Votre film du mois de Septembre 2015
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Licence to kill (John Glen, 1989) 3/10
Un baiser s'il vous plait (Emmanuel Mouret, 2007) 4/10
Les complices (Frédéric Mermoud, 2010) 6.5/10
Le mouton enragé (Michel Deville, 1974) 7/10
La traversée de Paris (Claude Autant-Lara, 1956) 6.5/10
Entre les murs (Laurent Cantet, 2008) 7.5/10
Enemy at the gates (Jean-Jacques Annaud, 2001) 6/10
Tchao pantin (Claude Berri, 1983) 7.5/10
Mademoiselle Chambon (Stéphane Brizé, 2009) 7/10
Art Museum by the Zoo (Lee Jeong-hyang, 1998) 6.5/10
Le vieil homme et l'enfant (Claude Berri, 1967) 8.5/10
Un moment d'égarement (Claude Berri, 1977) 6.5/10
Chère humaine (Stéphane Breton, 2013) 7/10
Le poulet (Claude Berri, 1962) 6.5/10
Police Film (Wim Wenders, 1969) 6/10
All you need is love (Suzanne Bier, 2012) 7/10
Mystery (Lou Ye, 2012) 7.5/10
Gardiens de l'ordre (Nicolas Boukhrief, 2009) 6/10
Moonstruck (Norman Jewison, 1987) 7.5/10
The Fabulous Baker Boys (Steven Kloves, 1989) 7.5/10
Chotard et Cie (Jean Renoir, 1933) 6/10
The Professionals (Richard Brooks, 1966) 7/10
Say anything... (Cameron Crowe, 1989) 7.5/10
The Devil-ship Pirates (Don Sharp, 1964) 6/10
Dernière modification par vic le 1 oct. 15, 11:56, modifié 5 fois.
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Septembre 2015
Film du mois
Le Vent se lève (Miyazaki), envoûtant
Films découverts
L'Arnacœur (Chaumeil), les codes du genre sont parfaitement digérés, c'est mis en scène et photographié avec classe, mais on passe à côté du bijou à cause de dialogues désespérément inconsistants là où ça aurait du fuser.
Jack Reacher (McQuarrie), délicieusement roublard (comprendre : ne tient pas debout mais fort divertissant)
Films revus (Hors compétition)
Charlie's angels : full throttle (McG), jubilatoire film-bonbon, miraculeuse symbiose entre parodie pertinente et actioner ébouriffant
Kill bill (Tarantino), à force de se bonifier à chaque revoyure, le film peut-il atteindre la perfection ?
Entre les murs (Cantet), implacablement juste, captivant et remuant
Hard eight (Anderson), brillamment écrit, solidement mis en scène, un bel écrin pour ses acteurs
The Adventures of Baron Munchausen (Gilliam), euphorisant
Séries TV
True detective S.1 (en cours)
Mes films des années précédentes
Film du mois
Le Vent se lève (Miyazaki), envoûtant
Films découverts
L'Arnacœur (Chaumeil), les codes du genre sont parfaitement digérés, c'est mis en scène et photographié avec classe, mais on passe à côté du bijou à cause de dialogues désespérément inconsistants là où ça aurait du fuser.
Jack Reacher (McQuarrie), délicieusement roublard (comprendre : ne tient pas debout mais fort divertissant)
Films revus (Hors compétition)
Charlie's angels : full throttle (McG), jubilatoire film-bonbon, miraculeuse symbiose entre parodie pertinente et actioner ébouriffant
Kill bill (Tarantino), à force de se bonifier à chaque revoyure, le film peut-il atteindre la perfection ?
Entre les murs (Cantet), implacablement juste, captivant et remuant
Hard eight (Anderson), brillamment écrit, solidement mis en scène, un bel écrin pour ses acteurs
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Séries TV
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Dernière modification par Max Schreck le 21 sept. 15, 12:44, modifié 6 fois.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
Mes extrospections...
Mon Top 100...
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
SEPTEMBRE 2015
Film du mois
Raging Bull (Martin Scorsese)
Films (re)découverts
Raging Bull (Martin Scorsese) 8/10
Renoir (Gilles Bourdos) 8/10
Star Trek (J.J. Abrams) 7.5/10
La famille Addams (Barry Sonenfeld) 7.5/10
Van Gogh (Maurice Pialat) 7.5/10
A la poursuite de demain (Brad Bird) 7.5/10
Star Trek Into Darkness 3D (J.J. Abrams) 7/10
Star Trek III : à la recherche de Spock (Leonard Nimoy) 6.5/10
Mishima, une vie en quatre chapitres (Paul Shrader) 6.5/10
R.I.P.D. brigade fantôme (Robert Schwentke) 6/10
L'extase et l'agonie (Carol Reed) 5.5/10
La conquête (Xavier Durringer) 5.5/10
Howard The Duck, une nouvelle race de héros (Willard Huyck) 4.5/10
Don Jon (Joseph Gordon-Levitt) 4/10
Séries TV
Breaking Bad saison 1 (Vince Gilligan) 8/10
Breaking Bad saison 2 (Vince Gilligan) 7.5/10
Daredevil (Drew Goddard, Steven S. DeKnight) épisode 4/13 8/10
Dragon Ball Z Kai (Akira Toriyama) épisode 61/167 7.5/10
Fringe saison 4 (J.J. Abrams, Roberto Orci, Alex Kurtzman) épisode 12/22 7/10
Invasion planète Terre saison 1 (Gene Roddenberry, Majel Barrett) épisode 3/22 7/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 17/37 8.5/10
Orphan Black saison 3 (Graeme Manson, John Fawcett) 7.5/10
Penny Dreadful saison 2 (John Logan) épisode 2/10 7/10
Saint Seiya, les chevaliers du zodiaque (Masami Kurumada) épisode 11/114 7/10
Star Trek : The Next Generation saison 3 (Gene Roddenberry) épisode 2/26 6.5/10
The X-Files : aux frontières du réel saison 1 (Chris Carter) épisode 2/24 7.5/10
Wet Hot American Summer : first day of camp (Michael Showalter, David Wain) épisode 7/8 7.5/10
Films des mois précédents
Film du mois
Raging Bull (Martin Scorsese)
Films (re)découverts
Raging Bull (Martin Scorsese) 8/10
Renoir (Gilles Bourdos) 8/10
Star Trek (J.J. Abrams) 7.5/10
La famille Addams (Barry Sonenfeld) 7.5/10
Van Gogh (Maurice Pialat) 7.5/10
A la poursuite de demain (Brad Bird) 7.5/10
Star Trek Into Darkness 3D (J.J. Abrams) 7/10
Star Trek III : à la recherche de Spock (Leonard Nimoy) 6.5/10
Mishima, une vie en quatre chapitres (Paul Shrader) 6.5/10
R.I.P.D. brigade fantôme (Robert Schwentke) 6/10
L'extase et l'agonie (Carol Reed) 5.5/10
La conquête (Xavier Durringer) 5.5/10
Howard The Duck, une nouvelle race de héros (Willard Huyck) 4.5/10
Don Jon (Joseph Gordon-Levitt) 4/10
Séries TV
Breaking Bad saison 1 (Vince Gilligan) 8/10
Breaking Bad saison 2 (Vince Gilligan) 7.5/10
Daredevil (Drew Goddard, Steven S. DeKnight) épisode 4/13 8/10
Dragon Ball Z Kai (Akira Toriyama) épisode 61/167 7.5/10
Fringe saison 4 (J.J. Abrams, Roberto Orci, Alex Kurtzman) épisode 12/22 7/10
Invasion planète Terre saison 1 (Gene Roddenberry, Majel Barrett) épisode 3/22 7/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 17/37 8.5/10
Orphan Black saison 3 (Graeme Manson, John Fawcett) 7.5/10
Penny Dreadful saison 2 (John Logan) épisode 2/10 7/10
Saint Seiya, les chevaliers du zodiaque (Masami Kurumada) épisode 11/114 7/10
Star Trek : The Next Generation saison 3 (Gene Roddenberry) épisode 2/26 6.5/10
The X-Files : aux frontières du réel saison 1 (Chris Carter) épisode 2/24 7.5/10
Wet Hot American Summer : first day of camp (Michael Showalter, David Wain) épisode 7/8 7.5/10
Films des mois précédents
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Fury (Brad Pitt) = 8/10
Panic sur Florida Beach = 8/10 (revu, BR)
The Image (version hard) = 7,5/10 (revu)
Le corps de mon ennemi = 7,5/10 (revu, dvd)
Vendredi 13 - Chapitre VI: Jason le mort vivant = 7,5/10 (revu, dvd)
Mr Holmes = 7,5/10 (ciné)
Companeros = 7/10 (dvd)
La charge de la brigade légère (Errol Flynn) = 7/10 (dvd)
Turbo Kid = 7/10
Mon beau-père et moi = 7/10 (revu, bluray)
Everest 3D = 7/10 (cinéma)
Les cordes de la potence = 6,5/10 (revu, dvd)
3000 dollars mort ou vif = 6,5/10 (dvd)
Starsky & Hutch = 6,5/10 (revu, dvd)
Jennifer's Body = 6,5/10 (TV)
Dark Clown = 6,5/10 (dvd)
Apollo 13 = 6,5/10 (revu, TV)
Les minions = 6,5/10
Mes meilleures amies = 6,5/10 (TV)
Solitaire = 6/10 (revu, dvd)
Very Bad Trip 3 = 6/10 (TV)
Génération perdue 3 = 6/10 (TV)
Détective Conan 3: Le dernier magicien du siècle = 6/10
Firestorm = 6/10
Comment tuer son boss = 6/10
Le chat et le canari (Radley Metzger) = 6/10
Dead Rising = 5/10
L'héritier = 5/10 (TV, revu)
Lake Placid: chapitre final = 4/10 (dvd)
Welcome to New York = 4/10
Le Cercle de feu = 4 /10 (revu)
The Scarehouse = 2/10
Dernière modification par hellrick le 29 sept. 15, 11:38, modifié 5 fois.
