et de son grand maître Francis Dashwood jusqu’à la Golden Dawn et son plus illustre héritier Aleister Crowley, n’a jamais cessé de prospérer, n’entretenant que de lointains rapports avec les contorsions du bétail d’asile. L’affaire de Loudun, portée à l’écran par Ken Russell dans Les Diables, dénonce la collusion de nombreux procès avec des intrigues politiciennes. Mais c’est l’époque des Lumières chez Rousseau et les Encyclopédistes qui verra sourdre la semence des exactions futures. Voilà sans doute pourquoi Ado Kyrou conseillait de diffuser ce virulent réquisitoire qu’est La Sorcellerie à travers les âges dans tous les lycées du monde.


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Si Christensen se pose en documentariste, c’est à la manière d’un montreur de foire conviant son public à un cabinet de monstruosités. Ce qui le passionne, c’est la fantasmagorie, l’occulte, le délire esthétique pulvérisant les "tableaux" à prétexte exemplairement descriptif. En cet obscur XVème siècle, le commun des mortels tremblait quotidiennement à l’idée de déchoir, de mériter une place en enfer. Que l’Église, dans son institution ou ses représentants particuliers, aient utilisé cette crainte pour asseoir son hégémonie est un fait, mais la paranoïa et la terreur sont le lot quotidien du peuple, qui voit le Malin dans chaque ombre, une malédiction dans chaque accident, une sorcière dans chaque vieille dame courbée. Le moindre signe, le plus anodin des symptômes (tel le fait de ne pas pleurer devant un crucifix) prenait valeur de preuve absolue pour les sinistres sbires de la Sainte Inquisition : sous prétexte de sauver les âmes, ils s’empressaient d’envoyer les innombrables suspects au bûcher. Sans doute le film néglige-t-il l’aspect politique de cette extermination qui, aux dires du commentaire, fit en Europe huit millions de victimes. Mais c’est pour mieux mettre à nu les mécanismes implacables qui broyaient toute personne prise au piège de cette folie collective. La technique de la culpabilité par association, le sadisme des méthodes, les raffinements atroces de la torture permettaient de forger en toute quiétude des signes qui allaient conduire des milliers d’accusés dans les flammes purificatrices. L’onirisme des images s’explique ainsi par leur second degré : les reconstitutions impies et leurs effusions blasphématoires ne figurent que les projections mentales d’esprits affolés par la souffrance. Celui ou celle que l’on martyrise invente ses propres mensonges, conformes à ce qu’on l’attend de son aveu. Il se croit sorcier, le devient et se condamne lui-même.

De ces rêves "rapportés" par des intelligences plus ou moins vacillantes (il convient de rappeler que les sorcières étaient fréquemment des femmes âgées), le cinéaste tire un mémorable chapelet de séquences hallucinantes. Son goût spécifiquement européen de la reproduction d’art (gravures et estampes des maîtres flamands) le fait emprunter à Brueghel, Grünewald, Callot, Dürer, Goya ou Rodolphe Bresdin, à leurs visions torves et au regard douloureusement tendancieux qui est souvent la marque du génie. Au-delà du bric-à-brac des costumes et des accessoires médiévaux, l’œuvre déploie une savante composition qui annonce La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Dreyer. Elle donne littéralement corps à ce grouillement extravagant de sortilèges et de maléfices, fascine par son réalisme de l’irréel, par la densité d’une matière faisant renaître des créatures qu’on aurait pu croire figées à tout jamais. L’impulsion communiquée à des formes et des objets inertes, celle qui gagne les visages humains, sont le fait d’un art consommé de l’ombre et de la lumière qui, depuis l’expressionnisme germano-scandinave jusqu’au baroquisme américain, fut souvent source d’éblouissement. Ainsi du film de Christensen, détenteur des secrets d’une caméra-pinceau à coups de projecteurs et de sunlights en pleine lune : c’est le royaume du velouté, de l’obscur éclairé et de la clarté dissoute. L’excellence des maquillages et des trucages (comme l’animation des pièces d’or, obtenue par le très simple subterfuge d’une projection à l’envers), la charge poétique des surimpressions, la fréquence des gros plans signifiants ajoutent à cette science remarquable de la photographie. Comment ne pas songer aux toiles d’un Rembrandt devant l’image d’une jeune fille prisonnière, au fond d’une cave, d’un effroyable chevalet ? Pour autant l’auteur ne se contente pas de citer doctement les peintres auquel il se réfère. Cet univers lui appartient en propre, tout comme son sens de la cocasserie sacrilège (les nonnes dansant une gigue effrénée, les deux vieilles jetant un sort à une maison en maculant la porte de leurs excréments), qui atteint parfois une rare acuité : ainsi du moine fouetté par l’un de ses condisciples, voulant chasser de son corps et de son esprit de mauvaises pensées et qui, les larmes aux yeux, demande à celui qui le châtie : "Ô frère, pourquoi t’es-tu arrêté ?"


