Commentaires à propos de votre film du mois

[AntonChigurh]

Un Condé-Yves Boisset : Abandon

Ca mérite une explication !!

#teamJeremyFox .
(J'ai tenu quand même environ 50 minutes )

Je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'atmosphère du film malgré la séquence d'ouverture dans la ruelle qui laissait augurer du meilleur.
Pas convaincu par les interprétations ni par les dialogues.
Puis le personnage du "caïd" m'a vite tapé sur les nerfs, notamment pendant la scène de saccage du bar que j'ai trouvé assez ridicule.

Je l'ai regardé dimanche en début d'après-midi après un repas copieux, il faisait une chaleur d'été du coup ça n'a pas manqué j'ai failli roupiller pour de bon plusieurs fois avant d'abandonner...
(Le mec qui se cherche des excuses... )
J'ai mis un épisode de Game of Thrones à la place et ça m'a réveillé .

Je vais quand même tenter Le Shériff et L'attentat envers lesquels j'ai plus d'espoir .

[Jack Carter]

Film de mai 2019 :

Heartworn Highways (James Szalapski, 1976)

Kesako ?

[Rick Blaine]

Ca mérite une explication !!

#teamJeremyFox .
(J'ai tenu quand même environ 50 minutes )

Je vais quand même tenter Le Shériff et L'attentat envers lesquels j'ai plus d'espoir .

Je croise les doigts, mais il y a un risque. Je trouve qu'Un condé est une de ses belles réussites, du point de vue de l'ambiance et de l'esthétique, et les deux que tu cites partagent une ambition similaire.
Tente d'abord Le Shériff, probablement moins austère même si j'adore l'Attentat.

[AtCloseRange]

Allez, je relance la machine...

5 Découvertes de Mai :

THE BIG HEAT - Fritz Lang (1953)

Gloria me fait des choses…

Faut que je tente le Rosi qui traîne sur FilmoTV.

[Alexandre Angel]

Gloria me fait des choses…

C'est vague.

[AntonChigurh]

Je vais quand même tenter Le Shériff et L'attentat envers lesquels j'ai plus d'espoir .

Je croise les doigts, mais il y a un risque. Je trouve qu'Un condé est une de ses belles réussites, du point de vue de l'ambiance et de l'esthétique, et les deux que tu cites partagent une ambition similaire.
Tente d'abord Le Shériff, probablement moins austère même si j'adore l'Attentat.

Merci pour tes conseils Rick Blaine , j'en prends bonne note .
J'avais survolé de vieux posts sur Yves Boisset et il me semble que tu disais déjà à l'époque qu'Un Condé était le film dans lequel la mise en scène était la plus soignée, que ce n'était pas son fort en général...

Sinon la semaine dernière dans le registre "polar français d'époque pas trop connu" j'avais regardé Des femmes disparaissent d'Édouard Molinaro et j'avais bien aimé .

[Rick Blaine]

J'avais survolé de vieux posts sur Yves Boisset et il me semble que tu disais déjà à l'époque qu'Un Condé était le film dans lequel la mise en scène était la plus soignée, que ce n'était pas son fort en général...

J'adore un condé, pour moi c'est une grande réussite. Et j'aime énormément Boisset de manière générale. Ce que je voulais dire dans le topic, c'est que Un condé me semblait un exemple plus flagrant du talent de metteur en scène de Boisset à destination de ses détracteurs, car il est malheureusement souvent considéré comme un tâcheron, ce qui est à mon avis faux. Dans beaucoup de ses films, la mise en scène sert très bien le propos, mais disons que Un condé me semble avoir l'esthétique la lus frappante dans sa filmo

Sinon la semaine dernière dans le registre "polar français d'époque pas trop connu" j'avais regardé Des femmes disparaissent d'Édouard Molinaro et j'avais bien aimé .

Excellent
Tout comme Le dos au mur et, bien sur, Un témoin dans la ville.

[Alexandre Angel]

J'avais survolé de vieux posts sur Yves Boisset et il me semble que tu disais déjà à l'époque qu'Un Condé était le film dans lequel la mise en scène était la plus soignée, que ce n'était pas son fort en général...

J'adore un condé, pour moi c'est une grande réussite. Et j'aime énormément Boisset de manière générale. Ce que je voulais dire dans le topic, c'est que Un condé me semblait un exemple plus flagrant du talent de metteur en scène de Boisset à destination de ses détracteurs, car il est malheureusement souvent considéré comme un tâcheron, ce qui est à mon avis faux. Dans beaucoup de ses films, la mise en scène sert très bien le propos, mais disons que Un condé me semble avoir l'esthétique la lus frappante dans sa filmo

J'aime aussi Un Condé.
Allons z' enfants (je ne suis pas sûr de l'avoir écrit correctement) est un de ses meilleurs films, sinon peut-être le meilleur.
R.A.S. est important aussi.
Qui a revu Le Prix du Danger?

[Rick Blaine]

Allons z' enfants (je ne suis pas sûr de l'avoir écrit correctement) est un de ses meilleurs films, sinon peut-être le meilleur.

Je le pense aussi, c'est un film remarquable, sur le fond comme sur la forme.

Qui a revu Le Prix du Danger?

Moi il y a quelques années, je trouve que c'est un film très réussi, avec une très belle qualité d'écriture. L'esthétique, en ligne avec le sujet, est plus "série B" mais je la trouve très chouette.