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
-Tourments de Jacques Daniel Norman (1953): 1/10
Film De Funes te mémoire.
-Ordure! de Jon S. Baird (2014) :1/10
Poubelle !
-Alibi meurtrier de Jerry Hopper (1953) :3/10
Juste pour le grand Sterling Hayden.
-Joe de David Gordon (2014) : 7.5/10
Quand il sort de sa cage, Nicolas reste un des meilleurs acteurs en activité, film efficace d'une noirceur absolue.
Belle découverte.
-Les machoires infernales de William Grefe (1976) 6/10
Un film qui requinque ?
Ce réalisateur à une petite notoriété dans le monde du bis, ses prédateurs sont réels, sans trucages, et font leurs petits effets, mais entre temps beaucoup de passages nanaresques,notamment les dialogues. D'aucuns diront que la Grefe ne prend pas complétement ...
-L'impitoyable de Edgar G Ulmer (1948) :7/10
Peu stimulant au début, plus intéressant par la suite et carrément emballant sur la fin.
Mais j'ai pas vu Jackie chan.
-Les Crimes de Snowtown de Justin Kurzel (2011) :7.5/10
Le cinéma Australien est souvent un choc, celui-ci ne déroge pas à la régle, fort, terrifiant, parfois trop complaisant (ce qui peut le desservir) , mais oui encore un choc ! BO assez remarquable.
-The nines de John August (2007) : 7/10
Très bon film, original, décalé, preuve que parfois Ryan Reynolds est très bon, on pense parfois notamment sur le premier sketch au cinéma de Quentin Dupieux, du non sensique fort réjouissant.
-Les nouveaux sauvages de Damián Szifron (2015) : 7/10
Presque qu'un mix entre les contes de la crypte et un Alex de la iglesia énervé, réjouissant, mais une inversion des sketchs aurait été profitable.
-Bethsabée de Léonide Moguy (1947) : 5.5/10
Un peu suranné , et puis la trame reprend trop celle du film La route impériale de L'herbier.
-Rec 4 de Jaume Balagueró (2014) : 5/10
jaume fait le boulot, mais bon vivement qu'il arrête cette franchise de merdia.
-Extinction de Miguel Angel Vivas (2015) : 5/10
Rien de neuf au royaume des infectés, ceux-ci ne sont d'ailleurs qu'un prétexte, beaucoup d'incohérences, on peut retenir le début plutôt intriguant et le plaisir de revoir le trop rare Matthew Fox. Des décors enneigés horriblement numériques, des créatures stupides, mouais bon on va dire que ça ce laisse quand même voir si on aime le genre, mais tout juste.
-Horsehead de Romain Basset (2014) 4.5/10
Référentiel, mais un manque d'ambiance et de talent tout simplement.
L'abime de juan piquer Simon (1989) 6.5/10
Avec trois fois rien mais un certain talent, Piquer arrive à délivrer des séries B comme je les affectionnes tant.
Serie TV:
Fringe saison 4: en cours: 18 épisodes, un peu mieux que les saisons précédentes, plus de tensions, mais depuis quatres épisodes le rythme redevient trop pépère, à nouveau pas assez de prises de risques, bref comme les autres saisons , c'est sympa, ça ronronne, mais j'attends plus. :6.5/10
Film De Funes te mémoire.
-Ordure! de Jon S. Baird (2014) :1/10
Poubelle !
-Alibi meurtrier de Jerry Hopper (1953) :3/10
Juste pour le grand Sterling Hayden.
-Joe de David Gordon (2014) : 7.5/10
Quand il sort de sa cage, Nicolas reste un des meilleurs acteurs en activité, film efficace d'une noirceur absolue.
Belle découverte.
-Les machoires infernales de William Grefe (1976) 6/10
Un film qui requinque ?
Ce réalisateur à une petite notoriété dans le monde du bis, ses prédateurs sont réels, sans trucages, et font leurs petits effets, mais entre temps beaucoup de passages nanaresques,notamment les dialogues. D'aucuns diront que la Grefe ne prend pas complétement ...
-L'impitoyable de Edgar G Ulmer (1948) :7/10
Peu stimulant au début, plus intéressant par la suite et carrément emballant sur la fin.
Mais j'ai pas vu Jackie chan.
-Les Crimes de Snowtown de Justin Kurzel (2011) :7.5/10
Le cinéma Australien est souvent un choc, celui-ci ne déroge pas à la régle, fort, terrifiant, parfois trop complaisant (ce qui peut le desservir) , mais oui encore un choc ! BO assez remarquable.
-The nines de John August (2007) : 7/10
Très bon film, original, décalé, preuve que parfois Ryan Reynolds est très bon, on pense parfois notamment sur le premier sketch au cinéma de Quentin Dupieux, du non sensique fort réjouissant.
-Les nouveaux sauvages de Damián Szifron (2015) : 7/10
Presque qu'un mix entre les contes de la crypte et un Alex de la iglesia énervé, réjouissant, mais une inversion des sketchs aurait été profitable.
-Bethsabée de Léonide Moguy (1947) : 5.5/10
Un peu suranné , et puis la trame reprend trop celle du film La route impériale de L'herbier.
-Rec 4 de Jaume Balagueró (2014) : 5/10
jaume fait le boulot, mais bon vivement qu'il arrête cette franchise de merdia.
-Extinction de Miguel Angel Vivas (2015) : 5/10
Rien de neuf au royaume des infectés, ceux-ci ne sont d'ailleurs qu'un prétexte, beaucoup d'incohérences, on peut retenir le début plutôt intriguant et le plaisir de revoir le trop rare Matthew Fox. Des décors enneigés horriblement numériques, des créatures stupides, mouais bon on va dire que ça ce laisse quand même voir si on aime le genre, mais tout juste.
-Horsehead de Romain Basset (2014) 4.5/10
Référentiel, mais un manque d'ambiance et de talent tout simplement.
L'abime de juan piquer Simon (1989) 6.5/10
Avec trois fois rien mais un certain talent, Piquer arrive à délivrer des séries B comme je les affectionnes tant.
Serie TV:
Fringe saison 4: en cours: 18 épisodes, un peu mieux que les saisons précédentes, plus de tensions, mais depuis quatres épisodes le rythme redevient trop pépère, à nouveau pas assez de prises de risques, bref comme les autres saisons , c'est sympa, ça ronronne, mais j'attends plus. :6.5/10
Dernière modification par Addis-Abeba le 21 sept. 15, 13:14, modifié 10 fois.
