Major Tom a écrit :Tout le film est épatant. Vous ne vous rendez pas compte.
Je l'ai toujours dit, de la sortie du film à aujourd'hui, en passant par deux ou trois fois sur ce forum!
Film élégant avec de discrètes mais réelles touches d'inventivité. Après, c'est qu'un James Bond hein, il faut raison garder...et c'est ce que tu fais d'ailleurs : tu ne lui as pas mis 10/10
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
LA MORT DE BELLE - Édouard Molinaro (1961) : 9/10 JAGUAR LIVES ! - Ernest Pintoff (1979) : 7,5/10 TRAVELLING AVANT - Jean-Charles Tacchella (1987) : 6/10 HIVER 54, L'ABBÉ PIERRE - Denis Amar (1989) : 6,5/10 FANDANGO - Kevin Reynolds (1985) : 8,5/10 JOHNNY EAGER - Mervyn LeRoy (1941) : 8/10 AI MARGINI DELLA METROPOLI - Carlo Lizzani (1953) : 6,5/10 KISS ME GOODBYE - Robert Mulligan (1982) : 7/10 GREEN DOLPHIN STREET - Victor Saville (1947) : 7,5/10 LE DERNIER TOURNANT - Pierre Chenal (1939) : 9/10 NE CROYEZ SURTOUT PAS QUE JE HURLE - Frank Beauvais (2019) : 9/10 CHE ! - Richard Fleischer (1969) : 6,5/10 GASTON LAGAFFE - Pierre-François Martin-Laval (2018) : 2/10 THE CHARGE OF THE LIGHT BRIGADE - Tony Richardson (1968) : 5,5/10 VANILLA SKY - Cameron Crowe (2001) : 8/10 A LIFE OF HER OWN - George Cukor (1950) : 8/10 DIPLOMATIC COURIER - Henry Hathaway (1952) : 8/10 CLARA'S HEART - Robert Mulligan (1988) : 7,5/10 RAPTURE - John Guillermin (1965) : 8/10 FLIGHT OF THE INTRUDER - John Milius (1991) : 6/10 COLD PURSUIT - Hans Petter Moland (2019) : 5,5/10 IMITATION OF LIFE - Douglas Sirk (1959) : 9,5/10 PLAIRE, AIMER ET COURIR VITE - Christophe Honoré (2018) : 5/10 OUR MOTHER'S HOUSE - Jack Clayton (1967) : 9/10 THE SCORE - Frank Oz (2001) : 6/10 SWING SHIFT - Jonathan Demme (1984) : 7/10 TOP SECRET - C'EST PAS TOUJOURS DU CAVIAR - Géza von Radványi (1961) : 4/10 LOVING COUPLES - Jack Smight (1980) : 5,5/10 ROCCO E I SUOI FRATELLI - Luchino Visconti (1960) : 10/10 LES MAINS NÉGATIVES - Marguerite Duras (1978) : 7/10 WINTER PEOPLE - Ted Kotcheff (1989) : 8/10 LES AMANTS DE MINUIT - Roger Richebé (1953) : 7/10 DUMBO - Tim Burton (2019) : 5/10 IN SEARCH OF THE LAST ACTION HEROES - Oliver Harper (2019) : 7/10 WHIPLASH - Damien Chazelle (2014) : 7,5/10 THE MYSTERIOUS MR. VALENTINE - Philip Ford (1946) : 6/10 PARIS, TEXAS - Wim Wenders (1984) : 8,5/10 AU ROYAUME DES CIEUX - Julien Duvivier (1949) : 9/10 SHIRLEY VALENTINE - Lewis Gilbert (1989) : 5,5/10 STRAIGHT TIME - Ulu Grosbard (1978) : 9,5/10 THE HUNTER - Buzz Kulik (1980) : 7/10 EDDIE MURPHY : DELIRIOUS - Bruce Gowers (1983) : 8,5/10 I KNOW WHERE I'M GOING ! - Michael Powell, Emeric Pressburger (1945) : 8,5/10 DEN OF THIEVES - Christian Gudegast (2018) : 7/10 THE HITCH-HIKER - Ida Lupino (1953) : 8/10 PREMIÈRES VACANCES - Patrick Cassir (2018) : 4,5/10 NOYADE INTERDITE - Pierre Granier-Deferre (1987) : 7,5/10 LE TOIT DE LA BALEINE - Raoul Ruiz (1982) : 3/10 AU PAN COUPÉ - Guy Gilles (1968) : 8/10 GHOSTLAND - Pascal Laugier (2018) : 4/10 BILL & TED'S EXCELLENT ADVENTURE - Stephen Herek (1989) : 7/10 TAKE ME HOME TONIGHT - Michael Dowse (2011) : 