Bon là maintenant ça suffit
Ras le bol, je m'inscris à la prochaine session de formation au moteur de recherche du forum. Pourtant je l'avais bien ortografier dans la recherche avancée...
( merci )
17 pages sur Mullholland Drive, une page et demi sur La Mort aux Trousses.
Ces chiffres nous apprennent-ils quelque chose sur ce forum et les membres qui le fréquentent ?
Edit : Après un (rapide) survol des 17 pages de ce topic bien caché, je ne suis pas plus avancé. Pas seulement sur le délire interprétatif autour d'un film qui me semble assez simple (et ses "trous" sont très beaux comme ça, pas besoin de les remplir systématiquement de sens), j'ai toujours autant de mal à partager tout ce que ce film semble cristalliser pour ceux qui l'adulent.
Ne me reste plus qu'à le revoir pendant les fêtes de Noël... en gardant le DVD de Lost Highway à proximité au cas où.
Le Lynch bien-sûr, qui a longtemps été mon film culte. Je ne compte pas le nombre de fois que je l’ai vu en DVD ensuite. La dernière vision doit remonter à une 15aine d’années, et je serais curieux de le revoir en salle (la filmotheque du Quartier latin annonce une ressortie en décembre) pour savoir s’il dégage autant de fascination qu’avant (Twin Peaks the return étant passé par là).
Vu uniquement le Todd Solondz en salles, qui m’avait bien déçu d’ailleurs.
Sinon, j’ai bien du voir le Jet Li et le Michael Douglas mais aucun souvenir.
-magik- a écrit : ↑26 nov. 21, 11:07
Sinon, j’ai bien du voir le Jet Li et le Michael Douglas mais aucun souvenir.
Même chose, en rajoutant le Solondz de mon côté. Quelque chose me dit que le Douglas ne doit pas être désagréable à la revoyure, les premiers travaux de Gary Fleder étant plutôt bien troussés.
Vu "Pas un mot" un thriller assez lambda avec la regrettée Brittany Murphy, The One: plutot sympa dans mon souvenir.
Par contre j'ai zappé volontairement la contrefaçon de Secret of Blue Water par Disney.
Vu le Imamura qui était le premier film où je voyais un noir (mais vraiment tout noir) dans un film japonais (depuis, j'en ai trouvé dans Les Salauds dorment en paix de Kurosawa).
J'avais beaucoup aimé ce film ultime de la filmographie de son auteur, avec son extraordinaire personnage de "femme fontaine".
Vu également le Todd Solondz.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit : ↑26 nov. 21, 15:09
Vu le Imamura qui était le premier film où je voyais un noir (mais vraiment tout noir) dans un film japonais
Mais encore ?
Cela étant, en dehors du pauvre marathonien d'Imamura ou de l'exemple Kurosawa, je pense que tu oublies tous ceux qui incarnent G.I. ou M.P. dans les nombreux films couvrant la période d'occupation US...
D'ailleurs, il en est même au moins un, qui à l'instar de Don Kenny (blanc lui) a fait carrière là-bas uniquement: Chico Lourant, surtout connu pour avoir été l'un des deux protagonistes de Soleil noir mais qui a multiplié les apparitions dans les années 60/70 chez Kurahara, Suzuki etc.
Beule a écrit : ↑26 nov. 21, 15:55
Cela étant, en dehors du pauvre marathonien d'Imamura ou de l'exemple Kurosawa, je pense que tu oublies tous ceux qui incarnent G.I. ou M.P. dans les nombreux films couvrant la période d'occupation US...
Ah non, j'oublie pas, c'est toi qui connaît bien mieux que moi!
Mais oui, c'est logique qu'il y ait des GI.ou des MP comme dans certains films italiens. D'ailleurs, c'était le cas dans le Kurosawa.
ben oui, il faisait très africain (et pas plus ou moins métissé), et solitaire dans les rues désertes de la bourgade où ça se passe : c'était très étrange
EDIT El Dadal a raison : ce film a généré un grand moment du quizz
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Vu les deux premiers en vidéo, tout comme Goshu, et redécouvert le Harry Potter sur grand écran avec beaucoup de plaisir.
Bon, et la question que tout le monde se pose : il vaut quoi, le Liam Neeson ?
Jamais entendu parler de ce truc
(ou alors c'était tellement mauvais que mon cerveau l'a occulté)