Commentaires à propos de votre film du mois
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je suis loin d'être aussi emballé que vous (un peu plus que Père Jules cependant). Le court-métrage m'a rattrapé sur la fin (peut-être qu'une deuxième vision remettrait les choses en place maintenant que les choses s'incarnent un peu plus).
Je me dis qu'Hitchcock (Vertigo - je pense à la scène de l'escalier) et Lynch (Mulholland Drive) ont sans doute dû le voir mais ça n'est pas suffisant pour que j'y trouve mon compte.
Je me dis qu'Hitchcock (Vertigo - je pense à la scène de l'escalier) et Lynch (Mulholland Drive) ont sans doute dû le voir mais ça n'est pas suffisant pour que j'y trouve mon compte.
Meilleur topic de l'univers
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- cinephage
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Petite synthèse d'un mois très asiatique, notamment pour ce qui concerne le haut de bilan. Je dois dire que le niveau global est assez remarquable, ce mois-ci :
Voyage à Tokyo, de Yasujiro Ozu (1953), se révèle comme le chef d'oeuvre annoncé. Etant très fan d'Ozu en général, j'ai longuement repoussé le visionnage de ce qui est souvent présenté comme son meilleur film, sans doute par peur d'être un peu déçu. Et c'est tout le contraire, il s'agit d'un film magnifique, d'une grande pudeur et d'une immense sensibilité, qui m'a profondément bouleversé tellement, en cours de visionnage, les notions de "meilleur film" et autre se sont estompées face à la force tranquille du récit et aux personnages.
Lumière d'été, de Jean Grémillon (1943) est un drame poignant, un récit grave dans lequel chacun suit sa voie, avec des dialogues de Prévert, très justes, et une façon de filmer paysage de montagne et friche industrielle tout à fait unique. Il vient de ressortir en salle, je le recommande vraiment à ceux qui ont l'occasion d'aller le découvrir.
Le grand attentat, d'Eiichi Kudo (1964) est un excellent chambarra. L'action y est filmée caméra à l'épaule, avec une modernité saisissante. Les personnages sont nombreux, mais ils sont tous attachants et ont une personnalité bien tracée et perceptible. Au final, on aboutit à un film qui évoque quelque chose entre les 12 salopards et les 7 samourais, et laisse un souvenir durable. Mention spécial à un personnage féminin mémorable.
Le sang du damné, de Hideo Gosha (1966), un magnifique polar dans lequel Tatsuya Nakadai déploie son charme à la manière d'un Alain Delon. Mention spéciale à une BO très jazzy et bien fichue.
Le bonheur, d'Agnes Varda (1965), dans lequel la cinéaste "démonte le message de la publicité en empruntant son propre vocabulaire". Un film tout à fait spécial, mais d'une grande pertinence.
L'intendant Sansho, de Kenji Mizoguchi (1954), est un très bon film du cinéaste, dans lequel la précision des cadrages et du découpage appuie là où ça fait mal. Il est intéressant que ce film, qui évoque une nouvelle fois un personnage féminin en souffrance, le fasse cette fois-ci par la marge, en suivant un autre personnage. Définitivement un film à revoir.
Dodsworth, de William Wyler (1936). Voici un film qui ressemble beaucoup à un autre film,de Borzage, que j'ai aussi vu ce mois-ci : They had to see Paris. L'argument de départ est simple, une famille américaine "moyenne", devenue riche, voyage en Europe, parce que l'épouse fantasme une Europe de mondanités et de distinction fantasmée. Dans les deux films, les Européens, nobles déchus, gigolos ou petits mondains, font rêver madame, tandis que le pragmatisme de Monsieur déchiffre les apparences et perce à jour les profiteurs. Le Borzage est une comédie familiale, le Wyler un film d'amour. Ce dernier a très nettement l'avantage. Beaucoup plus fin (une fois n'est pas coutume), il offre aussi à Walter Huston un de ses meilleurs roles.