6,5/10 BULLITT - Peter Yates (1968) : 9/10 THE MULE - Clint Eastwood (2018) : 8,5/10 PLAY - Anthony Marciano (2019) : 7/10 THE TRAIL OF THE LONESOME PINE - Henry Hathaway (1936) : 8/10 21 YEARS : QUENTIN TARANTINO - Tara Wood (2019) : 6/10 THE LOOMING STORM - Yue Dong (2017) : 6,5/10 EASTER PARADE - Charles Walters (1948) : 8/10 CITY ON FIRE - Ringo Lam (1987) : 9/10 L'ASSAUT - Pierre-Jean Ducis (1936) : 6/10 UNE AFFAIRE DE FAMILLE - Hirokazu Koreeda (2018) : 8,5/10 THE LAST RUN - Richard Fleischer (1971) : 8,5/10 HIGH LIFE - Claire Denis (2018) : 7/10 LE GRAIN DE SABLE - Pomme Meffre (1983) : 7,5/10 ALIEN CRYSTAL PALACE - Arielle Dombasle (2018) : 0/10 HERO AT LARGE - Martin Davidson (1980) : 6,5/10 12 STRONG - Nicolai Fuglsig (2018) : 6/10 THE GREAT MISSOURI RAID - Gordon Douglas (1951) : 7/10 BEST FRIENDS - Norman Jewison (1982) : 6,5/10 THE HARVEY GIRLS - George Sidney (1946) : 7,5/10 LA VIE DE MICHEL MULLER EST PLUS BELLE QUE LA VÔTRE - Michel Muller (2005) : 6/10 ERIC CLAPTON : LIFE IN 12 BARS - Lili Fini Zanuck (2017) : 7/10 NITRATO D'ARGENTO - Marco Ferreri (1996) : 7/10 100 RIFLES - Tom Gries (1969) : 8,5/10 THE STARS FELL ON HENRIETTA - James Keach (1995) : 8/10 LA BANDE DU DRUGSTORE - François Armanet (2001) : 5/10 THE APPOINTMENT - Sidney Lumet (1969) : 6,5/10 THE MORNING AFTER - Sidney Lumet (1986) : 8/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Un homme est passé (John Sturges, 1955)
Pour atteindre à son plein épanouissement, une allégorie doit s’ancrer au sein d’un espace précisément appréhendé, activer des êtres et des objets aussi justes et adéquats que possible. Telle est la première qualité de ce transparent réquisitoire contre la lâcheté collective, tourné en pleine chasse aux sorcières maccarthyste, où les personnages sont disposés comme des pions sur l’échiquier du Cinémascope. Sturges y raconte comment la démocratie américaine, paralysée de son aile gauche et débarquant dans un pays dont les habitants soumis refusent de prendre position contre le tyran local, rappelle que le respect de la liberté et de la dignité réside entre les mains du peuple. Tout ici est sa place, conçu et exécuté sans graisse, dans un souci permanent de conjonction entre la forme et son sujet. 4/6
Éclair de lune (Norman Jewison, 1987)
La communauté italienne de Brooklyn a nourri beaucoup de films américains. Si cette comédie romantique active a priori des clichés éprouvés et des situations convenues (la mamma qui se meurt en Sicile, la veuve au sang chaud, les petits commerçants volubiles, le mari angoissé à l’idée de "porter les cornes"…), son mérite repose sur la fraîcheur et la drôlerie d’une intrigue dans laquelle les sentiments sonnent juste, sur la simplicité d’un langage utilisé pour créer une famille imaginaire à laquelle chacun peut appartenir – même un professeur d’université dragueur, qui déambule dans une ou deux scènes. Quant à l’homogénéité de l’interprétation, elle confère une sorte de saveur du terroir ayant tout pour plaire aux spectateurs que nous sommes, éternels nostalgiques des splendeurs du cinéma d’avant-hier. 4/6
