vivaldi21 wrote: ↑4 Mar 21, 13:07 J’ai eu hier la Direction Vidéo de Pathé au téléphone. Le paysage s’éclaircit. Les infos ici. https://bit.ly/Procedure-Pathe-2
Après la lecture de ces 2 articles (intéressants), je m'interroge.Xav83 wrote: ↑4 Mar 21, 19:36 Nous avions été contactés par la franchise Easy Cash il y a une dizaine de jours, ceux-ci ayant répondu à notre appel et étant intéressés par une collaboration. J''ai donc pu être en entretien hier (aussi) avec la direction des opérations du groupe et la personne en charge des formations, voici ce qu'il en ressort, tout est consigné dans l'article, CR:
https://bit.ly/Easy-Cash-1
Je suis désolé à l'avance, si mon intervention est mal prise, ce n'est pas mon intention. Il s'agit vraiment d'une interrogation sincère, en plus d'un avis tranché (c'est moi, c'est normal

D'un côté, un éditeur nous explique très justement que l'important n'est pas l'EAN mais le code IFPI puisqu'il existe des éditions avec 2 pressages différents partageant le même EAN.
Et de l'autre, on me dit que dans les magasins où je pourrais revendre mes exemplaires (pour X raisons), ils ne seraient pas repris à cause justement de cet EAN quand bien même le disque à l'intérieur serait un nouveau pressage sain avec un code IFPI différent.
C'est moi ou j'ai mal compris ? Parce que j'avoue, j'ai des suées, là.
On marche sur la tête. En cherchant à bien faire, pour une grosse société spécialisée dans le marché de l'occasion qui, la pauvre, s'est faite berner par quelques consommateurs mécontents (... de s'être fait berner par une encore plus grosse société... l'ironie !), on met encore plus de bâtons dans les roues du dit consommateur. C'est toujours la même chanson.
ATTENTION, je ne défendrais jamais le malhonnête qui revend un Blu-ray qu'il sait pertinemment défectueux. Je comprends son point de vue mais je ne l'excuse pas et je ne le partage pas.
Quand j'ai revendu mon exemplaire de Old Boy, il avait été échangé, le nouveau pressage était sain, vérifié, visionné en entier, mais l'EAN était le même que le pressage "tagué" puisqu'on ne m'avait pas échangé l'emballage. Il en va de même pour mon exemplaire de City of life and death (et ce n'est pas faute d'avoir dit combien je trouvais ça pénible) ou pour mon The myth dont la seule différence est la petite pastille bleue collée sur le boîtier.
Tout ça pour dire que, de mon point de vue de consommateur/client lambda, taguer les EAN est une fausse bonne idée, une solution bâtarde, qui ne me paraît pas satisfaisante. Et ce sont toujours les mêmes qui se font avoir au final.