Derrière ces très gros coups de coeur, je note la découverte d'El Chuncho à la Cinémathèque dans une copie de toute beauté. Un excellent western. J'ai achevé la révision des Harry Potter dans un bref délai, et je dois dire qu'à la révision, l'ensemble reste assez impressionnant, au delà de la réussite ponctuelle de tel ou tel opus : aucun projet, étalé sur une telle durée, n'a su auparavant préserver pareille cohérence, que ce soit au niveau du casting, du visuel, du récit, de l'univers, tout en accompagnant la maturité du public présumé du film (premiers films simples, derniers films complexes et pessimistes). Cette révision sur une courte durée l'atteste de façon très nette, et se révèle largement plus gratifiante que le visionnage annuel en salle (à chaque fois j'avais tout oublié de l'épisode précédent ). Mention spéciale aux Hauts de Hurlevent version Andrea Arnold, qui m'a soufflé visuellement.
Dans le documentaire de Shohei Imamura, En suivant ces soldats qui ne sont pas revenus, une conversation au coin du feu me restera longtemps en tête.
Niveau déception, Fritz the Cat (Ralph Bakshi, 1972) est vraiment un film d'animation très médiocre, et il ne doit sans doute son "prestige" qu'à sa représentation transgressive des années 60 (du sexe dans un dessin animé, quel choc). Je veux croire que la BD de Crumb lui est supérieure.
Voyage à Tokyo, de Yasujiro Ozu (1953), se révèle comme le chef d'oeuvre annoncé. Etant très fan d'Ozu en général, j'ai longuement repoussé le visionnage de ce qui est souvent présenté comme son meilleur film, sans doute par peur d'être un peu déçu. Et c'est tout le contraire, il s'agit d'un film magnifique, d'une grande pudeur et d'une immense sensibilité, qui m'a profondément bouleversé tellement, en cours de visionnage, les notions de "meilleur film" et autre se sont estompées face à la force tranquille du récit et aux personnages.
Lumière d'été, de Jean Grémillon (1943) est un drame poignant, un récit grave dans lequel chacun suit sa voie, avec des dialogues de Prévert, très justes, et une façon de filmer paysage de montagne et friche industrielle tout à fait unique. Il vient de ressortir en salle, je le recommande vraiment à ceux qui ont l'occasion d'aller le découvrir.
Le grand attentat, d'Eiichi Kudo (1964) est un excellent chambarra. L'action y est filmée caméra à l'épaule, avec une modernité saisissante. Les personnages sont nombreux, mais ils sont tous attachants et ont une personnalité bien tracée et perceptible. Au final, on aboutit à un film qui évoque quelque chose entre les 12 salopards et les 7 samourais, et laisse un souvenir durable. Mention spécial à un personnage féminin mémorable.
Le sang du damné, de Hideo Gosha (1966), un magnifique polar dans lequel Tatsuya Nakadai déploie son charme à la manière d'un Alain Delon. Mention spéciale à une BO très jazzy et bien fichue.
Le bonheur, d'Agnes Varda (1965), dans lequel la cinéaste "démonte le message de la publicité en empruntant son propre vocabulaire". Un film tout à fait spécial, mais d'une grande pertinence.
L'intendant Sansho, de Kenji Mizoguchi (1954), est un très bon film du cinéaste, dans lequel la précision des cadrages et du découpage appuie là où ça fait mal. Il est intéressant que ce film, qui évoque une nouvelle fois un personnage féminin en souffrance, le fasse cette fois-ci par la marge, en suivant un autre personnage. Définitivement un film à revoir.
Dodsworth, de William Wyler (1936). Voici un film qui ressemble beaucoup à un autre film,de Borzage, que j'ai aussi vu ce mois-ci : They had to see Paris. L'argument de départ est simple, une famille américaine "moyenne", devenue riche, voyage en Europe, parce que l'épouse fantasme une Europe de mondanités et de distinction fantasmée. Dans les deux films, les Européens, nobles déchus, gigolos ou petits mondains, font rêver madame, tandis que le pragmatisme de Monsieur déchiffre les apparences et perce à jour les profiteurs. Le Borzage est une comédie familiale, le Wyler un film d'amour. Ce dernier a très nettement l'avantage. Beaucoup plus fin (une fois n'est pas coutume), il offre aussi à Walter Huston un de ses meilleurs roles.
