Commentaires à propos de votre film du mois
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
32 films vus en Juillet, dont deux reprises en salles, pour un vainqueur incontesté ;
Ce soir, je voulais me regarder La femme d'à côté, mais je préfère me garder ce potentiel film du mois en Août (je ne l'ai jamais vu, mais le pitch de départ a tout pour me plaire)
Ce soir, je voulais me regarder La femme d'à côté, mais je préfère me garder ce potentiel film du mois en Août (je ne l'ai jamais vu, mais le pitch de départ a tout pour me plaire)
- Flol
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pas de film ce soir, donc mon bilan s'arrête à 32 films découverts et quelques séries (bien plus que d'habitude, me concernant).
Et en 1ère place, le film d'un réalisateur récemment décédé, qui m'a immédiatement fait comprendre pour quelles raisons ce cinéaste était tant admiré des cinéphiles :
1.
Close Up - Abbas Kiarostami
2.
Listen to me Marlon - Stevan Riley
3.
The Strangers - Na Hong-jin
4.
Florence Foster Jenkins - Stephen Frears
5.
Malgré la nuit - Philippe Grandrieux
Et en 1ère place, le film d'un réalisateur récemment décédé, qui m'a immédiatement fait comprendre pour quelles raisons ce cinéaste était tant admiré des cinéphiles :
1.
Close Up - Abbas Kiarostami
2.
Listen to me Marlon - Stevan Riley
3.
The Strangers - Na Hong-jin
4.
Florence Foster Jenkins - Stephen Frears
5.
Malgré la nuit - Philippe Grandrieux
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en juillet
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Le boucher (Claude Chabrol, 1970) ***
A Trémolat, tranquille petit village de Dordogne, le boucher sympathise avec la directrice d'école alors que des meurtres sont commis. Les névroses et les sentiments s'expriment à couvert dans cette comédie romantique qui vire au thriller psychologique entre deux âmes seules, superbement incarnées par Jean Yanne et Stéphane Audran. Un des meilleurs Chabrol, qui concentre à lui seul tous les passionnants archétypes de l'oeuvre du réalisateur. DVD Z2 Fr
Amy (Asif Kapadia, 2015) *
Ce documentaire de 2h retrace avec des images d'archives privées et des interviews audio récents le parcours autodestructeur d'Amy Winehouse (1983-2011) en faisant l'impasse sur son formidable talent vocal et d'écriture pour se concentrer, comme le ferait un tabloïd, sur sa descente aux enfers et sa relation toxique avec son boyfriend/mari. D'où un sentiment de tristesse funèbre et de gâchis, d'une jeune femme trop fragile et d'un vrai sujet. BR UK
Pumping iron (George Butler & Robert Fiore, 1977) **
A Los Angeles et Brooklyn, la préparation de quelques compétiteurs au concours Mr Olympia 1975 de Pretoria. Au-delà de la plongée dans le monde alors méconnu du bodybuilding, ce très bon documentaire est une métaphore éloquente sur la philosophie du Self Made Man et de l'American Dream. Lou Ferrigno est touchant en Hercule introverti mais c'est Arnold Schwarzenegger qui triomphe avec son assurance et charisme ravageurs. BR Deut
La charge héroïque / She wore a yellow ribbon (John Ford, 1949) *** Mon film du mois
Etonnant western, à la fois archétypique et atypique. Il y a John Wayne, Monument Valley, une patrouille de Cavalerie, des Indiens qui crient... mais la parcimonie de l'action et la concentration sur l'affect des personnages en font une ode mélancolique (mais pas triste du tout) sur le temps qui passe et le renouveau des générations. Wayne est grand - sa scène au cimetière est exceptionnelle - et le Technicolor Kalmus flamboie comme jamais. BR US
Une histoire immortelle (Orson Welles, 1968) *
Un Welles tardif et mineur, moyen métrage de 55' réalisé pour l'ORTF, d'après une nouvelle de Karen Blixen sur un riche vieillard qui paye une femme (Jeanne Moreau) et un marin pour qu'ils s'accouplent. Quelques belles images et la mélancolie de la musique de Satie n'empêchent pas ce film théâtral d'être très loin, dans sa forme, des possibilités du réalisateur. Welles est imposant en vieux millionnaire tentant de racheter une jeunesse. BR Fr
