AtCloseRange a écrit :Gros coup de cœur et découverte d'un cinéaste
Decouvert en janvier, a failli etre mon film du mois, apres les coups de coeur du Pelican et du Rebelle, deux autres de ses tres bons films (moins accroché à son Pierre et Djemila).
Dommage que le dvd René Chateau ne soit pas compatible 16/9eme car la copie est tres belle.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Et nouveau candidat avec cette petite merveille qui a grandement inspiré Wes Anderson pour Moonrise Kingdom (la romance enfantine traitée délicatesse et le plus grand sérieux)
Nouveau candidat avec le très beau film d'animation chinois Big Fish and Begonia, romance et épopée sous influence Ghibli (entre Ponyo, Nausicaa et Le Voyage de Chihiro) bien digére et à l'aune de la mythologie chinoise. Formellement somptueux, poignant et d'une grande poésie. Pour les parisiens c'est visible jusque la fin mai dans cadre du festival du cinéma chinois (Gaumont Marignan et Christine 21) et le film fera partie de la sélection du Festival d'Annecy.
Profondo Rosso a écrit :Nouveau candidat avec le très beau film d'animation chinois Big Fish and Begonia, romance et épopée sous influence Ghibli (entre Ponyo, Nausicaa et Le Voyage de Chihiro) bien digére et à l'aune de la mythologie chinoise. Formellement somptueux, poignant et d'une grande poésie. Pour les parisiens c'est visible jusque la fin mai dans cadre du festival du cinéma chinois (Gaumont Marignan et Christine 21) et le film fera partie de la sélection du Festival d'Annecy.
Ca fait plaisir Une de mes plus belles surprises dans le domaine de l'animation ces derniers temps
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Enfin un bon gros candidat au titre de film du mois, grâce au cinéaste qui restera sans doute comme ma plus grosse redécouverte de 2017 :
Tokyo Sonata - Kiyoshi Kurosawa
Kurosawa délaisse un temps les esprits fantomatiques chers à son oeuvre, pour mieux ausculter la société japonaise tout en disséquant la cellule familiale. Et c'est réellement impressionnant de maîtrise.
Sublime séquence finale qui m'a foutu les larmes*.
Ratatouille a écrit :Enfin un bon gros candidat au titre de film du mois, grâce au cinéaste qui restera sans doute comme ma plus grosse redécouverte de 2017 : Tokyo Sonata - Kiyoshi Kurosawa
Kurosawa délaisse un temps les esprits fantomatiques chers à son oeuvre, pour mieux ausculter la société japonaise tout en disséquant la cellule familiale. Et c'est réellement impressionnant de maîtrise.
Sublime séquence finale qui m'a foutu les larmes*.