Festival Lumière 2021

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Jack Carter
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

Restauration de Judex à partir du négatif camera, c’est tout bonnement :shock:
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tenia
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Re: Festival Lumière 2021

Message par tenia »

Flol a écrit : J'ai l'impression que chaque Q&A avec le public, ça donne ce genre de choses. Toutes celles auxquelles j'ai pu assister contenaient leur lot de questions totalement incompréhensibles ou surréalistes, génératrices de jolis malaises dans l'assistance.
J'ai déjà fait des Q&A "ciné" (en présence du réal ou l'équipe du film, etc) et avais jusqu'ici globalement évité les questions du genre. À la rigueur, à la masterclass de Coppola y a 2 ans, les questions étaient surtout méga-bateau, car Coppola avait voulu donner la parole à des jeunes, sauf qu'ils étaient quasi tous en école de ciné et en mode "Je suis en train de réaliser mon 1er court-métrage" et à 2 doigts de lui demander de le produire (ou juste de la thune). Mais c'étaient des questions simplement 100 fois entendues et dont les réponses étaient largement connues.

Hier, c'était juste incompréhensible et interminable, le genre de divagations ubuesques dont, quand elles se terminent, on ne sait même pas quelle était la question, voire s'il y en a une.

Les questions qui ont suivi ont heureusement été bien plus claires, parfois juste des pistes de réflexion plutôt que des questions, mais qui avaient le mérite de cibler clairement le point soulevé.

Mais les 3 1eres, on a cru à une mauvaise blague. Cela étant, en un sens, ça en dit long sur les marottes ultra spécifiques de certains. Je reste notamment sur ma faim de savoir à quoi pensait la femme qui parlait du langage des signes (mais dont on aura appris que son prénom signé veut dire Boucle d'oreilles - si elle passe par ici...) et si elle pensait en fait à juste foutre de la pub pour la langue des signes partout dans les éditions vidéo (même si les films n'ont rien à voir).

Enfin bref, ça fait prendre du recul, comme on dit.

EDIT : bon dieu, ça a été enregistré. Les questions commencent à 39 min 40. La 1ere donne donc :

"Quel est votre degré de sensibilité par rapport au contexte ? Je veux dire : quand on va au cinéma, c'est pour y voir un film, et en même temps on prend un rendez-vous avec un lieu, avec du temps. On n'est pas dérangés, on est dans le noir, on a un bon son voire un son totalement immersif. C'est pour ça qu'on va au cinéma : on y ressent une émotion complète. L'idée avec le DVD est bien de voir la consommation qu'on fait ailleurs et chez soi. Certes, sur un smartphone, on peut regarder une série dans un taxi, un avion, avec des écouteurs, etc, mais ce n'est pas ce dont on parle. Ce dont on parle, c'est bien un support physique, qui évolue dans le temps (la cassette, le DVD, le Blu-ray, l'UHD etc), mais aujourd'hui, on a de plus en plus d'écrans de télévision grands, on peut avoir en plus un système de son conséquent voire une chaine HiFi et ce qui permet de retrouver chez soi une consommation qui se rapproche de celle d'une salle de cinéma. Est-ce qu'il y a une viscosité aujourd'hui ou pas, en fonction du contexte du lieu de consommation, et l'évolution des produits grand public aujourd'hui sont-ils un facteur lié déterminant ou pas avec cette consommation du support réel(le ?) versus, euh, virtuel ?"

Vous avez 4h.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Mosin-Nagant »

Flol a écrit : 11 oct. 21, 14:57(la seconde vidéo est incroyable)
"Détec Returns", c'est court mais ça fait toujours plaisir (et fin du hors sujet, promis) :

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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

tenia a écrit : 11 oct. 21, 16:48

EDIT : bon dieu, ça a été enregistré. Les questions commencent à 39 min 40. La 1ere donne donc :

"Quel est votre degré de sensibilité par rapport au contexte ? Je veux dire : quand on va au cinéma, c'est pour y voir un film, et en même temps on prend un rendez-vous avec un lieu, avec du temps. On n'est pas dérangés, on est dans le noir, on a un bon son voire un son totalement immersif. C'est pour ça qu'on va au cinéma : on y ressent une émotion complète. L'idée avec le DVD est bien de voir la consommation qu'on fait ailleurs et chez soi. Certes, sur un smartphone, on peut regarder une série dans un taxi, un avion, avec des écouteurs, etc, mais ce n'est pas ce dont on parle. Ce dont on parle, c'est bien un support physique, qui évolue dans le temps (la cassette, le DVD, le Blu-ray, l'UHD etc), mais aujourd'hui, on a de plus en plus d'écrans de télévision grands, on peut avoir en plus un système de son conséquent voire une chaine HiFi et ce qui permet de retrouver chez soi une consommation qui se rapproche de celle d'une salle de cinéma. Est-ce qu'il y a une viscosité aujourd'hui ou pas, en fonction du contexte du lieu de consommation, et l'évolution des produits grand public aujourd'hui sont-ils un facteur lié déterminant ou pas avec cette consommation du support réel(le ?) versus, euh, virtuel ?"

