Commentaires à propos de votre film du mois
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Cool de voir cité La chaine, il y a des lourdeurs dans certains Kramer mais celui ci est excellent.
Et je me suis pris Protégé du coup. Derek Yee - auteur d'un de mes polars HK préférés, Une nuit à Mongkok - et Andy Lau, ça s'annonce bien.
Et je me suis pris Protégé du coup. Derek Yee - auteur d'un de mes polars HK préférés, Une nuit à Mongkok - et Andy Lau, ça s'annonce bien.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
27 films vus pour ma part dont 18 découvertes. Petit nombre car j'ai attaqué le visionnage de la série Sons of Anarchy (que je ne trouve pas extraordinaire).
Je retiens les 10 que voici et dans l'ordre pour changer :
Apocalypse Now-Francis Ford Coppola
Casino-Martin Scorsese
The Proposition-John Hillcoat
Hana-bi-Takeshi Kitano
Mektoub my love : canto uno-Abdellatif Kechiche
Collateral-Michael Mann
The Firm-Alan Clarke
The Way Way Back-Nat Faxon and Jim Rash
The Girl with All the Gifts-Colm McCarthy
99 Homes-Ramin Bahrani
Je retiens les 10 que voici et dans l'ordre pour changer :
Apocalypse Now-Francis Ford Coppola
Casino-Martin Scorsese
The Proposition-John Hillcoat
Hana-bi-Takeshi Kitano
Mektoub my love : canto uno-Abdellatif Kechiche
Collateral-Michael Mann
The Firm-Alan Clarke
The Way Way Back-Nat Faxon and Jim Rash
The Girl with All the Gifts-Colm McCarthy
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Découvert aussi ce mois ci Une nuit à Mongkok, j'ai pas trouvé ça convaincant. Le récit qui part dans de multiples directions mais n'en développe correctement aucunes et des personnages plus agaçants (les flics surtout) qu'intéressants qui s'avèrent peu développé. Le film semble rester avec un point de vue en hauteur, sans rentrer dans son (ses) récit(s). L'élément vraiment intéressant qui aurait mérité d'être le sujet principal du film : la mise en avant de la scission Chine / HK, à travers les personnages de la prostitué et du tueur, la barrière de la langue, le mépris de leurs conditions (les "bouseux" en transit venus dans la grande ville faire de l'argent face aux citadins)Rick Blaine a écrit :Et je me suis pris Protégé du coup. Derek Yee - auteur d'un de mes polars HK préférés, Une nuit à Mongkok - et Andy Lau, ça s'annonce bien.
Je voulais découvrir Shooter mais le vendeur Priceminister a annulé la vente et j'ai pas cherché à le recommander ailleurs pour le moment.
Protégé c'est beaucoup plus prenant malgré une intrigue déjà vue (le flic infiltré) et quelques scories par ci par là. On échappe pas à la morale assénée "la drogue c'est pas bien" dans plusieurs scènes et certains effets visuels sont un peu grotesques. Mais ça ne se ménage pas dans la violence physique et psychologique liée au sujet.
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois étonnamment chargé (32 films découverts, 7 revus et 3 séries suivies en même temps), qui avait très bien commencé avec 3 films notés 8/10 en une semaine, mais n'a pas très bien fini (merci Netflix).
1.
L'Île au Trésor - Guillaume Brac
2.
Portrait of Jennie - William Dieterle
3.
Resolution - Justin Benson & Aaron Moorhead
4.
The Browning Version - Anthony Asquith
5.
Incredibles 2 - Brad Bird
Mention spéciale à The Endless (Benson & Moorhead again), Gregory's Girl (Bill Forsyth), Au Poste ! (Dupieux), Night Train Murders (sorte de remake italien en encore plus tordu de La Source, et donc de The Last House on the Left, signé Aldo Lado) et à la trilogie de l'enfance de Terence Davies.
1.
L'Île au Trésor - Guillaume Brac
2.
Portrait of Jennie - William Dieterle
3.
Resolution - Justin Benson & Aaron Moorhead
4.
The Browning Version - Anthony Asquith
5.
