Commentaires à propos de votre film du mois
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
-
- Assistant opérateur
- Messages : 2366
- Inscription : 10 mai 03, 10:20
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en novembre
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait
L'amant double (François Ozon, 2017) 0
Une jeune femme fragile (Marine Vacth) découvre que son psychothérapeute (Jérémie Renier) a un jumeau, qu'elle rencontre. Un film bancal et au final incompréhensible avec des confusions d'identités, des traumas, du sexe et beaucoup de circonvolutions qui m'ont perdu. Le sujet - la gémellité psychotique - ayant été traité une fois pour toutes avec le génial Faux-semblants de Cronenberg, la comparaison est implacable. BR FR
Cats (Tom Hooper, 2019) 0
A Londres, une tribu de chats recueille une jeune chatte esseulée. Le musical d'Andrew Lloyd Webber - que je n'ai pas vu - passe très mal l'épreuve de l'adaptation avec une mise-en-scène à esbrouffe mais désespérément vide sur des chansons médiocres et des CGI affreux et omniprésents. Le plus intéressant est l'hybridation des chats-humains, visuellement obscène. Et le final avec Judi Dench est vraiment chouette. BR FR
The Crown, Saison 4 (Peter Morgan, 2020) ***
Les Windsor affrontent les Eighties. L'irruption de Diana et de Thatcher forment les deux conflits de la 4e saison de la formidable série. Découvrir par la fiction les coulisses d'événements dont se souviennent ceux qui en ont l'âge est un délice irrésistible. La famille royale y est un monstre à plusieurs têtes et Diana le révoltant sacrifice. Le casting est immense mais c'est Gillian Anderson qui emporte tout en géniale incarnation de la Dame de Fer. Netflix
Incantations / Hagazussa (Lukas Feigelfeld, 2017) *
Dans les hauts-pâturages autrichiens du 15e siècle, une fille-mère isolée accusée d'être fille de sorcière pète un plomb. Je ne mets pas 0 grâce à la magnifique photographie qui sublime les forêts et les alpages. Aleksandra Cwen est très bien dans un rôle discrètement hystérique mais l'étirement affecté des plans et des silences tourne vite au système et fatigue. Il y avait tout pour un excellent film, les choix hautains ne l'ont pas permis. BR UK
Le doulos (Jean-Pierre Melville, 1962) **
Un informateur de la police tente d'aider un ami truand suite au meurtre que celui-ci a commis. L'ami doute de sa sincérité. Nous aussi puisque le film est un essai sur les apparences et les voies du destin. L'histoire alambiquée m'a un peu perdu et ennuyé dans ses développements mais la mise en scène sèche dans son artifice et la photographie de Film Noir sont admirables. Comme le sont Jean-Paul Belmondo et Serge Reggiani. BR FR
Daniel isn't real (Adam Egypt Mortimer, 2019) *
Un jeune homme qui s'était inventé un ami imaginaire dans l'enfance le voit revenir en force. Pas facile d'aborder la schizophrénie au cinéma. Le film s'y essaye avec les moyens du bord et hésite entre le thriller psychologique et l'horror sans convaincre malgré le bon sujet de départ et des idées intéressantes. Le jeu incertain de Miles Robbins (fils de Tim Robbins et Susan Sarandon) et de Patrick Schwarzenegger n'aide pas. BR UK
Dans les mailles du filet / The system (Michael Winner, 1964) **
Dans une station balnéaire anglaise, un groupe de potes menés par un jeune macho passent l'été à séduire des vacancières pour une nuit. Loin d'être une comédie, un film désabusé sur la tentation et la résistance du passage à l'âge adulte. Mi-studio, mi-extérieurs, il a parfois le feeling de la Nouvelle Vague, notamment dans son traitement des femmes, dévictimisées. Oliver Reed, à 25 ans, est d'un charisme animal stupéfiant. BR UK