Vous avez 4h.
:lol:

Fallait voir la tete des editeurs, à ce moment là (du genre :shock: ) :mrgreen:
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Flol »

Mosin-Nagant a écrit : 12 oct. 21, 01:55 "Détec Returns", c'est court mais ça fait toujours plaisir (et fin du hors sujet, promis) :

Tout simplement : merci.
Fin du HS.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

J'aurai vu l'ensemble des films que je m'etais programmé sauf La Rue chaude (fatigue). De meme, je n'ai pas noté La Passagere (Munk) pour cause de dodo pendant la projection, et Judex (dont je n'ai vu que le prologue et les 2 premiers episodes)

notation des films vus (en rouge : revus)

La Divine croisiere (Julien Duvivier, 1929) 8.5/10

The Awful truth...Cette sacrée verité (Leo McCarey, 1937) 8/10
Jofroi (Marcel Pagnol, 1933) 8/10
El...Tourments (Luis Bunuel, 1953) 8/10

La Fille du diable (Henri Decoin, 1946) 7.5/10
Tsuki wa noborinu...La Lune s'est levée (Kinuyo Tanaka, 1955) 7.5/10
Chibusa yo eien nare...Maternité eternelle (Kinuyo Tanaka, 1955) 7.5/10
Onna bakari no yoru...La Nuit des femmes (Kinuyo Tanaka, 1961) 7.5/10
Koibumi...Lettre d'amour (Kinuyo Tanaka, 1953) 7.5/10
Sur...Le Sud (Fernando Solanas, 1988) 7.5/10
The Three Musketeers...Les Trois Mousquetaires (Fred Niblo, 1921) 7.5/10

Passione d'amore...Passion d'amour (Ettore Scola, 1981) 7/10
Ogin-sama...Mademoiselle Ogin (Kinuyo Tanaka, 1962) 7/10
Ariane...Ariane, jeune fille russe version allemande (Paul Czinner, 1931) 7/10

Meurtre à Montmartre (Gilles Grangier, 1957) 6.5/10
Martin Roumagnac (Georges Lacombe, 1946) 6.5/10
Ljubavni slucaj ili tragedija sluzbenice P.T.T....Une Affaire de coeur : la tragedie d'une employée des P.T.T. (Dusan Makavejev, 1967) 6.5/10
Visages de femmes (Desiré Ecaré, 1985) 6.5/10

Variety (Bette Gordon, 1983) 6/10
Casanova (Alexandre Volkoff, 1927) 6/10
Ruten no ohi...La Princesse errante (Kinuyo Tanaka, 1960) 6/10
Cry Macho (Clint Eastwood, 2021) 6/10

La Vierge du Rhin (Gilles Grangier, 1953) 5.5/10
L'Annonce faite à Marie (Alain Cuny, 1991) 5.5/10

Esa pareja feliz...Ce couple heureux (Luis Garcia Berlanga & Juan Antonio Bardem, 1953) 5/10
Rio Escondido...Rio Escondido, ville d'enfer (Emilio Fernandez, 1948) 5/10
Jin shang tian hua...Pour une vie plus belle (Fangqian Chen & Tian Xie, 1962) 5/10

Le Lis de mer (Jacqueline Audry, 1970) 3.5/10
Fényes szelek...Ah! ça ira (Miklos Jancso, 1969) 3.5/10

Train d'enfer (Gilles Grangier, 1965) 1/10
Dernière modification par Jack Carter le 18 oct. 21, 16:21, modifié 2 fois.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par zemat »

Sacré programme !
Il t'a fait quoi le Grangier pour mériter 1/10 ?
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

zemat a écrit : 18 oct. 21, 16:20 Sacré programme !
Il t'a fait quoi le Grangier pour mériter 1/10 ?
Il est juste nul.
Du cinema de papa qui a terriblement vieilli.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par zemat »

De mon côté j'ai fait quasiment tout mon programme (sauf le Campion pour lequel je n'avais pas de place, avant d'en avoir une dans l'après-midi mais trop tard pour changer mes plans), auquel j'ai ajouté 2 films le jeudi en lieu et place de la présentation du line-up des cataloguistes (et j'ai bien fait vu ce que j'ai vu en replay ce matin).