Conversations nocturnes (Oliver Stone, 1988)
Lorsqu’il se focalise sur son sujet sans digression emphatique ni lyrisme ampoulé, le cinéaste est à son meilleur. Tel est le cas avec ce captivant exercice de mise en scène de la parole emballée qui, après Wall Street, scanne l’Amérique des années 80 à travers le regard d’un rescapé des seventies. Circonscrit (à l’exception d’un flash-back plus faiblard) dans le bocal d’un studio, il donne du mouvement à un cadre en vase clos, joue avec les images comme son héros avec les mots, montre l’avilissement par les médias du commerce linguistique en communication passionnelle et agressive. Il dresse surtout le portrait équivoque d’un homme complexe, ambigu, dont l’anticonformisme ne va pas sans mauvaise foi, et dont l’effronterie, la faconde et la versatilité cynique traduisent une authentique inquiétude culturelle. 5/6
Appelez nord 777 (Henry Hathaway, 1948)
Une fois de plus, Hathaway ouvre son film par une annonce avertissant que l’histoire est authentique a été filmée autant que possible dans les lieux mêmes où elle s’est déroulée. Spécialiste de ce quasi sous-genre qu’est le polar semi-documentaire, il promène d’un site "réel" à un autre (le pénitencier Statesville, le journal et ses activités, divers extérieurs de Chicago, des postes de police, des bars louches, des quartiers polonais misérables, tous saisis par une photographie brute et réaliste) et fait évoluer le registre dramaturgique habituel du thriller criminel vers un suspense d’investigation qui annonce certains grands jalons à venir. Car c’est bien le rôle de la presse qui est ici mis en évidence, ses vertus de probité, de justice et d’engagement, tout comme les réticences de la police à admettre ses erreurs. 4/6
Et aussi :
C'était demain (Nicholas Meyer, 1979) - 4/6 Le cauchemar de Dracula (Terence Fisher, 1958) - 4/6 Orfeu negro (Marcel Camus, 1959) - 5/6 Portrait of Jason (Shirley Clarke, 1967) - 4/6 L'enfant du diable (Peter Medak, 1980) - 4/6 Police story (Jackie Chan, 1985) - 4/6 Un homme parmi les loups (Carrol Ballard, 1983) - 4/6 La nuit de San Lorenzo (Paolo & Vittorio Taviani, 1982) - 5/6 Mort d'un cycliste (Juan Antonio Bardem, 1955) - 4/6 Simon Werner a disparu (Fabric Gobert, 2010) - 4/6 Glengarry (James Foley, 1992) - 4/6 Artistes et modèles (Frank Tashlin, 1955) - 3/6 American psycho (Mary Harron, 2000) - 4/6
Avril 2020 - Un homme de trop (Costa-Gavras, 1967) Mars 2020 - Comrades (Bill Douglas, 1986) Février 2020 – Hellzapoppin (H.C. Potter, 1941) Janvier 2020 – Les filles du docteur March (Greta Gerwig, 2019) Décembre 2019 – It must be heaven (Elia Suleiman, 2019) Novembre 2019 – Les misérables (Ladj Ly, 2019) Octobre 2019 – Bacurau (Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles, 2019) Septembre 2019 – Driver (Walter Hill, 1978) Août 2019 – Le coup de l’escalier (Robert Wise, 1959) Juillet 2019 - La sorcellerie à travers les âges (Benjamin Christensen, 1922) Juin 2019 – Parasite (Bong Joon-ho, 2019) Mai 2019 - Mandingo (Richard Fleischer, 