Pot-Bouille (Julien Duvivier, 1957) *** Mon film du mois
Dans le Paris du Second Empire, le provincial Octave Mouret fait son trou en baisant les femmes de son immeuble. Une formidable adaptation du roman de Zola à la mise-en-scène fluide et dynamique, portée par un casting éblouissant (Gérard Philipe génial, Danielle Darrieux, Dany Carrel, Jane Marken épatante...) et des dialogues brillants de drôlerie caustique. Tout y tourne autour du sexe avec un culot sublimement désinvolte. BR FR
Harpoon (Rob Grant, 2019) 0
Deux amis d'enfance et la copine de l'un d'eux vont faire un tour en mer pour tenter de réparer une violente altercation qu'ils ont eue. Ça empire. Après dix première minutes intrigantes et prometteuses, le film s'effondre dans l'amateurisme du scénario, des dialogues et du jeu des trois acteurs. Voulant tirer sur le cool, quelques catchprases parsèment les aboiements et le gore. J'en ai vu les trois quart en accéléré, sans rédemption. Nul. BR UK
L'Amérique insolite (François Reichenbach, 1960) *
Ces fragments de l'Amérique de 1959 vue par un Français sont enfilés à la suite sans fil directeur, malgré l'introduction de Jean Cocteau qui y voit une prise de liberté. On a le droit aux majorettes, à un rodéo de détenus, à Disneyland, à une parade noire à la Nouvelle-Orléans... Un sujet fort : les délinquants juvéniles. Du cliché qui a fait son effet en 1960. Soixante ans plus tard, c'est les mémères de 50 ans aux étoles de vison qui m'ont plu. BR UK
Atlantique (Mati Diop, 2019) **
A Dakar, les âmes de jeunes ouvriers morts en mer prennent possession de leurs fiancées restées au pays. La drame de l'émigration vu à travers le filtre d'un conte d'amour fantastique ancré dans la réalité de la vie des Sénégalais pauvres. Malgré quelques longueurs, le panachage du réel et de l'irréel fonctionne bien, semé d'images oniriques et de références à "I walked with a Zombie" de Tourneur. Le message passe, en douceur. BR FR
La michetonneuse (Francis Leroi, 1972) ***
Une étudiante qui a rompu avec fac et famille fréquente la faune interlope parisienne. Comme la Justine de Sade dont elle a le prénom, sa passivité est exemplaire dans la dégradation au fil de ses rencontres. Un petit budget malin et tellement de son époque, où les acteurs naturels semblent improviser les dialogues écrits sur des situations au goût d'absurde, d'érotisme et de pamphlet. Mais derrière l'humour, la désespérance. ENR TV
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait
L'amant double (François Ozon, 2017) 0
Une jeune femme fragile (Marine Vacth) découvre que son psychothérapeute (Jérémie Renier) a un jumeau, qu'elle rencontre. Un film bancal et au final incompréhensible avec des confusions d'identités, des traumas, du sexe et beaucoup de circonvolutions qui m'ont perdu. Le sujet - la gémellité psychotique - ayant été traité une fois pour toutes avec le génial Faux-semblants de Cronenberg, la comparaison est implacable. BR FR
Cats (Tom Hooper, 2019) 0
A Londres, une tribu de chats recueille une jeune chatte esseulée. Le musical d'Andrew Lloyd Webber - que je n'ai pas vu - passe très mal l'épreuve de l'adaptation avec une mise-en-scène à esbrouffe mais désespérément vide sur des chansons médiocres et des CGI affreux et omniprésents. Le plus intéressant est l'hybridation des chats-humains, visuellement obscène. Et le final avec Judi Dench est vraiment chouette. BR FR
The Crown, Saison 4 (Peter Morgan, 2020) ***
Les Windsor affrontent les Eighties. L'irruption de Diana et de Thatcher forment les deux conflits de la 4e saison de la formidable série. Découvrir par la fiction les coulisses d'événements dont se souviennent ceux qui en ont l'âge est un délice irrésistible. La famille royale y est un monstre à plusieurs têtes et Diana le révoltant sacrifice. Le casting est immense mais c'est Gillian Anderson qui emporte tout en géniale incarnation de la Dame de Fer. Netflix
Incantations / Hagazussa (Lukas Feigelfeld, 2017) *
Dans les hauts-pâturages autrichiens du 15e siècle, une fille-mère isolée accusée d'être fille de sorcière pète un plomb. Je ne mets pas 0 grâce à la magnifique photographie qui sublime les forêts et les alpages. Aleksandra Cwen est très bien dans un rôle discrètement hystérique mais l'étirement affecté des plans et des silences tourne vite au système et fatigue. Il y avait tout pour un excellent film, les choix hautains ne l'ont pas permis. BR UK
Le doulos (Jean-Pierre Melville, 1962) **
Un informateur de la police tente d'aider un ami truand suite au meurtre que celui-ci a commis. L'ami doute de sa sincérité. Nous aussi puisque le film est un essai sur les apparences et les voies du destin. L'histoire alambiquée m'a un peu perdu et ennuyé dans ses développements mais la mise en scène sèche dans son artifice et la photographie de Film Noir sont admirables. Comme le sont Jean-Paul Belmondo et Serge Reggiani. BR FR
Daniel isn't real (Adam Egypt Mortimer, 2019) *
Un jeune homme qui s'était inventé un ami imaginaire dans l'enfance le voit revenir en force. Pas facile d'aborder la schizophrénie au cinéma. Le film s'y essaye avec les moyens du bord et hésite entre le thriller psychologique et l'horror sans convaincre malgré le bon sujet de départ et des idées intéressantes. Le jeu incertain de Miles Robbins (fils de Tim Robbins et Susan Sarandon) et de Patrick Schwarzenegger n'aide pas. BR UK
Dans les mailles du filet / The system (Michael Winner, 1964) **
Dans une station balnéaire anglaise, un groupe de potes menés par un jeune macho passent l'été à séduire des vacancières pour une nuit. Loin d'être une comédie, un film désabusé sur la tentation et la résistance du passage à l'âge adulte. Mi-studio, mi-extérieurs, il a parfois le feeling de la Nouvelle Vague, notamment dans son traitement des femmes, dévictimisées. Oliver Reed, à 25 ans, est d'un charisme animal stupéfiant. BR UK
Pot-Bouille (Julien Duvivier, 1957) *** Mon film du mois
Dans le Paris du Second Empire, le provincial Octave Mouret fait son trou en baisant les femmes de son immeuble. Une formidable adaptation du roman de Zola à la mise-en-scène fluide et dynamique, portée par un casting éblouissant (Gérard Philipe génial, Danielle Darrieux, Dany Carrel, Jane Marken épatante...) et des dialogues brillants de drôlerie caustique. Tout y tourne autour du sexe avec un culot sublimement désinvolte. BR FR
Harpoon (Rob Grant, 2019) 0
Deux amis d'enfance et la copine de l'un d'eux vont faire un tour en mer pour tenter de réparer une violente altercation qu'ils ont eue. Ça empire. Après dix première minutes intrigantes et prometteuses, le film s'effondre dans l'amateurisme du scénario, des dialogues et du jeu des trois acteurs. Voulant tirer sur le cool, quelques catchprases parsèment les aboiements et le gore. J'en ai vu les trois quart en accéléré, sans rédemption. Nul. BR UK
L'Amérique insolite (François Reichenbach, 1960) *
Ces fragments de l'Amérique de 1959 vue par un Français sont enfilés à la suite sans fil directeur, malgré l'introduction de Jean Cocteau qui y voit une prise de liberté. On a le droit aux majorettes, à un rodéo de détenus, à Disneyland, à une parade noire à la Nouvelle-Orléans... Un sujet fort : les délinquants juvéniles. Du cliché qui a fait son effet en 1960. Soixante ans plus tard, c'est les mémères de 50 ans aux étoles de vison qui m'ont plu. BR UK
Atlantique (Mati Diop, 2019) **
A Dakar, les âmes de jeunes ouvriers morts en mer prennent possession de leurs fiancées restées au pays. La drame de l'émigration vu à travers le filtre d'un conte d'amour fantastique ancré dans la réalité de la vie des Sénégalais pauvres. Malgré quelques longueurs, le panachage du réel et de l'irréel fonctionne bien, semé d'images oniriques et de références à "I walked with a Zombie" de Tourneur. Le message passe, en douceur. BR FR
La michetonneuse (Francis Leroi, 1972) ***
Une étudiante qui a rompu avec fac et famille fréquente la faune interlope parisienne. Comme la Justine de Sade dont elle a le prénom, sa passivité est exemplaire dans la dégradation au fil de ses rencontres. Un petit budget malin et tellement de son époque, où les acteurs naturels semblent improviser les dialogues écrits sur des situations au goût d'absurde, d'érotisme et de pamphlet. Mais derrière l'humour, la désespérance. ENR TV
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
- origan42
- Monteur
- Messages : 4766
- Inscription : 2 févr. 07, 17:22
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
FILM DE NOVEMBRE
L'AMOUR À LA MER (Guy Gilles, 1964) ****
Le reste du mois, par ordre de préférence :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : SAMUEL LABARTHE Charles de Gaulle dans De Gaulle, l'éclat et le secret
top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
- Addis-Abeba
- Mouais
- Messages : 16018
- Inscription : 12 nov. 04, 23:38
- Localisation : Chocolatine
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois:
Daube du mois:
Deux Charles Vanel, le film de Dréville est une merveille, picturalement c'est à tomber, les acteurs sont tous parfaits , le cadre avec son milieu rural si terrible est passionnant, bref un très beau film.
Le deuxième film, Ils , est un film "fantastique" complétement insipide, qui mérite bien de rester dans l'oubli.
Daube du mois:
Deux Charles Vanel, le film de Dréville est une merveille, picturalement c'est à tomber, les acteurs sont tous parfaits , le cadre avec son milieu rural si terrible est passionnant, bref un très beau film.
Le deuxième film, Ils , est un film "fantastique" complétement insipide, qui mérite bien de rester dans l'oubli.
- cinéfile
- Assistant opérateur
- Messages : 2270
- Inscription : 19 avr. 10, 00:33
- Localisation : Bourges
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
TOP NOVEMBRE 2020 :
1. Le Mystère Andromède (R. Wise, 1971)
2. Pushover (R. Quine, 1954)
3. L'Ange Noir (JC Brisseau, 1994)
4. Le Pont de Varsovie (P. Portabella, 1989)
5. Carnival of souls (H. Harvey, 1962)
6. Mataharis (I. Bollain, 2007)
Hors Catégorie (et revu) :
Dieu seul me voit (B. Podalydès, 1997) = 9,9999/10, soit le bonheur absolu. Pour reprendre un autre topic, c'est le genre de film dans lequel j'aimerais vivre !
Autre belle redécouverte : Ne dis rien (Te doy mis ojos) de I. Bollain (2004)
1. Le Mystère Andromède (R. Wise, 1971)
2. Pushover (R. Quine, 1954)
3. L'Ange Noir (JC Brisseau, 1994)
4. Le Pont de Varsovie (P. Portabella, 1989)
5. Carnival of souls (H. Harvey, 1962)
6. Mataharis (I. Bollain, 2007)
Hors Catégorie (et revu) :
Dieu seul me voit (B. Podalydès, 1997) = 9,9999/10, soit le bonheur absolu. Pour reprendre un autre topic, c'est le genre de film dans lequel j'aimerais vivre !
Autre belle redécouverte : Ne dis rien (Te doy mis ojos) de I. Bollain (2004)
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 54841
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
manuma a écrit : ↑30 nov. 20, 18:52 Après, j'avoue qu'une liste comme la tienne - ma p'tite cerise sur le gâteau lorsque je passe, une à deux fois par semaine, sur le topic, tant je me retrouve dans bon nombre de choix comme de notes - ou celle de Flol sont plus aisées à consulter lorsqu'on fréquente régulièrement le sujet. Après, je crois aussi que j'aime bien me creuser les méninges à me demander quel film je vais placer devant l'autre à note égale. Ainsi hiérarchisées, il y a, en quelque sorte, plus de nuances dans les listes de Jeremy Fox, Rick Blaine ou encore... Demi-Lune
Ok ok. Alors on va réfléchir sur une hiérarchisation des films vus pour ce mois de décembre. Et ainsi mettre un terme à un fonctionnement chronologique qui aura duré quasiment 15 ans.John Holden a écrit : ↑30 nov. 20, 19:25 J'avoue avoir une préférence pour les listes par ordre décroissant des notes. Si on les consulte régulièrement, on identifie assez vite les ajouts.
2020, quelle année de dingue décidément.
- cinephage
- C'est du harfang
- Messages : 23921
- Inscription : 13 oct. 05, 17:50
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je me suis aussi fait la remarque que ça manquait un peu de mise en page. En fait, je me copie-colle tout ça sur un fichier word en fin de mois, et sur word, c'est très lisible. Sans changer ma brève façon de commenter (ça m'aide aussi à me souvenir de ce que j'ai pensé à chaud d'un film), je vais regarder si je peux rendre ça un peu plus lisible. Il faut dire qu'avec le confinement, j'en ai un peu plus que d'habitude (59 films ce mois-ci).John Holden a écrit : ↑30 nov. 20, 22:44Mais je les trouve très bien ces notules, concises, descriptives ! C'est juste qu'avec un petit écran (téléphone), on n'arrive pas toujours à bien distinguer les titres de films du texte qui leur est consacré.Rick Blaine a écrit : ↑30 nov. 20, 22:29
Moi j'adore les commentaires de Cinéphage, ni trop courts ni trop long, et je m'y retrouve parfaitement. Ne change rien !!
Et sinon pour revenir au fond, Make way for tomorrow, quelle merveille !
Et sur l'année, bientôt plus de films vus grace à mon oncle américain qu'aux salles en exploitation normale, ce qui est déja le cas pour la VOD, ça me déprime un peu, je dois dire, moi qui suis tellement avide de séances en salle...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
- Zelda Zonk
- Amnésique antérograde
- Messages : 14753
- Inscription : 30 mai 03, 10:55
- Localisation : Au 7e ciel du 7e art
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ca s'affiche bien chez moi Cinephage, sur l'ordi, avec les caractères gras pour le film, et le retour à la ligne. Je suppose que le problème vient de la visualisation sur smartphone, mais là, je crois pas qu'on puisse faire grand-chose.
-
- Machino
- Messages : 1129
- Inscription : 30 nov. 13, 17:40
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois : la mule de Clint Eastwood
2 la rivière de nos amours d'André De Toth
3 la croisière du navigateur de buster Keaton
4 swordman 2 de Chung Siu-tung
5 l'oiseau au plumage de cristal de Dario Argento
2 la rivière de nos amours d'André De Toth
3 la croisière du navigateur de buster Keaton
4 swordman 2 de Chung Siu-tung
5 l'oiseau au plumage de cristal de Dario Argento
- Zelda Zonk
- Amnésique antérograde
- Messages : 14753
- Inscription : 30 mai 03, 10:55
- Localisation : Au 7e ciel du 7e art
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pas compris non plus. C'est quoi Raël/10 ???Jack Carter a écrit : ↑30 nov. 20, 18:55celle que je consulte quotidiennement au reveil
sa note de Zardoz, enigmatique
- gnome
- Iiiiiiil est des nôôôôtres
- Messages : 20873
- Inscription : 26 déc. 04, 18:31
- Localisation : sleeping in the midday sun...
