7swans wrote:Le Lynch que j'aime le moins.
Une boursouflure que je n'avais même pas réussie à terminer.
Palmer Lynch pour ce film là, ça me reste en travers de la gorge.
Pareil : sans doute le plus faiblard des Lynch. J'en gardais un souvenir moyen. La révision l'a rendu encore plus anodin, superficiel et lourd. Très clairement, il y a chez Lynch un film surestimé, celui-là ( la Palme pour ça, la blague) et d'autres au contraire totalement mésestimés : Fire, Walk with me,A straight story et INLAND EMPIRE. Celui dans lequel la puissance de sidération, le brouillage Lynchéen est le moins envoutant, le moins transcendant d'une matière qui, il faut le dire, est totalement balisé, sorte de croisement pas très heureux entre Bonny and Clyde et du Magicien d'Oz. Road Movie qui se voudrait lyrique, raté dans ses sorties rock' n roll ou envolées féeriques, où Lynch y est consigné à un simple rôle d'illustrateur.
7swans wrote:Le Lynch que j'aime le moins.
Une boursouflure que je n'avais même pas réussie à terminer.
Palmer Lynch pour ce film là, ça me reste en travers de la gorge.
Pareil : sans doute le plus faiblard des Lynch. J'en gardais un souvenir moyen. La révision l'a rendu encore plus anodin, superficiel et lourd. Très clairement, il y a chez Lynch un film surestimé, celui-là ( la Palme pour ça, la blague) et d'autres au contraire totalement mésestimés : Fire, Walk with me,A straight story et INLAND EMPIRE.
Pareil : sans doute le plus faiblard des Lynch. J'en gardais un souvenir moyen. La révision l'a rendu encore plus anodin, superficiel et lourd. Très clairement, il y a chez Lynch un film surestimé, celui-là ( la Palme pour ça, la blague) et d'autres au contraire totalement mésestimés : Fire, Walk with me,A straight story et INLAND EMPIRE.