Jean Harlow (1911-1937)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Cathy
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

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Bombshell (1933) de Victor Fleming avec Jean Harlow, Lee Tracy, Franchot Tone, Una Merkel, Pat O'Brien et Frank Morgan

Lola Burns (J. Harlow) est la star N°1 du studio Monarch. Sa vie ressemble à un enfer entre son père et son frère qui dilapident son argent et le chef du service publicité, E.J. Hanlon (L. Tracy) qui passe son temps à créer des commérages juteux pour les journalistes...

Cette excellente comédie, au rythme pétaradant, semble être inspirée en partie de la vie de Clara Bow selon le scénariste John Lee Mahin. En fait, on pourrait tout aussi bien l'appliquer à nombres d'autres stars hollywodiennes, même à Harlow elle-même. La Lola Burns que je joue Harlow, avec beaucoup de talent, est le prototype même de la star propulsée au firmament par un mélange complexe de sex-appeal et de publicité dans les fan-magazines. On vend au public du rêve qu'il dévore dans les revues de cinéma et dans les journaux salaces, comme nous le montre les premières images du film. Puis, nous passons derrière la façade. La vie de Lola n'est pas vraiment le paradis que l'on vend aux gogos. Elle est certes riche, mais elle doit subvenir aux besoins de son père alcoolique (délicieux Frank Morgan) qui joue aux courses et de son frère (Ted Healy) un bon à rien de première. Si tout cela n'était déjà beaucoup, elle est également la proie du publicitaire maison qui passe son temps à monter des coups tordus pour que le nom de Lola soit le plus souvent possible à la une de journaux. Invariablement, elle est au centre de commérages salaces pour faire monter sa cote au box-office. Fatiguée par toutes ces batailles, elle tente très maladroitement d'avoir une 'vie normale' et invariablement commet des erreurs grossières. Après avoir posé dans sa cuisine, telle une femme au foyer modèle, elle décide soudain que la 'maternité' est indispensable pour une femme et court dans un orphelinat pour adopter un bébé. Evidemment, Hanlon (un Lee Tracy à la répartie rapide comme l'éclair) est sur le coup et va faire capoter son projet illico presto. Excédée, elle part se resourcer dans le désert où elle fait la connaissance d'un (soi-disant) fils à papa (Franchot Tone qui s'autoparodie avec malice) qui lui murmure que "ses cheveux sont comme un champ de marguerites argentées dans lequel il voudrait marcher pieds nus." :uhuh: Mené avec diligence et talent par une superbe galerie de second rôle, le film offre une vision finalement plutôt juste de la vie à Hollywood du temps de l'Age d'Or. Il y a de nombreuses références, tout à fait charmante, aux films et aux acteurs. J'ai beaucoup apprécié la remarque de C. Aubrey Smith, qui joue un vieux figurant râté, qui ronchonne: "Je ne vois pas ce qu'on trouve à ce Lewis Stone !" Un des meilleurs films de Fleming et de Harlow.
.
Pas du tout d'accord, est-ce parce que je n'étais pas dans un bon jour, je ne sais pas, mais je dois dire que j'ai trouvé cette comédie poussive, saoulante et répétitive et rien n'est plus pénible qu'une comédie qui ne fait pas rire. C'est le cas ici malheureusement. Bref Jean Harlow est sans doute excellente dans le rôle de l'actrice qui veut prendre en mains sa vie, mais je dois avouer avoir beaucoup de mal avec son physique et si Frank Morgan est excellent, j'ai trouvé Franchot Tone antipathique au possible, même si le rôle le veut sans doute, la meilleure réplique lui est dévolue, avec ces fameuses marguerites, mais le film est plutôt raté ! Sans doute est-ce aussi du à cette multiplicité de seconds rôles pas forcément exploités de la meilleure façon, même le point culminant de la visite des dames de l'orphelinat ne fait pas rire, alors que tout est fait pour susciter le rire ou le sourire. A noter qu'il y a comme deux films dans le film, la première partie qui voit l'actrice dans sa vie quotidienne et la seconde, où elle part se ressourcer et tombe sur ce fameux fils à papa. C. Aubrey Smith est comme à son habitude impeccable, mais le film est plutôt ennuyeux !
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Ann Harding
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Ann Harding »

