Commentaires à propos de votre film du mois
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en janvier
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Les oubliés / Land of mine / Under sandet (Martin Zandvliet, 2015) *
En 1945, des ados allemands soldats vaincus de la Werhmacht doivent déminer une plage du Danemark sous le contrôle d'un officier danois. Un film germano-danois sur un épisode méconnu de l'immédiate après-guerre dont le scénario va exactement où on l'attend en dosant suspense (les mines) et morale (le traitement des garçons). Le parti pris esthétisant de la photo est discutable mais la fin réussit à faire passer une certaine émotion. BR DEUT
Le météore de la nuit / It came from outer space (Jack Arnold, 1953) **
Sur une histoire de Ray Bradbury, un des classiques de la SF paranoïaque des 50's. Dans le désert d'Arizona, un vaisseau spatial s'écrase et libère des aliens cyclopes et gélatineux qui prennent apparence humaine. L'impression de déjà vu vient du fait que ce film, l'un des premiers de monstres extra-terrestres, a été copié mille fois. Il reste efficace grâce à la réalisation de Jack Arnold qui choisit de souvent filmer du point de vue des créatures. BR 3D UK
Song of Summer (Ken Russell, 1968) *
Entre 1929 et 1934, un jeune musicien (Christopher Gable) assiste le compositeur Frederick Delius (Max Adrian), aveugle, paralysé et colérique. Austère mais lumineux, ce téléfilm de la BBC était l'oeuvre dont Ken Russell était le plus fier. La création artistique face aux aléas de la vie, l'altruisme au risque du masochisme, le temps qui fuit... des thèmes bergmaniens traités avec tact mais trop de froideur, en laissant l'émotion à distance. BR UK
Society (Brian Yuzna, 1989) *
Un rich kid de Beverly Hills en psychothérapie s'inquiète de l'identité réelle de ses parents et de sa soeur. Alors que la première heure a tout du soap Eighties pour ados (avec vestes épaulées et mullets), la suite tourne au délire horrifique et à la satire marxiste avec une orgie de mutants assez dégueu. A part cette séquence mémorable, le film n'accroche pas, la faute à un scénario trop lâche qui prend son temps pour aller nulle part. BR UK
L'avenir (Mia Hansen-Love, 2016) ***
Une prof de philo quinquagénaire bourgeoisement installée voit son univers se disloquer. Un film d'une sensibilité de tous les instants sur le passage du temps et l'instinct de survie. La mise en scène met en valeur les idées et les dialogues dans une lumière solaire qui irradie Paris, la Bretagne et le Vercors. Dans un de ses plus beaux rôles, Isabelle Huppert joue la vulnérabilité et la force avec une prestation à fleur de peau, exceptionnelle. BR FR
Varieté (E.A. Dupont, 1925) ***
Crime passionnel dans un trio de trapézistes. Un mélodrame à l'histoire convenue sublimé par la lumière, les décors, la formidable mobilité de caméra et le jeu moderne et puissant d'Emil Jannings en acrobate trompé. La mise en scène dynamise les séquences d'action (au Wintergarten de Berlin) et d'intimisme. Un des grands films muets de la République de Weimar. Le score chanté des Tiger Lillies est un véritable hold-up sur le film. BR DEUT
Pattaya (Franck Gastambide, 2016) *
J'avais bien ri avec "Les kaïra" (2012) du même réalisateur. Il reprend ici trois gentils simplets du 93 qu'il transporte en Thaïlande comme alibi d'une série de potacheries toutes portées sur le mauvais goût et le politiquement incorrect. Les racailles, les nains, les gros, les asiatiques, les transsexuels sont ridiculisés dans une suite de gags cracras d'une lourdeur calculée. Les quelques éclats de rire ne compensent pas la paresse qui s'en dégage. BR FR
Les fous du roi / All the King's men (Robert Rossen, 1949) ***
