La Splendeur des Amberson (Orson Welles - 1942)
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- Doublure lumière
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La Splendeur des Amberson (Orson Welles - 1942)
The Magnificent Ambersons : 9 / 10
J'ai mis un peu de temps à accrocher au début, la virtuosité de Welles étant bien plus discrète que dans Citizen Kane ou Touch of evil, mais le film est excellent, la réalisation étant de plus en plus belle à mesure que le film avance (la scène ou le jeune Amberson apprend la mort de sa mère par exemple). Joseph Cotten est très bien, comme d'hab'.
J'ai mis un peu de temps à accrocher au début, la virtuosité de Welles étant bien plus discrète que dans Citizen Kane ou Touch of evil, mais le film est excellent, la réalisation étant de plus en plus belle à mesure que le film avance (la scène ou le jeune Amberson apprend la mort de sa mère par exemple). Joseph Cotten est très bien, comme d'hab'.
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Je poursuis ma cure de grands classiques avec La splendeur des Amberson. Un tel aboutissement formel - même atrocement charcuté - est à peine concevable. Et le pire, c'est que ce n'est même pas là sa première qualité. Bref, chaque vision me conforte dans mon appréciation du film (ça a toujours été mon Welles préféré). Trop intimidant pour gloser davantage. Que vaut le coffret Montparnasse ?

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- Mogul
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Image correcte ?Solal a écrit :MerciTuck pendleton a écrit :
L'image est très correct et les bonus interessant...Petit commentaire de Douchet, interview "audio" de Welles et doc. Je ne l'ai pas encore visionné, j'en dirais plus ce soir peut être..
Elle souffre d'un manque de définition criant et est grisatre au possible. Mais çà reste regardable...
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La Splendeur des Amberson : magistral !! 
Je reste ébahi devant la totale maîtrise de Welles dans le domaine de la mise en scène : sublime gestion de l'espace, jeu permanent avec les zones d'ombre de ses décors, des plans séquences tellement fluides qu'on les remarque à peine...et tout simplement des idées de mise en scène comme s'il en pleuvait.
Le tout au service d'un sujet fort et universel, sur lequel Welles a apposé son indéniable patte.
Quand je pense que le bonhomme n'avait que 27 ans à l'époque...
Et quand je pense que le montage voulu par ce dernier faisait à l'origine plus de 2 heures, je me dis que ce chef-d'oeuvre aurait probablement pu être encore plus grand.

Je reste ébahi devant la totale maîtrise de Welles dans le domaine de la mise en scène : sublime gestion de l'espace, jeu permanent avec les zones d'ombre de ses décors, des plans séquences tellement fluides qu'on les remarque à peine...et tout simplement des idées de mise en scène comme s'il en pleuvait.
Le tout au service d'un sujet fort et universel, sur lequel Welles a apposé son indéniable patte.
Quand je pense que le bonhomme n'avait que 27 ans à l'époque...

Et quand je pense que le montage voulu par ce dernier faisait à l'origine plus de 2 heures, je me dis que ce chef-d'oeuvre aurait probablement pu être encore plus grand.
- Vic Vega
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Ou moins grand, un Director's Cut n'étant pas forcément toujours meilleur (cf les Apocalypse Now qui font débat ou les diverses versions de Touch of Evil dont aucune ne fédère vraiment les cinéphiles). Ceci dit, totalement d'accord avec toi: pour moi un sommet wellessien et un sommet du cinéma. 10/10ratatouille a écrit :La Splendeur des Amberson : magistral !!
Je reste ébahi devant la totale maîtrise de Welles dans le domaine de la mise en scène : sublime gestion de l'espace, jeu permanent avec les zones d'ombre de ses décors, des plans séquences tellement fluides qu'on les remarque à peine...et tout simplement des idées de mise en scène comme s'il en pleuvait.
Le tout au service d'un sujet fort et universel, sur lequel Welles a apposé son indéniable patte.
Quand je pense que le bonhomme n'avait que 27 ans à l'époque...
Et quand je pense que le montage voulu par ce dernier faisait à l'origine plus de 2 heures, je me dis que ce chef-d'oeuvre aurait probablement pu être encore plus grand.




