Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Ratatouille a écrit :Faut quand même avouer qu'après l'expérience Twilight Zone : The Movie, il a un peu perdu la tête.
J'viens de comprendre
J'ai eu peur.
"Blague" à part, il était quand même pas terrible terrible cet épisode. Je lui préfère le Dante et le Miller (le Spielberg étant en-dessous de tout).
Ratatouille a écrit : (le Spielberg étant en-dessous de tout).
Là y a pas photo.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Dans la série "les-films-qu'on-se-sent-un-peu-seul-à-aimer", à côté de Speed 2, j'ai toujours Blues brothers 2000. Je ne l'ai certes pas revu depuis un bail, mais je l'avais trouvé loin d'être indigne du premier volet. Arrivé après, il n'a certes pas la même fraîcheur et il se contente de ressortir la même formule d'action burlesque et de numéros musicaux all-star-cast, mais ça m'avait dispensé bien du plaisir.
Par contre, j'ai revu sur Youtube des passages d'Innocent Blood assez épatants, notamment une désintégration de vampire à la lumière du jour très réussie et que j'avais complètement oubliée.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Ratatouille a écrit :Et Le Flic de Beverly Hills 3, on en parle ?
« Le plus grand film politique des années 90. » Critique de Jean-François Rauger, du temps où il écrivait dans le supplément TV du Monde, et qui apparaissait systématiquement à chaque diffusion, le film bénéficiant de la note maximale des trois carrés (=chef-d'œuvre).
C'est dans cette optique que je l'ai vu... Et c'est bien nul.
Qu'un réalisateur ponde des mauvais films, ça arrive. Si je cause Spielberg, par exemple, je ne vois pas l'intérêt de m'attarder sur le BGG ou autre pendant des plombes.
Le flic de beverly hills 3 n'est pas bon - le flingue de dingue m'a bien fait rire mais à part ça, en effet c'est bof. Je conchie les blues 2000 : c'était la cata en ce qui me concerne.
Le dernier avec simon pegg faut que je le vois, tiens, ça me fait penser.
Max Schreck a écrit :
« Le plus grand film politique des années 90. » Critique de Jean-François Rauger, du temps où il écrivait dans le supplément TV du Monde
J'ai le vague souvenir que les Cahiers avaient déliré dessus, provoquant l'ire des lecteurs. Mais c'est vague.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Ratatouille a écrit :Et Le Flic de Beverly Hills 3, on en parle ?
« Le plus grand film politique des années 90. » Critique de Jean-François Rauger, du temps où il écrivait dans le supplément TV du Monde, et qui apparaissait systématiquement à chaque diffusion, le film bénéficiant de la note maximale des trois carrés (=chef-d'œuvre).
Mais oui ! Je me souviens qu'à l'époque je voyais dans ce journal un modèle d'exigence... et je me sentais un peu con devant ce délire des trois carrés.
On en cause because hamburger en DVD ?...
Ai vu Cadavres à la pelle, du coup. Ca démarre bien - lutte des classes, justification des actes, humour léger mais sympa, qq scènes un peu trash - et puis à mi-parcours ça part en cacahuètes. Nos deux larrons cabotinent trop, une 2nde intrigue axée sur la mise en scène du Hamlet de Shakespeare par des femmes parasitent la 1ère et, surtout, ça n'est plus drôle du tout. Ca se laisse voir, j'aime l'esprit du projet & qq passages font mouche. La brève participation de Christopher Lee reste mémorable. Inférieur aux Bouchers verts d'Anders Thomas Jensen.
Dernière modification par shubby le 7 janv. 17, 10:52, modifié 1 fois.
shubby a écrit :Il s'efface devant les autres, Landis. Il sert la soupe pour le bien commun. "Mineur", non, c'est un talent et non des moindres. Sa mise en scène est impeccable, sa rythmique poilante nickelle. Il glorifie la comédie, un genre souvent méprisé par les cinéphiles. Je me répète sans doute. Là où Spielberg s'est planté avec 1941 - la comédie pure - Landis a tout compris, et avec rigueur. il mérite davntage de respect.
Je ne vois pas pourquoi.
Sincèrement après Un Fauteuil pour 2 il n'y a quasiment rien à sauver.
Si si... Into the Night, ¡Three Amigos!, Coming to America.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Kevin95 a écrit :Si si... Into the Night, ¡Three Amigos!, Coming to America.
Oui.. mais toi tu ferais passer un Carambar pour du Lindt
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Kevin95 a écrit :Si si... Into the Night, ¡Three Amigos!, Coming to America.
Oui.. mais toi tu ferais passer un Carambar pour du Lindt
Déjà Lindt c'est pas si bien que ça.
Et puis son Oscar est quand même super chouette ! Et vraiment du 'Landis' pour le coup, personne d'autre n'a réussi à faire une si chouette Screwball Comedy récemment.