Incredibles 2 - Brad Bird
Mention spéciale à The Endless (Benson & Moorhead again), Gregory's Girl (Bill Forsyth), Au Poste ! (Dupieux), Night Train Murders (sorte de remake italien en encore plus tordu de La Source, et donc de The Last House on the Left, signé Aldo Lado) et à la trilogie de l'enfance de Terence Davies.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je me souviens avoir aimé, même si ça n’atteint pas le sommet Mongkok.Rick Blaine a écrit :Cool de voir cité La chaine, il y a des lourdeurs dans certains Kramer mais celui ci est excellent.
Et je me suis pris Protégé du coup. Derek Yee - auteur d'un de mes polars HK préférés, Une nuit à Mongkok - et Andy Lau, ça s'annonce bien.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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AntonChigurh a écrit :27 films vus pour ma part dont 18 découvertes. Petit nombre car j'ai attaqué le visionnage de la série Sons of Anarchy (que je ne trouve pas extraordinaire).
Je ne sais pas où tu en es mais je trouve que c'est une très grande série qui prend son essor peu après la moitié de la saison 1.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en juillet
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Mektoub my love. Canto uno (Abdellatif Kechiche, 2018) ***
En 1994, un jeune homme monté à Paris revient passer l'été à Sète où il retrouve famille et amis. Entre plage, boîtes et balades, leurs jours et leurs nuits s'écoulent (presque) sans conflit. Ce qui pourrait donner un film terne offre tout le contraire : le sensualité des visages, des corps et de la photo, la mise en scène et le magnétisme des acteurs font de cette ode au miracle d'être vivant un chef-d'oeuvre dont chacun peut avoir son interprétation. BR FR
L'Apparition (Xavier Giannoli, 2018) ***
Dans les Préalpes, un reporter de guerre (Vincent Lindon) participe à une commission d'enquête demandée par le Vatican sur des apparitions mariales à une jeune fille (Galatea Bellugi). Intrigant et intelligent, ce thriller religieux (et social, et politique...) offre une réflexion sans jugement ni parti-pris sur le mystère de la foi, ascendant et descendant, en s'ancrant dans l'actualité contemporaine de façon admirable. Un très bon film sur un sujet piégé. BR FR
Les apprentis (Pierre Salvadori, 1995) **
A Paris, le quotidien de galère de deux amis losers. La trame de cette comédie douce-amère révèle une touchante métaphore sur la dépression qui frappe le personnage incarné par François Cluzet, dont celui de Guillaume Depardieu serait la force de vie. C'est bien vu et l'absurde de plusieurs gags est très drôle mais il manque, pour en faire un plus grand film, du lien entre les séquences qui n'enchaînent qu'une suite de moments disjoints. Belle fin. DVD FR
The maze (William Cameron Menzies, 1953) **
L'héritier d'un vieux château écossais s'y reclut, refuse les visites et rompt son mariage. Sa fiancée abandonnée, venue voir ce qui se passe, y découvre une présence mystérieuse liée à un labyrinthe. Une sympathique série B suspense/fantastique, un peu trop bavarde mais où l'atmosphère gothique fonctionne bien. La résolution est risible mais concourt au charme de l'ensemble. Il paraît que la 3D d'époque est exceptionnelle. BR US (vu en 2D)
Fiertés (Philippe Faucon, 2018) **
De la dépénalisation de 1981 au mariage de 2013 en passant par le PACS de 1999, les avancées sociétales et légales LGBT françaises à travers trois moments de la vie affective d'un gay parisien. En s'attachant au parcours personnel d'un individu et de ses proches, cette mini-série d'Arte évoque avec solidité et émotion les implications au quotidien des changements. La réalisation n'est qu'un cran au-dessus de "Plus belle la vie" mais qu'importe. DVD FR
Pinocchio (Walt Disney, Hamilton Luske & Ben Sharpsteen, 1940) ***
Un pantin merveilleusement animé apprend à ses dépends la tentation et le courage. Le deuxième classique de Disney est un chef-d'oeuvre intemporel où les péripéties, la féérie, la musique, l'humour, le drame (c'est un film sombre) et la morale se mêlent en un dosage parfait. Certaines des séquences sont parmi les plus belles de toute l'histoire de l'animation. En le revoyant, j'ai réalisé que "Pinocchio" était un "Eyes Wide Shut" pour enfants. BR FR