1975) Avril 2019 - Les oiseaux de passage (Cristina Gallego & Ciro Guerra, 2018) Mars 2019 - Le convoi (Sam Peckinpah, 1978) Février 2019 – Les noces rouges (Claude Chabrol, 1973) Janvier 2019 – Un jour dans la vie de Billy Lynn (Ang Lee, 2016) Décembre 2018 – Une affaire de famille (Hirokazu Kore-eda, 2018) Novembre 2018 – High life (Claire Denis, 2018) Octobre 2018 – Nos batailles (Guillaume Senez, 2018) Septembre 2018 – Les frères Sisters (Jacques Audiard, 2018) Août 2018 – Silent voice (Naoko Yamada, 2016) Juillet 2018 - L'homme qui voulait savoir (George Sluizer, 1988) Juin 2018 – Sans un bruit (John Krasinski, 2018) Mai 2018 – Riches et célèbres (George Cukor, 1981) Avril 2018 – Séduite et abandonnée (Pietro Germi, 1964) Mars 2018 – Mektoub my love : canto uno (Abdellatif Kechiche, 2017) Février 2018 – Phantom thread (Paul Thomas Anderson, 2017) Janvier 2018 – Pentagon papers (Steven Spielberg, 2017) Décembre 2017 – Lettre de Sibérie (Chris Marker, 1958) Novembre 2017 – L’argent de la vieille (Luigi Comencini, 1972) Octobre 2017 – Une vie difficile (Dino Risi, 1961) Septembre 2017 – Casanova, un adolescent à Venise (Luigi Comencini, 1969) Août 2017 – La bonne année (Claude Lelouch, 1973) Juillet 2017 - La fille à la valise (Valerio Zurlini, 1961) Juin 2017 – Désirs humains (Fritz Lang, 1954) Mai 2017 – Les cloches de Sainte-Marie (Leo McCarey, 1945) Avril 2017 – Maria’s lovers (Andreï Kontchalovski, 1984) Mars 2017 – À la recherche de Mr Goodbar (Richard Brooks, 1977) Février 2017 – Raphaël ou le débauché (Michel Deville, 1971) Janvier 2017 – La la land (Damien Chazelle, 2016) Décembre 2016 – Alice (Jan Švankmajer, 1987) Novembre 2016 - Dernières nouvelles du cosmos (Julie Bertuccelli, 2016) Octobre 2016 - Showgirls (Paul Verhoeven, 1995) Septembre 2016 - Aquarius (Kleber Mendonça Filho, 2016) Août 2016 - Le flambeur (Karel Reisz, 1974) Juillet 2016 - A touch of zen (King Hu, 1971) Juin 2016 - The witch (Robert Eggers, 2015) Mai 2016 - Elle (Paul Verhoeven, 2016) Avril 2016 - La pyramide humaine (Jean Rouch, 1961) Mars 2016 - The assassin (Hou Hsiao-hsien, 2015) Février 2016 – Le démon des femmes (Robert Aldrich, 1968) Janvier 2016 – La Commune (Paris 1871) (Peter Watkins, 2000) Décembre 2015 – Mia madre (Nanni Moretti, 2015) Novembre 2015 – Avril ou le monde truqué (Franck Ekinci & Christian Desmares, 2015) Octobre 2015 – Voyage à deux (Stanley Donen, 1967) Septembre 2015 – Une histoire simple (Claude Sautet, 1978) Août 2015 – La Marseillaise (Jean Renoir, 1938) Juillet 2015 – Lumière silencieuse (Carlos Reygadas, 2007) Juin 2015 – Vice-versa (Pete Docter & Ronaldo Del Carmen, 2015) Top 100 Mai 2015 – Deep end (Jerzy Skolimowski, 1970) Avril 2015 – Blue collar (Paul Schrader, 1978) Mars 2015 – Pandora (Albert Lewin, 1951) Février 2015 – La femme modèle (Vincente Minnelli, 1957) Janvier 2015 – Aventures en Birmanie (Raoul Walsh, 1945) Décembre 2014 – Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Elio Petri, 1970) Novembre 2014 – Lifeboat (Alfred Hitchcock, 1944) Octobre 2014 – Zardoz (John Boorman, 