La splendeur des Amberson (Orson Welles)
Un film qui aurait peut-être pu être un chef d'oeuvre s'il n'étais aussi elliptique au niveau de la narration; Surtout vers la fin. Les coupes imposées par les producteurs (je crois) se font largement sentir.
Chef d'oeuvre mutilé. c'est dommage pour le patrimoine cinématographique.
Je préfère donc largement Citizen Kane.
Un film qui aurait peut-être pu être un chef d'oeuvre s'il n'étais aussi elliptique au niveau de la narration; Surtout vers la fin. Les coupes imposées par les producteurs (je crois) se font largement sentir.
Chef d'oeuvre mutilé. c'est dommage pour le patrimoine cinématographique.
Je préfère donc largement Citizen Kane.
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- La Spendeur des Amberson: revu et révision de mon premier avis assez négatif. C'est splendide. La mise en scène est époustouflante, utilisant la maison des Amberson comme un personnage, un peu à la façon de "Gone with the wind" bien que traité différemment. Le seul hic, c'est le sentiment tenace que le récit est hachuré et a souffert, ce qui est le cas, d'un certain nombre de coupes impardonnables et assassines. La limpidité et la force de l'intrigue s'en trouve amoindrie. Heureusement, le génie de Welles rattrape partiellement ces trous et nous livre un film inégalable sur bien des points.
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- Kevin95
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Totalement d'accord avec toi !Ouf je suis un âne a écrit :- La Spendeur des Amberson: revu et révision de mon premier avis assez négatif. C'est splendide. La mise en scène est époustouflante, utilisant la maison des Amberson comme un personnage, un peu à la façon de "Gone with the wind" bien que traité différemment. Le seul hic, c'est le sentiment tenace que le récit est hachuré et a souffert, ce qui est le cas, d'un certain nombre de coupes impardonnables et assassines. La limpidité et la force de l'intrigue s'en trouve amoindrie. Heureusement, le génie de Welles rattrape partiellement ces trous et nous livre un film inégalable sur bien des points.

Un véritable chef d’œuvre, qu'on ne peut apprécier totalement, tant le sentiment de voir une oeuvre déchiré et remonter se fait pressentir. Toutefois, la mise en scène, le décor, les acteurs et cette voix off rendent ce film absolument grandiose et magnifique (auquel le dvd zone 2 ne rend pas justice).
Et je dois bien avouer que le choc, lors de ma découverte de ce film, fut plus grand que de celle de Citizen Kane (mais, les révisions de ce film ci, feront balancer la balance de l'autre coté, car Citizen Kane est un choc, à chaques visionnages).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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La splendeur des Amberson (Orson Welles - 1942)

La splendeur des Amberson
En dépit du génie de son réalisateur, « La splendeur des Amberson » souffre immanquablement des mutilations qui l’ont affecté. Le film a en effet été monté en l’absence d’Orson Welles, et a été amputé de son dénouement au profit d’un « happy ending » inadéquat : le registre s’assombrissant au fil des minutes et encourageant plutôt une fin noire. Le film demeure cependant une fresque familiale magnifique, l’admirable évocation d’une époque, et l’une des plus belles illustrations cinématographiques de la décadence. Le tout est bien sûr superbement mis en scène par Welles et, dans l’ensemble, très bien interprété (mention spéciale à Agnès Moorehead, troublante en femme aigrie et désespérément seule). Même si je n’y ai pas vu le chef d’œuvre attendu (mais cela n’engage que moi), « La splendeur des Amberson » reste un film… de toute splendeur.
7,5/10 (ne me lapidez pas, hein?)
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Perso, j'y ai vu un grand film, très bien fait de toute part, resplendissant, du grand Orson Welles quoi... Seul Problème, mais de taille en ce qui me concerne : je m'y suis ennuyé comme rarement. Et pourtant j'adore Joseph Cotten...Miss Nobody a écrit :
La splendeur des Amberson
En dépit du génie de son réalisateur, « La splendeur des Amberson » souffre immanquablement des mutilations qui l’ont affecté. Le film a en effet été monté en l’absence d’Orson Welles, et a été amputé de son dénouement au profit d’un « happy ending » inadéquat : le registre s’assombrissant au fil des minutes et encourageant plutôt une fin noire. Le film demeure cependant une fresque familiale magnifique, l’admirable évocation d’une époque, et l’une des plus belles illustrations cinématographiques de la décadence. Le tout est bien sûr superbement mis en scène par Welles et, dans l’ensemble, très bien interprété (mention spéciale à Agnès Moorehead, troublante en femme aigrie et désespérément seule). Même si je n’y ai pas vu le chef d’œuvre attendu (mais cela n’engage que moi), « La splendeur des Amberson » reste un film… de toute splendeur.
7,5/10 (ne me lapidez pas, hein?)

