Et évidemment il n'est pas dans le replay.
Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
ça doit repasser, pas d'inquietude.
edit : lundi prochain,14h55 (ou 15h30
)
edit : lundi prochain,14h55 (ou 15h30


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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Merci. Je tâcherai de m'organiser un peu mieux. 

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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
... mais ayant décidé aussi de ne plus perdre de temps à écrire sur des films que je n'aime pas...Jeremy Fox wrote: ↑18 Nov 20, 16:30 Mon enregistrement s'étant bien passé, la copie étant propre et les sous titres français présents... ça faisait un moment mais je vais pouvoir prochainement rajouter à cette première partie le western suivant actuellement diffusé sur Paramount Channel. Merci à Jack Carter de m'y avoir fait penser.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949

Edit : 2/10 !

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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Je l'ai trouvé mauvais et surtout extrêmement ennuyeux tout du long
Les situations de départ et les personnages sont certes originaux mais le scénario est quand même un peu "couillon" et la mise en scène est constamment terne et laborieuse à mon humble avis.

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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Pas revu depuis longtemps (vu une fois il y a env. 7/8 ans) mais oui, surement qu'en ce qui concerne la mise en scène, Springsteen a du être parfois plus inspiré (pour Le collier de fer et l'autre Audie, par exemple) mais même si chez toi, il n'y a pas de prime à l'originalité du sujet, je te trouve difficile pour le coup.
Comme c’est parti, à faire ainsi la fine bouche, le prochain ajout va survenir en 2027 et tes beaux parcours vont tomber dans les oubliettes du forum mais c’est toi qui l'auras voulu
Comme c’est parti, à faire ainsi la fine bouche, le prochain ajout va survenir en 2027 et tes beaux parcours vont tomber dans les oubliettes du forum mais c’est toi qui l'auras voulu

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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Je suis satisfait de ce que j'ai fait : 500 films dont 95% des classiques du genre sur cette période chroniquée, ça me convient. Si ça s'arrête là, ce n'est pas très grave.
Plus envie de perdre du temps à critiquer négativement un film ; je préfère me réserver pour des coups de coeur. Moi aussi en arrive à un âge où je me dis qu'il faut que je consacre le maximum de mon temps à prendre du plaisir.
La prime à l'originalité du sujet ? Je l'ai pourtant noté mais les bonnes intentions ne font pas forcément les bons films. C'est bien connu et ça se démontre encore ici.

La prime à l'originalité du sujet ? Je l'ai pourtant noté mais les bonnes intentions ne font pas forcément les bons films. C'est bien connu et ça se démontre encore ici.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Merci à toi. Ceci dit, si d'autres belles surprises venaient à sortir sur galette numérique (comme Singing Guns qui passe en ce moment sur Paramount Channel) ou si l'envie me prenais de chroniquer certains autres coups de cœur, je me ferais un plaisir de compléter ce parcours mais sans chercher l'exhaustivité. J'en ai fini de "descendre" un film ; ça ne m'a d'ailleurs jamais vraiment intéressé de devoir le faire. 

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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Moi qui suis bon public je trouve souvent plaisir à voir des westerns parfois chroniqués comme médiocre voir mauvais....
J'ai découvert singing guns également j'ai apprécié
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Malgré l'acteur principal


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Re: Le Western américain : Parcours chronologique I 1930-1949
Vu Four Faces West (3.000 dollars mort ou vif) d'Alfred E.Green) et c'était une jolie découverte que ce western sans aucun coup de feu, au ton très doux, plutôt bien mis en scène et très bien photographié.
Comme Bertrand Tavernier le dit dans les bonus de l'édition Sidonis, j'ai également pensé
Lors des scènes suivantes, notre héros va rencontrer une jeune infirmière et un joueur professionnel, qui a tout
Toute la dernière partie est consacrée à la fuite du héros et s'avère très prenante, avec son lot d'images insolites
Comme Bertrand Tavernier le dit dans les bonus de l'édition Sidonis, j'ai également pensé
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Lors des scènes suivantes, notre héros va rencontrer une jeune infirmière et un joueur professionnel, qui a tout
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« Better a life like a falling star, brief and bright across the dark, than the long, long waiting of the immortals, loveless and cheerlessly wise » - The Broken Sword - Poul Anderson
« Que sommes nous, tous autant que nous sommes, sinon des spectres disparaissant dans la nuit ?» - Le Crépuscule du Dieu Gris - R.E. Howard
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Re: Dodge City
Revu aujourd'hui et encore plus apprécié malgré une écriture qui n'est pas sans défauts. Mais concernant la vigueur et le rythme, c'est absolument ahurissant et notament cette séquence de bagarre homérique qui à mon avis n'a ensuite jamais été dépassée.Jeremy Fox wrote: ↑10 Apr 10, 14:38
Les Conquérants (Dodge City, 1939) de Michael Curtiz
WARNER
Cette fresque historique tapageuse aux innombrables péripéties est caractérisée avant tout par une remarquable vigueur de la mise en scène qui nous en met littéralement plein la vue. La séquence de la rixe homérique déclenchée dans le Saloon après que les ex-confédérés aient provoqués les Yankees présents est tout simplement phénoménale, dynamiquement montée, parfaitement rythmée. Rarement nous avions vu une telle débauche de cascades et de carnage ; moment excessivement jouissif !
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Re: Dodge City
Tu ne serais pas en train de refréquenter le coffret Warner Erroll Flynn, toi, par hasard ?Jeremy Fox wrote: ↑25 Sep 21, 13:05Revu aujourd'hui et encore plus apprécié malgré une écriture qui n'est pas sans défauts. Mais concernant la vigueur et le rythme, c'est absolument ahurissant et notament cette séquence de bagarre homérique qui à mon avis n'a ensuite jamais été dépassée.Jeremy Fox wrote: ↑10 Apr 10, 14:38
Les Conquérants (Dodge City, 1939) de Michael Curtiz
WARNER
Cette fresque historique tapageuse aux innombrables péripéties est caractérisée avant tout par une remarquable vigueur de la mise en scène qui nous en met littéralement plein la vue. La séquence de la rixe homérique déclenchée dans le Saloon après que les ex-confédérés aient provoqués les Yankees présents est tout simplement phénoménale, dynamiquement montée, parfaitement rythmée. Rarement nous avions vu une telle débauche de cascades et de carnage ; moment excessivement jouissif !
(coffret que j'adore, par ailleurs, et que je regarde toujours du coin de l’œil)
Last edited by Alexandre Angel on 25 Sep 21, 13:14, edited 1 time in total.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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