Dans la maison (François Ozon, 2012) *
Un prof de français désabusé (Fabrice Luchini, très bon dans la sobriété) s'improvise mentor d'un lycéen de 16 ans qui rédige ses jours d'invité dans la maison familiale d'un ami. Le film commence par intriguer avant que son scénario narcissique et ses références prononcées (Pasolini, Hitchcock, Highsmith...) le fassent tomber dans l'artifice pour le mener nulle part. Une métaphore sur la vampirisation créatrice qui tourne à l'exercice de style. BR Fr
El club (Pablo Larrain, 2015) **
Dans une maison d'un village côtier du Chili, cinq prêtres pédophiles mis à l'isolement par leur hiérarchie sont harcelés par une ancienne victime de l'un d'entre eux. Sur un sujet sulfureux, ce film austère dont chaque scène baigne dans une brume bleutée semble comme une interprétation contemporaine du Purgatoire, où les criminels et les victimes se répondraient sans fin. Audacieux et exigeant dans le fond comme dans la forme. DVD Z2 Fr
99 homes (Ramin Bahrani, 2014) *
En Floride, un jeune chômeur (Andrew Garfield) est embauché par l'agent immobilier prédateur (Michael Shannon) qui l'a exproprié de sa maison. L'amoralité du capitalisme sauvage et de la finance dans le sillage de la crise des subprimes est le fond de ce drame dont l'excellente première partie (sur la cruauté des évictions) fait place à un conflit de culpabilité à la résolution banalement conformiste. Plus de cynisme aurait mieux payé. Dommage. BR Deut
Zatoichi (Takeshi Kitano, 2003) 0
Tentative ratée de regarder le seul genre de film que je déteste : le film de sabre asiatique. Pas de surprise avec celui là, que j'ai fast forwardé au bout de 45'. Scénario et rythme hésitants (le milieu du film est interminable), accélérations aux giclées de sang répétitives, humour potache et décalé. Pourtant, les compositions et la photo sont superbes, les personnages attachants et le final en musical inattendu est une vraie merveille. Mais non. BR Fr
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Le boucher (Claude Chabrol, 1970) ***
A Trémolat, tranquille petit village de Dordogne, le boucher sympathise avec la directrice d'école alors que des meurtres sont commis. Les névroses et les sentiments s'expriment à couvert dans cette comédie romantique qui vire au thriller psychologique entre deux âmes seules, superbement incarnées par Jean Yanne et Stéphane Audran. Un des meilleurs Chabrol, qui concentre à lui seul tous les passionnants archétypes de l'oeuvre du réalisateur. DVD Z2 Fr
Amy (Asif Kapadia, 2015) *
Ce documentaire de 2h retrace avec des images d'archives privées et des interviews audio récents le parcours autodestructeur d'Amy Winehouse (1983-2011) en faisant l'impasse sur son formidable talent vocal et d'écriture pour se concentrer, comme le ferait un tabloïd, sur sa descente aux enfers et sa relation toxique avec son boyfriend/mari. D'où un sentiment de tristesse funèbre et de gâchis, d'une jeune femme trop fragile et d'un vrai sujet. BR UK
Pumping iron (George Butler & Robert Fiore, 1977) **
A Los Angeles et Brooklyn, la préparation de quelques compétiteurs au concours Mr Olympia 1975 de Pretoria. Au-delà de la plongée dans le monde alors méconnu du bodybuilding, ce très bon documentaire est une métaphore éloquente sur la philosophie du Self Made Man et de l'American Dream. Lou Ferrigno est touchant en Hercule introverti mais c'est Arnold Schwarzenegger qui triomphe avec son assurance et charisme ravageurs. BR Deut
La charge héroïque / She wore a yellow ribbon (John Ford, 1949) *** Mon film du mois