Exalté par le goût du pouvoir et de toute puissance, un juriste de Louisiane se fait élire gouverneur sur des thèmes populistes et s'imagine monter plus haut. Un des grands films politiques américains, porté par la formidable prestation de Broderick Crawford dans le rôle d'un franc-tireur égocentrique sans scrupule ni morale. L'effet miroir avec l'actualité est saisissant, notamment les scènes de discours enflammés contre l'Establishment. BR US
Atlantis, terre engloutie / Atlantis, the lost continent (George Pal, 1961) *
Inoubliable souvenir d'enfance (les hommes-animaux ! le rayon de la Mort !), ce peplum d'aventure fantastique autour d'un pêcheur grec mis en esclavage sur l'île condamnée d'Atlantis bénéficie de son effet nostalgie. Mais le petit budget truqué par d'amusants emprunts à d'autres films (Quo Vadis, la Marabunta...), la transparence de l'acteur principal et la faiblesse du scénario n'en font qu'un film mineur - mais sympathique - d'un dimanche après-midi. BR DEUT
Au bout du conte (Agnès Jaoui, 2013) *
L'histoire d'une jeune femme qui cherche le prince charmant et de ses proches, en une actualisation de situations et de personnages - de la bonne fée au méchant loup - de contes de fées. L'idée est originale et les acteurs sans reproche (Agnès Jaoui est formidable) mais une fois les bases du scénario posées, ça tourne un peu en rond et l'intérêt s'effiloche. Un film sympathique qui aurait eu besoin d'un coup de baguette magique. BR FR
Dans le noir / Lights out (David F. Sandberg, 2016) **
Une petit film d'angoisse horrifique très bien ficelé autour d'une créature humaine démoniaque qui apparaît dans le noir pour tourmenter une jeune femme et son demi-frère. L'effet recherché est le sursaut du spectateur et ça marche, dès la formidable séquence d'ouverture, avec une utilisation magistrale de l'obscurité. On peut voir le sujet comme une métaphore des dégâts que peut causer la maladie mentale au sein d'une famille. BR DEUT
Mademoiselle Swing (Richard Pottier, 1942) *
Un jeune provinciale passionnée de rythmes nouveaux monte à Paris pour se faire un nom au music-hall. Produit pour exploiter le triomphe de la chanson "Mademoiselle Swing" de 1940 (par Irène de Trébert, qui joue ici le rôle titre) une comédie musicale bébête et poussive qui reste un document historique intéressant sur les mouvements Swing et Zazou, mal vus sous l'Occupation à cause de leur excentricité et de leur influence américaine. DVD Z2 FR
Pétain (Jean Marboeuf, 1993) **
De l'Exode à Sigmaringen, les parcours liés de Pétain et Laval. Les grandes étapes y sont, les personnages majeurs aussi mais tout est précipité pour rentrer dans 2h et le sujet est brossé à gros traits, façon Vichy pour les Nuls. La mise en scène est sans surprise et la musique de trop mais Jacques Dufilho et Jean Yanne surclassent et sauvent le film par leurs interprétations remarquables et fascinantes de Pétain et de Laval. Alors rien que pour eux. DVD Z2 FR
Julieta (Pedro Almodovar, 2016) *** Mon film du mois
L'esprit de la Tragédie antique et classique plane sur ce mélodrame qui marque le retour à la pleine forme d'Almodovar après le navet "Les amants passagers" (2013). Par son riche scénario parfaitement articulé et sa mise en scène d'une impressionnante précision, l'histoire et le portrait de cette femme confrontée à des disparitions successives devient un conte universel sur le complexe tissu des liens familiaux et les affres de la culpabilité. BR FR
Starman (John Carpenter, 1984) *
Une jeune veuve aide un extraterrestre qui a pris les traits de son mari décédé à rejoindre le vaisseau des siens. La formidable idée de départ est exploitée de façon décevante par la linéarité du scénario et le jeu monocorde de Jeff Bridges (ses mouvements saccadés) et de Karen Allen (sa voix éteinte). Dommage parce qu'il y a de superbes scènes comme le début, le chevreuil et le final. Ca aurait pu être un grand film de SF romantique. BR FR
