Apparemment repoussée à la fin de l'année (mais ce serait pour de "bonnes" raisons).Grimmy a écrit :et une autobiographie sort le 5 mai chez Capricci.
Sidney Lumet (1924-2011)
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Il est vivant??Ratatouille a écrit :Apparemment repoussée à la fin de l'année (mais ce serait pour de "bonnes" raisons).Grimmy a écrit :et une autobiographie sort le 5 mai chez Capricci.
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Ah, heureux qu'il soit repoussé! Ça me met moins les boules d'avoir acheté le bouquin en anglais y a 1 mois!Ratatouille a écrit :Apparemment repoussée à la fin de l'année (mais ce serait pour de "bonnes" raisons).Grimmy a écrit :et une autobiographie sort le 5 mai chez Capricci.
Sinon, je vote moi aussi pour Family Business comme fond de panier. Le truc est laborieux. Parlez d'un putain de potentiel gâché en plus...
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Je défends ardemment Power tandis que Guilty as Sin est très agréable. You're welcome.
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
A bout de course (1988)
Sidney Lumet signe un très beau film sur la famille avec un récit profondément mélancolique à la mise en scène d'une simplicité lumineuse qui nous laisse la gorge serrée à plusieurs reprises(moi qui suis friand des histoires sur les relations père-fils j'en ai été pour mes frais avec quelques larmes).
Sidney Lumet signe un très beau film sur la famille avec un récit profondément mélancolique à la mise en scène d'une simplicité lumineuse qui nous laisse la gorge serrée à plusieurs reprises(moi qui suis friand des histoires sur les relations père-fils j'en ai été pour mes frais avec quelques larmes).
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Clairement ma plus belle redécouverte de ces derniers mois que ce film, d'une simplicité bouleversante, avec une écriture impeccable, une mise en scène d'une évidente fluidité et des acteurs brillantissimes (River Phoenix en tête, jeune étoile filante). On peut citer l'aveu de Phoenix à sa jeune dulcinée, la séquence de l'anniversaire de la mère, la discussion entre cette dernière et son propre père (déchirant !!!) et cette fin, pour que les larmes me viennent quasi instantanément. Le tout sans esbroufe, effets ostentatoires, ni clichés.Bogus a écrit :A bout de course (1988)
Sidney Lumet signe un très beau film sur la famille avec un récit profondément mélancolique à la mise en scène d'une simplicité lumineuse qui nous laisse la gorge serrée à plusieurs reprises(moi qui suis friand des histoires sur les relations père-fils j'en ai été pour mes frais avec quelques larmes).
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
L'Avocat du diable (1993)
Une brillante avocate troublée par le charme d'un gigolo manipulateur accusé de meurtre, décide de le défendre malgré les preuves évidentes de sa culpabilité.
Guilty as sin est un Lumet très mineur mais pas désagréable, porté par le scénario d’un Larry Cohen toujours habile à tisser des pitch de thrillers roublards. Lumet y explore un environnement récurrent de sa filmographie, la cour d’un tribunal. Ces lieux et leurs alcôves sont pour le réalisateur vecteur de dilemme moral magistral moral magistral dans des œuvres comme Douze hommes en colère (1957), Le Prince de New York (1981), Le Verdict (1982), Dans l’Ombre de Manhattan (1997) et de comédie humaine hilarante dans le plus tardif Jugez-moi coupable (2006). L’Avocat du diable est bien loin de la richesse thématique de ces films mais fait également du tribunal le cadre d’un affrontement intéressant. La brillante avocate Jennifer Haines (Rebecca De Mornay) y règne en maître, imposant son charme, bagout et autorité comme le montre la scène d’ouverture où elle fait acquitter un homme d’affaire véreux. Les plans d’ensemble de l’héroïne arpentant et dominant la cour, la silhouette séduisante ainsi que l’assurance déterminée qu’elle dégage affirment par l’image son charisme. Il en va de même dans sa vie privée avec une scène sensuelle la montrant après son procès se montrer une amante aussi entreprenante qu’elle ne l’est lors de ses plaidoiries. C’est une femme accomplie dont le vernis va progressivement se fissurer avec la rencontre de David Greenhill (Don Johnson).