The endless (Justin Benson & Aaron Moorhead, 2017) 0
Deux frères échappés d'une secte dans leur adolescence y reviennent en visite et sont confrontés à des phénomènes temporels inquiétants. Si le thème est un vrai sujet (la nécessaire rupture avec les schémas familiaux), le traitement est désastreux, entre un poussif scénario en accumulation d'énigmes, le jeu incompétent des acteurs (dont les réalisateurs) et le rythme anémié. Un film fantastique nul, aux bonnes critiques désespérantes. BR UK
Klown / Klovn: the movie (Mikkel Norgaard, 2010) 0
Un futur père indigne, accompagné d'un ami qui ne pense qu'à se taper de la meuf, emmène son neveu d'une dizaine d'années en week-end. Succès à sa sortie au Danemark, cette adaptation à l'écran d'une série force sur le lourd, le gras et le potache dans une succession de séquences de situations sexuelles volontairement ridicules pour faire marrer le spectateur. J'ai laissé tomber au bout de 45' mais il paraît que la fin est pas mal. Ah bon ? BR UK
Moi, Tonya / I, Tonya (Craig Gillespie, 2017) **
La chute de la patineuse badass Tonya Harding (Margot Robbie, formidable), impliquée - à tort ou à raison - dans l'agression à la barre de fer de sa rivale Nancy Kerrigan avant les JO de Lillehammer. Le film fait du tonitruant scandale sportif de 1994 une satire de l'Amérique d'en-bas en orientant le propos vers la réhabilitation de Harding. La farce de certaines situations jure avec la violence continue des abus qu'elle subit. C'est un peu douteux. BR UK
Female trouble (John Waters, 1974) *** Mon film du mois
A Baltimore, le parcours débridé d'une pouffiasse obsédée de gloire. Chaque instant de ce vrai film culte est un assaut à la bien pensance, à la convention et à l'ouïe par ses provocations visuelles et thématiques, sa fureur anarchiste et le jeu outrancier et hurlant des Dreamlanders (Divine, iconique et David Lochary, Edith Massey, Mary Vivian Pearce, Mink Stole, Cookie Mueller : ils y sont tous). Du cinéma entièrement libre qui n'appartient qu'à John Waters. BR US
Nos années folles (André Téchiné, 2017) *
Un soldat déserteur de la Guerre de 14 que son épouse a l'idée de travestir en femme pour échapper à l'exécution y prend goût, s'y révèle et ne veut pas revenir à la virilité. L'affaire Paul Grappe est un sujet vertigineux qui soulève de nombreuses questions. Malheureusement, ce film au titre malhabile souffre d'une construction artificielle qui plonge le spectateur dans l'ennui. Pierre Deladonchamps et Céline Sallette, eux, sont très bons. BR FR
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Mektoub my love. Canto uno (Abdellatif Kechiche, 2018) ***
En 1994, un jeune homme monté à Paris revient passer l'été à Sète où il retrouve famille et amis. Entre plage, boîtes et balades, leurs jours et leurs nuits s'écoulent (presque) sans conflit. Ce qui pourrait donner un film terne offre tout le contraire : le sensualité des visages, des corps et de la photo, la mise en scène et le magnétisme des acteurs font de cette ode au miracle d'être vivant un chef-d'oeuvre dont chacun peut avoir son interprétation. BR FR
L'Apparition (Xavier Giannoli, 2018) ***
Dans les Préalpes, un reporter de guerre (Vincent Lindon) participe à une commission d'enquête demandée par le Vatican sur des apparitions mariales à une jeune fille (Galatea Bellugi). Intrigant et intelligent, ce thriller religieux (et social, et politique...) offre une réflexion sans jugement ni parti-pris sur le mystère de la foi, ascendant et descendant, en s'ancrant dans l'actualité contemporaine de façon admirable. Un très bon film sur un sujet piégé. BR FR
Les apprentis (Pierre Salvadori, 1995) **
A Paris, le quotidien de galère de deux amis losers. La trame de cette comédie douce-amère révèle une touchante métaphore sur la dépression qui frappe le personnage incarné par François Cluzet, dont celui de Guillaume Depardieu serait la force de vie. C'est bien vu et l'absurde de plusieurs gags est très drôle mais il manque, pour en faire un plus grand film, du lien entre les séquences qui n'enchaînent qu'une suite de moments disjoints. Belle fin. DVD FR
The maze (William Cameron Menzies, 1953) **
