Classement des sorties Cinéma/VOD/DTV 2022 [clos]

[Dale Cooper]

Occhiali Neri/Dark Glasses: 8/10 (un 7,5/10 en fait mais arrondi à 8/10 grâce à la dernière séquence et l''expérience du grand écran 14 mètres du Comoedia à Lyon )

Oui, c'est vrai que cette dernière séquence était étonnante, car pas "argentesque" du tout, mais très belle.

[mannhunter]

Occhiali Neri/Dark Glasses: 8/10 (un 7,5/10 en fait mais arrondi à 8/10 grâce à la dernière séquence et l''expérience du grand écran 14 mètres du Comoedia à Lyon )

Oui, c'est vrai que cette dernière séquence était étonnante, car pas "argentesque" du tout, mais très belle.

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La dernière image renvoie au dernier plan de "Phenomena", mais le ressenti l'émotion y sont différents, ici c' est très amer...Diana qui ne trouve pas sa place dans la foule/société indifférente. Un retour à la solitude contraint, résigné. Poignant.

[Karras]

Sous l'aile des anges (6/10)
Ambulance (3/10)
Tendre et saignant (5,5/10)

[nobody smith]

Alerte Rouge (Disney+) 8/10

[tchi-tcha]

M'aurait-on menti ? Il parait que le cinéma est mort, pourtant j'ai vu un joli film en salle :

Contes du hasard et autres fantaisies (Ryūsuke Hamaguchi) 7/10
(Quelques scories d'écriture - une mécanique questions/réponses par moments trop balisée, pour un film aussi léger dans sa forme que vertigineux dans ce que ses personnages révèlent d'eux-même au fil des dialogues, dans son troisième segment exemplaire en particulier.)

[Boubakar]

Tic et Tac, les rangers du risque : 7,5/10

[Alibabass]

Contes du hasard et autres fantaisies (Ryūsuke Hamaguchi) 7/10
(Quelques scories d'écriture - une mécanique questions/réponses par moments trop balisée, pour un film aussi léger dans sa forme que vertigineux dans ce que ses personnages révèlent d'eux-même au fil des dialogues, dans son troisième segment exemplaire en particulier.)

Tout est au service de la mise en scène, même l'utilisation du zoom avant dans le bar à la fin du premier segment fonctionne à la manière d'un Hong sang-soo du genre fiction/réalité ... mais ça manque de beuverie comme chez le dernier bordel ^^ .

[santiago]

Don Juan : 4,5/10

[Lohmann]

Don Juan 6/10

[Tina Quintero]

Frère et Sœur 3/10

[Boubakar]

Top Gun Maverick : 8/10

[poet77]

Don Juan: 5/10

[Jack Carter]

Coupez ! (Hazanavicius) : 6.5/10

[Alibabass]

Les crimes du futur (David Cronenberg) - 7,5/10

[tchi-tcha]

Oh et puis zut, on s'en fout des notes :

Top Gun Maverick (Joseph Kosinski) 8/10
(Version courte : P*TAIN C'EST VACHEMENT BIEN !!!! )

Version longue :

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Top Gun Maverick (Joseph Kosinski) 8/10

Ce qu'on retrouve dans cette suite tardive : tous les trucs nazes de Top Gun, à savoir...
- une romance naze,
- de la moto naze (SANS CASQUE, BORDEL ),
- des pilotes nazes avec des lunettes nazes, des nicknames nazes, et même une chemise naze assortie à une moustache naze,
- des hauts gradés burnés nazes,
- des couchers de soleil nazes,
- une intrigue militaire sommaire (et bien naze),
- une musique des années 80 super naze (un poil de cul moins "inspiré" que sur Dune, Hans Zimmer se fait plaisir quand même).

Ce qu'on trouve en plus :
- du fan service naze (tous les trucs nazes de Top Gun, donc),
- un trauma naze,
- un flash-back court (mais bien naze),
- un hommage posthume à Val Kilmer un peu embarrassant vu qu'il n'est pas mort,
- un questionnement sur la transmission surligné avec la finesse d'un bulldozer naze,
- une Jennifer Connelly qui vieillit bien et qui réussit à ne pas être naze, ni dans son rôle naze, ni sur la moto naze à Tom Cruise, ni pendant la virée en bateau naze qui sert à rien (bref elle vieillit bien),
- un portrait même pas en creux de sa méga-star Tom Cruise qui ne vieillit pas (il est scientologue donc immortel), leader charismatique et messianique (puisque scientologue) qui court parce qu'il est dans un film de Tom Cruise (et dans les films de Tom Cruise, Tom Cruise court), mais hanté par des doutes et des failles. Or Tom Cruise n'est jamais meilleur acteur que lorsque son personnage doute, et ça fait plaisir de le revoir douter. Ce portrait de la star qui questionne sa propre légende apporte un niveau de lecture bien plus passionnant que le passage de relais simpliste dont il est question dans l'histoire (et un passage de relais qui n'aura pas davantage lieu ici que dans Indiana Jones et mes Couilles de Cristal, ils sont gentils les jeunes mais faut pas pousser),
- des séquences aériennes sacrément plus spectaculaires et moins plombées par un patriotisme héroïque crétin que dans le premier.

Ce qui donne :
- un blockbuster fabriqué par des artisans respectueux de leur métier et de leur public.

Et P*TAIN C'EST VACHEMENT BIEN !!!!