MAURICE - James Ivory (1987) : 7.5/10 LES CONTES D'HOFFMANN - Max Neufeld (1923) : 6.5/10 AFTER DARK, MY SWEET - James Foley (1990) : 8.5/10 DAYS OF GLORY - Jacques Tourneur (1944) : 7/10 OUT OF THE PAST - Jacques Tourneur (1947) : 10/10 THOR IL CONQUISTATORE - Tonino Ricci (1983) : Teisha/10 TRAUMA - Dario Argento (1993) : 7/10 MIYAMOTO MUSASHI : LE DUEL DE L'AUBE - Tomu Uchida (1965) : 8/10 INNOCENT BLOOD - John Landis (1992) : 7/10 THE BATTLE OF THE RIVER PLATE - Michael Powell, Emeric Pressburger (1956) : 6.5/10 AUTUMN LEAVES - Robert Aldrich (1956) : 8/10 NAPOLÉON - Sacha Guitry (1955) : 6.5/10 FLOWERS OF SHANGHAI - Hsiao-Hsien Hou (1998) : 7/10 HEAVEN KNOWS WHAT - Benny Safdie, Josh Safdie (2014) : 5/10 ROUGE BAISER - Véra Belmont (1985) : 5.5/10 THE UNHOLY ROLLERS - Vernon Zimmerman (1972) : 7/10 ALLIED - Robert Zemeckis (2016) : 7.5/10 LE DERNIER MERCENAIRE - David Charhon (2021) : 3.5/10 LE VAGABOND BIEN-AIMÉ - Curtis Bernhardt (1936) : 6.5/10 CUORE - Duilio Coletti (1948) : 6.5/10 DESPERATE MEASURES - Barbet Schroeder (1998) : 7.5/10 GOD'S LITTLE ACRE - Anthony Mann (1958) : 8/10 FARGO - Joel Coen, Ethan Coen (1996) : 9/10 SERAPHIM FALLS - David Von Ancken (2006) : 8/10 TICKS - Tony Randel (1993) : 6.5/10 JOHNNY ORO - Sergio Corbucci (1966) : 7/10 KING DAVID - Bruce Beresford (1985) : 6.5/10 THE SAD SACK - George Marshall (1957) : 5/10 NORTH OF THE GREAT DIVIDE - William Witney (1950) : 6/10 FRANCESCO, GIULLARE DI DIO - Roberto Rossellini (1950) : 8/10 PARIS QUI DORT - René Clair (1925) : 8.5/10 OLLI MÄKI - Juho Kuosmanen (2016) : 8/10 SWEEPERS - Keoni Waxman (1998) : 3.5/10 LE FABULEUX DESTIN DE MADAME PETLET - Camille de Casabianca (1995) : 5/10 JENNIFER EIGHT - Bruce Robinson (1992) : 8.5/10 GHOST TOWN - David Koepp (2008) : 6.5/10 BUFFALO BILL, L'EROE DEL FAR WEST - Mario Costa (1964) : 6/10 THE IMPOSSIBLE - J.A. Bayona (2012) : 7/10 CASQUE BLEU - Gérard Jugnot (1994) : 7/10 HAMBURGER HILL - John Irvin (1987) : 8.5/10 LES MISÉRABLES - Claude Lelouch (1995) : 7.5/10 A MEZZANOTTE VA LA RONDA DEL PIACERE - Marcello Fondato (1975) : 7/10 CAPTAIN JOHN SMITH AND POCAHONTAS - Lew Landers (1953) : 6/10 SHOCKER - Wes Craven (1989) : 7.5/10 MY OWN PRIVATE IDAHO - Gus Van Sant (1991) : 8/10 LACCI - Daniele Luchetti (2020) : 7/10 FLAMING FEATHER - Ray Enright (1952) : 6.5/10 CYBORG : DEADLY MACHINE - Mathieu Cailliere (2020) : 5.5/10 C'EST ÇA L'AMOUR - Claire Burger (2018) : 6.5/10 MANNIX - Saison 04 (1970) : 8/10 LA BELLE ET LA BÊTE - Christophe Gans (2014) : 4/10 EASY A - Will Gluck (2010) : 7/10 CODE INCONNU - Michael Haneke (2000) : 6/10 GO FOR SISTERS - John Sayles (2013) : 8/10 BIENVENUE À BORD - Eric Lavaine (2011) : 6/10 RICHARD PRYOR : LIVE IN CONCERT - Jeff Margolis (1979) : 8/10 LE DOSSIER 51 - Michel Deville (1978) : 9/10 THE DEVIL'S OWN - Alan J. Pakula (1997) : 6.5/10 MCCARTNEY 3,2,1 - Zachary Heinzerling (2021) : 8/10 I SEE YOU - Adam Randall (2019) : 5/10 MISTER RADIO - Nunzio Malasomma (1924) : 7.5/10 LAST OF THE GOOD GUYS - Theodore J. Flicker (1978) : 7/10 THE ENDLESS - Justin Benson, Aaron Moorhead (2017) : 5/10 CELTIC PRIDE - Tom DeCerchio (1996) : 6/10 VOUS PIGEZ ? - Pierre Chevalier (1955) : 6.5/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
1/ Tel père, tel fils - Hirokazu Kore-eda (2013)
2/ Aline - Valérie Lemercier (2021)
3/ Le Train - Pierre Granier-Deferre (1973)
4/ Last Night in Soho - Edgar Wright (2021)
5/ Umberto D. - Vittorio De Sica (1952)
(Au passage, merci à Supfiction, de m'avoir éclairer sur Umberto D. à l'occasion de la sortie de Finch)
J'ai longtemps fait un refus d'obstacle devant Les 400 coups étant de manière générale aussi peu réceptifs aux films sur l'enfance qu'au jeu de Léaud. C'était un tort. Truffaut à l'intelligence de ne pas sacraliser son personnage, le filmant avec autant de compassion que de sévérité. La photo de Decaë est sublime, offrant une magnifique promenade parisienne. Les 20 dernières minutes (le commissariat, la prison, le centre d'observation, la fuite) sont magistrales. Un solide candidat au film du mois dès le 3 décembre.
Jack Carter a écrit : ↑3 déc. 21, 09:01
Il va devenir fan de Leaud
N'empêche ces dernières années, je l'avais plutôt bien aimé chez Kaurismaki (I hired a contract killer) et Skolimowski (Le Départ), donc on ne sait jamais. Si Truffaut continue de maintenir la bonne distance avec le personnage, ça peut être la bonne utilisation de l'acteur.
Elle est quand même puissante cette fin de Midnight Express !
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain