Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2020 [clos]

[Alibabass]

Africa Mia : 8

[douane eddy]

L'infirmière : 5/10

[Boubakar]

De Gaulle : 6/10

[reuno]

Rentrée oblige pas beaucoup de temps à consacrer au cinéma... pas encore pris le temps de regarder le dernier Charlie Kaufman, raté Ema en salle (le seul qui me faisait de l'oeil ces deux ou trois dernières semaines)...
Bref, j'ai quand même quelques bricoles à noter.

Mignonnes : 7,5/10

Netflix/Prime Video :

Get Duked! : 6/10
#Alive : 4/10
The Babysitter Killer Queen : 3,5/10
Time Trap : 3,5/10

DTV :

Relic : 7/10
Inunaki : Le Village oublié : 6/10

[G.T.O]

Je veux juste en finir ( Charlie Kaufman) 4/10

Film de scénariste affreusement bavard sur l’agonie d’un agent d’entretien, ses fantasmes, passé familial, revus sous la forme de la comédie romantique absurde (présentation de la copine aux parents over the top) et du fantastique (perturbations spatio-temporelles). Original mais brouillon et assommant. A noter aussi une esthétique douçâtre labellisée Netflix discutable.

[Flol]

A noter aussi une esthétique douçâtre labellisée Netflix discutable.

Alors ok je peux comprendre le reste, mais là va falloir que tu m'expliques.

[Alexandre Angel]

Ah, il l'avait déjà dit pour The Irishman !

[G.T.O]

Ah, il l'avait déjà dit pour The Irishman !

Je vois qu’on suit !

[Flol]

Alors je comprends encore moins.

[G.T.O]

Alors je comprends encore moins.

Image laiteuse, blanchâtre, halos, peu contrastée, façon Delbonnel pour les derniers Burton. Règne de l’étalonnage, de la LUT.

[Flol]

T'es sûr que ça vient pas de ta télé ?

[Alexandre Angel]

Image laiteuse, blanchâtre, halos, peu contrastée, façon Delbonnel pour les derniers Burton. Règne de l’étalonnage, de la LUT.

Oui mais c'est pas spécialement Netflix (je mets de côté toute considération sur l'esprit "plateforme") : j'observe cette esthétique, en gros, depuis la généralisation des projections numériques (vers 2011) qui correspond, peut-être, ou à peu près, à la généralisation des tournages en numérique.

[-Kaonashi-]

Alors je comprends encore moins.

Image laiteuse, blanchâtre, halos, peu contrastée, façon Delbonnel pour les derniers Burton. Règne de l’étalonnage, de la LUT.

Et tu as vu ça avec The Irishman ?
Un conseil : https://www.pointvision.com/

[G.T.O]

Image laiteuse, blanchâtre, halos, peu contrastée, façon Delbonnel pour les derniers Burton. Règne de l’étalonnage, de la LUT.

Oui mais c'est pas spécialement Netflix (je mets de côté toute considération sur l'esprit "plateforme") : j'observe cette esthétique, en gros, depuis la généralisation des projections numériques (vers 2011) qui correspond, peut-être, ou à peu près, à la généralisation des tournages en numérique.

Y a de ça. C’est effectivement une esthétique dominante que Netflix relaie à travers ces productions.
Après y a d’autres approches possibles sur le numérique ! Mann par exemple.

[santiago]

Antoinette dans les Cévennes : 6,5/10