frédéric a écrit : ↑6 janv. 22, 19:13
Décès de Peter Bogdanovich réalisateur et critique à 82 ans ..
RIP Peter Bogdanovich
Comme le dit Jack, 2022 commence bien mal...
Triste nouvelle, pour ce grand cinéaste et passeur cinématographique. La dernière séance / The last picture show, La barbe à papa / Paper moon et La cible sont à ce jour mes préférés, mais je n'ai pas vu toute sa filmo.
J'espère que l'édition prochaine de Daisy Miller par Carlotta en blu-ray sera un bel hommage (d'autant que les échos sont très bons sur ce film que je n'ai jamais vu).
"Vouloir le bonheur, c’est déjà un peu le bonheur"
frédéric a écrit : ↑6 janv. 22, 19:13
Décès de Peter Bogdanovich réalisateur et critique à 82 ans ..
RIP Peter Bogdanovich
Comme le dit Jack, 2022 commence bien mal...
Triste nouvelle, pour ce grand cinéaste et passeur cinématographique. La dernière séance / The last picture show, La barbe à papa / Paper moon et La cible sont à ce jour mes préférés, mais je n'ai pas vu toute sa filmo.
J'espère que l'édition prochaine de Daisy Miller par Carlotta en blu-ray sera un bel hommage (d'autant que les échos sont très bons sur ce film que je n'ai jamais vu).
Il ne fait pas bon avoir un nom qui commence par Bogdano* en janvier 2022.
Je connais mal le cinéma de Bogda', mais j'avais adoré Saint Jack lors de son passage récent sur Arte (film "magnifique" pour faire un clin d'oeil au titre français).
J'ai également apprécié son charmant et vaudevillesque Broadway Therapy.
Mon premier souvenir du cinéaste, c'est sa caméo à la toute fin de Opening Night !
Ses films m'ont toujours un peu laissé comme un goût d'inachevé, excepté What's Up, Doc?, comédie burlesque sans prétention mais diablement efficace avec une Barbra Streisand intenable.
En revanche ses entretiens des grands maîtres hollywoodiens sont absolument passionnants et précieux.
RIP Grichka Bogdanovitch.
Triste d'apprendre la disparition de Peter Bogdanovich... Un réalisateur incontournable.
Qu'il repose en paix. Je vais me revoir "La Dernière Séance" dans les prochains jours, en guise d'hommage.
Pour l'anecdote, il a eu le bon goût d'incarner le Dr. Elliot Kupferberg dans la série "The Sopranos".
Et, en plus de faire des films qui ont compté, il savait aussi mener des entretiens passionnants :
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
On peut également trouver dans la collection Make my day! de Thoret le bonifié Nickelodeon.
Un nom important et méconnu à la fois. Une tronche de sosie de Droopy avec un soupçon de Bobby Cannavale (mais rétréci au lavage). L'incarnation de toute une cinéphilie à l'américaine et une filmo qui vaut le coup d'être revisitée.
Adieu
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Bon. Eh bien il est temps que je me programme enfin Saint Jack pour ce mois-ci.
Grande tristesse pour ce cinéaste/cinéphile que j'appréciais énormément, que ce soit pour ses grands classiques (Targets, The Last Picture Show, Paper Moon) que pour ses films plus méconnus (le merveilleux Daisy Miller, Noises Off et son tout dernier She's Funny That Way).
Et moi qui suis en plein revisionnage des Sopranos, ça me faisait toujours plaisir de le revoir en psy de la psy. Maintenant, ça va à chaque fois me faire un petit pincement au coeur.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Pour rejoindre la disparition de Peter Bogdanovich, celui-ci avait réalisé en 1997 la suite (télévisée) de Les anges aux poings serrés, où Sidney Poitier reprenait son rôle trente ans plus tard.
J'adore cette acteur, à la présence et au charisme hors du commun. Grand chez Ritt, dans Edge of the city ou Paris Blues, Impressionnant dans Dans la chaleur de la nuit bien sur, et dans tant d'autre film.