Etonnant western, à la fois archétypique et atypique. Il y a John Wayne, Monument Valley, une patrouille de Cavalerie, des Indiens qui crient... mais la parcimonie de l'action et la concentration sur l'affect des personnages en font une ode mélancolique (mais pas triste du tout) sur le temps qui passe et le renouveau des générations. Wayne est grand - sa scène au cimetière est exceptionnelle - et le Technicolor Kalmus flamboie comme jamais. BR US
Une histoire immortelle (Orson Welles, 1968) *
Un Welles tardif et mineur, moyen métrage de 55' réalisé pour l'ORTF, d'après une nouvelle de Karen Blixen sur un riche vieillard qui paye une femme (Jeanne Moreau) et un marin pour qu'ils s'accouplent. Quelques belles images et la mélancolie de la musique de Satie n'empêchent pas ce film théâtral d'être très loin, dans sa forme, des possibilités du réalisateur. Welles est imposant en vieux millionnaire tentant de racheter une jeunesse. BR Fr
Dans la maison (François Ozon, 2012) *
Un prof de français désabusé (Fabrice Luchini, très bon dans la sobriété) s'improvise mentor d'un lycéen de 16 ans qui rédige ses jours d'invité dans la maison familiale d'un ami. Le film commence par intriguer avant que son scénario narcissique et ses références prononcées (Pasolini, Hitchcock, Highsmith...) le fassent tomber dans l'artifice pour le mener nulle part. Une métaphore sur la vampirisation créatrice qui tourne à l'exercice de style. BR Fr
El club (Pablo Larrain, 2015) **
Dans une maison d'un village côtier du Chili, cinq prêtres pédophiles mis à l'isolement par leur hiérarchie sont harcelés par une ancienne victime de l'un d'entre eux. Sur un sujet sulfureux, ce film austère dont chaque scène baigne dans une brume bleutée semble comme une interprétation contemporaine du Purgatoire, où les criminels et les victimes se répondraient sans fin. Audacieux et exigeant dans le fond comme dans la forme. DVD Z2 Fr
99 homes (Ramin Bahrani, 2014) *
En Floride, un jeune chômeur (Andrew Garfield) est embauché par l'agent immobilier prédateur (Michael Shannon) qui l'a exproprié de sa maison. L'amoralité du capitalisme sauvage et de la finance dans le sillage de la crise des subprimes est le fond de ce drame dont l'excellente première partie (sur la cruauté des évictions) fait place à un conflit de culpabilité à la résolution banalement conformiste. Plus de cynisme aurait mieux payé. Dommage. BR Deut
Zatoichi (Takeshi Kitano, 2003) 0
Tentative ratée de regarder le seul genre de film que je déteste : le film de sabre asiatique. Pas de surprise avec celui là, que j'ai fast forwardé au bout de 45'. Scénario et rythme hésitants (le milieu du film est interminable), accélérations aux giclées de sang répétitives, humour potache et décalé. Pourtant, les compositions et la photo sont superbes, les personnages attachants et le final en musical inattendu est une vraie merveille. Mais non. BR Fr
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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- subMarine
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'espère que tu pourras en voir d'autres. Pour moi, Kiarostami c'est (enfin c'était...) avant tout LE maître du hors champ, et en ce sens il a bouleversé ma façon de "voir" le cinéma, en admettant qu'on puisse se concentrer sur bien d'autres choses que ce qui se passe à l'intérieur du cadre. Kiarostami était de ceux qui ont su repousser les limites du possible au cinéma. Tu as sûrement pu le constater avec "Close-up". Ce film fait partie de ses sommets au même titre que le palmé "Le goût de la cerise", mais je trouve que son oeuvre la plus impressionnante reste son triptyque "Ou est la maison de mon ami ?"/"Et la vie continue"/"Au travers des oliviers" pris dans son ensemble, surtout le dernier film qui reste mon préféré du cinéaste pour son humour désopilant et l'expérimentation poussée sur la notion de film dans le film.Ratatouille a écrit : Et en 1ère place, le film d'un réalisateur récemment décédé, qui m'a immédiatement fait comprendre pour quelles raisons ce cinéaste était tant admiré des cinéphiles :
1.
