Nos visionnages : vite fait (index P.1)
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Re: Nos visionnages : vite fait
Merci. Pas sûr que les gens pensent à aller regarder, mais j'ai tout copié-collé dans le premier post.
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Re: Nos visionnages : vite fait
Bien joué, tu m'as piqué l'idéeCommissaire Juve a écrit :Merci. Pas sûr que les gens pensent à aller regarder, mais j'ai tout copié-collé dans le premier post.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Outrage Beyond (Magnolia home ent./Magnet, 2014)
Disque zoné A.
Bien que tenant sur un BD25, le film de presque deux heures se tient admirablement. La densité des noirs, la précision dans les nuances de couleurs et le piqué rendent l'ensemble particulièrement harmonieux, et font honneur à la photo du film, tourné encore une fois en 35mm. Tout juste ai-je remarqué quelques traces de postérisation sur certains plans en basse lumière en début de film. Le grain est discret, mais l'image est dense et développe vraiment une texture cinéma.
La seule piste son disponible, JAP DTS MA 5.1, fait son office. Par endroits rentre-dedans (mais moins que dans le précédent film), elle sait se faire discrète, la majeure partie du film étant constituée de dialogues. Le travail sur l'ambiance et les silences assourdissants rendent le tout très pesant. La musique, très réduite en durée, est, comme pour le premier Outrage, tout saut classique dans sa composition. Régulièrement atonale, synthétique, principalement électronique, elle ne permet pas non plus d'échapper au climat délétère engloutissant tout le film. Au contraire, elle enfonce le clou. Des sous-titres anglais amovibles sont disponibles (une piste de ST SDH est également présente).
Un making of d'une heure (en SD), principalement constitué d'images de tournage et d'interviews de plateau, nous montre l'ambiance créée par Kitano pour un de ses films. Silence de mort interminable auquel le réalisateur interprète peut mettre fin avec une blague scato, volonté de réduire à l'essentiel le travail de chacun, d'obtenir ainsi une forme de vérité, tout en restant dans une économie de production contrôlée. C'est vraiment passionnant, même si l'on ne peut s'empêcher d'imaginer une autre atmosphère sur ses drames ou comédies...
Quant au film, il me semble primordial d'avoir bien en tête le précédent. En effet, si 5 années se sont écoulées entre les deux pour les personnages, Outrage Beyond reste néanmoins une suite directe, reprenant exactement là où Outrage s'était arrêté. Puisque la majeure partie du film est composée de relations (in)humaines, de luttes de pouvoirs et de machinations déjà enclenchées avant le générique de début, ne pas avoir de connaissance préalable de ce monde me semble fortement préjudiciable. Le film peut se suivre indépendamment, mais je crois qu'on y perdrait beaucoup en implication.
Au niveau du style, on reste en terrain connu. C'est minéral, cadré au cordeau, avec justement un intérêt constant pour les actions bord-cadre. La menace étant constante, on ne sait jamais où regarder, tout comme les misérables pantins de ce jeu tragique. Changement important par rapport au premier film, beaucoup moins de place est ici laissée aux exécutions et diverses mises à mort. Kitano semble beaucoup moins intéressé, tout comme Otomo, le personnage qu'il interprète, n'ayant plus que mépris pour ses anciens "collègues". Le film est donc visuellement moins impressionnant, mais paradoxalement encore plus cynique et désabusé tant les enjeux et motivations deviennent grotesques. La construction du film est en deux temps: une montée en puissance (la machination se met en place) puis une rapide douche froide pour les participants. Le film devient ainsi (volontairement?) moins distrayant que son prédécesseur, mais les actions et réactions s'investissent d'une implication émotionnelle de la part du spectateur, majoritairement absente du premier volet. Je ne cherche pas à les comparer, mais voyez le changement qui s'opère entre les deux volets de Kill Bill et vous aurez une petite idée des variations de ton entre les deux Kitano.
Disque zoné A.
Bien que tenant sur un BD25, le film de presque deux heures se tient admirablement. La densité des noirs, la précision dans les nuances de couleurs et le piqué rendent l'ensemble particulièrement harmonieux, et font honneur à la photo du film, tourné encore une fois en 35mm. Tout juste ai-je remarqué quelques traces de postérisation sur certains plans en basse lumière en début de film. Le grain est discret, mais l'image est dense et développe vraiment une texture cinéma.