Donc :

LE SANG A LA TETE (Gilles Grangier) : 7/10
Découverte de cette 2ème collaboration Gabin/Grangier/Audiard, un drame familial rondement mené où une poignée de saillies verbales d’Audiard font mouche.

GAS-OIL (Gilles Grangier) : 5,5/10
2h plus tard j’ai enchaîné avec leur première collaboration, hélas moins folichonne et pas très passionnante.

THE LOST DAUGHTER (Maggie Gyllenhaal / disponible sur Netflix fin décembre) : 7/10
J’ai hélas loupé la présentation de Maggie Gyllenhaal (sorti 5 min trop tard du film précédent), mais sa première réalisation est un très joli portrait de femme sur 2 époques, superbement jouée par Jessie Buckley et Olivia Colman. La réalisation est toute en finesse et le scénario (adapté d’un roman de l’auteur de « L’amie prodigieuse ») est assez surprenant pour qu’on ne voit pas passer les 2h, sans savoir où le film nous mènera.

AU DELÀ DES GRILLES (René Clément) : 6/10
Fraîchement restauré, l’aspect documentaire sur la ville de Gènes après guerre est saisissant, avec certains des habitants vivant encore dans des décombres 3-4 ans après la fin de la guerre. Un bémol au projectionniste qui a oublié d’activer la piste de STFR sur la dizaine de minutes totalement en italien.

CASSER LA BARAQUE (Nicolas Billon) : 7/10
Très bon documentaire sur les blockbusters US des 80’s/90’s, à voir début 2022 sur OCS.

FILLE DU DIABLE (Henri Decoin) : 7/10
Encore un film restauré cette année, très bonne découverte tant au niveau de l‘interprétation (j’ai cru reconnaître une jeune Alice Sapritch mais pas du tout, c’était Andrée Clément disparue à 35 ans de la même maladie subie par son personnage) que de son scénario à la fois original et très plaisant, avec son mélange d’usurpation d’identité par un truand, le chantage réalisé par le médecin l’ayant soigné, et le duos de jeunes désœuvrés. L’ouverture, avec sa scène de fusillades, est assez impressionnante.

INFERNAL AFFAIRS (Andrew Lau & Alan Mak) : 8/10
Toujours aussi sec et nerveux, sans gras face à la version de Scorsese. Petit bémol sur l’épilogue que j’avais oublié et qui semble avoir été ajouté au dernier moment afin de satisfaire la morale. La restauration est OK sans être prodigieuse.

LA MORT DE BELLE (Edouard Molinaro) : 7,5/10
Découverte de ce Molinaro « première époque » (comme pour le très bon « Des Femmes Disparaissent » découvert en 2019), un thriller qui démarre très sagement sous l’angle d’une enquête policière avant que celle-ci ne dérape et que le dernier tiers du film change totalement de rythme et de braquet jusqu’à son excellent final. Belle découverte de cette restauration toute fraîche.

JACQUES TATI - TOMBE DE LA LUNE (Jean-Baptiste Péretié) : 7,5/10
Un excellent doc tout en archives et extraits sur la vie et l’œuvre de Tati, à la fois drôle et émouvant. Les extraits parsemant le doc m’ont même donné envie de me relancer dans le visionnage de ses films après les avoir fait découvrir à mon fils.

CLINT EASTWOOD - L'HERITAGE CINEMATOGRAPHIQUE (Gary Leva) : 1/10
Ce « documentaire » constitué de 9 segments de 15 min, chacun consacré à un thème précis, est totalement insupportable... Dans le style « comment faire du neuf avec du vieux, c’est un mix de différents making-of promos auxquels sont ajoutés qq interviews plus récentes d’interprètes de ses films et de Spielberg & Scorsese. Ça dure 2h15 et dès le second segment je n’en pouvais plus... D’ailleurs pas mal de personnes se sont barrées dans la salle.

WALK ON THE WILD SIDE / LA RUE CHAUDE (Edward Dmytryk) : 6,5/10
Aussi fraîchement restauré (il sort en BR chez Wild Side dans un mois), une très bonne découverte sur un texan tentant de retrouver son amour de jeunesse et qui la retrouve dans une maison close à la Nouvelle Orléans. C’est impeccablement joué, Jane Fonda n’a qu’un second rôle mais elle irradie chaque seconde de présence.

125 RUE MONTMARTRE (Gilles Grangier) : 7,5/10
Dernier Gilles Grangier de cette semaine, et ce fut le meilleur des 3 !! Un superbe polar très rondement mené, n’oubliant pas les touches d’humour dans les dialogues d’Audiard, et au casting parfait.