Close Up - Abbas Kiarostami
Et après, on peut poursuivre avec les films de Jafar Panahi, tout aussi incroyables. Comme si le fait de faire des films dans la contrainte d'un régime assez autoritaire par rapport à l'expression artistique les avaient aidé à mieux détourner toutes sortes de codes afin de se révéler au final comme deux des réals les plus créatifs de leur époque (on a vu ça aussi du côté de la Chine avec Jia Zhang-Ke, par exemple).
Mon top éditeurs : 1/Carlotta 2/Gaumont 3/Studiocanal 4/Le Chat 5/Potemkine 6/Pathé 7/L'Atelier 8/Esc 9/Elephant 10/Rimini 11/Coin De Mire 12/Spectrum 13/Wildside 14/La Rabbia-Jokers 15/Sidonis 16/Artus 17/BQHL 18/Bach
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- subMarine
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Et voilà pour moi pour ce mois-ci :
Après "Z", une autre association Costa-Gavras/Raoul Coutard/Yves Montand qui met bien comme il faut sur le cul (ce montage virtuose, de diou !)
Après "Z", une autre association Costa-Gavras/Raoul Coutard/Yves Montand qui met bien comme il faut sur le cul (ce montage virtuose, de diou !)
Mon top éditeurs : 1/Carlotta 2/Gaumont 3/Studiocanal 4/Le Chat 5/Potemkine 6/Pathé 7/L'Atelier 8/Esc 9/Elephant 10/Rimini 11/Coin De Mire 12/Spectrum 13/Wildside 14/La Rabbia-Jokers 15/Sidonis 16/Artus 17/BQHL 18/Bach
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Rien de bien terrible en ce mois de Juillet, peu de films vus et pas beaucoup de bien bons.
Lost River se détache de peu devant Everybody want some, mais l'un comme l'autre s'avère de tout petit films du mois.
Lost River se détache de peu devant Everybody want some, mais l'un comme l'autre s'avère de tout petit films du mois.
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Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Confirmation :
Les autres films vus en juillet :
INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : ANDREÏ MARTYNOV Fédote Vaskov dans Ici les aubes sont calmes
FILM DE JUILLET
ICI LES AUBES SONT CALMES / LA 359e SECTION (Stanislav Tostotski, 1972) *****
Les autres films vus en juillet :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : ANDREÏ MARTYNOV Fédote Vaskov dans Ici les aubes sont calmes
top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
top film par année
actrices, acteurs de l'année
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Mon top 3:
1 La Belle Saison (Catherine Corsini)
2 Un Château en Enfer (Sydney Pollack)
3 Famille à Louer (Mike Mitchell)
1 La Belle Saison (Catherine Corsini)
2 Un Château en Enfer (Sydney Pollack)
3 Famille à Louer (Mike Mitchell)
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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- Rick Blaine
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
The Revenant sera mon indiscutable film du mois de juillet, juste devant L'aveu brillante réussite de Costa-Gavras qui réussi à aller bien plus loin que son simple propos politique de surface grâce à un montage impressionnant est à un Montand à son meilleur. En troisième position La fin du jour, un Duvivier particulièrement touchant.
Le mois complet :
Le mois complet :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
- Jeremy Fox
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pour Close-Up, Zatoichi, La Charge héroïque, La Belle saison et The Revenant
- Vic Vega
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Vainqueur de juillet haut la main:
- Joshua Baskin
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois de juillet très riche aussi bien quantitativement (35 films !) que qualitativement (11 films se démarquent très nettement). Alors, c'est parti :
La tête haute - Emmanuelle Bercot
Un peu au dessus de tous les autres. Après la révélation Emmanuelle Bercot actrice dans Mon Roi, sa réalisation m'a remué pendant 2h.
Les deux amis - Louis Garrel
Directement inspiré par la nouvelle vague, un premier film très frais, émouvant et avec un trio d'acteurs parfait. @ Jeremy, ce film est pour toi, je suis sur que tu vas l'adorer.