La seule piste son disponible, JAP DTS MA 5.1, fait son office. Par endroits rentre-dedans (mais moins que dans le précédent film), elle sait se faire discrète, la majeure partie du film étant constituée de dialogues. Le travail sur l'ambiance et les silences assourdissants rendent le tout très pesant. La musique, très réduite en durée, est, comme pour le premier Outrage, tout saut classique dans sa composition. Régulièrement atonale, synthétique, principalement électronique, elle ne permet pas non plus d'échapper au climat délétère engloutissant tout le film. Au contraire, elle enfonce le clou. Des sous-titres anglais amovibles sont disponibles (une piste de ST SDH est également présente).
Un making of d'une heure (en SD), principalement constitué d'images de tournage et d'interviews de plateau, nous montre l'ambiance créée par Kitano pour un de ses films. Silence de mort interminable auquel le réalisateur interprète peut mettre fin avec une blague scato, volonté de réduire à l'essentiel le travail de chacun, d'obtenir ainsi une forme de vérité, tout en restant dans une économie de production contrôlée. C'est vraiment passionnant, même si l'on ne peut s'empêcher d'imaginer une autre atmosphère sur ses drames ou comédies...
Quant au film, il me semble primordial d'avoir bien en tête le précédent. En effet, si 5 années se sont écoulées entre les deux pour les personnages, Outrage Beyond reste néanmoins une suite directe, reprenant exactement là où Outrage s'était arrêté. Puisque la majeure partie du film est composée de relations (in)humaines, de luttes de pouvoirs et de machinations déjà enclenchées avant le générique de début, ne pas avoir de connaissance préalable de ce monde me semble fortement préjudiciable. Le film peut se suivre indépendamment, mais je crois qu'on y perdrait beaucoup en implication.
Au niveau du style, on reste en terrain connu. C'est minéral, cadré au cordeau, avec justement un intérêt constant pour les actions bord-cadre. La menace étant constante, on ne sait jamais où regarder, tout comme les misérables pantins de ce jeu tragique. Changement important par rapport au premier film, beaucoup moins de place est ici laissée aux exécutions et diverses mises à mort. Kitano semble beaucoup moins intéressé, tout comme Otomo, le personnage qu'il interprète, n'ayant plus que mépris pour ses anciens "collègues". Le film est donc visuellement moins impressionnant, mais paradoxalement encore plus cynique et désabusé tant les enjeux et motivations deviennent grotesques. La construction du film est en deux temps: une montée en puissance (la machination se met en place) puis une rapide douche froide pour les participants. Le film devient ainsi (volontairement?) moins distrayant que son prédécesseur, mais les actions et réactions s'investissent d'une implication émotionnelle de la part du spectateur, majoritairement absente du premier volet. Je ne cherche pas à les comparer, mais voyez le changement qui s'opère entre les deux volets de Kill Bill et vous aurez une petite idée des variations de ton entre les deux Kitano.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Kids Return (Bandai Visual, 2013)
Disque non zoné.
Pour l'un des plus naturalistes des films de Kitano, ce bluray m'a semblé particulièrement adapté. Si la définition et les couleurs sont douces, ça ne vire toutefois pas au blafard, comme pouvait l'être le vieux dvd StudioCanal (qui aura rendu de fiers services). Malgré quelques points blancs épars, la copie reste propre, le contraste relativement faible hérité de la source me semble t-il, et la compression quasiment invisible sur ce BD50 au taux avoisinant souvent les 40mbps achèvent de donner à ce disque un rendu très cinéma. Comme Kitano s'efface derrière ses personnages, ce bluray s'efface derrière le film qu'il sert.
Une seule piste audio, en JAP PCM stéréo, très convaincante, restituant avec finesse les nombreuses ambiances, finesses de mix, et dévoilant son ampleur sur les parties musicales, contrastant avec la violence des scènes de boxe, ou des quelques coups de feu, surpuissants eux . Très léger souffle audible dans les moments de silence. STA disponibles (très partiels, mais amplement suffisants pour suivre le film si on ne connait pas).
Le blu se lance très vite, sans avoir à forcément passer par le menu, c'est appréciable. Une bande annonce et un making of d'archive de 20 minutes non sous-titrés complètent le package.
Disque non zoné.