Derrière ces très gros coups de coeur, je note la découverte d'El Chuncho à la Cinémathèque dans une copie de toute beauté. Un excellent western. J'ai achevé la révision des Harry Potter dans un bref délai, et je dois dire qu'à la révision, l'ensemble reste assez impressionnant, au delà de la réussite ponctuelle de tel ou tel opus : aucun projet, étalé sur une telle durée, n'a su auparavant préserver pareille cohérence, que ce soit au niveau du casting, du visuel, du récit, de l'univers, tout en accompagnant la maturité du public présumé du film (premiers films simples, derniers films complexes et pessimistes). Cette révision sur une courte durée l'atteste de façon très nette, et se révèle largement plus gratifiante que le visionnage annuel en salle (à chaque fois j'avais tout oublié de l'épisode précédent ). Mention spéciale aux Hauts de Hurlevent version Andrea Arnold, qui m'a soufflé visuellement.
Dans le documentaire de Shohei Imamura, En suivant ces soldats qui ne sont pas revenus, une conversation au coin du feu me restera longtemps en tête.
Niveau déception, Fritz the Cat (Ralph Bakshi, 1972) est vraiment un film d'animation très médiocre, et il ne doit sans doute son "prestige" qu'à sa représentation transgressive des années 60 (du sexe dans un dessin animé, quel choc). Je veux croire que la BD de Crumb lui est supérieure.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois et top 5
1. BLOW OUT - Brian de Palma
2. Matalo - Cesare Canevari
3. La grande aventure Lego - Phil Lord + Christopher Miller
4. La possédée du vice - Piero Vivarelli
5. La fille du 14 juillet - Antonin Peretjako
Plus de détails à venir prochainement sur le topic films du mois de mars...
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- Oustachi partout
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Hé tu m'en avais pas parlé de celui-là. C'est plus proche du nanar ou de la bonne série B ?Anorya a écrit :
4. La possédée du vice - Piero Vivarelli
"Toutes les raisons évoquées qui t'ont paru peu convaincantes sont, pour ma part, les parties d'une remarquable richesse." Watki.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Excellent choix Anorya
Bon sinon, mois à peine commencé et déjà un très sérieux prétendant, peut-être à chercher du côté du film d'animation cette fois :
The Plague Dogs de Martin Rosen (1982)
C'est frappant de maîtrise technique et scénaristique, en effet l'animation et les décors sont tout simplement magnifiques. Les deux personnages principaux, très attachants, permettent de délivrer un message extrêmement touchants. Et puis quand même, ce n'est tous les jours qu'on voit ça dans un dessin animé :
Bon sinon, mois à peine commencé et déjà un très sérieux prétendant, peut-être à chercher du côté du film d'animation cette fois :
The Plague Dogs de Martin Rosen (1982)
C'est frappant de maîtrise technique et scénaristique, en effet l'animation et les décors sont tout simplement magnifiques. Les deux personnages principaux, très attachants, permettent de délivrer un message extrêmement touchants. Et puis quand même, ce n'est tous les jours qu'on voit ça dans un dessin animé :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Tu fais bien de le remettre en avant. Ça va peut être me décider à le voir même si je crains des passages difficiles à supporter.Hitchcock a écrit :Excellent choix Anorya
Bon sinon, mois à peine commencé et déjà un très sérieux prétendant, peut-être à chercher du côté du film d'animation cette fois :
The Plague Dogs de Martin Rosen (1982)
C'est frappant de maîtrise technique et scénaristique, en effet l'animation et les décors sont tout simplement magnifiques. Les deux personnages principaux, très attachants, permettent de délivrer un message extrêmement touchants. Et puis quand même, ce n'est tous les jours qu'on voit ça dans un dessin animé :Un des meilleurs films d'animation vus depuis un bon moment.
