Errol Flynn (1909-1959)
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
J'ai bien aimé Green Light (par contre j'avais totalement zappé Kay Francis ) , quand je pense que tous ces films avaient été diffusés lors de l'intégrale Errol Flynn de TCM !
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Depuis le temps que je veux voir tous les films de Flynn édités sans sous titres... Malheureusement, je doutes que TCM nous fassent ce plaisir. Ils ne restent que les trésors Warner.Cathy a écrit :J'ai bien aimé Green Light (par contre j'avais totalement zappé Kay Francis ) , quand je pense que tous ces films avaient été diffusés lors de l'intégrale Errol Flynn de TCM !
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
En plus pour remuer le couteau dans la plaie, hormis ces derniers films, ils avaient diffusé quasiment tous ses films plus ou moins importants et certains où on le voit dans des rôles qu'on ne pense pas pour lui comme Never Say goodbye avec Eleanor Parker où il joue un père divorcé.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Cathy a écrit :J'ai bien aimé Green Light (par contre j'avais totalement zappé Kay Francis )
Puisque c'est ça, je boude...
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Pourquoi parles-tu de Kay Francis, Cathy ?
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Parce que je ne sais pas lire, et que je pensais qu'il y avait Kay F'rancis dans Green Light alors que c'est dans Tornade, et que là je l'ai remarquée sans problème
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
T'imagine, Kay Francis/Anita Louise/ Margareth Lindsay dans GREEN LIGHT... Notre Febby aurait pété un câble. Fo pas trop les regrouper, ces belles demoiselles car c'est dangereux pour sa santé
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Ah je préfère Par contre dans Green Light il y a Margaret Lindsay, n'est-ce pas Monsieur Udo ?
EDIT : merde comment il m'a grillé
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Justement celui-la j'ai très envie de le voir depuis longtemps...Cathy a écrit :En plus pour remuer le couteau dans la plaie, hormis ces derniers films, ils avaient diffusé quasiment tous ses films plus ou moins importants et certains où on le voit dans des rôles qu'on ne pense pas pour lui comme Never Say goodbye avec Eleanor Parker où il joue un père divorcé.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
ERROL FLYNN
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Dernière modification par Tommy Udo le 29 juin 14, 18:52, modifié 18 fois.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Jolie chronique !
Ce que je n'arrive pas tellement à comprendre, c'est le voile pudique que jette Errol Flynn sur ses films Warner plus intimistes, quand il en parle dans son autobiographie. Je dois lire ce livre à peu près une fois par été, et je le trouve toujours aussi distant avec ces films-là. Il se plaint beaucoup de ces films d'aventure qu'il aime de moins en moins tourner, et avoue régulièrement qu'il aurait préféré une carrière plus "terre-à-terre". Mais il ne parle jamais de Green light, A perfect specimen, Never say goodbye, The sisters, Cry wolf, Escape me never... qui sont pourtant presque tous de très bons films, aux sujets intéressants et solidement réalisés. Dans son livre, Flynn survole le sujet, ne cite même pas les titres, et parle de son dédain pour ce que la Warner lui a fait joué. Or, on voit bien que la Warner lui permettait de tutoyer de nombreux registres. Ses rapports difficiles avec Jack et Harry Warner composeraient-ils l'unique source de cet oubli volontaire et de cette relecture discutable à l'encontre de sa propre filmographie ?
Ce que j'aurais aimé lui poser la question moi-même, afin qu'il me réponde à propos de cette "ambiguïté de carrière" ! Pour avoir vu l'intégralité de sa filmo hollywoodienne, je peux dire que Flynn a eu régulièrement l'opportunité d'incarner autre chose que ce héros d'aventure que l'on aime tant. Y compris sur un crime-drama façon "The Thin man" avec le très sympathique Footsteps in the dark.
Ce que je n'arrive pas tellement à comprendre, c'est le voile pudique que jette Errol Flynn sur ses films Warner plus intimistes, quand il en parle dans son autobiographie. Je dois lire ce livre à peu près une fois par été, et je le trouve toujours aussi distant avec ces films-là. Il se plaint beaucoup de ces films d'aventure qu'il aime de moins en moins tourner, et avoue régulièrement qu'il aurait préféré une carrière plus "terre-à-terre". Mais il ne parle jamais de Green light, A perfect specimen, Never say goodbye, The sisters, Cry wolf, Escape me never... qui sont pourtant presque tous de très bons films, aux sujets intéressants et solidement réalisés. Dans son livre, Flynn survole le sujet, ne cite même pas les titres, et parle de son dédain pour ce que la Warner lui a fait joué. Or, on voit bien que la Warner lui permettait de tutoyer de nombreux registres. Ses rapports difficiles avec Jack et Harry Warner composeraient-ils l'unique source de cet oubli volontaire et de cette relecture discutable à l'encontre de sa propre filmographie ?