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Les oubliés / Land of mine / Under sandet (Martin Zandvliet, 2015) *
En 1945, des ados allemands soldats vaincus de la Werhmacht doivent déminer une plage du Danemark sous le contrôle d'un officier danois. Un film germano-danois sur un épisode méconnu de l'immédiate après-guerre dont le scénario va exactement où on l'attend en dosant suspense (les mines) et morale (le traitement des garçons). Le parti pris esthétisant de la photo est discutable mais la fin réussit à faire passer une certaine émotion. BR DEUT
Le météore de la nuit / It came from outer space (Jack Arnold, 1953) **
Sur une histoire de Ray Bradbury, un des classiques de la SF paranoïaque des 50's. Dans le désert d'Arizona, un vaisseau spatial s'écrase et libère des aliens cyclopes et gélatineux qui prennent apparence humaine. L'impression de déjà vu vient du fait que ce film, l'un des premiers de monstres extra-terrestres, a été copié mille fois. Il reste efficace grâce à la réalisation de Jack Arnold qui choisit de souvent filmer du point de vue des créatures. BR 3D UK
Song of Summer (Ken Russell, 1968) *
Entre 1929 et 1934, un jeune musicien (Christopher Gable) assiste le compositeur Frederick Delius (Max Adrian), aveugle, paralysé et colérique. Austère mais lumineux, ce téléfilm de la BBC était l'oeuvre dont Ken Russell était le plus fier. La création artistique face aux aléas de la vie, l'altruisme au risque du masochisme, le temps qui fuit... des thèmes bergmaniens traités avec tact mais trop de froideur, en laissant l'émotion à distance. BR UK
Society (Brian Yuzna, 1989) *
Un rich kid de Beverly Hills en psychothérapie s'inquiète de l'identité réelle de ses parents et de sa soeur. Alors que la première heure a tout du soap Eighties pour ados (avec vestes épaulées et mullets), la suite tourne au délire horrifique et à la satire marxiste avec une orgie de mutants assez dégueu. A part cette séquence mémorable, le film n'accroche pas, la faute à un scénario trop lâche qui prend son temps pour aller nulle part. BR UK
L'avenir (Mia Hansen-Love, 2016) ***
Une prof de philo quinquagénaire bourgeoisement installée voit son univers se disloquer. Un film d'une sensibilité de tous les instants sur le passage du temps et l'instinct de survie. La mise en scène met en valeur les idées et les dialogues dans une lumière solaire qui irradie Paris, la Bretagne et le Vercors. Dans un de ses plus beaux rôles, Isabelle Huppert joue la vulnérabilité et la force avec une prestation à fleur de peau, exceptionnelle. BR FR
Varieté (E.A. Dupont, 1925) ***
Crime passionnel dans un trio de trapézistes. Un mélodrame à l'histoire convenue sublimé par la lumière, les décors, la formidable mobilité de caméra et le jeu moderne et puissant d'Emil Jannings en acrobate trompé. La mise en scène dynamise les séquences d'action (au Wintergarten de Berlin) et d'intimisme. Un des grands films muets de la République de Weimar. Le score chanté des Tiger Lillies est un véritable hold-up sur le film. BR DEUT
Pattaya (Franck Gastambide, 2016) *
J'avais bien ri avec "Les kaïra" (2012) du même réalisateur. Il reprend ici trois gentils simplets du 93 qu'il transporte en Thaïlande comme alibi d'une série de potacheries toutes portées sur le mauvais goût et le politiquement incorrect. Les racailles, les nains, les gros, les asiatiques, les transsexuels sont ridiculisés dans une suite de gags cracras d'une lourdeur calculée. Les quelques éclats de rire ne compensent pas la paresse qui s'en dégage. BR FR
Les fous du roi / All the King's men (Robert Rossen, 1949) ***
Exalté par le goût du pouvoir et de toute puissance, un juriste de Louisiane se fait élire gouverneur sur des thèmes populistes et s'imagine monter plus haut. Un des grands films politiques américains, porté par la formidable prestation de Broderick Crawford dans le rôle d'un franc-tireur égocentrique sans scrupule ni morale. L'effet miroir avec l'actualité est saisissant, notamment les scènes de discours enflammés contre l'Establishment. BR US