Jennifer y voit un défi de plus avec ce gigolo accusé du meurtre de sa femme, mais ce client pas comme les autres va au contraire révéler sa fragilité. Don Johnson déploie dans un premier une bonhomie sympathique avec ce personne d’ineffable séducteur prenant tout à la légère. Cette désinvolture est pourtant un masque dissimulant une volonté de domination sur la gent féminine de pouvoir. Cela semble d’abord purement pécuniaire et motif de comédie avec les richissimes bienfaitrices qu’il soumet à sa volonté (notamment pour payer sa note d’avocat) mais on comprend que ce besoin de domination va plus loin. Il voit en Jennifer une adversaire plus coriace que ces victimes habituelles et va se faire un plaisir de la briser psychologiquement. Larry Cohen multiplie les situations ambigües plaçant l’avocate en porte à faux par le seul jeu manipulateur de Greenhill, et Don Johnson est diablement inquiétant avec cet éclat de folie dans le regard sous le brushing et les costumes impeccables. Sidney Lumet traduit ce rapport de force par une mise en scène subtile où Rebecca De Mornay semble de plus en plus écrasée par l’aura maléfique de Don Johnson. Le jeu de séduction initial la place immédiatement en situation de faiblesse alors qu’elle pense dominer. Le premier coup de folie de Don Johnson montre la silhouette de l’acteur en amorce au premier plan, surplombant Rebecca De Mornay pour la première interloquée par l’étrangeté de son client. Plus tard le réalisateur rallongera et rétrécira à sa guise des environnements vastes comme la salle de réunion du cabinet d’avocat où se rencontre les deux personnages. La distance puis le rapprochement, le jeu sur la profondeur de champs et la bascule sur les plans américains se font au gré du dialogue où Don Johnson déstabilise Rebecca De Mornay, faisant d’elle sa proie en finissant la scène tout proche d’elle dans une fausse posture d’amant et une vraie attitude de fauve.
Tout cela reste très intéressant tant que l’on reste dans le duel psychologique et les faux-semblants. Malheureusement quand vient l’heure des révélations le film tombe dans tous les clichés possibles du thriller du samedi soir. Les rebondissements grossiers s’enchaînent, emmenés par un Don Johnson omniscient et démoniaque qui perd grandement de son intérêt. L’argument féministe se perd complètement aussi, Rebecca De Mornay ne renversant pas la tendance en mettant à son tour à profit son intelligence pour se montrer l’égal de son adversaire. A la place on aura une bagarre ridicule qui conclut l’ensemble dans la précipitation brouillonne. C’est bien dommage, d’autant qu’en cette même année Rebecca De Mornay incarnera (dans un registre plus négatif certes) un personnage sacrément retors et charismatique dans le thriller La Main sur le berceau. 3/6
Une brillante avocate troublée par le charme d'un gigolo manipulateur accusé de meurtre, décide de le défendre malgré les preuves évidentes de sa culpabilité.
Guilty as sin est un Lumet très mineur mais pas désagréable, porté par le scénario d’un Larry Cohen toujours habile à tisser des pitch de thrillers roublards. Lumet y explore un environnement récurrent de sa filmographie, la cour d’un tribunal. Ces lieux et leurs alcôves sont pour le réalisateur vecteur de dilemme moral magistral moral magistral dans des œuvres comme Douze hommes en colère (1957), Le Prince de New York (1981), Le Verdict (1982), Dans l’Ombre de Manhattan (1997) et de comédie humaine hilarante dans le plus tardif Jugez-moi coupable (2006). L’Avocat du diable est bien loin de la richesse thématique de ces films mais fait également du tribunal le cadre d’un affrontement intéressant. La brillante avocate Jennifer Haines (Rebecca De Mornay) y règne en maître, imposant son charme, bagout et autorité comme le montre la scène d’ouverture où elle fait acquitter un homme d’affaire véreux. Les plans d’ensemble de l’héroïne arpentant et dominant la cour, la silhouette séduisante ainsi que l’assurance déterminée qu’elle dégage affirment par l’image son charisme. Il en va de même dans sa vie privée avec une scène sensuelle la montrant après son procès se montrer une amante aussi entreprenante qu’elle ne l’est lors de ses plaidoiries. C’est une femme accomplie dont le vernis va progressivement se fissurer avec la rencontre de David Greenhill (Don Johnson).