Ce que j'aurais aimé lui poser la question moi-même, afin qu'il me réponde à propos de cette "ambiguïté de carrière" ! Pour avoir vu l'intégralité de sa filmo hollywoodienne, je peux dire que Flynn a eu régulièrement l'opportunité d'incarner autre chose que ce héros d'aventure que l'on aime tant. Y compris sur un crime-drama façon "The Thin man" avec le très sympathique Footsteps in the dark.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Je me suis fait la même réflexion lors de la lecture de cette autobiographieJulien Léonard a écrit :Ce que je n'arrive pas tellement à comprendre, c'est le voile pudique que jette Errol Flynn sur ses films Warner plus intimistes, quand il en parle dans son autobiographie. Je dois lire ce livre à peu près une fois par été, et je le trouve toujours aussi distant avec ces films-là. Il se plaint beaucoup de ces films d'aventure qu'il aime de moins en moins tourner, et avoue régulièrement qu'il aurait préféré une carrière plus "terre-à-terre". Mais il ne parle jamais de Green light, A perfect specimen, Never say goodbye, The sisters, Cry wolf, Escape me never... qui sont pourtant presque tous de très bons films, aux sujets intéressants et solidement réalisés. Dans son livre, Flynn survole le sujet, ne cite même pas les titres, et parle de son dédain pour ce que la Warner lui a fait joué. Or, on voit bien que la Warner lui permettait de tutoyer de nombreux registres. Ses rapports difficiles avec Jack et Harry Warner composeraient-ils l'unique source de cet oubli volontaire et de cette relecture discutable à l'encontre de sa propre filmographie ?
C'est en effet assez étonnant vu la qualité de certains films. Je n'ai vu, pour l'instant, que GREEN LIGHT parmi ceux que tu cites, mais je me souviens avoir lu dans ce même topic tout le bien que tu pensais de A PERFECT SPECIMEN et NEVER SAY GOODBYE il me semble (avec un Flynn assez doué pour la comédie). Et j'ai hâte de les découvrir.
C'est une idée, ou Flynn passait, à l'époque, pour être un acteur limité qui ne pouvait s'en sortir qu'avec un seul type de rôles ? Rien que pour avoir vu GREEN LIGHT, je pense tout à fait le contraire^^
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
A perfect specimen est sympa, sans plus. Par contre, j'avoue beaucoup aimer Four's a crowd et surtout Never say goodbye. Tu devrais te régaler. Mais il y a encore d'autres surprises... plus mélodramatiques.Tommy Udo a écrit :Je me suis fait la même réflexion lors de la lecture de cette autobiographieJulien Léonard a écrit :Ce que je n'arrive pas tellement à comprendre, c'est le voile pudique que jette Errol Flynn sur ses films Warner plus intimistes, quand il en parle dans son autobiographie. Je dois lire ce livre à peu près une fois par été, et je le trouve toujours aussi distant avec ces films-là. Il se plaint beaucoup de ces films d'aventure qu'il aime de moins en moins tourner, et avoue régulièrement qu'il aurait préféré une carrière plus "terre-à-terre". Mais il ne parle jamais de Green light, A perfect specimen, Never say goodbye, The sisters, Cry wolf, Escape me never... qui sont pourtant presque tous de très bons films, aux sujets intéressants et solidement réalisés. Dans son livre, Flynn survole le sujet, ne cite même pas les titres, et parle de son dédain pour ce que la Warner lui a fait joué. Or, on voit bien que la Warner lui permettait de tutoyer de nombreux registres. Ses rapports difficiles avec Jack et Harry Warner composeraient-ils l'unique source de cet oubli volontaire et de cette relecture discutable à l'encontre de sa propre filmographie ?
C'est en effet assez étonnant vu la qualité de certains films. Je n'ai vu, pour l'instant, que GREEN LIGHT parmi ceux que tu cites, mais je me souviens avoir lu dans ce même topic tout le bien que tu pensais de A PERFECT SPECIMEN et NEVER SAY GOODBYE il me semble (avec un Flynn assez doué pour la comédie). Et j'ai hâte de les découvrir.
C'est une idée, ou Flynn passait, à l'époque, pour être un acteur limité qui ne pouvait s'en sortir qu'avec un seul type de rôles ? Rien que pour avoir vu GREEN LIGHT, je pense tout à fait le contraire^^
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Super ! De bons moments en perspectiveJulien Léonard a écrit :A perfect specimen est sympa, sans plus. Par contre, j'avoue beaucoup aimer Four's a crowd et surtout Never say goodbye. Tu devrais te régaler. Mais il y a encore d'autres surprises... plus mélodramatiques.
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Re: Errol Flynn (1909-1959)
Une chronique bien agréable à lire, merci Tommy
Tommy Udo a écrit :Il serait par ailleurs injuste de ne pas évoquer la superbe et émouvante Margaret Lindsay, (...)Frank Borzage a trouvé en Margaret Lindsay l’actrice idéale capable de personnifier, au plus juste, les sentiments, parfois contradictoires, inhérents à la renonciation. Belle, téméraire, et envoûtante, (...)