Pour l'un des plus naturalistes des films de Kitano, ce bluray m'a semblé particulièrement adapté. Si la définition et les couleurs sont douces, ça ne vire toutefois pas au blafard, comme pouvait l'être le vieux dvd StudioCanal (qui aura rendu de fiers services). Malgré quelques points blancs épars, la copie reste propre, le contraste relativement faible hérité de la source me semble t-il, et la compression quasiment invisible sur ce BD50 au taux avoisinant souvent les 40mbps achèvent de donner à ce disque un rendu très cinéma. Comme Kitano s'efface derrière ses personnages, ce bluray s'efface derrière le film qu'il sert.
Une seule piste audio, en JAP PCM stéréo, très convaincante, restituant avec finesse les nombreuses ambiances, finesses de mix, et dévoilant son ampleur sur les parties musicales, contrastant avec la violence des scènes de boxe, ou des quelques coups de feu, surpuissants eux . Très léger souffle audible dans les moments de silence. STA disponibles (très partiels, mais amplement suffisants pour suivre le film si on ne connait pas).
Le blu se lance très vite, sans avoir à forcément passer par le menu, c'est appréciable. Une bande annonce et un making of d'archive de 20 minutes non sous-titrés complètent le package.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Les films de Kitano en blu-ray
A quand Tsukamoto?
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Mon blog sur le Japon : http://japon.canalblog.com/
Mon blog sur le cinéma : http://kingdomofcinema.canalblog.com/
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Il y a déjà pas mal de Tsukamoto édités en blu en Angleterre, chez Third Window Films: les Tetsuo (avec The Adventures of Denchu Kozo en supplément), Bullet Ballet, Tokyo Fist et le récent Kotoko. Il y a même au moins un test dans ce topic.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Les 4 sont excellemment bien édités d'ailleurs. Dommage que TWF ne puisse faire plus de sorties pour cause de faibles rentrées.El Dadal a écrit :Il y a déjà pas mal de Tsukamoto édités en blu en Angleterre, chez Third Window Films: les Tetsuo (avec The Adventures of Denchu Kozo en supplément), Bullet Ballet, Tokyo Fist et le récent Kotoko. Il y a même au moins un test dans ce topic.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Visionné Crocodile Dundee et comparé avec le dvd §
Pour ma part je trouve qu'il y a une belle mise à niveau, l'image est brut, pas retravaillé, mais les couleurs sont ravivés, le grain est présent, chouette définition aussi sur toutes les scènes de new york... Donc gros plus par rapport au dvd que je possède aussi
Pas encore visionné le deuxième , mais si c'est du même acabit c'est à mon humble avis bien suffisant !
En revanche pas de troisième film...mais bon c'est pas très grave ...
Pour ma part je trouve qu'il y a une belle mise à niveau, l'image est brut, pas retravaillé, mais les couleurs sont ravivés, le grain est présent, chouette définition aussi sur toutes les scènes de new york... Donc gros plus par rapport au dvd que je possède aussi
Pas encore visionné le deuxième , mais si c'est du même acabit c'est à mon humble avis bien suffisant !
En revanche pas de troisième film...mais bon c'est pas très grave ...
Il n'est pas défendu d'attendre, il est toujours doux d'espérer...
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
MEMPHIS BELLE ( 1990 )
Je ne connais pas le dvd de ce tres bon film, mais le blu ray lui, est excellent : dispo sur Amazon.com avec stf. A consommer donc sans modération .....!
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Juste une info.
The Heartbreak kid / les femmes de ses rêves, film des frères Farelly... En BLU, on a l'édition US (Dreamworks) et l'édition UK (Paramount) qui sont region free. Elles proposent toutes les deux des sous-titres français et même une VF.
Pour ceux que ça intéresse (je suis sûr qu'il y en a), je signale que la VF du disque américain est québécoise. Pour avoir la VF "parisienne", il faut prendre l'édition UK.
Du reste, l'édition UK se présente comme "uncut".
Sinon : côté HD, l'image est très belle. Mais je trouve les couleurs trop saturées (le rouge surtout). L'image de la BA est plus douce, ils auraient dû garder les mêmes réglages pour le film.
EDIT : à propos des couleurs... à l'époque du visionnage, je crois que le filtre "espace colorimétrique étendu" de la dalle était activé ; ce qui expliquerait la sensation de dureté des couleurs. Depuis, je l'ai désactivé, mais je n'ai pas pris le temps de vérifier si ce disque était plus "plaisant" à visionner. Une chose est sûre, la désactivation de cette saleté permet d'atténuer la saturation des rouges.
