Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
G.T.O a écrit :The Omen, (Richard Donner) : 6,5/10 ❤︎
C'est marrant, j'ai toujours trouvé que ce film était meilleur que ce qu'on en disait.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Kevin95 a écrit :THE F.J. HOLDEN - Michael Thornhill (1977)
kesako ?
encore un truc que seul manuma connaissait avant que tu ne le decouvres....
Ça aurait pu (je propose un topic "La cuisine de manuma" dans lequel on trouverait ses conseils 70-80's) !
The F.J. Holden est un teen movie australien, célèbre là bas et complétement invisible ailleurs. Brutalement, c'est des bagnoles, de la bière et une certaine monotonie. Comme ça, ce n'est pas super excitant, mais dans son désir de peindre un quotidien, sans grand éclat dramatique/comique, le film dégage une mélancolie discrète, en douce (en tout cas sur moi). Sans s'en rendre compte, on est passé d'un climat à la Porky's à celui d'un Two-Lane Blacktop (dans les proportions d'un film d'oz-ploitation). Accessoirement, les scènes de biture, puent l’authenticité à plein nez. Une curiosité attachante.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Jack Carter a écrit :
kesako ?
encore un truc que seul manuma connaissait avant que tu ne le decouvres....
Ça aurait pu (je propose un topic "La cuisine de manuma" dans lequel on trouverait ses conseils 70-80's) !
The F.J. Holden est un teen movie australien, célèbre là bas et complétement invisible ailleurs. Brutalement, c'est des bagnoles, de la bière et une certaine monotonie. Comme ça, ce n'est pas super excitant, mais dans son désir de peindre un quotidien, sans grand éclat dramatique/comique, le film dégage une mélancolie discrète, en douce (en tout cas sur moi). Sans s'en rendre compte, on est passé d'un climat à la Porky's à celui d'un Two-Lane Blacktop (dans les proportions d'un film d'oz-ploitation). Accessoirement, les scènes de biture, puent l’authenticité à plein nez. Une curiosité attachante.
Vu dans une copie dégueulasse sur Youtube, mais il existe un DVD australien. Je préconise d'attendre, il parait évident qu'un BR sortira un de ces quatre chez l'éditeur Umbrella.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Tess - Roman Polanski (1979) - 9/10 Avril et le Monde truqué - Christian Desmares et Franck Ekinci (2015) - 8/10 Comment Wang-Fô fut sauvé - René Laloux (1983) - 8/10 Detroit - Kathryn Bigelow (2017) - 8/10 Joker - Todd Phillips (2019) - 8/10 Re-Animator - Stuart Gordon (1985) - 7/10 Les Contes de Terremer - Goro Miyazaki (2006) - 7/10 Evangelion 2.0 : You Can (Not) Advance - Hideaki Anno, Masayuki et Kazuya Tsurumaki (2009) - 7/10 Mulan - Barry Cook et Tony Bancroft (1998) - 6/10 The End of Evangelion - Hideaki Anno et Kazuya Tsurumaki (1997) - 6/10 Evangelion 1.0 : You Are (Not) Alone - Hideaki Anno, Masayuki et Kazuya Tsurumaki (2007) - 6/10 Evangelion 3.0 : You Can (Not) Redo - Hideaki Anno, Mahiro Maeda, Masayuki (2012) - 5/10 Tout ce qui vole n'est pas oiseau - Borislav Sajtinac (1970) - 5/10 Les Sœurs fâchées - Alexandra Leclère (2004) - 5/10 Alibi.com - Philippe Lacheau (2017) - 4/10 La Prisonnière - Caza et René Laloux (1985) - 4/10 Neon Genesis Evangelion : Death and Rebirth - Hideaki Anno et Masayuki (1997) - 4/10
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REVUS
Le Voyage de Chihiro - Hayao Miyazaki (2001) - 10/10 Le Labyrinthe de Pan - Guillermo del Toro (2006) - 9/10 Gandahar - René Laloux (1988) - 8/10 Mission : Impossible - Rogue Nation - Christopher McQuarrie (2015) - 8/10 Space Adventure Cobra - Le Film - Osamu Dezaki (1982) - 8/10 Starbuck - Ken Scott (2011) - 8/10 Blanche-Neige et les Sept Nains - William Cottrell, David Hand, Wilfred Jackson (1937) - 7/10 Sherlock Holmes attaque l'Orient-Express - Herbert Ross (1976) - 7/10 La Belle au bois dormant - Clyde Geronimi (1959) - 7/10 Godzilla - Gareth Edwards (2014) - 6/10 Harlequin - Simon Wincer (1980) - 6/10 City Hunter: Shinjuku Private Eyes - Kenji Jodama (2019) - 5/10
L'occasion de rappeler que Nastassja Kinski, qui est l'une des plus belles actrices que la terre ait portée, n'a peut-être jamais été aussi magnifique qu'ici.
Encore que Coup de Coeur, et La Féline, et Paris, Texas, et Maria's Lovers... Non en fait, je n'en sais rien.
Thaddeus a écrit :L'occasion de rappeler que Nastassja Kinski, qui est l'une des plus belles actrices que la terre ait portée, n'a peut-être jamais été aussi magnifique qu'ici.
Encore que Coup de Coeur, et La Féline, et Paris, Texas, et Maria's Lovers... Non en fait, je n'en sais rien.
La féline haut la main, pour moi (revu pas plus tard qu'hier soir). La fragilité de son personnage dans le film constitue ici un merveilleux mélange avec la sensualité naturelle que dégage la comédienne. Son regard est, à lui tout seul, extraordinaire.
Mais je partage ton amour pour Nastassja d'une manière générale.
Thaddeus a écrit :L'occasion de rappeler que Nastassja Kinski, qui est l'une des plus belles actrices que la terre ait portée, n'a peut-être jamais été aussi magnifique qu'ici.
Encore que Coup de Coeur, et La Féline, et Paris, Texas, et Maria's Lovers... Non en fait, je n'en sais rien.
La féline haut la main, pour moi (revu pas plus tard qu'hier soir). La fragilité de son personnage dans le film constitue ici un merveilleux mélange avec la sensualité naturelle que dégage la comédienne. Son regard est, à lui tout seul, extraordinaire.
Mais je partage ton amour pour Nastassja d'une manière générale.