Classement des sorties VOD/DTV/Cinéma 2021 [clos]

[Sigur-Cinéma]

Don't look up (McKay) : 7/10

[El Dadal]

DON'T LOOK UP : 5/10

THE CARD COUNTER : 6/10

[Flol]

The Matrix Resurrections : 2/10
Prophétie de Flol réalisée.

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Et j'oubliais :
Let Them All Talk : 5/10
Au moins le titre n'est pas mensonger : ça parle effectivement beaucoup.
Au-delà du plaisir que l'on peut prendre à voir 3 grandes actrices dialoguer en mode à moitié improvisée, et au-delà de l'aspect "film promotionnel avec un Soderbergh qui s'est bien fait plaisir sur le Queen Mary II", j'avoue ne pas avoir bien saisi l'intérêt du truc.
Pas bien saisi non plus ce qu'est venu faire Soderbergh ici, dont la patte formelle reste tout de même assez minime.
Mais la photo est joliment chaleureuse et le score à la David Holmes signé Thomas Newman est cool comme tout (ça faisait longtemps qu'il ne m'avait pas enthousiasmé à ce point, celui-là). Et la relation entre Lucas Hedges et la très charmante Gemma Chan est assez réussie.
La traversée n'est donc pas foncièrement désagréable, mais ça reste anodin.

[Brody]

Dont look up : 7,5/10
Matrix resurrections : 3/10

[Wulfa]

Last Night in Soho, Edgar Wright : 6,5/10.

[Torrente]

DON'T LOOK UP : 5/10

Ah. Quand même !

[Karras]

Passion simple (4/10)
Julie en 12 chapitres (7/10)
De bas étage (4/10)

[ballantrae]

Les olympiades de J Audiard 7/10
Une forme très élégante ( bravo au chef op) pour un film tour à tour intrigant et agaçant, attachant et trop prévisible dans ses intentions... et un brin superficiel. La meilleure part du scénario revient je pense à L Mysius ( des personnages complexes, un certain goût pour le Surréalisme du quotidien) et la moins bonne à C Sciamma ( l'histoire du harcèlement , du site porno et du coming out lesbien cousu de fil blanc: du pur Sciamma !). Un peu trop mode selon moi et en plus il y a un côté cinéaste mûr qui s'immisce avec opportunisme dans la vie des "djeunes". Un film très inégal et un constat assez inquiétant-si tout cela est représentatif- sur l'absolue ipséité cynique qui est dans l'air du temps:les personnages (souvent à baffer) sont de purs consommateurs de sexe et d'affection quitte à faire passer autrui pour un simple objet jetable et comme le tout est bien habillé , cela ne prête pas à conséquence.

Madres paralelas de P almodovar 9/10
moins flamboyant formellement que Julieta ou Douleur et gloire mais assez puissant et mystérieux dans son ambition de lier l'intime et l'Histoire, cet opus m'a emporté et bouleversé à bien des moments.P Cruz est immense et Almodovar aussi.

[Spongebob]

Les olympiades de J Audiard 7/10
Une forme très élégante ( bravo au chef op) pour un film tour à tour intrigant et agaçant, attachant et trop prévisible dans ses intentions... et un brin superficiel. La meilleure part du scénario revient je pense à L Mysius ( des personnages complexes, un certain goût pour le Surréalisme du quotidien) et la moins bonne à C Sciamma ( l'histoire du harcèlement , du site porno et du coming out lesbien cousu de fil blanc: du pur Sciamma !). Un peu trop mode selon moi et en plus il y a un côté cinéaste mûr qui s'immisce avec opportunisme dans la vie des "djeunes". Un film très inégal et un constat assez inquiétant-si tout cela est représentatif- sur l'absolue ipséité cynique qui est dans l'air du temps:les personnages (souvent à baffer) sont de purs consommateurs de sexe et d'affection quitte à faire passer autrui pour un simple objet jetable et comme le tout est bien habillé , cela ne prête pas à conséquence.

Après avoir lu ton avis détaillé je trouve ta note bien élevée.

[Addis-Abeba]

-Don't look up:

Oui le film est imparfait, oui il est un peu trop gentillet, il manque de mordant, pas assez rentre dedans, superficiel, on peut tout dire.
Mais n'empêche impossible pour moi de ne pas le trouver sympathique malgré ses nombreuses imperfections, c'est d'abord un film d'acteurs, en dix secondes Caprio nous impressionne, M.Streep n'a pas était aussi bonne depuis longtemps, Cate Blanchett, Marc Rylance etc ...
On sourit plus que l'on rit, et alors ? Ca reste assez grinçant pour s'amuser de tout un tas de situations et de se demander ce qui est exagéré ou pas, chacun se fera la dessus sa propre opinion

6/10

[ballantrae]

Réponse à Spongebob:
Tu as certainement raison mais mon faible demeure toujours le plaisir formel.
Les Olympiades étant vraiment visuellement beau, doté d'idées de mise en scène parfois brillantes je peux excuser ses faiblesses scénaristiques ou structurelles.
Si le même scénario était filmé platement par Sciamma (dans le style par exemple de Petite maman) ou maladroitement dans celui du Kechiche de L'esquive le film aurait hérité direct d'un 4/10!
Allez tu as raison la forme n'excuse pas tout: 6/10!

Tiens au fait, j'ai au la "chance" durant les vacances de rattraper Petite maman et peux lui attribuer généreusement un 4/10.
Ennuyeux, maladroit, mal écrit et platement filmé: aussi vite vu ( au moins c'est court) qu'oublié! Et dire que c'est la même cinéaste qui avait atteint un équilibre magique avec Tomboy.
Je dois être un peu maso de voir cela après mon agacement face à Portrait (vu une première fois en salle avec un sentiment mitigé et revu sur le câble cette fois en ne voyant que les énormes défauts )mais compte tenu de l'aura médiatique de Sciamma, je tiens à avoir des éléments tangibles pour comprendre pourquoi je n'aime pas son cinéma après Tomboy: Bande de filles/ Portrait.../ Petite maman ce n'est pas du tout ma tasse de thé sur quelque plan que ce soit en fait!

[Tina Quintero]

Bonjour, j'ai noté une erreur dans le tableau concernant mes notes : vous avez attribué un 9/10 aux Olympiades de ma part alors qu'il va à Compartiment nº6, c'est-à-dire la case au-dessous, merci de corriger (je n'ai pas vu Les Olympiades).

[Karras]

Bonjour, j'ai noté une erreur dans le tableau concernant mes notes : vous avez attribué un 9/10 aux Olympiades de ma part alors qu'il va à Compartiment nº6, c'est-à-dire la case au-dessous, merci de corriger (je n'ai pas vu Les Olympiades).

OK, corrigé. Désolé.

[Wile E.]

Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City (2021) / Johannes Roberts _ 1
Ce n'est pas dans la photographie qu'il fallait investir tout le budget, mais dans un scénario, des dialogues et surtout, surtout, une direction d'acteurs.
Un caméscope aurait suffit (ça aurait été raccord avec le placement de l'intrigue en 1998).
S'ajoute à la médiocrité du résultat la malhonnêteté de prétendre respecter ce que l'on adapte.

[Jack Carter]

The Card Counter (Paul Schrader) : 7.5/10