Je me demande si ce ne sont pas les sous-titres qui trahissent l'original. C'est un film avec un dialogue à la mitraillette comme His Girl Friday et il est fort possible qu'une partie de l'ironie ne passe pas à la traduction. Et en plus, les ST offrent une version réduite des dialogues. En tout cas, pour moi, Bombshell est l'un des meilleurs films d'Harlow. J'ai revu hier The Girl from Missouri (1934, J. Conway) que j'ai trouvé vraiment poussif, alors que je l'avais apprécié en le découvrant au cinéma de minuit il y a 25 ans. Il faut dire que le 'Production Code' est arrivé et que tout doit rester clair et net, contrairement à Bombshell qui a une belle liberté de ton.
Julien Léonard
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Julien Léonard »

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J'ai enfin vu China seas (La malle de Singapour) de Tay Garnett (1935), avec cette chère Jean Harlow, mais aussi le viril Clark Gable. Et il n'y a pas à hésiter un instant, nous sommes chez la MGM ! Décors soignés, mouvements de foules, très belles reconstitutions de séquences de bravoures en studios (la tempête, l'attaque des pirates...), sans oublier une distribution maison remarquable (Gable, Harlow, mais aussi Wallace Beery et toute une kyrielle de seconds rôles habitués de la firme au lion rugissant).

Autant dire que l'ensemble est prestigieux et que les producteurs (Irving Thalberg officie en ces lieux pour l'une des dernières fois avant de décéder) ont mis les petits plats dans les grands. Tay Garnett n'est pas un manche et sa mise en scène est extrêmement solide, conférant à l'ensemble style, classe, bagout et rythme. Un triangle amoureux (Clark Gable, Jean Harlow et Rosalind Russell), de l'aventure en mer hostile et un exotisme made in Hollywood, voilà de quoi passer une excellente soirée, d'autant que comme à son habitude la MGM n'oublie pas de faire concocter de bons dialogues avec notamment quelques répliques piquantes à souhait. Rosalind Russell est parfaite dans son rôle d'anglaise pur jus, la tête froide et sur les épaules, mais elle ne peut rien face à l'énergie d'une Jean Harlow au sommet, attachante, mignonne, naviguant toujours entre style et vulgarité comme un funambule chevronné. J'ai longtemps eu du mal avec cette actrice, mais maintenant je suis conquis, d'autant que son jeu est vraiment bon et tend même à se bonifier avec le temps.

Clark Gable est à son zénith aussi, physiquement s'entend, à la fois rassurant et machiste (mais pas trop).. Du pur Gable en somme, avec ce jeu fonceur et dynamique qu'on lui connait. Charismatique en diable, le bonhomme s'y entend pour porter le film sur ses épaules. Wallace Beery est plutôt bien dirigé, ce qui l'empêche d'aller trop loin dans le cabotinage comme il aime souvent à le faire. Il est très bon et son rôle termine sur une note assez jolie.

Un très bon film d'aventure, modèle d'évasion et de voyage au bout du monde, qui flirte légèrement avec la série B en lui empruntant parfois ses idées (les moyens de torture, certains rebondissements), mais en les générant toujours avec ce prestige budgétaire indiscutable que lui donne la MGM. Une belle réussite !
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Cathy
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Cathy »

Ann Harding a écrit :Je me demande si ce ne sont pas les sous-titres qui trahissent l'original. C'est un film avec un dialogue à la mitraillette comme His Girl Friday et il est fort possible qu'une partie de l'ironie ne passe pas à la traduction. Et en plus, les ST offrent une version réduite des dialogues. En tout cas, pour moi, Bombshell est l'un des meilleurs films d'Harlow. J'ai revu hier The Girl from Missouri (1934, J. Conway) que j'ai trouvé vraiment poussif, alors que je l'avais apprécié en le découvrant au cinéma de minuit il y a 25 ans. Il faut dire que le 'Production Code' est arrivé et que tout doit rester clair et net, contrairement à Bombshell qui a une belle liberté de ton.
Je ne crois pas que ce soit une question de sous-titres, je n'ai pas accroché au film, j'ai même du le recommencer intégralement car je n'arrivais pas à rentrer dedans. Je viens de voir Valet de coeur, et l'humour de ce film 'm'a beaucoup plus séduite !
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Rick Blaine
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Rick Blaine »

The Beast of the City (La bête de la cité, Charles Brabin - 1932)
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Jim Fitzpatrick (Walter Huston), chef de la police, est prêt à utilisé toutes les méthodes pour combattre le crime organisé. Dans le même temps, son frère Ed (Wallace Ford), lui aussi policier, s'entiche de Daisy Stevens (Jean Harlow), une fille du milieu.