Jennifer y voit un défi de plus avec ce gigolo accusé du meurtre de sa femme, mais ce client pas comme les autres va au contraire révéler sa fragilité. Don Johnson déploie dans un premier une bonhomie sympathique avec ce personne d’ineffable séducteur prenant tout à la légère. Cette désinvolture est pourtant un masque dissimulant une volonté de domination sur la gent féminine de pouvoir. Cela semble d’abord purement pécuniaire et motif de comédie avec les richissimes bienfaitrices qu’il soumet à sa volonté (notamment pour payer sa note d’avocat) mais on comprend que ce besoin de domination va plus loin. Il voit en Jennifer une adversaire plus coriace que ces victimes habituelles et va se faire un plaisir de la briser psychologiquement. Larry Cohen multiplie les situations ambigües plaçant l’avocate en porte à faux par le seul jeu manipulateur de Greenhill, et Don Johnson est diablement inquiétant avec cet éclat de folie dans le regard sous le brushing et les costumes impeccables. Sidney Lumet traduit ce rapport de force par une mise en scène subtile où Rebecca De Mornay semble de plus en plus écrasée par l’aura maléfique de Don Johnson. Le jeu de séduction initial la place immédiatement en situation de faiblesse alors qu’elle pense dominer. Le premier coup de folie de Don Johnson montre la silhouette de l’acteur en amorce au premier plan, surplombant Rebecca De Mornay pour la première interloquée par l’étrangeté de son client. Plus tard le réalisateur rallongera et rétrécira à sa guise des environnements vastes comme la salle de réunion du cabinet d’avocat où se rencontre les deux personnages. La distance puis le rapprochement, le jeu sur la profondeur de champs et la bascule sur les plans américains se font au gré du dialogue où Don Johnson déstabilise Rebecca De Mornay, faisant d’elle sa proie en finissant la scène tout proche d’elle dans une fausse posture d’amant et une vraie attitude de fauve.
Tout cela reste très intéressant tant que l’on reste dans le duel psychologique et les faux-semblants. Malheureusement quand vient l’heure des révélations le film tombe dans tous les clichés possibles du thriller du samedi soir. Les rebondissements grossiers s’enchaînent, emmenés par un Don Johnson omniscient et démoniaque qui perd grandement de son intérêt. L’argument féministe se perd complètement aussi, Rebecca De Mornay ne renversant pas la tendance en mettant à son tour à profit son intelligence pour se montrer l’égal de son adversaire. A la place on aura une bagarre ridicule qui conclut l’ensemble dans la précipitation brouillonne. C’est bien dommage, d’autant qu’en cette même année Rebecca De Mornay incarnera (dans un registre plus négatif certes) un personnage sacrément retors et charismatique dans le thriller La Main sur le berceau. 3/6
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Capricci édite le Making Movies de Sidney Lumet, première traduction en français d'un livre sorti en anglais en 1995.
C'est tout simplement l'un des vingt (peut-être dix) meilleurs livres de cinéma des trente dernières années.
Le titre français, Faire un Film, est sans doute meilleur que le titre anglais / américain puisque la trame du livre est, contée par Sydney Lumet, d'expliquer la confection d'un film de sa recherche de production et du choix de scénario, jusqu'à sa sortie en salle. Bourré d'anecdotes sérieuses, jamais people, avec de très nombreuses diversions techniques (explicites mais jamais incompréhensibles pour le néophyte - au contraire ce livre apprend les bases du choix d'une focale au cinéphile qui se raccroche à une histoire sans jamais être capable de comprendre la base d'une mise en scène par le grand plan / longue focale plus que par le plan moyen / gros plan), un amour des acteurs expliqués par des exemples concrets et puissants (la timidité de Paul Newman, la "longue focale" de Katharine Hepburn quand elle accepte ou non un film...), le respect du temps et du budget (si facile à dépasser et si compliqué à gérer)).
Moi le premier, on a pu avoir du mal à définir pourquoi Lumet était un très grand directeur de cinéma. Dans ce livre, tout s'explique. Un très grand technicien, ayant peu de goût pour les grands sujets, ne se prenant pas au sérieux - mais prenant son art très au sérieux - comme un expert, pas comme un obsessionnel.