The Heartbreak kid / les femmes de ses rêves, film des frères Farelly... En BLU, on a l'édition US (Dreamworks) et l'édition UK (Paramount) qui sont region free. Elles proposent toutes les deux des sous-titres français et même une VF.
Pour ceux que ça intéresse (je suis sûr qu'il y en a), je signale que la VF du disque américain est québécoise. Pour avoir la VF "parisienne", il faut prendre l'édition UK.
Du reste, l'édition UK se présente comme "uncut".
Sinon : côté HD, l'image est très belle. Mais je trouve les couleurs trop saturées (le rouge surtout). L'image de la BA est plus douce, ils auraient dû garder les mêmes réglages pour le film.
EDIT : à propos des couleurs... à l'époque du visionnage, je crois que le filtre "espace colorimétrique étendu" de la dalle était activé ; ce qui expliquerait la sensation de dureté des couleurs. Depuis, je l'ai désactivé, mais je n'ai pas pris le temps de vérifier si ce disque était plus "plaisant" à visionner. Une chose est sûre, la désactivation de cette saleté permet d'atténuer la saturation des rouges.
Dernière modification par Commissaire Juve le 27 déc. 14, 01:17, modifié 1 fois.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Le dernier diamant (2014)
Techniquement parlant : pas mal, mais pas stupéfiant côté HD... peu ou pas de grain... parfois, j'ai trouvé les clairs-obscurs grisâtres (comme si on avait procédé à une correction gamma en ayant la main un peu lourde). Enfin, en deux occasions, j'ai eu une sensation de saccades (Attal entrant dans un hôtel par une porte-tambour, une voiture de police s'éloignant... bizarre) ; mais je pinaille.
Artistiquement parlant : un peu longuet, mais sympa finalement... avec un petit côté "Mission : impossible" (jusque dans la musique).
Techniquement parlant : pas mal, mais pas stupéfiant côté HD... peu ou pas de grain... parfois, j'ai trouvé les clairs-obscurs grisâtres (comme si on avait procédé à une correction gamma en ayant la main un peu lourde). Enfin, en deux occasions, j'ai eu une sensation de saccades (Attal entrant dans un hôtel par une porte-tambour, une voiture de police s'éloignant... bizarre) ; mais je pinaille.
Artistiquement parlant : un peu longuet, mais sympa finalement... avec un petit côté "Mission : impossible" (jusque dans la musique).
Commissaire Juve a écrit :n°492
Dernière modification par Commissaire Juve le 22 sept. 20, 18:39, modifié 2 fois.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Tournage et post prod en video.Commissaire Juve a écrit : peu ou pas de grain...
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
J'y ai pensé, mais j'ai eu la flemme de chercher. Merci.Geoffrey Firmin a écrit :Tournage et post prod en video.Commissaire Juve a écrit : peu ou pas de grain...
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
The Killet Elite (2011)
A tout hasard... pour ceux qui sont clients du genre... J'ai reçu l'édition Benelux de Killer Elite (la version 2011, avec Jason Statham & Clive Owen). Sur Amazon, il y a des vendeurs marketplace qui la refourguent pour pas cher à la place de l'édition française.
Il y a des sous-titres français pas trop gros (cool) et l'image est "razor sharp" ! Je ne sais pas ce que vaut l'édition TF1, mais l'édition e-One belge est impec.
Nota : la jaquette est différente. Elle reprend le visuel de l'affiche (moins tape-à-l'oeil que le photoshopage de TF1 ci-dessous).
A tout hasard... pour ceux qui sont clients du genre... J'ai reçu l'édition Benelux de Killer Elite (la version 2011, avec Jason Statham & Clive Owen). Sur Amazon, il y a des vendeurs marketplace qui la refourguent pour pas cher à la place de l'édition française.
Il y a des sous-titres français pas trop gros (cool) et l'image est "razor sharp" ! Je ne sais pas ce que vaut l'édition TF1, mais l'édition e-One belge est impec.
Nota : la jaquette est différente. Elle reprend le visuel de l'affiche (moins tape-à-l'oeil que le photoshopage de TF1 ci-dessous).
Dernière modification par Commissaire Juve le 25 sept. 20, 06:46, modifié 2 fois.
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