Ce film criminel est une tentative de la MGM d'entrer sur le terrain de la Warner et de ses films criminel. Mais ici, plutôt que de s’intéresser aux criminels, on s’intéresse aux policiers, à leurs moyens et aux difficultés auxquels ils font face pour lutter contre le crime organisé, avec d'ailleurs en ouverture un texte de Herbert Hoover mettant en valeur leur travail. Changement de point de vue, mais pas d'esthétique, la rutilance habituelle des productions MGM est abandonné pour faire place à une noirceur qui sied mieux à ce type de sujet.
Décors urbain, poursuites, fusillades, le tout sur un rythme soutenu, sont le lot de The Beast of the City et en font un film passionnant. Et étonnamment moderne dans son discours. La thèse fait écho, en mineur, à celle de Dirty Harry et on a souvent l'impression de se retrouver dans un polar des années 70, avec ce fourmillement de détails sur le quotidien des policiers, sur leur difficulté et leur sentiment de ne pas lutter à armes égales. En celà, et principalement pour la première partie du film montrant des patrouilles de nuit et la vie du commissariat, le film m'évoque, avant même le titre de Siegel, le génial film de Fleischer The New Centurions.
The Beast of the City brille principalement par l’écriture de son scénario et de ses dialogues, qui profitent de la période précode pour se permettre d'évoquer, par exemple, la présence d'une femme nue à un coin de rue. Porté par la performance de Walter Huston, ce scénario donne une grande force au personnage de Jim et à ses questionnements, son énergie culminant dans une remarquable scène final.
Jean Harlow évolue quand à elle dans un rôle plus secondaire de dangereuse séductrice qui, s'il n'est pas marquant, reste réussi.
Une très belle découverte que ce film signé par Charles Brabin, réalisateur qui m'était parfaitement inconnu.

Le film est disponible dans la collection Warner Archive.
feb
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par feb »

Merci pour cette critique M. Blaine, il faut vraiment que je le découvre celui-là.
bogart
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par bogart »

Julien Léonard a écrit :Image

J'ai enfin vu China seas (La malle de Singapour) de Tay Garnett (1935), avec cette chère Jean Harlow, mais aussi le viril Clark Gable. Et il n'y a pas à hésiter un instant, nous sommes chez la MGM ! Décors soignés, mouvements de foules, très belles reconstitutions de séquences de bravoures en studios (la tempête, l'attaque des pirates...), sans oublier une distribution maison remarquable (Gable, Harlow, mais aussi Wallace Beery et toute une kyrielle de seconds rôles habitués de la firme au lion rugissant).

Autant dire que l'ensemble est prestigieux et que les producteurs (Irving Thalberg officie en ces lieux pour l'une des dernières fois avant de décéder) ont mis les petits plats dans les grands. Tay Garnett n'est pas un manche et sa mise en scène est extrêmement solide, conférant à l'ensemble style, classe, bagout et rythme. Un triangle amoureux (Clark Gable, Jean Harlow et Rosalind Russell), de l'aventure en mer hostile et un exotisme made in Hollywood, voilà de quoi passer une excellente soirée, d'autant que comme à son habitude la MGM n'oublie pas de faire concocter de bons dialogues avec notamment quelques répliques piquantes à souhait. Rosalind Russell est parfaite dans son rôle d'anglaise pur jus, la tête froide et sur les épaules, mais elle ne peut rien face à l'énergie d'une Jean Harlow au sommet, attachante, mignonne, naviguant toujours entre style et vulgarité comme un funambule chevronné. J'ai longtemps eu du mal avec cette actrice, mais maintenant je suis conquis, d'autant que son jeu est vraiment bon et tend même à se bonifier avec le temps.

Clark Gable est à son zénith aussi, physiquement s'entend, à la fois rassurant et machiste (mais pas trop).. Du pur Gable en somme, avec ce jeu fonceur et dynamique qu'on lui connait. Charismatique en diable, le bonhomme s'y entend pour porter le film sur ses épaules. Wallace Beery est plutôt bien dirigé, ce qui l'empêche d'aller trop loin dans le cabotinage comme il aime souvent à le faire. Il est très bon et son rôle termine sur une note assez jolie.