Ce que je retiens de lui:
- un goût pour les sujets forts mais sachant, par humanité, les rendre humains au grand public (Une après midi de chien)
- un très fort sens du scénario - reconnaissant non pas le côté évidemment désuet d’Agatha Christie, mais la nostalgie et la force du romantisme
- une technique au plus haut degré. C'est peut-être là qu'il sait mettre à mal ses détracteurs à défaut des critiques.
- un amour de ses collaborateurs: acteurs bien sûr, mais aussi directeurs photos, scénaristes, et bref...
Sydney Lumet est un très grand directeur d'équipe, et par là même , un très grand directeur de films.
C'est tout simplement l'un des vingt (peut-être dix) meilleurs livres de cinéma des trente dernières années.
Le titre français, Faire un Film, est sans doute meilleur que le titre anglais / américain puisque la trame du livre est, contée par Sydney Lumet, d'expliquer la confection d'un film de sa recherche de production et du choix de scénario, jusqu'à sa sortie en salle. Bourré d'anecdotes sérieuses, jamais people, avec de très nombreuses diversions techniques (explicites mais jamais incompréhensibles pour le néophyte - au contraire ce livre apprend les bases du choix d'une focale au cinéphile qui se raccroche à une histoire sans jamais être capable de comprendre la base d'une mise en scène par le grand plan / longue focale plus que par le plan moyen / gros plan), un amour des acteurs expliqués par des exemples concrets et puissants (la timidité de Paul Newman, la "longue focale" de Katharine Hepburn quand elle accepte ou non un film...), le respect du temps et du budget (si facile à dépasser et si compliqué à gérer)).
Moi le premier, on a pu avoir du mal à définir pourquoi Lumet était un très grand directeur de cinéma. Dans ce livre, tout s'explique. Un très grand technicien, ayant peu de goût pour les grands sujets, ne se prenant pas au sérieux - mais prenant son art très au sérieux - comme un expert, pas comme un obsessionnel.
Ce que je retiens de lui:
- un goût pour les sujets forts mais sachant, par humanité, les rendre humains au grand public (Une après midi de chien)
- un très fort sens du scénario - reconnaissant non pas le côté évidemment désuet d’Agatha Christie, mais la nostalgie et la force du romantisme
- une technique au plus haut degré. C'est peut-être là qu'il sait mettre à mal ses détracteurs à défaut des critiques.
- un amour de ses collaborateurs: acteurs bien sûr, mais aussi directeurs photos, scénaristes, et bref...
Sydney Lumet est un très grand directeur d'équipe, et par là même , un très grand directeur de films.
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Fallait pas relever, c'était ok au début.Watkinssien a écrit :Le classique : SIDNEY
Moyen mnémotechnique : c'est comme "Disney" ^^
J'ai tjrs eu le même pb avec pollack
Respect pour ce réalisateur. A 83 ans, il pondait "7h58 ce matin là", son dernier film, pour ma part un bijou de polar. Avec, c'est prémonitoire, PS Hoffmann dans le rôle d'un cocaïnomane !
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Autrefois, les fautes d'orthographe, on les signalait par mp, ça se corrigeait discrètement, et voilà. Mais c'est vrai, quand on ne peut pas écrire cinq lignes sans que ça fasse laborieux, il faut bien s'occuper. !!!!!Watkinssien a écrit :Le classique : SIDNEY
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Ce sont surtout les classiques que certains cinéphiles aiment à faire remarquer: Sydney Lumet et Sidney Pollack, les frères Cohen, Scorcece, etc... Désolé si cela a paru offensant.
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
tut tut tut! L'arroseur arrosé...Watkinssien a écrit :les frères Cohen
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
Toi, tu comprends bien les exemples cités, c'est bien !Nestor Almendros a écrit :tut tut tut! L'arroseur arrosé...Watkinssien a écrit :les frères Cohen
Je t'invite à relire ma phrase...
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Re: Sidney Lumet (1924-2011)
ah ok
j'ai dormi 4h cette nuit, je sens que le reste de la journée va être sympa...
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