Un point qui m’a beaucoup fait sourire toute cette semaine : sur tous les films français visionnés, il n’y en a pas un seul où je n’ai pas retrouvé des interprètes jouant dans au moins 2 films.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

zemat a écrit : 18 oct. 21, 16:36

WALK ON THE WILD SIDE / LA RUE CHAUDE (Edward Dmytryk) : 6,5/10
Aussi fraîchement restauré (il sort en BR chez Wild Side dans un mois), une très bonne découverte sur un texan tentant de retrouver son amour de jeunesse et qui la retrouve dans une maison close à la Nouvelle Orléans. C’est impeccablement joué, Jane Fonda n’a qu’un second rôle mais elle irradie chaque seconde de présence.
Je vais essayer de le voir sur TCM ou dans le Best-of du Festival à l'Institut Lumiere vendredi.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par tenia »

Perso, j'ai trouvé La rue chaude ultra mollasson (c'est d'ailleurs un des rares films devant lequel j'ai piqué un peu du nez). Quasiment 2h sans aucun rythme, pour un mic-mac amoureux qui a bien du mal à déployer la moindre tension.
Le hasard a fait que mon voisin de siège le lendemain matin l'avait vu aussi et m'a dit la même chose : qu'est-ce que c'est mou ! C'est dommage car aux premiers abords, ça démarre plutôt bien mais s'enlise trop rapidement.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jeremy Fox »

tenia a écrit : 18 oct. 21, 18:03 Perso, j'ai trouvé La rue chaude ultra mollasson (c'est d'ailleurs un des rares films devant lequel j'ai piqué un peu du nez). Quasiment 2h sans aucun rythme, pour un mic-mac amoureux qui a bien du mal à déployer la moindre tension.
Le hasard a fait que mon voisin de siège le lendemain matin l'avait vu aussi et m'a dit la même chose : qu'est-ce que c'est mou ! C'est dommage car aux premiers abords, ça démarre plutôt bien mais s'enlise trop rapidement.
Oui, j'ai trouvé ce film moi aussi très moyen hormis l'interprétation magistrale de Capucine. Le premier quart d'heure avec Jane Fonda était pourtant très prometteur.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par tenia »

Oui, le prologue extérieur est prometteur, démarre assez bien, sauf que finalement, d'une part les personnages entrent et sortent du récit un peu à la va-vite mais en plus, l'intrigue parait vraiment diluée dans un film 30 minutes trop long.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

quelques dates de sorties salles pour les films presenté lors du recent Festival Lumiere

Une affaire de cœur : La Tragédie d'une employée des P.T.T. :arrow: mai 2022 (Malavida)
Sicilia ! :arrow: ressortie en salles du double programme avec le court métrage Où git votre sourire enfoui ? le 9 février 2022 (Survivance)
Variety :arrow: 17novemvre 2021 (Films du Camelia)
Visages de femmes :arrow: 9 fevrier 2022 (La Traverse)
Passion d'amour :arrow: prochainement (Les Acacias)
Le Grand silence :arrow: prochainement (Les Acacias)
Deux sous d'espoir :arrow: prochainement (Films du Camelia)
L'Annonce faite à Marie :arrow: Ressortie en salles et en vidéo 2022 (Potemkine)
Solo :arrow: Ressortie en salles au premier semestre 2022 dans le cadre d’une rétrospective Jean-Pierre Mocky (Les Acacias)
Au-delà des grilles :arrow: Ressortie en salles prochainement (SND)
Martin Roumagnac :arrow: Ressortie en salles en janvier 2022 (Films du jeudi)
La Fille du diable :arrow: Ressortie en salles au premier semestre 2022 (Pathe)
La Loi du Nord :arrow: Ressortie en salle prochainement (Studio Canal)
Les Aventures d'Antoine Doinel :arrow: Ressorties en salles et en vidéo en décembre 2021 (Carlotta)
Dark Water/Audition/Ring :arrow: Ressortie en salles de la trilogie J-Horror en mars 2022 (La Rabbia)
Trilogie Infernal Affairs :arrow: Ressortie le 16 mars 2022 (La Rabbia)
6 films de Kinuyo Tanaka :arrow: Sortie en salles par Carlotta Films de la rétrospective Kinuyo Tanaka en avril 2022.
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Re: Festival Lumière 2021

Message par Jack Carter »

Jack Carter a écrit : 1 nov. 21, 09:25 quelques dates de sorties salles pour les films presenté lors du recent Festival Lumiere
6 films de Kinuyo Tanaka :arrow: Sortie en salles par Carlotta Films de la rétrospective Kinuyo Tanaka en avril 2022.
Face à l'énorme succès du lancement à Lyon de la Rétrospective TANAKA, réalisatrice en 6 films, la sortie en salles, prévue initialement au 13 Avril, est avancée au 16 Février.
Impatiente depuis des décennies, inédit en France, on ne fait pas plus attendre TANAKA !


source : facebook de Carlotta
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