Un très bon film d'aventure, modèle d'évasion et de voyage au bout du monde, qui flirte légèrement avec la série B en lui empruntant parfois ses idées (les moyens de torture, certains rebondissements), mais en les générant toujours avec ce prestige budgétaire indiscutable que lui donne la MGM. Une belle réussite !

Très bon souvenir de ce film lors de sa diffusion au cinéma de minuit, il y a bien plusieurs années de cela.

Même si ce film existe en zone 1... souhaitons sa parution dans la collection "les Trésors Warner"
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Julien Léonard
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Julien Léonard »

C'est un all zone avec sous-titres français.
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Federico
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Federico »

Bien qu'il s'agisse d'évoquer la mort de l'actrice, le document m'a plié de rire : le fameux chroniqueur Frédéric Pottecher racontant comment Jean Prouvost, le propriétaire du journal Paris Soir persuada son équipe éditoriale de mettre la nouvelle sur quatre colonnes en une alors qu'il se passait à l'époque des événements d'une plus cruciale importance. Un Pottecher qui, avec sa verve d'un autre temps (son interview date pourtant de 1986 mais c'est comme si on entendait Jean Nohain), prononce systématiquement "Jeanne Arlau" (nul doute qu'il aurait de même parlé de Gari Grante et Jeone Veillene). :uhuh:

(écouter à partir de 34')
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par feb »

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Listing des films de Jean Harlow tournés entre 1928 et 1938 avec le statut :
- copie existante/perdue/statut inconnu (IMDb + Silent Era)
- VHS/DVD/BD

1928

Honor Bound – Copie existante (Copie en République Tchèque ?) – Fox Film Corporation / Non créditée et non confirmée (scènes supprimées au montage)

1929

Moran of the Marines – Perdu – Paramount / Non créditée
Chasing Husbands (CM) – Perdu - Hal Roach Studios / Non créditée

Vive la liberté (Liberty) (CM) – DVD Z0 The Lost Films of Laurel & Hardy: The Complete Collection, Vol. 3 – MGM / Créditée Harlean Carpenter
Fugitives (CM) – Perdu – Fox Film Corporation / Non créditée
Why Be Good? – Copie existante (Copie 35mm retrouvée et stockée dans une archive en Europe) – Fox Film Corporation / Non créditée
Why Is a Plumber? (CM) – Perdu – Hal Roach Studios
Close Harmony – Copie existante (Archives UCLA) – Paramount / Non créditée
The Unkissed Man (CM) – Copie existante (Archives George Eastman House) - Hal Roach Studios / Non créditée
Son altesse royale (Double Whoopee) (CM) - DVD Z0 The Lost Films of Laurel & Hardy: The Complete Collection, Vol. 2 / DVD Z2 Universal Les montagnards sont là – Hal Roach Studios
Visible sur YouTube :arrow:
Thundering Toupees (CM) – Perdu - Hal Roach Studios
Masquerade - Perdu - Hal Roach Studios / Non créditée et non confirmée

Une saisie mouvementée (Bacon Grabbers) (CM) - DVD Z0 The Lost Films of Laurel & Hardy: The Complete Collection, Vol. 4 – Hal Roach Studios
La cadette (The Saturday Night Kid) – Copie existante (Archives UCLA) / DVD Z1 Classic Video Streams The Actors: Rare Films Of Clara Bow Vol.3 – Paramount / Non créditée
Scène où elle apparait de dos :arrow:
(La courte scène avec dialogue est à confirmer pour le DVD)
Spoiler (cliquez pour afficher)
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Parade d'amour (The Love Parade) – DVD Z1 Criterion Lubitsch Musicals / DVD Z2 Espagnol – Paramount Pictures / Non créditée
This Thing Called Love – Perdu – Pathé Exchange / Non créditée
Weak But Willing (CM) – Copie existante - Christie Film Company / Non créditée
New York Nights – Copie existante (Archives George Eastman House / Library of Congress) - Joseph M. Schenck Productions / Non créditée
Visible sur YouTube (à 42:38) :arrow:
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1930

Les anges de l'enfer (Hell's Angels) – DVD Z1 Universal / DVD Z2 Opening (Section Technicolor 2 strips incluse) - The Caddo Company
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1931