Atlantis, terre engloutie / Atlantis, the lost continent (George Pal, 1961) *
Inoubliable souvenir d'enfance (les hommes-animaux ! le rayon de la Mort !), ce peplum d'aventure fantastique autour d'un pêcheur grec mis en esclavage sur l'île condamnée d'Atlantis bénéficie de son effet nostalgie. Mais le petit budget truqué par d'amusants emprunts à d'autres films (Quo Vadis, la Marabunta...), la transparence de l'acteur principal et la faiblesse du scénario n'en font qu'un film mineur - mais sympathique - d'un dimanche après-midi. BR DEUT
Au bout du conte (Agnès Jaoui, 2013) *
L'histoire d'une jeune femme qui cherche le prince charmant et de ses proches, en une actualisation de situations et de personnages - de la bonne fée au méchant loup - de contes de fées. L'idée est originale et les acteurs sans reproche (Agnès Jaoui est formidable) mais une fois les bases du scénario posées, ça tourne un peu en rond et l'intérêt s'effiloche. Un film sympathique qui aurait eu besoin d'un coup de baguette magique. BR FR
Dans le noir / Lights out (David F. Sandberg, 2016) **
Une petit film d'angoisse horrifique très bien ficelé autour d'une créature humaine démoniaque qui apparaît dans le noir pour tourmenter une jeune femme et son demi-frère. L'effet recherché est le sursaut du spectateur et ça marche, dès la formidable séquence d'ouverture, avec une utilisation magistrale de l'obscurité. On peut voir le sujet comme une métaphore des dégâts que peut causer la maladie mentale au sein d'une famille. BR DEUT
Mademoiselle Swing (Richard Pottier, 1942) *
Un jeune provinciale passionnée de rythmes nouveaux monte à Paris pour se faire un nom au music-hall. Produit pour exploiter le triomphe de la chanson "Mademoiselle Swing" de 1940 (par Irène de Trébert, qui joue ici le rôle titre) une comédie musicale bébête et poussive qui reste un document historique intéressant sur les mouvements Swing et Zazou, mal vus sous l'Occupation à cause de leur excentricité et de leur influence américaine. DVD Z2 FR
Pétain (Jean Marboeuf, 1993) **
De l'Exode à Sigmaringen, les parcours liés de Pétain et Laval. Les grandes étapes y sont, les personnages majeurs aussi mais tout est précipité pour rentrer dans 2h et le sujet est brossé à gros traits, façon Vichy pour les Nuls. La mise en scène est sans surprise et la musique de trop mais Jacques Dufilho et Jean Yanne surclassent et sauvent le film par leurs interprétations remarquables et fascinantes de Pétain et de Laval. Alors rien que pour eux. DVD Z2 FR
Julieta (Pedro Almodovar, 2016) *** Mon film du mois
L'esprit de la Tragédie antique et classique plane sur ce mélodrame qui marque le retour à la pleine forme d'Almodovar après le navet "Les amants passagers" (2013). Par son riche scénario parfaitement articulé et sa mise en scène d'une impressionnante précision, l'histoire et le portrait de cette femme confrontée à des disparitions successives devient un conte universel sur le complexe tissu des liens familiaux et les affres de la culpabilité. BR FR
Starman (John Carpenter, 1984) *
Une jeune veuve aide un extraterrestre qui a pris les traits de son mari décédé à rejoindre le vaisseau des siens. La formidable idée de départ est exploitée de façon décevante par la linéarité du scénario et le jeu monocorde de Jeff Bridges (ses mouvements saccadés) et de Karen Allen (sa voix éteinte). Dommage parce qu'il y a de superbes scènes comme le début, le chevreuil et le final. Ca aurait pu être un grand film de SF romantique. BR FR
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ça fait longtemps que je le cherche, celui-là. Tu l'as vu comment ?Père Jules a écrit :Sur le fil, La vie privée d'un sénateur de Jerry Schatzberg sera mon film du mois.