Belles familles - Jean-Paul Rappeneau
Une énergie folle pour un réalisateur de 83 ans. Le meilleur de la comédie bourgeoise des années 70 remis au goût du jour.
La guerre des gangs - Lucio Fulci
Violent, vulgaire à souhait, mais sacrément divertissant.
Beasts of no nation - Cary Fukunaga
Un sujet fort et une mise en scène hyper impressionnante, jouant constamment avec la profondeur de champs.
Comme un avion - Bruno Podalydes
J'y allais un peu à reculons, déçu par son précédent film (Adieu Berthe), au final je me suis laissé bercer pendant 1h40 par cette drôle de balade.
Adjust your tracking - Dan M. Kinem, Levi Peretic
Aka NerdWorld. Drôle et triste à la fois
Le nouveau - Rudi Rosenberg
Les beaux gosses de la pré-adolescence. Un scénario très mince mais des acteurs et des situations vrais. Très très drôle.
The fundamentals of caring - Rob Burnett
Feel-good movie à la limite du putassier mais qui réussit à ne jamais dépasser les bornes.
The incredible melting man - William Sachs
Un scénario un peu mince mais des effets spéciaux de Rick Baker assez réussis et une ambiance années 70 comme on en fait plus. J'ai adoré.
Big eyes - Tim Burton
Alors que je n'attends plus rien de Tim Burton depuis des années, voici enfin un film qui le sort de ses délires gothiques déja vus 1000 fois. Le film est d'une structure tout à fait classique mais fait le job. J'espère qu'il poursuivra dans cette veine.
La tête haute - Emmanuelle Bercot
Un peu au dessus de tous les autres. Après la révélation Emmanuelle Bercot actrice dans Mon Roi, sa réalisation m'a remué pendant 2h.
Les deux amis - Louis Garrel
Directement inspiré par la nouvelle vague, un premier film très frais, émouvant et avec un trio d'acteurs parfait. @ Jeremy, ce film est pour toi, je suis sur que tu vas l'adorer.
Belles familles - Jean-Paul Rappeneau
Une énergie folle pour un réalisateur de 83 ans. Le meilleur de la comédie bourgeoise des années 70 remis au goût du jour.
La guerre des gangs - Lucio Fulci
Violent, vulgaire à souhait, mais sacrément divertissant.
Beasts of no nation - Cary Fukunaga
Un sujet fort et une mise en scène hyper impressionnante, jouant constamment avec la profondeur de champs.
Comme un avion - Bruno Podalydes
J'y allais un peu à reculons, déçu par son précédent film (Adieu Berthe), au final je me suis laissé bercer pendant 1h40 par cette drôle de balade.
Adjust your tracking - Dan M. Kinem, Levi Peretic
Aka NerdWorld. Drôle et triste à la fois
Le nouveau - Rudi Rosenberg
Les beaux gosses de la pré-adolescence. Un scénario très mince mais des acteurs et des situations vrais. Très très drôle.
The fundamentals of caring - Rob Burnett
Feel-good movie à la limite du putassier mais qui réussit à ne jamais dépasser les bornes.
The incredible melting man - William Sachs
Un scénario un peu mince mais des effets spéciaux de Rick Baker assez réussis et une ambiance années 70 comme on en fait plus. J'ai adoré.
Big eyes - Tim Burton
Alors que je n'attends plus rien de Tim Burton depuis des années, voici enfin un film qui le sort de ses délires gothiques déja vus 1000 fois. Le film est d'une structure tout à fait classique mais fait le job. J'espère qu'il poursuivra dans cette veine.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Tu vas être content.Joshua Baskin a écrit :
Big eyes - Tim Burton
Alors que je n'attends plus rien de Tim Burton depuis des années, voici enfin un film qui le sort de ses délires gothiques déja vus 1000 fois. Le film est d'une structure tout à fait classique mais fait le job. J'espère qu'il poursuivra dans cette veine.
- Joshua Baskin
- ambidextre godardien
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ah oui dis-donc.Ratatouille a écrit : Tu vas être content.
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- Jeremy Fox
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Oui j'attends beaucoup du Garrel. Cool pour Bercot