Les lumières de la ville (City Lights) – BD RB / DVD Z2 MK2 - Charles Chaplin Productions / Non créditée et scènes supprimées au montage
Photo prise sur le plateau lors de la scène du nightclub (table de gauche avec sa propre mère)
Spoiler (cliquez pour afficher)
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The Secret Six – DVD Z0 Warner Archive - MGM
L'ennemi public (The Public Enemy) – BD RB / DVD Z2 Warner – Warner Bros. / Vitaphone Corp.
Iron Man – DVD-R Classicfilmlover - Universal
Goldie - Copie existante (Archives UCLA) – Fox Film Corporation
La blonde platine (Platinum Blonde) – DVD Z2 Columbia Classics – Columbia Pictures
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1932

Three Wise Girls – DVD Z1 TCM Vault Columbia Pictures Pre-Code Collection / DVD-R Amazon US - Columbia Pictures
La bête de la cité (The Beast of the City) - DVD Z0 Warner Archive – MGM / Cosmopolitan Productions
Scarface – DVD Z2 Universal Classics - The Caddo Company / Non créditée et non confirmée (cameo ou sosie)
Red-Headed Woman – DVD Z0 TCM Archives Forbidden Hollywood Vol. 1 / DVD Z2 Trésors Warner - MGM
La belle de Saïgon (Red Dust) - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z2 Trésors Warner – MGM
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1933

Hold Your Man - DVD Z0 Warner Archive - MGM
Les invités de huit heures (Dinner at Eight) – DVD Z0 TCM Greatest Classic Film Collection: Legends - Jean Harlow / DVD Z2 Warner - MGM
Bombshell - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection – MGM
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1934

The Girl from Missouri - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection – MGM
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1935

Reckless - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection / DVD Z2 Espagnol – MGM
La malle de Singapour (China Seas) – DVD Z0 Warner / DVD Z0 TCM Greatest Classic Film Collection: Legends - Jean Harlow - MGM
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1936

Riffraff - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection – MGM
Sa femme et sa secrétaire (Wife vs. Secretary) - DVD Z0 Warner / DVD Z0 TCM Greatest Classic Film Collection: Legends - Jean Harlow - MGM
Suzy - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection – MGM
Une fine mouche (Libeled Lady) - DVD Z2 Warner / DVD Z0 TCM Greatest Classic Film Collection: Legends - Jean Harlow - MGM
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1937

Personal Property - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection – MGM
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1938

Saratoga - DVD Z0 Warner Archive / DVD Z0 Jean Harlow 100th Anniversary Collection / DVD Z2 Espagnol – MGM
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Dernière modification par feb le 10 mai 14, 20:42, modifié 5 fois.
allen john
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par allen john »

Je sais, on devrait être habitués, maintenant, mais...

Wow.

:shock:
feb
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par feb »

:mrgreen:
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par Hitchcock »

feb a écrit :Scarface – DVD Z2 Universal Classics - The Caddo Company / Non créditée et non confirmée (cameo ou sosie)
Tu as plus d'information sur cette apparition ?
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par kiemavel »

Le court métrage Son altesse royale (Double Whoopee) fait partie des bonus de l'édition française des Montagnards sont là. Elle apparait dans une seule séquence si ma mémoire est bonne. On lui ouvre la porte d'un taxi, elle en descend, la portière en se refermant retient prisonnier sa robe et elle rentre dans un palace sans se rendre compte qu'elle est en partie déshabillée. A voir par tous les cinéphiles dignes de ce nom, donc…Film par ailleurs pas mal et figurant donc dans les bonus d'un long métrage qui ne figure pas au contraire parmi les meilleurs du duo.
feb
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Re: Jean Harlow (1911-1937)

Message par feb »

Certains prétendent que c'est un caméo de l'actrice qui vient sur le tournage d'un film produit par Howard Hughes (The Caddo Company), et d'autres, que c'est un sosie très proche physiquement car Jean Harlow n'était pas à Hollywood au moment du tournage (bio signée Mark A. Vieira)

Image

EDIT : trouvé sur la fiche IMDb du film
About one hour into the film, upon entering the Paradise Club, Tony, i.e. Paul Muni is greeted by a blonde who looks suspiciously like Jean Harlow. Harlow biographer David Stenn claims that this is indeed Jean Harlow herself, in an uncredited cameo appearance, but Harlow biographer Mark Vieira authoritatively states that it cannot be Harlow, because she was away from Hollywood at the time the scene was filmed, and so the actress in question must be a Harlow lookalike, deliberately positioned to look like her.
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