Commentaires à propos de votre film du mois

[Arn]

Un nouveau prétendant pour ce mois qui s'annonce bien compliqué à départager avec la découverte de l'Affaire Cicéron (1952) de Mankiewicz à l'occasion de la rétrospective à la Cinémathèque de Paris.

[Rick Blaine]

Un nouveau prétendant pour ce mois qui s'annonce bien compliqué à départager avec la découverte de l'Affaire Cicéron (1952) de Mankiewicz à l'occasion de la rétrospective à la Cinémathèque de Paris.

J'adore ce film, formidable !

[Arn]

Oui un sacré sens du rythme et puis que ce soit niveau mise en scène ou écriture (dialogue compris) c'est de l'orfèvrerie.
Très hâte de découvrir pas mal d'autre film de Mankiewicz sur grand écran (et tout court) à l'occasion de cette rétrospective.

[Flol]

JUIN 2019

Creed 2 - Steven Caple Jr. 6/10
Parasite - Bong Joon-Ho 7,5/10
Le grand bain - Gilles Lellouche 6/10

Chernobyl (TV) - Craig Mazin 8,5/10

RE :

Mon voisin Totoro - Hayao Miyazaki 8/10
Inglourious Basterds - Quentin Tarantino 8/10
Zodiac - David Fincher 8,5/10

[AtCloseRange]

JUIN 2019

Creed 2 - Steven Caple Jr. 6/10
Parasite - Bong Joon-Ho 7,5/10
Le grand bain - Gilles Lellouche 6/10

Chernobyl (TV) - Craig Mazin 8,5/10

RE :

Mon voisin Totoro - Hayao Miyazaki 8/10
Inglourious Basterds - Quentin Tarantino 8/10
Zodiac - David Fincher 8,5/10

Et il aime presque les films de Gilles Lellouche, il a changé.

[Flol]

Et ton récap à toi, il est où ?

[AtCloseRange]

Allez si je dois en mettre un

[G.T.O]

Redécouverte de l’épopée magistrale d’Oliver Stone, Any Given Sunday. Football américain et lutte inter-générationnelle, filmé comme un combat de gladiateur

[Watkinssien]

Redécouverte de l’épopée magistrale d’Oliver Stone, Any Given Sunday. Football américain et lutte inter-générationnelle, filmé comme un combat de gladiateur

Yes, tu fais plaisir.

[Alexandre Angel]

Tolkien, de Dome Karukoski (2019) 8/10 - Une narration fluide, une belle écriture, un casting efficace et charmant, un production design souvent élégant, on se laisse volontiers séduire par ce biopic qui est aussi un récit d'amitié et d'amour.

Tu me donnes envie.

[cinephage]

Tolkien, de Dome Karukoski (2019) 8/10 - Une narration fluide, une belle écriture, un casting efficace et charmant, un production design souvent élégant, on se laisse volontiers séduire par ce biopic qui est aussi un récit d'amitié et d'amour.

Tu me donnes envie.

J'aime bien Nicholas Hoult, malgré quelques erreurs de parcours, c'est un comédien que je trouve attachant.
Ici, le film ne cherche pas à a aller au delà de son récit, la forme reste modeste, mais assez maitrisée. Alors c'est sans doute un peu romancé ici ou là, il est probable que pour des raisons de droit ils n'aient pas pu aller trop loin pour développer l'univers de Tolkien, mais paradoxalement, le film tire profit de cette contrainte en se concentrant sur les années de jeunesse, les amitiés et les amours du jeune écrivain en herbe, et là, j'ai trouvé que l'alchimie entre les comédiens fonctionnait. La présence de Colm Meany, autre acteur que j'aime bien, apporte comme une caution de qualité à l'ensemble... Bref, je me demandais ce qu'allait raconter le film, comment on évoque la naissance d'un écrivain, et la réponse, bien que modeste, ou peut-être grace à cette modestie, reste une proposition intéressante.

[Major Tom]

Une très bonne surprise, toute récente et qui vient de chez nous :


L'Heure de la sortie (Sébastien Marnier - 2018)

[Roilo Pintu]

Redécouverte de l’épopée magistrale d’Oliver Stone, Any Given Sunday. Football américain et lutte inter-générationnelle, filmé comme un combat de gladiateur

J'adore cette scène. Elle me file à chaque fois des frissons.
Ce speech, cette musique qui monte, le montage, et puis Al Pacino!

[G.T.O]

Redécouverte de l’épopée magistrale d’Oliver Stone, Any Given Sunday. Football américain et lutte inter-générationnelle, filmé comme un combat de gladiateur

J'adore cette scène. Elle me file à chaque fois des frissons.
Ce speech, cette musique qui monte, le montage, et puis Al Pacino!

Effectivement, une belle scène de coaching: bien écrite, bien jouée, émouvante. Avec plusieurs niveaux de lecture; car, au-delà du dit, elle résonne comme un constat sur le caractère -éphémère- de tout spectacle. Et donc, par extension, sur le cinéma lui-même. Aussi, l'émotion qu'elle suscite n'est sans doute pas étrangère au fait qu'elle soit interprétée par Pacino, et que ces mots soient dits par lui, ce grand acteur shakespearien au soir de sa carrière. Ce speech sonne comme un chant du cygne.

[Major Tom]

Une très bonne surprise, toute récente et qui vient de chez nous :

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L'Heure de la sortie (Sébastien Marnier - 2018)

Ça va être dur à départager, mais le temps de faire mûrir tout ça et je pense que celui-ci va finir par gagner d'un chouia:



Une Intime conviction (Antoine Raimbault - 2019)