[Alexandre Angel]

Moi il y a quelques années, je trouve que c'est un film très réussi, avec une très belle qualité d'écriture. L'esthétique, en ligne avec le sujet, est plus "série B" mais je la trouve très chouette.

J'avais vu Le Prix du Danger à sa sortie (et revu pas si longtemps après à la TV) et avais trouvé ça mauvais.

Mais je veux bien croire que le temps peut jouer pour lui.

En fait, il faut que je me décide à me payer le coffret dvd qui contenait ces trois films, si il est toujours disponible.
Je peux comprendre Anton car en ce qui me concerne, c'est typiquement le genre de cinéma que je redécouvre timidement depuis une dizaine d'année.

[AntonChigurh]

J'avais survolé de vieux posts sur Yves Boisset et il me semble que tu disais déjà à l'époque qu'Un Condé était le film dans lequel la mise en scène était la plus soignée, que ce n'était pas son fort en général...

J'adore un condé, pour moi c'est une grande réussite. Et j'aime énormément Boisset de manière générale. Ce que je voulais dire dans le topic, c'est que Un condé me semblait un exemple plus flagrant du talent de metteur en scène de Boisset à destination de ses détracteurs, car il est malheureusement souvent considéré comme un tâcheron, ce qui est à mon avis faux. Dans beaucoup de ses films, la mise en scène sert très bien le propos, mais disons que Un condé me semble avoir l'esthétique la plus frappante dans sa filmo

J'y ai vu de beaux plans/mouvements de caméra c'est indéniable :

Spoiler (cliquez pour afficher)

la bagarre dans la ruelle, la chute du toit, les exécutions dans l'immeuble...

Dommage que je n'ai pas accroché au reste...

Sinon la semaine dernière dans le registre "polar français d'époque pas trop connu" j'avais regardé Des femmes disparaissent d'Édouard Molinaro et j'avais bien aimé .

Excellent
Tout comme Le dos au mur et, bien sur, Un témoin dans la ville.

Une très bonne surprise, je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi "classe" .
De bons accès de violence également et des personnages charismatiques, Robert Hossein en tête.
Estella Blain y est sublime...

Je note pour Le dos au mur et Un témoin dans la ville .

[Major Tom]

Sinon la semaine dernière dans le registre "polar français d'époque pas trop connu" j'avais regardé Des femmes disparaissent d'Édouard Molinaro et j'avais bien aimé .

Excellent
Tout comme Le dos au mur et, bien sur, Un témoin dans la ville.

Une très bonne surprise, je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi "classe" .
De bons accès de violence également et des personnages charismatiques, Robert Hossein en tête.
Estella Blain y est sublime...

Je note pour Le dos au mur et Un témoin dans la ville .

A oui ! J'aime beaucoup les premiers polars de Molinaro. Et je rejoins Rick sur les deux autres titres, si tu as aimé Des femmes disparaissent, ceux-là (que je trouve meilleurs) tu devrais beaucoup les apprécier.

[Rick Blaine]

De bons accès de violence également et des personnages charismatiques, Robert Hossein en tête.

Hossein est excellent dans ce registre. C'est vraiment une figure de cet age d'or du polar français, devant ou derrière la caméra (Toi, le venin, excellent.
Sur la fin des années 50/début 60, il y a vraiment eu une révolution dans le registre, avec cette série de néo-noirs jazzys et tourmentés où la caméra descend dans la rue et dans l'âme de ses protagonistes. Avec le recul, c'est pour moi un mouvement qui trouble beaucoup la pseudo frontière nette que créerait l'arrivée de la nouvelle vague : cinéma en décors naturels, influencé par le genre américain, peu de prises, ... Hossein en est l'une des figures de prou, avec Molinaro ainsi que Frederic Dard, pour ses nombreuses contributions scénaristiques (voir le très bon Monte-charge)

Comme dit le Major, en plus les deux autres Molinaro sont encore meilleurs, tu as de quoi te régaler.

[AntonChigurh]

Il a "la tête de l'emploi" en plus !.
Encore merci pour ce petit paragraphe passionnant à lire et enrichissant ; c'est un univers que je découvre seulement donc comme vous dites Major et toi le meilleur reste à venir...
(J'avais mis 7/10 à Des femmes disparaissent : la note que j'attribue habituellement aux films qui procurent un plaisir instantané et donnent envie d'être redécouverts)

[Jeremy Fox]

Ca mérite une explication !!

#teamJeremyFox .
(J'ai tenu quand même environ 50 minutes )

Je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'atmosphère du film malgré la séquence d'ouverture dans la ruelle qui laissait augurer du meilleur.
Pas convaincu par les interprétations ni par les dialogues.
Puis le personnage du "caïd" m'a vite tapé sur les nerfs, notamment pendant la scène de saccage du bar que j'ai trouvé assez ridicule.

Je l'ai regardé dimanche en début d'après-midi après un repas copieux, il faisait une chaleur d'été du coup ça n'a pas manqué j'ai failli roupiller pour de bon plusieurs fois avant d'abandonner...
(Le mec qui se cherche des excuses... )
J'ai mis un épisode de Game of Thrones à la place et ça m'a réveillé .
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Tout pareil

Le Juge Fayard, tu peux y aller