L'héritier d'un vieux château écossais s'y reclut, refuse les visites et rompt son mariage. Sa fiancée abandonnée, venue voir ce qui se passe, y découvre une présence mystérieuse liée à un labyrinthe. Une sympathique série B suspense/fantastique, un peu trop bavarde mais où l'atmosphère gothique fonctionne bien. La résolution est risible mais concourt au charme de l'ensemble. Il paraît que la 3D d'époque est exceptionnelle. BR US (vu en 2D)
Fiertés (Philippe Faucon, 2018) **
De la dépénalisation de 1981 au mariage de 2013 en passant par le PACS de 1999, les avancées sociétales et légales LGBT françaises à travers trois moments de la vie affective d'un gay parisien. En s'attachant au parcours personnel d'un individu et de ses proches, cette mini-série d'Arte évoque avec solidité et émotion les implications au quotidien des changements. La réalisation n'est qu'un cran au-dessus de "Plus belle la vie" mais qu'importe. DVD FR
Pinocchio (Walt Disney, Hamilton Luske & Ben Sharpsteen, 1940) ***
Un pantin merveilleusement animé apprend à ses dépends la tentation et le courage. Le deuxième classique de Disney est un chef-d'oeuvre intemporel où les péripéties, la féérie, la musique, l'humour, le drame (c'est un film sombre) et la morale se mêlent en un dosage parfait. Certaines des séquences sont parmi les plus belles de toute l'histoire de l'animation. En le revoyant, j'ai réalisé que "Pinocchio" était un "Eyes Wide Shut" pour enfants. BR FR
The endless (Justin Benson & Aaron Moorhead, 2017) 0
Deux frères échappés d'une secte dans leur adolescence y reviennent en visite et sont confrontés à des phénomènes temporels inquiétants. Si le thème est un vrai sujet (la nécessaire rupture avec les schémas familiaux), le traitement est désastreux, entre un poussif scénario en accumulation d'énigmes, le jeu incompétent des acteurs (dont les réalisateurs) et le rythme anémié. Un film fantastique nul, aux bonnes critiques désespérantes. BR UK
Klown / Klovn: the movie (Mikkel Norgaard, 2010) 0
Un futur père indigne, accompagné d'un ami qui ne pense qu'à se taper de la meuf, emmène son neveu d'une dizaine d'années en week-end. Succès à sa sortie au Danemark, cette adaptation à l'écran d'une série force sur le lourd, le gras et le potache dans une succession de séquences de situations sexuelles volontairement ridicules pour faire marrer le spectateur. J'ai laissé tomber au bout de 45' mais il paraît que la fin est pas mal. Ah bon ? BR UK
Moi, Tonya / I, Tonya (Craig Gillespie, 2017) **
La chute de la patineuse badass Tonya Harding (Margot Robbie, formidable), impliquée - à tort ou à raison - dans l'agression à la barre de fer de sa rivale Nancy Kerrigan avant les JO de Lillehammer. Le film fait du tonitruant scandale sportif de 1994 une satire de l'Amérique d'en-bas en orientant le propos vers la réhabilitation de Harding. La farce de certaines situations jure avec la violence continue des abus qu'elle subit. C'est un peu douteux. BR UK
Female trouble (John Waters, 1974) *** Mon film du mois
A Baltimore, le parcours débridé d'une pouffiasse obsédée de gloire. Chaque instant de ce vrai film culte est un assaut à la bien pensance, à la convention et à l'ouïe par ses provocations visuelles et thématiques, sa fureur anarchiste et le jeu outrancier et hurlant des Dreamlanders (Divine, iconique et David Lochary, Edith Massey, Mary Vivian Pearce, Mink Stole, Cookie Mueller : ils y sont tous). Du cinéma entièrement libre qui n'appartient qu'à John Waters. BR US
Nos années folles (André Téchiné, 2017) *
Un soldat déserteur de la Guerre de 14 que son épouse a l'idée de travestir en femme pour échapper à l'exécution y prend goût, s'y révèle et ne veut pas revenir à la virilité. L'affaire Paul Grappe est un sujet vertigineux qui soulève de nombreuses questions. Malheureusement, ce film au titre malhabile souffre d'une construction artificielle qui plonge le spectateur dans l'ennui. Pierre Deladonchamps et Céline Sallette, eux, sont très bons. BR FR
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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Peu de choses mémorables sur une trentaine de films découverts
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Oh My God (2013, Louis CK)
Plié de rire comme rarement devant ce spectacle de Louis CK. Toujours une valeur sûre.