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
FILM DU MOIS
FILMS / SERIES : DECOUVERTES / REDECOUVERTES
Boyhood (Richard Linklater, 2014) : 9/10
Music Box (Costa Gavras, 1989) : 9/10
Pickup On South Street (Samuel Fuller, 1953) : 9/10
Compulsion (Richard Fleischer, 1959) : 8/10
Quiz Show (Robert Redford, 1994) : 8/10
Tomorrowland (Brad Bird, 2015) : 7/10
Inequality for All (Jacob Kornbluth, 2013) : 7/10
The Lost Weekend (Billy Wilder, 1945) : 6/10
Bernie (Richard Linklater, 2012) : 6/10
Big Hero 6 (Don Hall & Chris Williams, 2014) : 4/10
FILMS REVUS
Aucun
FILMS / SERIES : DECOUVERTES / REDECOUVERTES
Boyhood (Richard Linklater, 2014) : 9/10
Music Box (Costa Gavras, 1989) : 9/10
Pickup On South Street (Samuel Fuller, 1953) : 9/10
Compulsion (Richard Fleischer, 1959) : 8/10
Quiz Show (Robert Redford, 1994) : 8/10
Tomorrowland (Brad Bird, 2015) : 7/10
Inequality for All (Jacob Kornbluth, 2013) : 7/10
The Lost Weekend (Billy Wilder, 1945) : 6/10
Bernie (Richard Linklater, 2012) : 6/10
Big Hero 6 (Don Hall & Chris Williams, 2014) : 4/10
FILMS REVUS
Aucun
Dernière modification par Johnny Doe le 30 sept. 15, 22:46, modifié 6 fois.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
-
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
FILM(S) DU MOIS
Films découverts
Qu'il est étrange de s'appeler Federico (Che strano chiamarsi Federico: Scola racconta Fellini, 2013, Ettore Scola) 7/10 Quelques facilités vite effacées par l'émotion d'une reconstitution des jeunes années et de l'amitié entre un grand cinéaste et un génie hors catégorie.
Sainte Jeanne (Saint Joan, 1957, Otto Preminger) 6/10 (Loin) derrière l'insurpassable version de Bresson, cette Jeanne est sans doute la meilleure grâce à un beau texte servi par des acteurs de grande classe et une Seberg habitée. Widmark - que j'admire - cabotine sans retenue.
Nashville Lady (Coal miner's daughter, 1980, Michael Apted) 6/10 La country ne sera jamais mon verre de Bourbon mais une fois de plus inspire un joli film. Surtout sa première partie familiale, aux accents fordiens.
Le dieu d'osier (The wicker man, 1973, Robin Hardy) 5,5/10 Bava british alternant beaux moments et scènes ridicules tel un va-et-vient entre des épisodes de Chapeau Melon et de... L'île fantastique. Issue trop longue. Une curiosité à l'aura tout de même un peu surévaluée.
Wrong cops (2013, Quentin Dupieux) 5,5/10 L'esprit - unique - de Dupieux est toujours bien identifiable ("Show me your breastssssssssss" ), sauf que c'est nettement moins réussi que Wrong tout court.
A very Englishman (The look of love, 2013, Michael Winterbottom) 5/10 Biopic sur un personnage assez peu intéressant et tourné sans réelle passion. Winterbottom s'intéresse davantage aux femmes qui l'entourent et il (le) fait bien.
Cat Ballou (1965, Elliot Silverstein) 3,5/10 Farce western inoffensive et très oubliable malgré le charme de Jane Fonda et Marvin - presque - à contre-emploi (mais qui ne méritait pas l'Oscar pour ça).
Berberian Sound Studio (2012, Peter Strickland) 3,5/10 Où comment, à partir d'une bonne idée, réussir un film... chiant.
Sunshine (2007, Danny Boyle) 2/10 Confirmation que Boyle est un médiocre. Un enième spationawak boursouflé de beep-beep et woosh à la con scénarisé par des cancres en sciences de base. Ou comment imiter le pire du mainstream hollywoodien mais en oubliant la notion de divertissement. Plus prévisible tu meurs grillé.
Dredd (2012, Pete Travis) 2/10 Sanguinem et circenses. Pas une once de l'humour de l'original et une telle complaisance dans la violence désespérante quant au public visé. Ça fait d'autant plus mal d'y croiser la superbe Lena Headey.
Les deux orphelines vampires (1997, Jean Rollin) 1/10 Un Bunuel de Prisunic joué comme des couettes par des cônes et qui m'a fait perdre la moitié des bâtonnets avec sa colorimétrie de bac à surgelés.
Films revus
The arrival (1997, David Twohy) 6/10 Divertissement toujours sympathique malgré l'âge qui lui donne de plus en plus des allures de téléfilm de luxe.
Big Easy : Le flic de mon cœur (The Big Easy, 1987, Jim McBride) 5/10 Polar 80's honnête mais McBride n'est pas Lumet, la drôlesse Ellen Barkin sera encore plus extra dans Mélodie pour un meurtre et puis Quaid me fatigue avec son sourire de "Joker".
Un château en enfer (Castle keep, 1969, Sydney Pollack) 4/10 L'allégorie est un peu lourde. Malgré sa distribution et un très beau cadre, Pollack semble bien moins à l'aise qu'auraient pu l'être Schaffner, Aldrich ou Peckinpah. A sa décharge, je l'ai hélas revu en VF...
Courts-métrages
Le poulet (1962, Claude Berri) 6/10 Les débuts de Berri qui, comme son ami Truffaut, aura toujours su filmer les gamins. Ne méritait sans doute pas l'Oscar mais c'est mignon quand même. Revu
Garçonne (2014, Nicolas Sarkissian) 4,5/10 Actrice ravissante, flirt heureux avec le fantastique mais style (clip avec abus de ralentis sensuels) et sujet (quête du genre... ) trop mode, trop vus.
Documentaires
The Lebanese Rocket Society (2013, Joana Hadjithomas & Khalil Joreige) 7/10 On croirait presque un mockumentaire mais c'est passionnant, plus encore historiquement que scientifiquement. Poétique et même ubuesque. Aurait aussi bien pu être titré The Armenian Rocket Society.
Roma Fantastica (2010, Luigi Cozzi) 6/10 Un voyage dans le cinéma fantastique et d'horreur italien... qui tourne assez vite à une autobio de l'intarissable (et souvent passionnant) Cozzi.
L'architecture du vertige (2015, Benjamin Clavel) 5/10 Que dire qui n'a déjà été dit sur Hitchcock ? Intéressant, sans plus et aucun des intervenants ne développe l'un des éléments récurrents majeur : les escaliers !
FILMS D'EMOI
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Dernière modification par Federico le 30 sept. 15, 14:11, modifié 20 fois.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
Joseph L. Mankiewicz
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Film du mois
Septembre
After Hours (Martin Scorsese, 1985) : 8
Voyage à Tokyo (Yasujiro Ozu, 1953) : 8
Boat People/Passeport pour l'enfer (Ann Hui, 1982) : 8
Le Vieil homme et l'enfant (Claude Berri, 1967) : 8
Love and Mercy (Bill Pohlad, 2014) : 8 *
L'Ange ivre (Akira Kurosawa, 1948) : 7.5
Compartiment tueurs (Costa-Gavras, 1965) : 7.5 *
Alice n'est plus içi (Martin Scorsese, 1974) : 7
L'Audience (Marco Ferreri, 1971) : 7
Chair de poule (Julien Duvivier, 1963) : 7
Margaret (Kenneth Lonergan, 2011) : 7
Qu'il est etrange de s'appeler Federico (Ettore Scola, 2012) : 6.5
Etat de siege (Costa-Gavras, 1972) : 6.5 *
Un Heros de notre temps (Mario Monicelli, 1955) : 6.5 *
Nous sommes tous des voleurs (Robert Altman, 1974) : 6.5
Aferim ! (Radu Jude, 2015) : 6.5 *
Miss Hokusai (Keichi Hara, 2015) : 6.5 *
Missing (Costa-Gavras, 1982) : 6
Still the water (Naomi Kawase, 2014) : 6
Roger la honte (Riccardo Freda, 1966) : 6
Un homme de trop (Costa-Gavras, 1967) : 6 *
Nashville Lady (Michael Apted, 1980) : 6
Le Theme (Gleb Panfilov, 1979) : 6
Un moment d'egarement (Claude Berri, 1977) : 5.5
Sans identité (Jaime Collet-Serra, 2011) : 5
Outland (Peter Hyams, 1981) : 5
Le Debut (Gleb Panfilov, 1970) : 5
L'Orchidée blanche (André De Toth, 1947) : 4
Stakeout at Dope Street (Irvin Kershner, 1958) : 4
Jicop le proscrit (Henry Levin, 1957) : 3.5
Series
Masters of Sex saison 1 : 7
Homeland saison 3 : 5.5
Justified saison 4 : 7
Justified saison 5 : en cours
notes sur 10
* vu en salles
en noir : films decouverts
en marron : films redecouverts
en rouge : films revus
Mes Films du mois 2015 :
Janvier : Le Bandit (A. Lattuada)
Fevrier : Elle est terrible (L. Salce)
Mars : Fellini Roma (F. Fellini)
Avril : La Coupe à dix francs (P. Condroyer)
Mai : Laurence Anyways (X. Dolan)
Juin : Les Loups (H. Gosha)
Juillet : Poussieres dans le vent (Hou Hsiao-Hsien)
Aout : A Touch of Zen (King Hu)
Septembre
After Hours (Martin Scorsese, 1985) : 8
Voyage à Tokyo (Yasujiro Ozu, 1953) : 8
Boat People/Passeport pour l'enfer (Ann Hui, 1982) : 8
Le Vieil homme et l'enfant (Claude Berri, 1967) : 8
Love and Mercy (Bill Pohlad, 2014) : 8 *
L'Ange ivre (Akira Kurosawa, 1948) : 7.5
Compartiment tueurs (Costa-Gavras, 1965) : 7.5 *
Alice n'est plus içi (Martin Scorsese, 1974) : 7
L'Audience (Marco Ferreri, 1971) : 7
Chair de poule (Julien Duvivier, 1963) : 7
Margaret (Kenneth Lonergan, 2011) : 7
Qu'il est etrange de s'appeler Federico (Ettore Scola, 2012) : 6.5
Etat de siege (Costa-Gavras, 1972) : 6.5 *
Un Heros de notre temps (Mario Monicelli, 1955) : 6.5 *
Nous sommes tous des voleurs (Robert Altman, 1974) : 6.5
Aferim ! (Radu Jude, 2015) : 6.5 *
Miss Hokusai (Keichi Hara, 2015) : 6.5 *
Missing (Costa-Gavras, 1982) : 6
Still the water (Naomi Kawase, 2014) : 6
Roger la honte (Riccardo Freda, 1966) : 6
Un homme de trop (Costa-Gavras, 1967) : 6 *
Nashville Lady (Michael Apted, 1980) : 6
Le Theme (Gleb Panfilov, 1979) : 6
Un moment d'egarement (Claude Berri, 1977) : 5.5
Sans identité (Jaime Collet-Serra, 2011) : 5
Outland (Peter Hyams, 1981) : 5
Le Debut (Gleb Panfilov, 1970) : 5
L'Orchidée blanche (André De Toth, 1947) : 4
Stakeout at Dope Street (Irvin Kershner, 1958) : 4
Jicop le proscrit (Henry Levin, 1957) : 3.5
Series
Masters of Sex saison 1 : 7
Homeland saison 3 : 5.5
Justified saison 4 : 7
Justified saison 5 : en cours
notes sur 10
* vu en salles
en noir : films decouverts
en marron : films redecouverts
en rouge : films revus
Mes Films du mois 2015 :
Janvier : Le Bandit (A. Lattuada)
Fevrier : Elle est terrible (L. Salce)
Mars : Fellini Roma (F. Fellini)
Avril : La Coupe à dix francs (P. Condroyer)
Mai : Laurence Anyways (X. Dolan)
Juin : Les Loups (H. Gosha)
Juillet : Poussieres dans le vent (Hou Hsiao-Hsien)
Aout : A Touch of Zen (King Hu)
Dernière modification par Jack Carter le 29 sept. 15, 22:48, modifié 19 fois.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
SEPTEMBRE 2015
Film du mois
Un Si Doux Visage (Otto Preminger)
Films des Mois Précédents
Film du mois
Un Si Doux Visage (Otto Preminger)
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Septembre 2015
Film du mois:
The Mortal Storm, de Frank Borzage: 8,5/10
Sombre évocation de la montée du nazisme en Allemagne et un des films hollywoodiens parmi les plus noirs que j'ai vu de cette époque. Les acteurs sont formidables, James Stewart et Margaret Sullavan en tête.
Films vus:
Voici le temps des assassins, de Julien Duvivier (1956): 8,5/10
On ne peut pas dire que le visionnage m'ait été agréable, tant le début respire la bonhomie et le reste du film s'avère particulièrement sombre. Mais un sacré film, très efficace, perturbant tout au long de son déroulement.
Caprice, d'Emmanuel Mouret (2014): 8/10
De vrais mensonges, de Pierre Salvadori (2010): 8/10
Platinium Blonde, de Franck Capra (1931): 8/10
Chouette pré-code, je craque littéralement pour le joli minois de Loretta Young (qui se révèle particulièrement touchante dans ce film), un peu moins pour Jean Harlow. Et Robert Williams (= sosie de Jeremy Renner), c'est une perte regrettable, comme évoqué par certains, tant il présentait visiblement de belles dispositions pour la comédie
The conversation, de F.F.Coppola (1974) : 8/10
Une réalisation qui épouse parfaitement le propos, un maître étalon du thriller paranoïaque. A apparemment coïncidé avec le scandale du Watergate, on ne peut pas trouver meilleure résonance..
Blow up, de Michelangelo Antonioni (1966): 8/10
L'aventure du Poséidon, de Ronald Neame (1972): 8/10
Bon film catastrophe, qui s'est bien conservé avec le temps et ne néglige pas l'émotion livrée au kilo.
Le baron fantôme, de Serge de Poligny (1943): 7,5/10
Beau long métrage de Serge de Poliny, dont la réalisation embrasse parfaitement la dimension tantôt inquiétante tantôt onirique de l'histoire. Le film est très agréable, avec sa galerie de personnages pittoresques, la plume de Cocteau et quelques scènes magnifiques, à l'image de cette marche somnambule du braconnier qui emmène sa belle à travers la forêt, dont la puissance poétique nous laisse sans voix.
Quelques défauts mineurs ; un triangle amoureux un peu alambiqué, le jeu théâtral d'Alain Cuny mais la présence imposante de l'acteur à l'écran et l'ambiance de rêverie coctesque permet de passer outre rapidement.
Witness for the Prosecution, de Billy Wilder (1958): 7,5/10
Scénario malin mais les événements s’agencent sans respiration dans son dénouement et ce, de manière un peu trop théâtrale, ce qui atténue un peu la bonne impression d'ensemble.
Le dernier face à face, de Sergio Sollima (1967): 7,5/10
Vu dans une copie épouvantable mi VO mi VF, qui m'a posé pas mal d'interrogations sur le montage du film. J'ai vu qu'une version DVD était sortie récemment dans une copie beaucoup plus acceptable. Un second visionnage s'impose pour apprécier comme il se doit ce chassé croisé psychologique.
The Sunshine Boys, de Herbert Ross (1975): 7,5/10
El Chuncho, de Damiano Damiani (1968): 7/10
Pas un grand fan des Western Zapatta, j'ai trouvé la première partie du film ennuyeuse. Puis les enjeux dramatiques se resserrent et les tiraillements intérieurs du personnage joué par Volonté apparaissent bien developpés. La dernière phrase du film flingue un peu la dimension dramatique du dénouement. Imparfait mais intéressant.
Rien sur Robert, de Pascal Bonitzer(1999): 7/10
Apache Drums, d'Hugo Fregonese (1951): 7/10
Blow-out, de Brian de Palma (1981): 6,5/10
Légère déception. Malgré la virtuosité de la réalisation, le dénouement m'a laissé un peu indifférent; l’enchaînement des événements qui défie la vraisemblance ne facilite pas l'implication du spectateur et le sur-emploi de certains effets (aie ces ralentis, tous violons dehors) a fini de me rendre dubitatif.
Impulse, de Sondra Locke (1990) : 6,5/10
Thriller décent avec une bonne performance de Theresa Russell
Total Recall, de Paul Veroeven (1990) : 6,5/10
Assez jouissif mais l'action non stop tend parfois à diluer l'intérêt du film
Le Professeur, de Valerio Zurlini (1972): 6,5/10
Next time we love, d'Edward H. Griffith (1936): 6/10
Le début est extrêmement poussif, le sentiments des 2 amoureux sont beaucoup trop appuyés et comme dans tous bon mélodrames, les personnages prennent toujours le chemin le plus compliqué pour se garder d'être heureux.. Mais, surprise on se laisse prendre par le film au fur à mesure... Et franchement, peut-on trouver couple plus complémentaire que Margaret Sullavan et James Stewart? Ces deux acteurs sont extraordinaires ensemble. Ils ne le sont pas moins dans ce qui est pourtant leur moins bon film ensemble.
The Towering Inferno, de John Guillermin (1974) : 6/10
Last Action Hero de James McTiernan (1993): 6/10
Ulzana's raid de Robert Aldrich (1972): 6/10
The Lonely Guy, d'Arthur Hiller (1984) : 6/10
Comédie loufoque avec Steve Martin. Un humour tantôt drôle tantôt tombant complètement à plat, mais plutôt charmant dans l'ensemble. La seconde partie du film est aussi beaucoup moins réussi que la première.
The Divorce de Lady X de Tim Whelan (1938): 5,5/10
C'est mignon de voir Laurence Oliver martyrisé et se dépatouiller de situations invraisemblables. Mais bordel, qu'est ce que c'est con! Merle Oberon, incarnation de la superficialité, est particulièrement antipathique dans ce film..
Brake de Gabe Torres (2012): 5,5/10
L'équivalent de "Buried", mais dans le coffre d'une bagnole. Contrairement à ce dernier, ce film ne tente pas de faire autre chose que du divertissement pur. Le problème, c'est qu'on trouve pas mal de temps faibles vers la fin du film et le dénouement m'a laissé plus dubitatif qu'autre chose.
The aggression Scale, de Steven C.Miller (2012): 5/10
4 tueurs à gages sont envoyés par un chef de mafia récupérer 500 000 dollars auprès de personnes suspectés de l'avoir volé. Ils séquestrent alors une famille, dont le pré-ado présente de graves problèmes psychologiques et une prédisposition à la violence.
C'est une sorte de remake violent de "Maman j'ai raté l'avion" (je plaisante à peine, la filiation n'est pas usurpée). Le pitch m'avait accroché, malgré le caractère invraisemblable du scénario. C'est pas désagréable, mais le film part un peu en sucette à la fin, avec un dénouement qui côtoie le grotesque.
La Mousson, de Clarence Brown (1939): 4/10
Laborieux au possible, avec histoires d'amours cousus de fil blanc (le personnage joué par Brenda Joyce est vraiment pénible). 2 choses à sauver : la séquence mousson plutôt réussie et une très belle scène entre Tyrone Power et Myrna Loy à la fin.
Cabin in the woods, Drew Goddard (2012): 3/10
Réussi dans le genre détournement des films d'horreurs, mais c'est vraiment pas ma came
Film du mois:
The Mortal Storm, de Frank Borzage: 8,5/10
Sombre évocation de la montée du nazisme en Allemagne et un des films hollywoodiens parmi les plus noirs que j'ai vu de cette époque. Les acteurs sont formidables, James Stewart et Margaret Sullavan en tête.
Films vus:
Voici le temps des assassins, de Julien Duvivier (1956): 8,5/10
On ne peut pas dire que le visionnage m'ait été agréable, tant le début respire la bonhomie et le reste du film s'avère particulièrement sombre. Mais un sacré film, très efficace, perturbant tout au long de son déroulement.
Caprice, d'Emmanuel Mouret (2014): 8/10
De vrais mensonges, de Pierre Salvadori (2010): 8/10
Platinium Blonde, de Franck Capra (1931): 8/10
Chouette pré-code, je craque littéralement pour le joli minois de Loretta Young (qui se révèle particulièrement touchante dans ce film), un peu moins pour Jean Harlow. Et Robert Williams (= sosie de Jeremy Renner), c'est une perte regrettable, comme évoqué par certains, tant il présentait visiblement de belles dispositions pour la comédie
The conversation, de F.F.Coppola (1974) : 8/10
Une réalisation qui épouse parfaitement le propos, un maître étalon du thriller paranoïaque. A apparemment coïncidé avec le scandale du Watergate, on ne peut pas trouver meilleure résonance..
Blow up, de Michelangelo Antonioni (1966): 8/10
L'aventure du Poséidon, de Ronald Neame (1972): 8/10
Bon film catastrophe, qui s'est bien conservé avec le temps et ne néglige pas l'émotion livrée au kilo.
Le baron fantôme, de Serge de Poligny (1943): 7,5/10
Beau long métrage de Serge de Poliny, dont la réalisation embrasse parfaitement la dimension tantôt inquiétante tantôt onirique de l'histoire. Le film est très agréable, avec sa galerie de personnages pittoresques, la plume de Cocteau et quelques scènes magnifiques, à l'image de cette marche somnambule du braconnier qui emmène sa belle à travers la forêt, dont la puissance poétique nous laisse sans voix.
Quelques défauts mineurs ; un triangle amoureux un peu alambiqué, le jeu théâtral d'Alain Cuny mais la présence imposante de l'acteur à l'écran et l'ambiance de rêverie coctesque permet de passer outre rapidement.
Witness for the Prosecution, de Billy Wilder (1958): 7,5/10
Scénario malin mais les événements s’agencent sans respiration dans son dénouement et ce, de manière un peu trop théâtrale, ce qui atténue un peu la bonne impression d'ensemble.
Le dernier face à face, de Sergio Sollima (1967): 7,5/10
Vu dans une copie épouvantable mi VO mi VF, qui m'a posé pas mal d'interrogations sur le montage du film. J'ai vu qu'une version DVD était sortie récemment dans une copie beaucoup plus acceptable. Un second visionnage s'impose pour apprécier comme il se doit ce chassé croisé psychologique.
The Sunshine Boys, de Herbert Ross (1975): 7,5/10
El Chuncho, de Damiano Damiani (1968): 7/10
Pas un grand fan des Western Zapatta, j'ai trouvé la première partie du film ennuyeuse. Puis les enjeux dramatiques se resserrent et les tiraillements intérieurs du personnage joué par Volonté apparaissent bien developpés. La dernière phrase du film flingue un peu la dimension dramatique du dénouement. Imparfait mais intéressant.
Rien sur Robert, de Pascal Bonitzer(1999): 7/10
Apache Drums, d'Hugo Fregonese (1951): 7/10
Blow-out, de Brian de Palma (1981): 6,5/10
Légère déception. Malgré la virtuosité de la réalisation, le dénouement m'a laissé un peu indifférent; l’enchaînement des événements qui défie la vraisemblance ne facilite pas l'implication du spectateur et le sur-emploi de certains effets (aie ces ralentis, tous violons dehors) a fini de me rendre dubitatif.
Impulse, de Sondra Locke (1990) : 6,5/10
Thriller décent avec une bonne performance de Theresa Russell
Total Recall, de Paul Veroeven (1990) : 6,5/10
Assez jouissif mais l'action non stop tend parfois à diluer l'intérêt du film
Le Professeur, de Valerio Zurlini (1972): 6,5/10
Next time we love, d'Edward H. Griffith (1936): 6/10
Le début est extrêmement poussif, le sentiments des 2 amoureux sont beaucoup trop appuyés et comme dans tous bon mélodrames, les personnages prennent toujours le chemin le plus compliqué pour se garder d'être heureux.. Mais, surprise on se laisse prendre par le film au fur à mesure... Et franchement, peut-on trouver couple plus complémentaire que Margaret Sullavan et James Stewart? Ces deux acteurs sont extraordinaires ensemble. Ils ne le sont pas moins dans ce qui est pourtant leur moins bon film ensemble.
The Towering Inferno, de John Guillermin (1974) : 6/10
Last Action Hero de James McTiernan (1993): 6/10
Ulzana's raid de Robert Aldrich (1972): 6/10
The Lonely Guy, d'Arthur Hiller (1984) : 6/10
Comédie loufoque avec Steve Martin. Un humour tantôt drôle tantôt tombant complètement à plat, mais plutôt charmant dans l'ensemble. La seconde partie du film est aussi beaucoup moins réussi que la première.
The Divorce de Lady X de Tim Whelan (1938): 5,5/10
C'est mignon de voir Laurence Oliver martyrisé et se dépatouiller de situations invraisemblables. Mais bordel, qu'est ce que c'est con! Merle Oberon, incarnation de la superficialité, est particulièrement antipathique dans ce film..
Brake de Gabe Torres (2012): 5,5/10
L'équivalent de "Buried", mais dans le coffre d'une bagnole. Contrairement à ce dernier, ce film ne tente pas de faire autre chose que du divertissement pur. Le problème, c'est qu'on trouve pas mal de temps faibles vers la fin du film et le dénouement m'a laissé plus dubitatif qu'autre chose.
The aggression Scale, de Steven C.Miller (2012): 5/10
4 tueurs à gages sont envoyés par un chef de mafia récupérer 500 000 dollars auprès de personnes suspectés de l'avoir volé. Ils séquestrent alors une famille, dont le pré-ado présente de graves problèmes psychologiques et une prédisposition à la violence.
C'est une sorte de remake violent de "Maman j'ai raté l'avion" (je plaisante à peine, la filiation n'est pas usurpée). Le pitch m'avait accroché, malgré le caractère invraisemblable du scénario. C'est pas désagréable, mais le film part un peu en sucette à la fin, avec un dénouement qui côtoie le grotesque.
La Mousson, de Clarence Brown (1939): 4/10
Laborieux au possible, avec histoires d'amours cousus de fil blanc (le personnage joué par Brenda Joyce est vraiment pénible). 2 choses à sauver : la séquence mousson plutôt réussie et une très belle scène entre Tyrone Power et Myrna Loy à la fin.
Cabin in the woods, Drew Goddard (2012): 3/10
Réussi dans le genre détournement des films d'horreurs, mais c'est vraiment pas ma came
Dernière modification par Lockwood le 30 sept. 15, 21:56, modifié 7 fois.
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
3h10 pour yuma de delmer Daves. Un exçellent western qui tient toutes ses promesses(blu ray monstrueusement beau), et qui contient un panel d'emotions assez rare pour ce genre de film. Tout est au top( interprétation, musique, photo, réalisation), bref un classique : 9/10
Qu'est ce que maman comprend à l'amour de v. Minelli. : c'est délicieusement rétro, voire suranné, pour ne pas dire vieillot, et au final malgré un rythme typique des comédies américaines de cette époque assez trépidant, ça reste assez ennuyeux et conventionnel. Je trouve minelli meilleur dans le drame : 5/10.
Qu'est ce que maman comprend à l'amour de v. Minelli. : c'est délicieusement rétro, voire suranné, pour ne pas dire vieillot, et au final malgré un rythme typique des comédies américaines de cette époque assez trépidant, ça reste assez ennuyeux et conventionnel. Je trouve minelli meilleur dans le drame : 5/10.
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
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Dernière modification par Anorya le 28 sept. 15, 00:06, modifié 1 fois.
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Film du mois d'aout 2015
Film du mois
Films découverts
Survivor (2015) 6 / 10
Everest (2015) 8.5 / 10
Beyond the edge (2013) 8 / 10
Films redécouverts
Coming to America (1988) 8 / 10
Goldfinger (1964) 8 / 10
Thunderball (1965) 7.5 / 10
You only live twice (1967) 7.5 / 10
On Her Majesty's Secret Service (1969) 9 / 10
Films des mois précédents de JUIN 2008 à JUIN 2015
Année 2008
Film du mois
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Survivor (2015) 6 / 10
Everest (2015) 8.5 / 10
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Goldfinger (1964) 8 / 10
Thunderball (1965) 7.5 / 10
You only live twice (1967) 7.5 / 10
On Her Majesty's Secret Service (1969) 9 / 10
Films des mois précédents de JUIN 2008 à JUIN 2015
Année 2008
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
FILM DU MOIS DE SEPTEMBRE :
FILMS VUS AU CINEMA :
La belle saison (Catherine Corsini) : 8,5 / 10 – France [2015] ; Drame, romance
Marguerite (Xavier Giannoli) : 8 / 10 – France [2015] ; Drame
Les deux amis (Louis Garrel) : 6,5 / 10 – France [2015] ; Romance, drame
Jamais entre amis (Leslye Headland : 6 / 10 – U.S.A. [2015] ; Comédie, romance
The program (Stephen Frears) : 6 / 10 – UK, France [2015] ; Biopic, drame, sport
Youth (Paolo Sorrentino) : 5 / 10 – Italie [2015] ; Drame
Agents très spéciaux : code U.N.C.L.E. (Guy Ritchie) : 4 / 10 – Action, comédie, aventure
La tout nouveau testament (Jaco van Dormael) : 2,5 / 10 – France [2015] ; Comédie
Le transporteur : Héritage (Camille Delamarre) : 2,5 / 10 – France, Chine [2015] ; Action, thriller
FILMS DECOUVERTS :
L’homme de la plaine (Anthony Mann) : 9 / 10 – U.S.A. [1955] ; Western, drame
Garde à vue (Claude Miller) : 8,5 / 10 – France [1981] ; Policier, drame, thriller
Que le spectacle commence (Bob Fosse) : 8,5 / 10 – U.S.A. [1979] ; Drame, musical
Sea fog : les clandestins (Sung-bo Shim) : 8,5 / 10 – Corée du Sud [2014] ; Drame, thriller
Dark Horse (Dagur Kàri) : 8 / 10 – Danemark, Islande [2005] ; Comédie, romance, drame
La princesse et la grenouille (John Musker & Ron Clements) : 8 / 10 – U.S.A. [2009] ; Animation, fantasy, comédie musicale
L’invasion des profanateurs (Philip Kaufmann) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1978] ; Horreur, drame, science fiction
Moi, Christine F., 13 ans, droguée, prostituée … (Uli Udel) : 7,5 / 10 – Allemagne [1981] ; Drame, biographie
Fauteuil d’orchestre (Danielle Thompson) : 7 / 10 – France [2006] ; Comédie, drame, romance
Faults (Riley Stearns) : 7 / 10 – U.S.A. [2014] ; Comédie, drame, crime
Brisby et le secret de NIMH (Don Bluth) : 7 / 10 – U.S.A. [1982] ; Animation, aventure, drame
Sugarland express (Steven Spielberg) : 6,5 / 10 – U.S.A. [1974] ; Drame, aventure
Senso (Luchino Visconti) : 6 / 10 – Italie [1954] ; Drame, romance, histoire
Le temps de l’innocence (Martin Scorsese) : 5,5 / 10 – U.S.A. [1993] ; Drame, romance
La joyeuse divorcée (Mark Sandrich) : 5,5 / 10 – U.S.A. [1934] ; Comédie musicale, romance
Volt, star malgré lui (Byron Howard, Chris Williams) : 5,5 / 10 – U.S.A. [2008] ; Animation, fantasy, aventure
Ex machina (Alex Garland) : 4 / 10 – U.S.A. [2015] ; Science fiction, drame
Adaline (Lee Toland Krieger) : 3,5 / 10 – U.S.A. [2015] ; Drame, romance, science fiction
La théorie des dominos (Stanley Kramer) : 3 / 10 – U.S.A. [1977] ; Thriller, drame
La planète au trésor (Ron Clements, John Musker) : 3 / 10 – U.S.A. [2002] ; Animation, aventure, fantasy fiction
Merci la vie ! (Bertrand Tavernier) : 3 / 10 – France [1991] ; Drame
FILMS REVUS :
Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki) : 10 / 10 (=) – Japon [2001] ; Animation, fantasy, drame, aventure
Black swan (Darren Aronofsky) : 9 / 10 (=) – U.S.A. [2010] ; Thriller, drame
L’histoire sans fin (Wolfgang Peterson) : 9 / 10 (+) – U.S.A. [1984] ; Aventure, fantasy, drame
E.T. L’extra-terrestre (Steven Spielberg) : 8,5 / 10 (=) – U.S.A. [1982] ; Science fiction, drame
Mulan (Tony Bancroft, Barry Cook) : 8,5 / 10 (+) – U.S.A. [1998] ; Animation, aventure, action, drame
Le bossu (Philippe de Broca) : 8 / 10 (=) – France [1997] ; Aventure, drame
Les promesses de l’ombre (David Cronenberg) : 7 / 10 (=) – U.S.A., UK, Canada [2007] ; Thriller, drame, crime
Radio rebels (Michael Lehmann) : 7 / 10 (=) – U.S.A. [1994] ; Comédie, musique
Le livre de la jungle (Wolfgang Reitherman) : 6,5 / 10 (-) – U.S.A. [1967] ; Animation, aventure
La petite sirène (Ron Clements, John Musker) : 6,5 / 10 (-) – U.S.A. [1989] ; Animation, fantasy
1941 (Steven Spielberg) : 6,5 / 10 (-) – U.S.A. [1979] ; Action, comédie, guerre
Basil, détective privé (Ron Clements, Burny Mattison) : 6 / 10 (-) – U.S.A. [1986] ; Animation, fantasy, aventure
Bernard et Bianca au pays des kangourous (Hendel Butoy, Mike Gabriel) : 5 / 10 (-)– U.S.A. [1990] ; Animation, aventure, drame, fantasy
Les aventures de Bernard et Bianca (John Lounsbery, Wolfgang Reitherman, Art Stevens) : 4 / 10 (-) – U.S.A. [1977] ; Animation, aventure, drame, fantasy
Harry Potter et le prince de sang-mêlé (David Yates) : 3,5 / 10 (=) – U.S.A. [2009] ; Fantasy, aventure, drame
A.I. Intelligence Artificielle (Steven Spielberg) : 2,5 / 10 (=) – U.S.A. [2001] ; Science fiction, drame
DOCUMENTAIRE(S) :
REVU - Pink Floyd : Live at pompeii (Adrian Maben) : 8,5 / 10 – France, Belgique, Allemagne [1972] ; musique
Les arrivants (Claudine Bories, Patrice Chagnard) : 8 / 10 – France [2008] ; Société
Conversation animée avec Noam Chomsky (Michel Gondry) : 7,5 / 10 – U.S.A. [2013] ; Animation, portrait, interview
Inside Deep Throat (Fenton Bailey, Randy Barbato) : 7,5 / 10 – U.S.A. [2005] ; Biographie, cinéma
Les nazis et la solution finale (Laurence Rees) – épisodes 1 à 6 : 7,5 / 10 – UK [2005] ; Histoire, guerre, génocide
Cosmos : A spacetime odyssey – 1.01 : 7 / 10 – U.S.A. [2014] ; Science, histoire
SERIE(S) :
REVU – Kaamelott, livre 3 (Alexandre Astier) : 8 / 10 – France [2006] ; Humour, comédie, aventure, fantasy
Ripper Street (Richard Warlow) – épisode 1.4 et 1.05 : 7,5 / 10 – Britannique [2012] ; Mystère, drame, policier
Walking Dead (Frank Darabont, Robert Kirkman) – Saison 2 : 7,5 / 10 – U.S.A. [2010] ; Horreur, thriller, drame
MES FILMS DU MOIS :
10 / 10 : Chef d'oeuvre absolu / Traumatisme cinématographique - Je vénère
9 / 10 : Chef d'oeuvre - J'adore
8 / 10 : Grand film / Un classique - J'aime beaucoup
7 / 10 : Très bon film - J'aime bien
6 / 10 : Bon film / divertissant - J'apprécie
5 / 10 : Film moyen - Je m'ennuie un peu
4 / 10 : Peu mieux faire - Je m'ennuie beaucoup
3 / 10 : Mauvais film - Je m'ennuie terriblement
2 / 10 : Film nul - Je m'énerve
1 / 10 : Vide abyssal - J'explose
FILMS VUS AU CINEMA :
La belle saison (Catherine Corsini) : 8,5 / 10 – France [2015] ; Drame, romance
Marguerite (Xavier Giannoli) : 8 / 10 – France [2015] ; Drame
Les deux amis (Louis Garrel) : 6,5 / 10 – France [2015] ; Romance, drame
Jamais entre amis (Leslye Headland : 6 / 10 – U.S.A. [2015] ; Comédie, romance
The program (Stephen Frears) : 6 / 10 – UK, France [2015] ; Biopic, drame, sport
Youth (Paolo Sorrentino) : 5 / 10 – Italie [2015] ; Drame
Agents très spéciaux : code U.N.C.L.E. (Guy Ritchie) : 4 / 10 – Action, comédie, aventure
La tout nouveau testament (Jaco van Dormael) : 2,5 / 10 – France [2015] ; Comédie
Le transporteur : Héritage (Camille Delamarre) : 2,5 / 10 – France, Chine [2015] ; Action, thriller
FILMS DECOUVERTS :
L’homme de la plaine (Anthony Mann) : 9 / 10 – U.S.A. [1955] ; Western, drame
Garde à vue (Claude Miller) : 8,5 / 10 – France [1981] ; Policier, drame, thriller
Que le spectacle commence (Bob Fosse) : 8,5 / 10 – U.S.A. [1979] ; Drame, musical
Sea fog : les clandestins (Sung-bo Shim) : 8,5 / 10 – Corée du Sud [2014] ; Drame, thriller
Dark Horse (Dagur Kàri) : 8 / 10 – Danemark, Islande [2005] ; Comédie, romance, drame
La princesse et la grenouille (John Musker & Ron Clements) : 8 / 10 – U.S.A. [2009] ; Animation, fantasy, comédie musicale
L’invasion des profanateurs (Philip Kaufmann) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1978] ; Horreur, drame, science fiction
Moi, Christine F., 13 ans, droguée, prostituée … (Uli Udel) : 7,5 / 10 – Allemagne [1981] ; Drame, biographie
Fauteuil d’orchestre (Danielle Thompson) : 7 / 10 – France [2006] ; Comédie, drame, romance
Faults (Riley Stearns) : 7 / 10 – U.S.A. [2014] ; Comédie, drame, crime
Brisby et le secret de NIMH (Don Bluth) : 7 / 10 – U.S.A. [1982] ; Animation, aventure, drame
Sugarland express (Steven Spielberg) : 6,5 / 10 – U.S.A. [1974] ; Drame, aventure
Senso (Luchino Visconti) : 6 / 10 – Italie [1954] ; Drame, romance, histoire
Le temps de l’innocence (Martin Scorsese) : 5,5 / 10 – U.S.A. [1993] ; Drame, romance
La joyeuse divorcée (Mark Sandrich) : 5,5 / 10 – U.S.A. [1934] ; Comédie musicale, romance
Volt, star malgré lui (Byron Howard, Chris Williams) : 5,5 / 10 – U.S.A. [2008] ; Animation, fantasy, aventure
Ex machina (Alex Garland) : 4 / 10 – U.S.A. [2015] ; Science fiction, drame
Adaline (Lee Toland Krieger) : 3,5 / 10 – U.S.A. [2015] ; Drame, romance, science fiction
La théorie des dominos (Stanley Kramer) : 3 / 10 – U.S.A. [1977] ; Thriller, drame
La planète au trésor (Ron Clements, John Musker) : 3 / 10 – U.S.A. [2002] ; Animation, aventure, fantasy fiction
Merci la vie ! (Bertrand Tavernier) : 3 / 10 – France [1991] ; Drame
FILMS REVUS :
Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki) : 10 / 10 (=) – Japon [2001] ; Animation, fantasy, drame, aventure
Black swan (Darren Aronofsky) : 9 / 10 (=) – U.S.A. [2010] ; Thriller, drame
L’histoire sans fin (Wolfgang Peterson) : 9 / 10 (+) – U.S.A. [1984] ; Aventure, fantasy, drame
E.T. L’extra-terrestre (Steven Spielberg) : 8,5 / 10 (=) – U.S.A. [1982] ; Science fiction, drame
Mulan (Tony Bancroft, Barry Cook) : 8,5 / 10 (+) – U.S.A. [1998] ; Animation, aventure, action, drame
Le bossu (Philippe de Broca) : 8 / 10 (=) – France [1997] ; Aventure, drame
Les promesses de l’ombre (David Cronenberg) : 7 / 10 (=) – U.S.A., UK, Canada [2007] ; Thriller, drame, crime
Radio rebels (Michael Lehmann) : 7 / 10 (=) – U.S.A. [1994] ; Comédie, musique
Le livre de la jungle (Wolfgang Reitherman) : 6,5 / 10 (-) – U.S.A. [1967] ; Animation, aventure
La petite sirène (Ron Clements, John Musker) : 6,5 / 10 (-) – U.S.A. [1989] ; Animation, fantasy
1941 (Steven Spielberg) : 6,5 / 10 (-) – U.S.A. [1979] ; Action, comédie, guerre
Basil, détective privé (Ron Clements, Burny Mattison) : 6 / 10 (-) – U.S.A. [1986] ; Animation, fantasy, aventure
Bernard et Bianca au pays des kangourous (Hendel Butoy, Mike Gabriel) : 5 / 10 (-)– U.S.A. [1990] ; Animation, aventure, drame, fantasy
Les aventures de Bernard et Bianca (John Lounsbery, Wolfgang Reitherman, Art Stevens) : 4 / 10 (-) – U.S.A. [1977] ; Animation, aventure, drame, fantasy
Harry Potter et le prince de sang-mêlé (David Yates) : 3,5 / 10 (=) – U.S.A. [2009] ; Fantasy, aventure, drame
A.I. Intelligence Artificielle (Steven Spielberg) : 2,5 / 10 (=) – U.S.A. [2001] ; Science fiction, drame
DOCUMENTAIRE(S) :
REVU - Pink Floyd : Live at pompeii (Adrian Maben) : 8,5 / 10 – France, Belgique, Allemagne [1972] ; musique
Les arrivants (Claudine Bories, Patrice Chagnard) : 8 / 10 – France [2008] ; Société
Conversation animée avec Noam Chomsky (Michel Gondry) : 7,5 / 10 – U.S.A. [2013] ; Animation, portrait, interview
Inside Deep Throat (Fenton Bailey, Randy Barbato) : 7,5 / 10 – U.S.A. [2005] ; Biographie, cinéma
Les nazis et la solution finale (Laurence Rees) – épisodes 1 à 6 : 7,5 / 10 – UK [2005] ; Histoire, guerre, génocide
Cosmos : A spacetime odyssey – 1.01 : 7 / 10 – U.S.A. [2014] ; Science, histoire
SERIE(S) :
REVU – Kaamelott, livre 3 (Alexandre Astier) : 8 / 10 – France [2006] ; Humour, comédie, aventure, fantasy
Ripper Street (Richard Warlow) – épisode 1.4 et 1.05 : 7,5 / 10 – Britannique [2012] ; Mystère, drame, policier
Walking Dead (Frank Darabont, Robert Kirkman) – Saison 2 : 7,5 / 10 – U.S.A. [2010] ; Horreur, thriller, drame
MES FILMS DU MOIS :
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10 / 10 : Chef d'oeuvre absolu / Traumatisme cinématographique - Je vénère
9 / 10 : Chef d'oeuvre - J'adore
8 / 10 : Grand film / Un classique - J'aime beaucoup
7 / 10 : Très bon film - J'aime bien
6 / 10 : Bon film / divertissant - J'apprécie
5 / 10 : Film moyen - Je m'ennuie un peu
4 / 10 : Peu mieux faire - Je m'ennuie beaucoup
3 / 10 : Mauvais film - Je m'ennuie terriblement
2 / 10 : Film nul - Je m'énerve
1 / 10 : Vide abyssal - J'explose
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Re: Votre film du mois de Septembre 2015
Au coeur des ténèbres - Eleanor Coppola, Fax Bahr, George Hicklenlooper - 1992 : Documentaire fascinant, sur ce qui fut très certainement le tournage le plus chaotique de l'histoire du Cinéma, faisant d'Apocalypse Now bien plus qu'un film de guerre, mais un film guerrier, métaphorique, où le Vietnam n'est qu'une parenthèse dans un récit de voyage, une pure expérience sensorielle dans les méandres d'une âme ravagée typiquement seventies, pénétrant tout droit dans l'Enfer. Ou comment conter l'aventure la plus incroyable de cet art. 5/6
Les Griffes de la nuit - Wes Craven - 1984 : Je découvre tardivement ce film culte, et son méchant mythique, non sans déception. Il y a un travail visuel et sonore absolument magnifique, mais le film ne prend pas le temps de s'installer (quel dommage pour une telle mise en scène), ne laisse pas palpiter la tension, nous lançant directement et frénétiquement dans l'horreur. C'est réussi (bien que ça a indéniablement vieilli), mais ça ne correspond pas à mes attentes d'un film du genre. 3/6
Robocop - Paul Verhoeven - 1987 : Jamais vu ce film culte, c'est pas mal du tout, il y a évidemment des séquences d'anthologie (notamment toutes les virées nocturnes de Robocop en justicier), les scènes du journal télé et des pubs sont hilarantes et correspondent bien à la force satirique destructrice de Verhoeven, la musique de Basil Poledouris est top, mais l'ensemble a clairement vieilli, et le cinéaste se complaît un peu trop dans la violence dégueulasse... Je préfère largement Starship Troopers dans l'esprit, qui a carrément plus de gueule et de portée. 4/6
La Sapienza - Eugène Green - 2015 : Je me demande combien de temps cela fait-il que nous n'avions pas eu un film de cet acabit, d'une telle grâce, d'une telle portée sensorielle. Quelque part entre Nostalghia de Tarkovski (pour la puissance de la foi chrétienne, et la quête spirituelle et torturée de son personnage dans le plus beau pays du monde) et Requiem d'Alain Tanner (pour le cheminement spirituel vers l'héritage artistique), voilà où est sa place, c'est-à-dire considérable.
Eugène Green filme l'Italie et ses paysages si délicieusement cinématographiques mieux que personne, et y imprègne une puissance sensorielle exquise et fascinante, la photographie donnant vie à chacun de ses composants (quelle envie d'aller à Stresa, maintenant !), gorgée de niveaux de lecture psychanalytiques et sociétaux qu'il ne servirait à rien d'expliquer, car le film a le courage et l'unicité aujourd'hui d'être dans le non-dit, de transmettre par l'image, respectons sa volonté.
Car en effet, La Sapienza est un film rare. Quel autre cinéaste aujourd'hui oserait-il proposer une mise en scène aussi radicalement méthodique dans ses plans, demander une diction aussi machinale "à la Nouvelle Vague" de ses acteurs, et surtout qui arriverait, malgré ses procédés quasi-mathématiques, à garder un souffle humain et métaphysique aussi majestueux, comme ces architectures à la fois si concrètes, si matérielles, et si mystiques, si transcendantales, à la fois ? Peu de monde. Chapeau bas. 6/6 ===> FILM DU MOIS
White Bird - Gregg Araki - 2013 : La purge Kaboom m'avait presque fait jurer de ne plus voir un seul film de ce cinéaste. Heureusement que je ne m'y suis pas tenu car ce film a tout d'un petit bijou, le travail esthétique est très joli, Shailene Woodley est époustouflante, la bande-son eighties est vibrante et il ressort de cette chronique adolescente un joli parfum de mélancolie, même si le film tombe parfois dans les travers et dans les poses un peu racoleuses du cinéma indépendant américain. 5/6
Madame Bovary - Claude Chabrol - 1991 : Le ratage est presque complet, parce que le roman de Flaubert brille par sa structure et par la forme. Au cinéma, ce n'est pas le cas de Chabrol, qui brille par ses critiques sociales mais certainement pas par la forme (fausse bonne idée donc que de le mettre aux manettes d'une adaptation qui est irréalisable). En plus, la direction d'acteurs, exceptée pour Jean Yanne et Balmer, est navrante, et la scène du bal de Vaubyessard, moment phare et somptueux du roman, est ici complètement massacrée. J'ai quand même l'impression que le film arrive (un peu) à se raccrocher aux branches vers la fin. 1 ou 2/6
Les Griffes de la nuit - Wes Craven - 1984 : Je découvre tardivement ce film culte, et son méchant mythique, non sans déception. Il y a un travail visuel et sonore absolument magnifique, mais le film ne prend pas le temps de s'installer (quel dommage pour une telle mise en scène), ne laisse pas palpiter la tension, nous lançant directement et frénétiquement dans l'horreur. C'est réussi (bien que ça a indéniablement vieilli), mais ça ne correspond pas à mes attentes d'un film du genre. 3/6
Robocop - Paul Verhoeven - 1987 : Jamais vu ce film culte, c'est pas mal du tout, il y a évidemment des séquences d'anthologie (notamment toutes les virées nocturnes de Robocop en justicier), les scènes du journal télé et des pubs sont hilarantes et correspondent bien à la force satirique destructrice de Verhoeven, la musique de Basil Poledouris est top, mais l'ensemble a clairement vieilli, et le cinéaste se complaît un peu trop dans la violence dégueulasse... Je préfère largement Starship Troopers dans l'esprit, qui a carrément plus de gueule et de portée. 4/6
La Sapienza - Eugène Green - 2015 : Je me demande combien de temps cela fait-il que nous n'avions pas eu un film de cet acabit, d'une telle grâce, d'une telle portée sensorielle. Quelque part entre Nostalghia de Tarkovski (pour la puissance de la foi chrétienne, et la quête spirituelle et torturée de son personnage dans le plus beau pays du monde) et Requiem d'Alain Tanner (pour le cheminement spirituel vers l'héritage artistique), voilà où est sa place, c'est-à-dire considérable.
Eugène Green filme l'Italie et ses paysages si délicieusement cinématographiques mieux que personne, et y imprègne une puissance sensorielle exquise et fascinante, la photographie donnant vie à chacun de ses composants (quelle envie d'aller à Stresa, maintenant !), gorgée de niveaux de lecture psychanalytiques et sociétaux qu'il ne servirait à rien d'expliquer, car le film a le courage et l'unicité aujourd'hui d'être dans le non-dit, de transmettre par l'image, respectons sa volonté.
Car en effet, La Sapienza est un film rare. Quel autre cinéaste aujourd'hui oserait-il proposer une mise en scène aussi radicalement méthodique dans ses plans, demander une diction aussi machinale "à la Nouvelle Vague" de ses acteurs, et surtout qui arriverait, malgré ses procédés quasi-mathématiques, à garder un souffle humain et métaphysique aussi majestueux, comme ces architectures à la fois si concrètes, si matérielles, et si mystiques, si transcendantales, à la fois ? Peu de monde. Chapeau bas. 6/6 ===> FILM DU MOIS
White Bird - Gregg Araki - 2013 : La purge Kaboom m'avait presque fait jurer de ne plus voir un seul film de ce cinéaste. Heureusement que je ne m'y suis pas tenu car ce film a tout d'un petit bijou, le travail esthétique est très joli, Shailene Woodley est époustouflante, la bande-son eighties est vibrante et il ressort de cette chronique adolescente un joli parfum de mélancolie, même si le film tombe parfois dans les travers et dans les poses un peu racoleuses du cinéma indépendant américain. 5/6
Madame Bovary - Claude Chabrol - 1991 : Le ratage est presque complet, parce que le roman de Flaubert brille par sa structure et par la forme. Au cinéma, ce n'est pas le cas de Chabrol, qui brille par ses critiques sociales mais certainement pas par la forme (fausse bonne idée donc que de le mettre aux manettes d'une adaptation qui est irréalisable). En plus, la direction d'acteurs, exceptée pour Jean Yanne et Balmer, est navrante, et la scène du bal de Vaubyessard, moment phare et somptueux du roman, est ici complètement massacrée. J'ai quand même l'impression que le film arrive (un peu) à se raccrocher aux branches vers la fin. 1 ou 2/6
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