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"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
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Mes films du mois :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Il existe un topic consacré au film, dans lequel on en dit le plus grand bien :
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... =3&t=27254
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
MerciRatatouille a écrit :Il existe un topic consacré au film, dans lequel on en dit le plus grand bien :
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Prochain objectif : Découvrir Watership Down maintenant
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Il est dispo en zone 1 (avec sous-titres français).Hitchcock a écrit :Prochain objectif : Découvrir Watership Down maintenant
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ah parce que je l'ai vu la semaine après que nous soyons allé voir Phantom of the paradise. C'était avec Johell lors des séances des 20 ans de série B à la Cinémathèque. Et c'est une bonne série B un peu érotique filmée avec une mise en scène solide, parfois assez proche du documentaire quand elle ne crée pas d'étranges moments oniriques et une musique assez sympathique. Une bonne surprise.julien a écrit : Hé tu m'en avais pas parlé de celui-là. C'est plus proche du nanar ou de la bonne série B ?
Merci ! Et The plague dogs c'est très bien oui.Hitchcock a écrit :Excellent choix Anorya
Bon sinon, mois à peine commencé et déjà un très sérieux prétendant, peut-être à chercher du côté du film d'animation cette fois :
Bon, on en ressort complètement déprimé à la fin hein.
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- Oustachi partout
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ah oui d'accord. Au regard de l'affiche, je me disais bien que l'ami Johell s'était quelque peu immiscé dans tes choix de programmation.Anorya a écrit :Ah parce que je l'ai vu la semaine après que nous soyons allé voir Phantom of the paradise. C'était avec Johell lors des séances des 20 ans de série B à la Cinémathèque. Et c'est une bonne série B un peu érotique filmée avec une mise en scène solide, parfois assez proche du documentaire quand elle ne crée pas d'étranges moments oniriques et une musique assez sympathique. Une bonne surprise.julien a écrit : Hé tu m'en avais pas parlé de celui-là. C'est plus proche du nanar ou de la bonne série B ?
"Toutes les raisons évoquées qui t'ont paru peu convaincantes sont, pour ma part, les parties d'une remarquable richesse." Watki.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Hmmm, ce mois-ci, je dois choisir entre 12 Years a Slave et Her... Les deux m'ont bouleversé, chacun à leur manière. Difficile de les départager.
- Flol
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ainsi qu'en zone 2 UK (mais sans sous-titres).Boubakar a écrit :Il est dispo en zone 1 (avec sous-titres français).Hitchcock a écrit :Prochain objectif : Découvrir Watership Down maintenant
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Quel casse tête de choisir ! Voilà une liste de films formidables qui m’ont tous à leur façon émue et passionnée. Des films forts que j’ai soit découverts soit revus et que je reverrai encore avec joie. Je me résous néanmoins à trancher. Sur le podium :
ANTOINE ET ANTOINETTE (Jacques Becker)
CAMILLE CLAUDEL 1915 (Bruno Dumont)
HUIT HEURES DE SURSIS (Carol Reed)
Sous le soleil de Satan (Pialat)]
Tous les matins du monde (Corneau)
Jour de Fête (Tati).
Cinquième :
Les parapluies de Cherbourg( Demy)
Sixième ex aequo :
Une si jolie petite plage (Yves Allégret)
Lola (Demy)
Septième ex-æquo :
Un papillon sur l’épaule (Deray)
Les galettes de Pont Aven (Séria)
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
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Mes films du mois :
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- gnome
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Film du mois qui a bien failli être dépassé au dernier moment hier soir par le superbe The Wrestler de Darren Aronofsky :
1. Das Boot de Wolfgang Petersen
Suivent de très près :
2. The Wrestler de Darren Aronofsky
3. Dans la Brume électrique de Bertrand Tavernier
Dans un mouchoir de poche avec le très beau :
4. Womb de Benedek Fliegauf
La suite :
1. Das Boot de Wolfgang Petersen
Suivent de très près :
2. The Wrestler de Darren Aronofsky
3. Dans la Brume électrique de Bertrand Tavernier
Dans un mouchoir de poche avec le très beau :
4. Womb de Benedek Fliegauf
La suite :
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