1974) Septembre 2014 – Un, deux, trois (Billy Wilder, 1961) Août 2014 – Le prix d’un homme (Lindsay Anderson, 1963) Juillet 2014 – Le soleil brille pour tout le monde (John Ford, 1953) Juin 2014 – Bird people (Pascale Ferran, 2014) Mai 2014 – Léon Morin, prêtre (Jean-Pierre Melville, 1961) Top 100 Avril 2014 – L’homme d’Aran (Robert Flaherty, 1934) Mars 2014 – Terre en transe (Glauber Rocha, 1967) Février 2014 – Minnie et Moskowitz (John Cassavetes, 1971) Janvier 2014 – 12 years a slave (Steve McQueen, 2013) Décembre 2013 – La jalousie (Philippe Garrel, 2013) Novembre 2013 – Elle et lui (Leo McCarey, 1957) Octobre 2013 – L’arbre aux sabots (Ermanno Olmi, 1978) Septembre 2013 – Blue Jasmine (Woody Allen, 2013) Août 2013 – La randonnée (Nicolas Roeg, 1971) Juillet 2013 – Le monde d’Apu (Satyajit Ray, 1959) Juin 2013 – Choses secrètes (Jean-Claude Brisseau, 2002) Mai 2013 – Mud (Jeff Nichols, 2012) Avril 2013 – Les espions (Fritz Lang, 1928) Mars 2013 – Chronique d’un été (Jean Rouch & Edgar Morin, 1961)
Février 2013 – Le salon de musique (Satyajit Ray, 1958) Janvier 2013 – L’heure suprême (Frank Borzage, 1927) Top 100
Décembre 2012 – Tabou (Miguel Gomes, 2012)
Novembre 2012 – Mark Dixon, détective (Otto Preminger, 1950)
Octobre 2012 – Point limite (Sidney Lumet, 1964)
Septembre 2012 – Scènes de la vie conjugale (Ingmar Bergman, 1973)
Août 2012 – Barberousse (Akira Kurosawa, 1965) Top 100
Juillet 2012 – Que le spectacle commence ! (Bob Fosse, 1979)
Juin 2012 – Pique-nique à Hanging Rock (Peter Weir, 1975)
Mai 2012 – Moonrise kingdom (Wes Anderson, 2012)
Avril 2012 – Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks, 1939) Top 100
Mars 2012 – L'intendant Sansho (Kenji Mizoguchi, 1954)
Février 2012 – L'ombre d'un doute (Alfred Hitchcock, 1943)
Janvier 2012 – Brève rencontre (David Lean, 1945)
Décembre 2011 – Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais, 1968)
Novembre 2011 – L'homme à la caméra (Dziga Vertov, 1929) Top 100 & L'incompris (Luigi Comencini, 1967) Top 100
Octobre 2011 – Georgia (Arthur Penn, 1981)
Septembre 2011 – Voyage à Tokyo (Yasujiro Ozu, 1953)
Août 2011 – Super 8 (J.J. Abrams, 2011)
Juillet 2011 – L'ami de mon amie (Éric Rohmer, 1987)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Ah oui ! Mimsy Farmer est excellente dans La traque !!
Je l'ai également beaucoup aimée dans More de Barbet Schroeder, Le parfum de la dame en noir de Francesco Barilli, Frissons d'horreur d'Armando Crispino et dans Quatre mouches de velours gris de Dario Argento. C'est vrai que cette actrice a beaucoup de charme ! Et elle est souvent convaincante...
Pas encore vu le Lautner, mais je crois que je ne vais pas tarder de le visionner (j'ai acheté le Make my day !).
"Vouloir le bonheur, c’est déjà un peu le bonheur"
Le Beau serge, A bout de souffle, Le Signe du Lion, Les 400 coups... on n'avait jamais eu autant raison de s'enthousiasmer pour les premiers films d'une toute une nouvelle génération de cinéastes appelée à former la Nouvelle Vague.
Je redécouvre avec quel plaisir Le Beau Serge en tout cas.