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Dans une apothéose de replis suggérés, un bouillonnement constant d’imagination plastique, Christensen inventorie tous les éléments du folklore : peccamineuses concoctant des filtres obscènes, sang cataménial, cultes nécromanciens, curiosités tératologiques, poils axillaires et pubiens, poudre d’os de crapauds séchés ou de chauve-souris, bébés jetés dans des marmites en ébullition, enchantements paillards, métamorphoses bestiales, démons cornus et lubriques, sarabandes infernales de bacchantes baisant voracement le cul du Bouc, chambres lugubres où les suspects endurent la question, apparitions en ombres chinoises d’automates représentant les Enfers, mines hilares et enfiévrées des juges, perversité toute uccellienne de la séquence où, dans le couvent qu’elle mène au délire, une moniale poignarde l’hostie… Avant celui de Mario Bava, le film aurait pu s’intituler Le Corps et le Fouet. Lors des scènes les plus saisissantes, cette effervescence gothique est menacée dans sa continuité par une série de brisures (en général des gros plans de coupe) qui la ramène à une théâtralité évidente, donc à une mise en scène révélée comme telle alors même que ce que l’on voit relève directement du fantasme. Tout se passe alors comme si ces épisodes étaient autant de rêves, les césures au montage correspondant exactement aux réveils brutaux d’un sommeil hypnotique, à des reprises de conscience après des crises de divagation. Et de manière inexorable, via une progression graduée qui infuse tout son discours, le réalisateur fait éclore un ton violemment polémiste. L’horreur nocturne, frénétique et exubérante des rituels orgiaques et des cérémonies sataniques cède à une autre, provoquée par l’inflexible férocité des bourreaux. La blancheur des robes monacales, antithèse de l’univers des sorciers, pourrait être symbole de pureté. Elle ne renvoie en fait qu’à ce qui tient sous cette couleur dénaturée : non seulement l’hypocrisie mais une froide et impitoyable cruauté. L’arrivée des Inquisiteurs suggère un cortège de douleurs, d’oppressions et de tourments, tandis que leur départ n’est que l’abandon, après leurs crimes justifiés au nom d’une morale meurtrière, des pays dévastés et recroquevillés dans la peur.

Des grands cinéastes du réel, Christensen possède tout à la fois l’apparente candeur, l’esprit critique et militant, la capacité de relier le passé au présent, le sens aigu des stratégies formelles. Si l’on peut parler d’enquête documentaire à propos de La Sorcellerie à travers les âges, c’est donc à plusieurs niveaux qu’elle se situe. Mais c’est surtout lors de la dernière partie du film que cette dialectique se cristallise en pleine transparence. Avec le recours aux explications du médecin et la mise en images de quelques cas contemporains issus en droite ligne des travaux de Charcot, le cinéaste ramène posément son sujet, dans la sécheresse d’un cabinet de consultation, à sa dimension strictement psychiatrique. La perspicacité de l’anachronisme témoigne là encore d’un sens subtil du cinéma : si cette conclusion n’élucide pas à proprement parler les faits irrationnels qui la précèdent, elle les authentifie et confère au Diable de jadis — personnification d’un désir érotique frustré et éternellement culpabilisant — la même réalité qu’à l’actrice de naguère. "Pour un sorcier, dix mille sorcières", écrivait déjà Michelet. Il faut y voir la condition misérable faite à la femme au Moyen Âge et le reliquat de très anciens rites de fécondité. Qu’on l’affuble des haillons de la sorcière ou de la camisole de l’hystérique, le "sexe faible" est l’objet d’une semblable persécution à travers les siècles. La hargne de l’auteur est donc celle d’un humaniste qui tend à traiter par le grotesque les ravages de l’intolérance, du totalitarisme, de l’ignorance et de la superstition, en apportant sa pierre au grand édifice du progrès social et philosophique. Raison pour laquelle ce pamphlet météorique aux airs de sabbat païen conserve, aujourd’hui encore, toute sa modernité.


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Dernière modification par Thaddeus le 10 avr. 23, 16:07, modifié 1 fois.
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Re: Häxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par Demi-Lune »

Putain, 100 ans... ça nous rajeunit pas tout ça.
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Re: Häxan (Benjamin Christensen - 1922)

Message par Courleciel »

Pour les cheucheu parisien :uhuh: , projection d'une version inédite de Häxan, La Sorcellerie à travers les âges narrée par Philippe Noiret
Il s'agit d'une version sortie au Studio Logos à Paris en 1968.
Projection en copie 16 mm originale.
C'est le Mardi 21 novembre 2023 à 19h30 à la Fondation Pathé
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
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