- reuno
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois de janvier :
Suivent :
Mon séjour à Gerardmer aidant, j'ai vu 31 films (!) durant ce mois de janvier. De belles découvertes, un film du mois qui s'est tout de suite imposé (même si plusieurs potentiels films du mois se trouvent dans les suivants... le Kurosawa, Toni Erdmann, Nocturama surtout).
Suivent :
Mon séjour à Gerardmer aidant, j'ai vu 31 films (!) durant ce mois de janvier. De belles découvertes, un film du mois qui s'est tout de suite imposé (même si plusieurs potentiels films du mois se trouvent dans les suivants... le Kurosawa, Toni Erdmann, Nocturama surtout).
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Une année 2017 qui a démarré sur les chapeaux de roues avec 40 films et pas mal d'excellentes choses.
On trouve donc en haut du classement :
Zootopia (Byron Howard, Rich Moore) : 8,5/10
Fatima (Philippe Faucon) : 8/10
Détenu en attente de jugement (Nanni Loy) : 8/10
My life directed by Nicolas Winding Refn (Liv Corfixen) : 8/10
Un tout petit peu plus bas mais je les retiens comme de bons voire de très bons films :
Truth (James Vanderbilt) : 7,5/10
L'humour à mort (Daniel Leconte & Emmanuel Leconte) : 7,5/10
The war game (Peter Watkins) : 7,5/10
La lame infernale (Massimo Dallamano) : 7/10
An - Les délices de Tokyo (Naomi Kawase) : 7/10
Me and Earl and the dying girl (Alfonso Gomez-Rejon) : 7/10
Elle (Paul Verhoeven) : 7/10
On trouve donc en haut du classement :
Zootopia (Byron Howard, Rich Moore) : 8,5/10
Fatima (Philippe Faucon) : 8/10
Détenu en attente de jugement (Nanni Loy) : 8/10
My life directed by Nicolas Winding Refn (Liv Corfixen) : 8/10
Un tout petit peu plus bas mais je les retiens comme de bons voire de très bons films :
Truth (James Vanderbilt) : 7,5/10
L'humour à mort (Daniel Leconte & Emmanuel Leconte) : 7,5/10
The war game (Peter Watkins) : 7,5/10
La lame infernale (Massimo Dallamano) : 7/10
An - Les délices de Tokyo (Naomi Kawase) : 7/10
Me and Earl and the dying girl (Alfonso Gomez-Rejon) : 7/10
Elle (Paul Verhoeven) : 7/10
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- Boubakar
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Premier film vu ce mois-ci et on va dire que c'est déjà plié ; j'ai vu les parties 2 & 3 cette nuit (vive les insomnies ), et je n'ai pas pu décrocher !
- Vic Vega
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un des plus beaux films japonais des années 60, ni plus ni moins.AtCloseRange a écrit : Sinon, de mon côté c'est Harakiri de Kobayashi qui l'emporte.
- Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Rien de bien follichon ce mois ci, mais bon je n'avais pas vraiment le temps de regarder des films, du coup faible quantité et faible niveau, du Midnight Special s'impose faute de combattants.
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Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
- Alexandre Angel
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'aimerais bien le voir..il a bonne réputation. Tu l'as vu comment, sans indiscrétion?Père Jules a écrit :Sur le fil, La vie privée d'un sénateur de Jerry Schatzberg sera mon film du mois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
- Profondo Rosso
- Howard Hughes
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois
1 Nocturnals Animals de Tom Ford
2 L'Amour à mort de Alain Resnais
3 La La Land de Damien Chazelle
4 Les Copains d'Eddie Coyle de Peter Yates
5 Arènes sanglantes de Rouben Mamoulian
6 Oyster Factory de Kazuhiro Soda
1 Nocturnals Animals de Tom Ford
2 L'Amour à mort de Alain Resnais
3 La La Land de Damien Chazelle
4 Les Copains d'Eddie Coyle de Peter Yates
5 Arènes sanglantes de Rouben Mamoulian
6 Oyster Factory de Kazuhiro Soda
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- au poil !