Plié de rire comme rarement devant ce spectacle de Louis CK. Toujours une valeur sûre.
Je ne peux rien citer, j'ai pas de mémoire...
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28 films (re)vus en Juillet et le numéro 1 est le formidable Nashville :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
L'excellence :
Une découverte pour cette comédie de mœurs lo-fi de Buscemi, formidablement interprétée et dont la fin m'a agréablement surpris.
... et une re-re-re-vision dont je ne me lasse pas. Cette comédie malicieuse de Ricky Gervais me fait l'effet d'un petit miracle inespéré et me rappelle Ramis, Cleese et consorts. Je suis toujours étonné par la précision et la qualité de son écriture, et tous les départements sont au diapason. Un petit film qui n'a décidément pas eu le succès qu'il méritait.
Très bon :
Du bon boulot d'honnêtes artisans. Appliqué, bien écrit, bien mis en images et solidement interprété.
Médiocre :
2 comédies françaises qui ne parviennent jamais à magnifier leurs synopsis et qui ne dépassent pas le comique de situation basique, répétitif et éculé.
Suivies par 2 films de SF laborieux, mal inspirés, mal filmés, mal écrits, mal interprétés, mal sonorisés, mal mis en musique, mal montés.
Pathétique :
J'ai trouvé ce remake inutile de Eyes Wide Shut non seulement moche et raté, mais surtout complétement con.
Le pire :
Un point commun pour ces 4 films que j'ai le moins aimés ce mois-ci : j'ai vraiment peiné pour arriver au bout de chacun d'entre eux.
Une découverte pour cette comédie de mœurs lo-fi de Buscemi, formidablement interprétée et dont la fin m'a agréablement surpris.
... et une re-re-re-vision dont je ne me lasse pas. Cette comédie malicieuse de Ricky Gervais me fait l'effet d'un petit miracle inespéré et me rappelle Ramis, Cleese et consorts. Je suis toujours étonné par la précision et la qualité de son écriture, et tous les départements sont au diapason. Un petit film qui n'a décidément pas eu le succès qu'il méritait.
Très bon :
Du bon boulot d'honnêtes artisans. Appliqué, bien écrit, bien mis en images et solidement interprété.
Médiocre :
2 comédies françaises qui ne parviennent jamais à magnifier leurs synopsis et qui ne dépassent pas le comique de situation basique, répétitif et éculé.
Suivies par 2 films de SF laborieux, mal inspirés, mal filmés, mal écrits, mal interprétés, mal sonorisés, mal mis en musique, mal montés.
Pathétique :
J'ai trouvé ce remake inutile de Eyes Wide Shut non seulement moche et raté, mais surtout complétement con.
Le pire :
Un point commun pour ces 4 films que j'ai le moins aimés ce mois-ci : j'ai vraiment peiné pour arriver au bout de chacun d'entre eux.
