Il y a un peu de ça chez Kinuyo Tanaka, qui était très nettement sous l'influence stylistique de Naruse, en tout cas dans les deux premiers.The Eye Of Doom a écrit : ↑11 avr. 22, 21:01 J’ai été impressionné dans ce film, comme dans les precedents, par la facon de filmer les personnages dans leur environnement, notamment domestique. Les plans sont nombreux où les gens vont et viennent, vivent,.. chez eux. Naruse filme ca avec une grande justesse et une simplicité touchante: on fait la cuisine, on mange, on attends, on s’emmerde, on fait son lit, on discute,…
C’est con dit comme ca mais il se degage un sentiment de reel et de vecu.
Mikio Naruse (1905-1969)
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Re: Mikio Naruse (1905-1969)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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