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- Localisation : Lynchland
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
7swans a écrit :Nixon - Oliver Stone : 7.5/10
Gounou a écrit :AVRIL 2010
NIXON (Oliver Stone) 7,5/10
- Thaddeus
- Ewok on the wild side
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- Localisation : 1612 Havenhurst
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois de janvier
1. La La Land (Damien Chazelle, 2016)
2. Rendez-vous de Juillet (Jacques Becker, 1949)
3. L'Adversaire (Satyajit Ray, 1970)
2. Rendez-vous de Juillet (Jacques Becker, 1949)
3. L'Adversaire (Satyajit Ray, 1970)
Mes découvertes en détail :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Films des mois précédents :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Dernière modification par Thaddeus le 3 mars 17, 17:38, modifié 1 fois.
- Kevin95
- Footix Ier
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Couronnement ce mois-ci d'un classique des classiques, It's a Wonderful Life de Frank Capra... oui, je ne l'avais jamais vu.
Top 5 découvertes (Janvier 2017)
1. IT'S A WONDERFUL LIFE - Frank Capra (1946)
2. GOUPI MAINS ROUGES - Jacques Becker (1943)
3. AMERICAN MADNESS - Frank Capra (1932)
4. MAN WITHOUT A STAR - King Vidor (1955)
5. DEVILS ON THE DOORSTEP - Wen Jiang (2000)
Top 5 découvertes (Janvier 2017)
1. IT'S A WONDERFUL LIFE - Frank Capra (1946)
2. GOUPI MAINS ROUGES - Jacques Becker (1943)
3. AMERICAN MADNESS - Frank Capra (1932)
4. MAN WITHOUT A STAR - King Vidor (1955)
5. DEVILS ON THE DOORSTEP - Wen Jiang (2000)
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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- Touchez pas au grisbi
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- Localisation : location
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Premier film de Février visionné et hop, film du mois : Moonrise Kingdom de Wes Anderson (2012). Un film enchanteur qui paie son hommage à la Nouvelle Vague française. Les acteurs ? Des pointures, et merveilleusement dirigés avec ça. Une perle ce film.
Du coup je vais creuser la filmo du sieur Anderson, c'était le premier film que je vois de lui. Je vois qu'il y a Roman Coppola à la co-écriture, il est bien ce petit (tiens un Roman, Polanski n'est pas loin m'est avis, Francis a bon goût pour les prénoms).
Du coup je vais creuser la filmo du sieur Anderson, c'était le premier film que je vois de lui. Je vois qu'il y a Roman Coppola à la co-écriture, il est bien ce petit (tiens un Roman, Polanski n'est pas loin m'est avis, Francis a bon goût pour les prénoms).
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Tu peux m'en dire plus par pure curiosité. Car autant j'aime la Nouvelle Vague française autant le cinéma de Anderson me passe totalement au dessus de la tête. Son cinéma ne m'a jamais fait penser une seule seconde à la Nouvelle Vague.bronski a écrit :Premier film de Février visionné et hop, film du mois : Moonrise Kingdom de Wes Anderson (2012). Un film enchanteur qui paie son hommage à la Nouvelle Vague française.
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- Touchez pas au grisbi
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Par exemple: la jeune fille a un béret, il lui manque à peine la clope et le journal sur les Champs, elle écoute du Françoise Hardy. Il y a un court travelling caméra à l'épaule qui m'a marqué quand ils sont dans le maquis. Plusieurs travellings aussi, "une affaire de morale".Jeremy Fox a écrit :Tu peux m'en dire plus par pure curiosité. Car autant j'aime la Nouvelle Vague française autant le cinéma de Anderson me passe totalement au dessus de la tête. Son cinéma ne m'a jamais fait penser une seule seconde à la Nouvelle Vague.bronski a écrit :Premier film de Février visionné et hop, film du mois : Moonrise Kingdom de Wes Anderson (2012). Un film enchanteur qui paie son hommage à la Nouvelle Vague française.
Plus généralement d'Anderson je découvre le rêve, cette suspension of disbelief chère aux anglo-saxons où on accepte que tout puisse arriver. Je comprends qu'on n'aime pas son cinéma, c'est très spécial en effet. Chez moi c'est un rêve éveillé où pointe la mélancolie de par son merveilleux.