Et, exceptionnellement, ex æquo, un film non revu :
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INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : VITTORIO GASSMAN Lorenzo Santenocito dans Au nom du peuple italien
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Magnfique celui-là une de mes belles découvertes de l'an dernierBeule a écrit :
LE RENDEZ-VOUS (Kôichi Saitô - 1972)[/center]
Celui-là, je me le suis mis de côté pour ce mois-ci. Très hâte de le voir.Zelda Zonk a écrit :Ce plan final, notamment, une tuerie.Rick Blaine a écrit :
Et cette musique...
Et la diatribe anti-ricain vers la fin.
So british.
J'adore.
Flol a écrit :
5.
Cluny Brown - Ernst Lubitsch
+1Zelda Zonk a écrit :Ce plan final, notamment, une tuerie.Rick Blaine a écrit :
Et cette musique...
Et la diatribe anti-ricain vers la fin.
So british.
J'adore.
Merci, c'est noté Ajouté à ma "watch list". Le pitch est très alléchant et revoir B. Hoskins ne se refuse pas.cinéfile a écrit :+1Zelda Zonk a écrit :
Ce plan final, notamment, une tuerie.
Et cette musique...
Et la diatribe anti-ricain vers la fin.
So british.
J'adore.
C'était mon film de Mai.
Put*** que ce dernier plan est d'anthologie !
J'avais juste une peu tiqué sur la bande originale de F. Monkman pendant le visionnage (que je trouvais envahissante), pour finalement l'écouter régulièrement après coup.
Pour voir B. Hoskins dans son autre grand rôle principal, je conseille (comme à chaque fois) Mona Lisa de N. Jordan.
L'intrigue tire davantage vers le film noir avec un Hoskins nettement plus attachant, cette fois en petite frappe tout juste sorti de prison. Plongée dans les bas-fonds londoniens et interlopes : clubs miteux, bains publics, prostitutions, là où The Long Good Friday évoquant plutôt des gangsters embourgeoisés et affairistes dans une ambiance plus bling-bling (quoique la fange et les bas-instincts reviennent régulièrement au galopZelda Zonk a écrit :
Merci, c'est noté Ajouté à ma "watch list". Le pitch est très alléchant et revoir B. Hoskins ne se refuse pas.
Je l'écoute en ce moment-même au casque !Zelda Zonk a écrit : Quant au thème principal de The Long Good Friday, perso je suis tout de suite rentré dedans. Alors oui, c'est très typé 80s (les synthés, le sax, les violons), mais diablement efficace et je trouve que ça cadre parfaitement avec le film.
Larousse annonce pour 2021 l'entrée dans le dictionnaire du terme jeremyfoxerie, n.f. : entité détestée la première fois, mais qui constitue une bonne surprise à partir de la deuxièmeJeremy Fox a écrit : une très bonne surprise d'autant plus que lors de sa découverte je l'avais carrément détesté.
ed a écrit :Larousse annonce pour 2021 l'entrée dans le dictionnaire du terme jeremyfoxerie, n.f. : entité détestée la première fois, mais qui constitue une bonne surprise à partir de la deuxièmeJeremy Fox a écrit : une très bonne surprise d'autant plus que lors de sa découverte je l'avais carrément détesté.
ed a écrit :Larousse annonce pour 2021 l'entrée dans le dictionnaire du terme jeremyfoxerie, n.f. : entité détestée la première fois, mais qui constitue une bonne surprise à partir de la deuxièmeJeremy Fox a écrit : une très bonne surprise d'autant plus que lors de sa découverte je l'avais carrément détesté.
Exemples :
"The Tree of life est un peu l'archétype de la jeremyfoxerie." wikipedia, notice explicative
"Les experts s'accordent à penser que, pour bien des spectateurs, Le Lauréat a tout d'une potentielle jeremyfoxerie." Mike Nichols, sa vie, son oeuvre, ouvrage collectif
"L'an dernier, sur le Vieux Port, j'avais goûté les alibofis, ça m'avait pas bien plu. Mais cette année, j'ai réessayé, v'là la jeremyfoxerie dis donc" Roger, 53 ans, juilletiste
"Dis, Francis, j'ai recouché avec ta mère, eh ben on peut dire que c'est une sacré jeremyfoxerie !" Dernières paroles de Samuel, 31 ans, rapportées par des témoins
John Holden a écrit :
1.Ieri, oggi, domani...Vittorio De Sica (1963)