Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[-magik-]

Ce soir ça sera Ju-rei, la malédiction, un film de fantôme japonais. Ça n’a pas l’air bien terrible mais ça a l’avantage de durer seulement 01h15 (je me lève tôt demain, j’ai de la route à faire et une journée de formation bien reloue qui m’attend).

[Boubakar]

Mort ou vif de Sam Raimi, film que je n'ai pas du voir depuis près de 20 ans. On va voir comment il a vieilli...

[Jeremy Fox]

Numéro une de Tonie Marshall sur ocs en replay

[TheGentlemanBat]

Je reprends le visionnage de L'Autoroute de l'Enfer interrompu hier à cause d'un souci technique (d'ordinaire, je sens assez vite si un film va me plaire, là j'ai du mal à prévoir le verdict... À l'image de Ben Stiller, pas franchement à son avantage en cuistot de l'enfer qui fait cuire des oeufs sur un bout de trottoir, c'est vraiment space ).

[Dunn]

Black christmas !

[Torrente]

J'ai envie d'assassiner James Newton Howard à coups de Fugazi dans les tympans (comme les 50 premières secondes de Do you like me poussées à 11).

Sinon, j'espère que vous allez bien.




Épisode précédent :

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- Épisode 0

[cinephage]

Ce soir, exploration du cinéma africain subsaharien, avec Moolaadé, d'Ousmane Sembene (1990).

Bilan très positif, c'est un film fort, bien tourné, qui filme une communauté, ses valeurs et sa façon très brutale lorsque ces dernières sont remises en question. Très intéressant et marquant.

Pour changer radicalement de registre, on m'a prêté une copie d'Obsédé malgré lui, de Lucio Fulci, je pense que ça fera mon bonheur ce soir, ça me fera du bien de rire un peu...

[Invité1]

Hier, en fin d'aprèm', 2 amis sont passés chez moi et ont voulu me faire découvrir leur film de référence actuelle qui s'intitule En Passant Pécho. Et j'ai trouvé ça consternant
3/10

Puis hier soir, découverte en solo de 2 Kotcheff, Wake In Fright (1970) et Rambo (1982), que je n'avais pas encore vus. Le premier m'a mis une pure claque et la fin du second m'a beaucoup émue.
8.5/10 pour la bière, la sueur et le sang de Wake In Fright et 7/10 pour les larmes de Rambo.

Ce soir, ce sera la découverte de 2 Altman : 3 Femmes (1977) et The Last Show (2006).

Pour changer radicalement de registre, on m'a prêté une copie d'Obsédé malgré lui, de Lucio Fulci...

Pourras-tu faire un petit compte-rendu en retour, s'il te plaît ?... Je suis très curieuse de ce Fulci.

[Telmo]

WE vin et bières avec un ami et :

- Devil Story (il était une fois le diable)
- New York Ninja
- Champagne and Bullets
- Conquest (Lucio Fulci)

[harry]

Hier, en fin d'aprèm', 2 amis sont passés chez moi et ont voulu me faire découvrir leur film de référence actuelle qui s'intitule En Passant Pécho. Et j'ai trouvé ça consternant
3/10

Ils voulaient peu être faire passer un message?

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Je déconne. Pas taper...

Puis hier soir, découverte en solo de 2 Kotcheff, Wake In Fright (1970) et Rambo (1982), que je n'avais pas encore vus. Le premier m'a mis une pure claque et la fin du second m'a beaucoup émue.
8.5/10 pour la bière, la sueur et le sang de Wake In Fright et 7/10 pour les larmes de Rambo.

Rambo/First Blood ca reste une de mes ref des 80s (d'ailleurs ca me fait penser au top a faire...) par contre Wake in Fright, un poil déçu par rapport a la réputation qu'on lui donne, pleins de choses bien (acteurs, décor, sensation poisseuse qui s'en dégage, etc...) mais plus une curiosité a voir qu'un bijou oublié.
Peu être qu'on me l'a un peu trop vendu pour bien l'apprecier.

[Flol]

Hier, en fin d'aprèm', 2 amis sont passés chez moi et ont voulu me faire découvrir leur film de référence actuelle qui s'intitule En Passant Pécho. Et j'ai trouvé ça consternant
3/10

Ne leur conseille surtout pas de s'inscrire sur le forum, s'il-te-plaît.

[Invité1]

Peu être qu'on me l'a un peu trop vendu pour bien l'apprecier.

Ça, je le comprends tout à fait. D'ailleurs, c'est un peu ce qui s'est passé pour moi avec First Blood qu'on m'a survendu pendant des années et qui s'avère être un très bon film, mais pas un incontestable chef-d'œuvre à mes yeux. C'est peut-être dû au fait que le sujet du gars sans histoire qu'il ne faut pas trop titiller parce que surentraîné à être une war machine a été maintes fois repris par la suite (j'ignore d'ailleurs si First Blood est pionnier en la matière ou si il y a eu des précédents…).
Quoi qu'il en soit, j'ai préféré l'approche moins hollywoodienne de Wake In Fright avec ce séjour dans l'Outback et cette perdition aux confins de l'horreur humaine. Et puis à part dans Barfly et dans The Lighthouse, j'ai rarement vu des gens picoler autant à l'écran

Ne leur conseille surtout pas de s'inscrire sur le forum, s'il-te-plaît.

Je pense qu'ils s'ennuieraient beaucoup ici.

[harry]

C'est peut-être dû au fait que le sujet du gars sans histoire qu'il ne faut pas trop titiller parce que surentraîné à être une war machine a été maintes fois repris par la suite (j'ignore d'ailleurs si First Blood est pionnier en la matière ou si il y a eu des précédents…).

Doit bien y avoir des exemples qui rentrent la dedans, l'idée de gars qui déconnent avec la mauvaise personne c'est un pitch assez basique.
Sinon dans les inspirations plus ou moins reconnue de First Blood on cite souvent le Lonely are the Braves avec Kirk Douglas la filiation aurait été encore plus évidente si il avait gardé son rôle du Colonel Trautmann.

Quoi qu'il en soit, j'ai préféré l'approche moins hollywoodienne de Wake In Fright avec ce séjour dans l'Outback et cette perdition aux confins de l'horreur humaine. Et puis à part dans Barfly et dans The Lighthouse, j'ai rarement vu des gens picoler autant à l'écran

Des australiens quoi.
Oui bon... Ca marche aussi avec les anglais, écossais, gallois ou irlandais (c'est la St Patrick cette semaine en plus)

[Duane Jones]

Hier j'ai fini mon cycle Zatoichi, 25 films en tout. Très peu de déchets, seul Zatoichi contre le sabreur manchot est vraiment mauvais, le reste va du bon au très bon. La trame des films est répétitive mais ce fut un vrai plaisir de retrouver le sabreur manchot au fil de ses aventures. Certains épisodes sont de toute beauté, particulièrement ceux réalisés par Kenji Misumi. Découverte aussi d'un acteur hautement charismatique Shintaro Katsu, le maître d’œuvre de la saga, et réalisateur d'un étonnant 24ème film. Et bravo à Olivier Bitou pour ses critiques, un travail exceptionnel que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire. A présent j'aimerais bien voir la série et le dernier film de la saga datant de 89.
Ce soir je regarderai peut-être un doc sur le tournage de ce dernier film avant d'enchaîner sur un cinéma japonais plus récent, Memories of Matsuko de Tetsuya Nakashima.

[Alexandre Angel]

Très peu de déchets, seul Zatoichi contre le sabreur manchot est vraiment mauvais

C'est normal, le duel final dure une seconde à peine.