L'excellent "Des souris et des hommes" mis à part non ?
A quand une sortie en blu ray du reste...
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
L'excellent "Des souris et des hommes" mis à part non ?
Très beau film, sujet intéressant sur les rapports père-fils et certains problèmes insolubles, sur la vieillesse.
Jeremy Fox a écrit : ↑28 déc. 22, 14:01 Ce soir, à la demande générale des Fox's Girls, ça devrait être Le Pirate de Minnelli pour la 5 ou 6ème fois depuis que j'ai le DVD. Peut-être enfin l'occasion d'écrire la chronique d'un film de plus de mon top 100.
Oui. Il faut se rabattre sur les bluray hispanique sans sstf….Addis-Abeba a écrit : ↑28 déc. 22, 14:53Jeremy Fox a écrit : ↑28 déc. 22, 14:01 Ce soir, à la demande générale des Fox's Girls, ça devrait être Le Pirate de Minnelli pour la 5 ou 6ème fois depuis que j'ai le DVD. Peut-être enfin l'occasion d'écrire la chronique d'un film de plus de mon top 100.
J'aimerai bien revoir certains de ses films en HD, comme aussi Brigadoon. J'ai revu il y a peu l'excellent Celui par qui le scandale arrive, Minelli est vraiment chez nous un des grands oubliés des sorties bluray. Warner oblige ...
Pas terrible ce February effectivement. Sauf que depuis, Oz Perkins (puisque tel est son nom) s'est largement rattrapé avec 2 excellents films à l'horreur insidieuse : le superbe I Am the Pretty Thing That Lives in the House (ne prête pas attention à sa mauvaise réputation absolument pas méritée) et le formellement incroyable tout en étant bien malaisant Hansel & Gretel.TheGentlemanBat a écrit : ↑27 déc. 22, 10:04 Verdict plutôt mitigé pour mon doublé d’hier soir February (aka The Blackcoat’s Daughter) / Goodnight Mommy version US. Sans doute pour se démarquer du tout-venant horrifique et se la jouer p’tit malin, le 1er long du fils d’Anthony Perkins fait le choix d’un récit à la structure et à la temporalité éclatées qui pendant presque 1H joue la carte du pseudo mystère, alignant dans une ambiance mortifère à souhait des scènes de dialogues débités mornement par une poignée de personnages qui ont 2 de tension, avec en fond sonore une BO aux textures électroniques cheloues censée nous vendre de la tension. Autant dire qu’on s’ennuie relativement ferme devant cet énième film de possession démoniaque dont je retiendrai finalement les quelques saillies sanguinolentes, bien frontales, dans la toute dernière demi heure (toujours eu un petit faible pour les têtes coupées) qui ont permis à ce February d’éviter in extremis de récolter une note en-dessous de la moyenne (ça sera un 5/10).
Vu sa relecture du conte des frères Grimm que le trailer m’avait sans doute pas mal survendu (les atours formels du film m’avaient en effet sacrément mis l’eau à la bouche) et même si de mémoire je me suis moins ennuyé devant, j’avoue ne pas avoir été spécialement conquis, à mon grand regret (je lui ai mis un 6 essentiellement à cause donc de sa facture visuelle, du score électro de Rob, top comme toujours, et probablement pour l’ambiance qui tranche avec les précédentes adaptations faites). Je prends note quand même pour son 2ème long, sait-on jamais…Flol a écrit : ↑28 déc. 22, 17:03Pas terrible ce February effectivement. Sauf que depuis, Oz Perkins (puisque tel est son nom) s'est largement rattrapé avec 2 excellents films à l'horreur insidieuse : le superbe I Am the Pretty Thing That Lives in the House (ne prête pas attention à sa mauvaise réputation absolument pas méritée) et le formellement incroyable tout en étant bien malaisant Hansel & Gretel.TheGentlemanBat a écrit : ↑27 déc. 22, 10:04 Verdict plutôt mitigé pour mon doublé d’hier soir February (aka The Blackcoat’s Daughter) / Goodnight Mommy version US. Sans doute pour se démarquer du tout-venant horrifique et se la jouer p’tit malin, le 1er long du fils d’Anthony Perkins fait le choix d’un récit à la structure et à la temporalité éclatées qui pendant presque 1H joue la carte du pseudo mystère, alignant dans une ambiance mortifère à souhait des scènes de dialogues débités mornement par une poignée de personnages qui ont 2 de tension, avec en fond sonore une BO aux textures électroniques cheloues censée nous vendre de la tension. Autant dire qu’on s’ennuie relativement ferme devant cet énième film de possession démoniaque dont je retiendrai finalement les quelques saillies sanguinolentes, bien frontales, dans la toute dernière demi heure (toujours eu un petit faible pour les têtes coupées) qui ont permis à ce February d’éviter in extremis de récolter une note en-dessous de la moyenne (ça sera un 5/10).
Résultat : le fiston Perkins fait partie des réalisateurs de genre que je suis dorénavant de très près.
Ah, dommage : tu auras manqué le placement de produit le plus discret de l'histoire des "films de zombies grand public"...
Ah zut, pas merci pour le rappelMosin-Nagant a écrit : ↑28 déc. 22, 22:43Ah, dommage : tu auras manqué le placement de produit le plus discret de l'histoire des "films de zombies grand public"...