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Un trio qui m'a bien fait rigoler, c'est le principal
Messe Noire = 8/10 (revu)
Jeu d'enfant = 8/10 (revu, blu ray)
Six Femmes pour l'assassin = 8/10 (revu, blu ray)
Ant man et la guepe = 8/10 (ciné)
A la poursuite du diamant vert = 7,5/10 (revu, blu ray)
Le retour du héros = 7/10
Jurassic World 2 = 7/10 (cinéma)
Super Troopers 2 = 7/10
La mort de Staline = 7//10
Massacres dans le train fantôme = 7/10 (revu, blu ray)
Une messe pou Dracula = 7/10 (revu, blu ray)
Le Monstre = 7/10 (revu, dvd)
Ninja 2 = 7/10 (revu, blu ray)
Kung Fu Killer = 6,5/10 (action)
L'ainé des Ferchaux = 6,5/10 (dvd)
Fantomas contre Scotland yard = 6,5/10 (revu, dvd)
Sérénade à trois = 6,5/10 (blu ray)
Curtains = 6/10 (revu)
Action ou vérité = 6/10
L'armure noire = 6/10
Winchester = 6/10
Montana = 6/10 (revu)
L.A. Rush = 6/10
Saving General Yang = 6/10 (blu ray)
Les aventures d'Arsène Lupin = 6/10 (arte)
Mad Foxes = 6/10
Reincarnation of sex = 6/10
Pieles = 6/10
Happy Hell Night = 5,5/10
House 2 = 5,5/10 (revu)
Saint = 5,5/10
Attaques à mains nues = 5,5/10
Children of the corn = 5,5/10 (revu)
Si j'avais un million = 5,5/10 (blu ray)
Destroyer = 5,5/10
Sorority House Massacre = 5/10
House of the Witch = 5/10
La rose écorchée = 5/10
Hellhole = 5/10
Malatesta's Carnival of blood = 3/10
Evasion 2 = 2/10
L'étalon italien = 1/10
Messe Noire = 8/10 (revu)
Jeu d'enfant = 8/10 (revu, blu ray)
Six Femmes pour l'assassin = 8/10 (revu, blu ray)
Ant man et la guepe = 8/10 (ciné)
A la poursuite du diamant vert = 7,5/10 (revu, blu ray)
Le retour du héros = 7/10
Jurassic World 2 = 7/10 (cinéma)
Super Troopers 2 = 7/10
La mort de Staline = 7//10
Massacres dans le train fantôme = 7/10 (revu, blu ray)
Une messe pou Dracula = 7/10 (revu, blu ray)
Le Monstre = 7/10 (revu, dvd)
Ninja 2 = 7/10 (revu, blu ray)
Kung Fu Killer = 6,5/10 (action)
L'ainé des Ferchaux = 6,5/10 (dvd)
Fantomas contre Scotland yard = 6,5/10 (revu, dvd)
Sérénade à trois = 6,5/10 (blu ray)
Curtains = 6/10 (revu)
Action ou vérité = 6/10
L'armure noire = 6/10
Winchester = 6/10
Montana = 6/10 (revu)
L.A. Rush = 6/10
Saving General Yang = 6/10 (blu ray)
Les aventures d'Arsène Lupin = 6/10 (arte)
Mad Foxes = 6/10
Reincarnation of sex = 6/10
Pieles = 6/10
Happy Hell Night = 5,5/10
House 2 = 5,5/10 (revu)
Saint = 5,5/10
Attaques à mains nues = 5,5/10
Children of the corn = 5,5/10 (revu)
Si j'avais un million = 5,5/10 (blu ray)
Destroyer = 5,5/10
Sorority House Massacre = 5/10
House of the Witch = 5/10
La rose écorchée = 5/10
Hellhole = 5/10
Malatesta's Carnival of blood = 3/10
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Découvert un très grand film ce mois ci, Jusqu'à la garde de Xavier Legrand, pour le reste ça oscille entre le très correct (Divines, Petit Paysan et le très médiocre 15h17)
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
FILM DE JUILLET
LE MENSONGE DE NINA PETROVNA (Hanns Schwarz, 1929) *****
Le reste du mois, par ordre de préférence :
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INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : RICHARD HARRIS Oliver Cromwell dans Cromwell
top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Mon grand vainqueur est Dragon Inn, de King Hu (1967). Cadrages d'une prodigieuse esthétique, dynamique, inventivité et élégance de la mise en scène, avec un script malin et plein de surprises, il s'agit certainement d'un très grand film.
Hors compétition, Hospital de Fredrick Wiseman '1973) m'a scotché. Evidemment, un documentaire sur un hopital est un sujet idéal pour émouvoir, mais Wiseman parvient à obtenir des images intimes, des témoignages sur le vif, dont la véracité saisit, et dont l'agencement permet de tracer les contours d'une institution centrale dans la société.
Enfin, niveau musique, j'ai été emballé par le score du Retour de Patrick Sanchez (Patricia Mazuy), de John Cale, je ne peux hélas pas en dire autant pour le film.
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Hors compétition, Hospital de Fredrick Wiseman '1973) m'a scotché. Evidemment, un documentaire sur un hopital est un sujet idéal pour émouvoir, mais Wiseman parvient à obtenir des images intimes, des témoignages sur le vif, dont la véracité saisit, et dont l'agencement permet de tracer les contours d'une institution centrale dans la société.
Enfin, niveau musique, j'ai été emballé par le score du Retour de Patrick Sanchez (Patricia Mazuy), de John Cale, je ne peux hélas pas en dire autant pour le film.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell