Commentaires à propos de votre film du mois
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'aurai attendu le 30, pour que les grands Bob Fosse et Roy Sheider calment les prétendants :
J'essaierai de bafouiller une éloge une fois l'émotion retombée...
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ne peux qu'approuver le choix de film du mois d'El Dadal, Jack Carter et locktal. Les Loups est, avec Hitokiri et Goyokin, l'un des meilleurs Gosha. De même que celui d'Harkento: loin d'être le Ferrara le plus personnel, Fear City appartient quand même au haut du panier du polar des années 80. Dans un mois de juin plutôt télévisuel, je retiens quand même quelques visionnages ciné. Le visionnage de la version de 2 heures 50 d'un film découvert dans un montage de 30 minutes plus court distribué à Hong Kong m'a confirmé le caractère à part de Kamikaze Taxi: jeu sur la frontière fiction/documentaire, mélange des genres (film politique à la Oliver Stone, parodie de yakuza eiga, road movie...). Sans doute un des plus beaux scénarios du cinéma japonais des années 90. C'est d'ailleurs du côté du Japon que j'ai trouvé mon film du mois: Ryuji. Ecrit et inteprété par un acteur (Kaneko Shoji) décédé peu de temps après la sortie du film au Japon, ce yakuza eiga de 1983 obtint très vite un petit culte critique et cinéphile, admiré entre autres par Aoyama et Fukasaku. Différent aussi bien des figures chevaleresques des yakuza eiga des années 60 que des truands excessifs, guidé par la seule soif de survie et sans code d'honneur de Fukasaku, Ryuji incarne le travail de yakuza dans ce qu'il a de plus ordinaire, prosaïque. Il a réussi dans le métier au prix du sacrifice de son foyer (son ex-femme, sa fille) et songe à revenir dans la légalité pour renouer avec sa vie de couple passée. Si le film n'a pas grand chose à voir avec le burlesque et le génie elliptique d'un Kitano, il démontrait quelques années avant Takeshi qu'il était possible de proposer un peu de neuf sous le soleil du film de gangsters made in Japan.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Hop, Le cri du sorcier devient mon film du mois de juin pour ma part.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois
1 Vice Versa de Pete Docter
2 L'Année dernière à Marienbad de Alain Resnais
3 Bondage de Noboru Tanaka
4 Wish you were here de David Leland
5 Coup de tête de Jean-Jacques Annaud
6 Intérieurs de Woody Allen
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- nobody smith
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Sans le vouloir, le podium de juin trouve pour thème commun "mais qu’est ce qui se passe dans la tête des gens ?". A l’exception de Dark Star, les meilleurs films vus ce mois-ci disposent de mise en scène mettant un point d’honneur à sonder l’état d’esprit de leur protagoniste : la dépression d’une gamine de 11 ans devient une aventure intérieure au sens littérale dans Vice-Versa ; le héros de 7 Ans De Réflexion est en lutte permanente avec son inconscient masculin forcément vicié ; les pensées du personnage principal d’Angae sur la médiocrité de son village natale et de ses habitants lui renvoient l’image de sa propre médiocrité ; Enter The Void fait vivre l’expérience de la mort sous forme d’un trip en vue subjective.
1/ Vice-Versa – Pete Docter et Ronaldo Del Carmen
2/ 7 Ans De Réflexion – Billy Wilder
3/ Enter The Void – Gaspard Noé
4/ Dark Star – John Carpenter
5/ Angae – Kim Soo-Yong
1/ Vice-Versa – Pete Docter et Ronaldo Del Carmen
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ah ça tombe bien, il fait partie du Coffret Kim Soo-Yong que j'ai demandé à ma copine de ramener de Corée.nobody smith a écrit : Angae – Kim Soo-Yong
Profondo Rosso a écrit :Bondage de Noboru Tanaka
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Magnifique, film d'une grande lucidité sur son état, qui ne lui servira pourtant pas de leçon puisqu'il mourra quand même d'épuisement, je parle de Bob Fosse bien sur, énorme coup de cœur pour moi aussi lors de son passage sur Arte.Brody a écrit :J'aurai attendu le 30, pour que les grands Bob Fosse et Roy Sheider calment les prétendants :
J'essaierai de bafouiller une éloge une fois l'émotion retombée...
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Qu'est-ce qui t'a plu à ce point dans ce Ferrara ?Harkento a écrit :Mon top de Juin :
1. New York, Deux heures du matin (1984) de Abel Ferrara
A part pour l'ambiance nocturne du New-York des années 80 et bien sûr Mélanie Griffith, le film est très quelconque je trouve, l'histoire simpliste et la mise en scène inexistante. Quant aux scènes de meurtres, elles frôlent le grotesque. On se croirait dans un Charles Bronson.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je me pose à vrai dire la même question...Supfiction a écrit :Qu'est-ce qui t'a plu à ce point dans ce Ferrara ?Harkento a écrit :Mon top de Juin :
1. New York, Deux heures du matin (1984) de Abel Ferrara
A part pour l'ambiance nocturne du New-York des années 80 et bien sûr Mélanie Griffith, le film est très quelconque je trouve, l'histoire simpliste et la mise en scène inexistante. Quant aux scènes de meurtres, elles frôlent le grotesque. On se croirait dans un Charles Bronson.
Meilleur topic de l'univers
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ratatouille a écrit :Juillet 2015
Films découverts
Six Degrees of Separation (Fred Schepisi) : 7.5/10
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
L'une des 1ères apparitions de Will Smith au ciné...et certainement son meilleur rôle à ce jour. Il y est brillant.
Et le film est excellent.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Vu à l'époque et j'avais trouvé ça bien médiocre égalementAtCloseRange a écrit :Je me pose à vrai dire la même question...Supfiction a écrit :
Qu'est-ce qui t'a plu à ce point dans ce Ferrara ?
A part pour l'ambiance nocturne du New-York des années 80 et bien sûr Mélanie Griffith, le film est très quelconque je trouve, l'histoire simpliste et la mise en scène inexistante. Quant aux scènes de meurtres, elles frôlent le grotesque. On se croirait dans un Charles Bronson.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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