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Moi, ça me semblait clair....
- Kevin95
- Footix Ier
- Messages : 18368
- Inscription : 24 oct. 04, 16:51
- Localisation : Devine !
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Tout le monde s'en cogne mais dites moi (svp) en cœur si mon listing est (si) indéchiffrable.Flol a écrit : ↑1 déc. 20, 12:15manuma a écrit : ↑30 nov. 20, 18:52 Après, j'avoue qu'une liste comme la tienne - ma p'tite cerise sur le gâteau lorsque je passe, une à deux fois par semaine, sur le topic, tant je me retrouve dans bon nombre de choix comme de notes - ou celle de Flol sont plus aisées à consulter lorsqu'on fréquente régulièrement le sujet. Après, je crois aussi que j'aime bien me creuser les méninges à me demander quel film je vais placer devant l'autre à note égale. Ainsi hiérarchisées, il y a, en quelque sorte, plus de nuances dans les listes de Jeremy Fox, Rick Blaine ou encore... Demi-LuneOk ok. Alors on va réfléchir sur une hiérarchisation des films vus pour ce mois de décembre. Et ainsi mettre un terme à un fonctionnement chronologique qui aura duré quasiment 15 ans.John Holden a écrit : ↑30 nov. 20, 19:25 J'avoue avoir une préférence pour les listes par ordre décroissant des notes. Si on les consulte régulièrement, on identifie assez vite les ajouts.
2020, quelle année de dingue décidément.
Sinon pour novembre...
ODDS AGAINST TOMORROW - Robert Wise (1959)
VALMONT - Milos Forman (1989)
ISLANDS IN THE STREAM - Franklin J. Schaffner (1977)
LES AMOURS D'UNE BLONDE - Milos Forman (1965)
MR. RICCO - Paul Bogart (1975)
Le tout...
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 54841
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Chais pas, je te lis jamais.
- Zelda Zonk
- Amnésique antérograde
- Messages : 14753
- Inscription : 30 mai 03, 10:55
- Localisation : Au 7e ciel du 7e art
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Mon podium du mois de NOVEMBRE :
- Je suis un évadé (Mervyn LeRoy - 1932) : 9/10
- Moscou ne croit pas aux larmes (Vladimir Menchov - 1980) : 8/10
- Six femmes pour l'assassin (Mario Bava - 1964) : 7,5/10
Un mois largement placé sous le signe du giallo et du film d'horreur italien, avec 10 films découverts et 4 revus dans ces genres spécifiques.
Le détail ici :
- Je suis un évadé (Mervyn LeRoy - 1932) : 9/10
- Moscou ne croit pas aux larmes (Vladimir Menchov - 1980) : 8/10
- Six femmes pour l'assassin (Mario Bava - 1964) : 7,5/10
Un mois largement placé sous le signe du giallo et du film d'horreur italien, avec 10 films découverts et 4 revus dans ces genres spécifiques.
Le détail ici :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Dernière modification par Zelda Zonk le 1 déc. 20, 17:22, modifié 1 fois.
- El Dadal
- Producteur Exécutif
- Messages : 7314
- Inscription : 13 mars 10, 01:34
- Localisation : Sur son trône de vainqueur du Quiz 2020
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 54841
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Du coup j'ai été voir (enchanté monsieur Kevin, ça fait longtemps que tu viens par ici ?) et c'est clair que tu vois un paquet de films. On dirait Boubakar.
Mais en l'état, je ne vois pas comment améliorer sa lisibilité, puisqu'il faut bien que tu fasses apparaître tes 82 films visionnés par mois.
Voilà, à bientôt peut-être Kevin !
Mais en l'état, je ne vois pas comment améliorer sa lisibilité, puisqu'il faut bien que tu fasses apparaître tes 82 films visionnés par mois.
Voilà, à bientôt peut-être Kevin !