
Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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- Laspalès
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
euh...Schumacher, Pollack, Siegel, Russell...je connais très mal leurs filmographies respectives. 

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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Mais pas Argento. Allez, tu nous évites Mann pendant plusieurs mois, tu ne remontes aucun topic et ce sera bon.mannhunter a écrit :euh...Schumacher, Pollack, Siegel, Russell...je connais très mal leurs filmographies respectives.


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- Laspalès
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Je ne parlerais pas de Mann pour le moment puisqu'il n'est lié ni à l'actu cinéma ni à l'actu home cinéma!
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- Laughing Ring
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Beaucoup de choses vraiment passionnantes chez Argento, de l'aspect technique au petit détail parfois cinéphile ou esthétique. Il y a toujours une chose qu'on peut retenir pour chaque film, même sans doute dans les moins bons. Pour ma part...
- L'oiseau au plumage de cristal : Les plans façon objectif photo et qu'on ne va plus retrouver du tout chez le cinéaste par la suite...
... mais aussi tout ce qui va fonder en grande partie son cinéma. Ses gants noirs propres au giallo, l'instrument du crime qu'on nous présentera bien avant que celui-ci ne soit commis (le rituel à la Argento qui atteint son "climax" avec Les frissons de l'angoisse), la passion du monsieur déjà pour les architectures symétriques et inquiétantes... Dans le film en lui-même, ces plans de poursuite dans une gare d'autobus, le meurtre au rasoir et l'ouverture du film avec la scène dans le musée qui sera "recomposée" successivement tout le long du film.
- Le chat à neuf queues : la fin avec la "chute" de l'ascenseur (ouille les doigts).
- 4 mouches de velours gris : La fin là aussi, au ralenti, moment de bravoure qui clôt le film sans doute un peu abruptement mais bon.
- Les frissons de l'angoisse : Tout le film je dirais. Il y a presqu'une séquence anthologique, un plan, un cadrage, une idée qui tue (parfois au sens littéral chez le cinéaste) toutes les 5 minutes mais je citerais l'exploration de la maison Art Nouveau.
- Suspiria : Là aussi dur de choisir mais j'aime beaucoup les 20 premières minutes où tout s'enchaîne : l'arrivée de l'héroïne sous la pluie battante, la lumière, la fuite de l'étudiante qui va conduire peu après à un double meurtre furieux et des plus marquants...
- Inferno : L'épisode de l'étage englouti sous l'eau.
- Ténèbres : Le meurtre quasi-chorégraphique des lesbiennes.
- Phenomena : L'ouverture sur fond du "valley" de Wyman et Taylor mais sans doute plus que tout, cette image marquante d'une Jennifer Connelly en transe qui déclare tout autant aux affreuses pestes de l'école qu'aux millions de mouches acculées contre les vitres "je vous aime tous". Une belle image de la pureté dans ce conte pervers.
- Opera : Ce plan de malade d'une balle qui va traverser la tête d'un des personnages... et cette fin complètement en décalage, brutale à sa manière dans ce qu'elle affiche de gentillesse presque guimauve après toutes les horreurs qu'on aura vu.
- Trauma : Les références à la noyade d'Ophélie comme à Hitchcock, complètement nawak mais qui rajoutent au charme fragile de ce film complètement sur le rasoir (c'est le cas de le dire). On rira un peu du film (certains beaucoup, hein Demi-Lune
) mais reste toutefois une maîtrise de la steadycam (tous les passages à l'hôpital) et une relecture bien foutue des Frissons de l'angoisse.
- Le syndrome de Stendhal : Les trente premières minutes qui condensent à elles seules le cinéma d'Argento...
...La musique d'Ennio Morricone, La transformation du personnage incarné par Asia Argento, quand Anna passe à travers la peinture dans le bureau du commissaire, la déclaration d'amour envers l'Italie en vespa (c'est moi où l'espace d'un instant on se croirait dans un film de la nouvelle vague mais en couleur ?), ce plan très graphique d'Anna presque fusionnée avec la peinture...
Et puis la fin aussi... En fait tout le film.
- Le sang des innocents : J'en ai plus aucun souvenir sauf ces plans de magnétophone qui font penser un peu à une redite de ceux dans Les frissons de l'angoisse...
- Mother of tears : Tout le film en fait tellement c'est barré dans la nanar jouissif (pardon manny).

Attention je suis méchante car j'ai mis un drap noir sur moi.

Aaaaah les sorcières-punk-geekette-tout-ce-que-tu-veux-en-fait du film.
Plaisir coupable tellement ce film est "autre".

- L'oiseau au plumage de cristal : Les plans façon objectif photo et qu'on ne va plus retrouver du tout chez le cinéaste par la suite...



- Le chat à neuf queues : la fin avec la "chute" de l'ascenseur (ouille les doigts).
- 4 mouches de velours gris : La fin là aussi, au ralenti, moment de bravoure qui clôt le film sans doute un peu abruptement mais bon.
- Les frissons de l'angoisse : Tout le film je dirais. Il y a presqu'une séquence anthologique, un plan, un cadrage, une idée qui tue (parfois au sens littéral chez le cinéaste) toutes les 5 minutes mais je citerais l'exploration de la maison Art Nouveau.
- Suspiria : Là aussi dur de choisir mais j'aime beaucoup les 20 premières minutes où tout s'enchaîne : l'arrivée de l'héroïne sous la pluie battante, la lumière, la fuite de l'étudiante qui va conduire peu après à un double meurtre furieux et des plus marquants...
- Inferno : L'épisode de l'étage englouti sous l'eau.
- Ténèbres : Le meurtre quasi-chorégraphique des lesbiennes.
- Phenomena : L'ouverture sur fond du "valley" de Wyman et Taylor mais sans doute plus que tout, cette image marquante d'une Jennifer Connelly en transe qui déclare tout autant aux affreuses pestes de l'école qu'aux millions de mouches acculées contre les vitres "je vous aime tous". Une belle image de la pureté dans ce conte pervers.
- Opera : Ce plan de malade d'une balle qui va traverser la tête d'un des personnages... et cette fin complètement en décalage, brutale à sa manière dans ce qu'elle affiche de gentillesse presque guimauve après toutes les horreurs qu'on aura vu.
- Trauma : Les références à la noyade d'Ophélie comme à Hitchcock, complètement nawak mais qui rajoutent au charme fragile de ce film complètement sur le rasoir (c'est le cas de le dire). On rira un peu du film (certains beaucoup, hein Demi-Lune

- Le syndrome de Stendhal : Les trente premières minutes qui condensent à elles seules le cinéma d'Argento...




- Le sang des innocents : J'en ai plus aucun souvenir sauf ces plans de magnétophone qui font penser un peu à une redite de ceux dans Les frissons de l'angoisse...

- Mother of tears : Tout le film en fait tellement c'est barré dans la nanar jouissif (pardon manny).



Attention je suis méchante car j'ai mis un drap noir sur moi.


Aaaaah les sorcières-punk-geekette-tout-ce-que-tu-veux-en-fait du film.




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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Un autre "Master of Horror" pour commencer la semaine...:
John LANDIS ( 1950-)

1973 : Schlock
1977 : Hamburger film sandwich (The Kentucky Fried Movie)
1978 : American College (Animal House)
1980 : The Blues Brothers
1981 : Le Loup-garou de Londres (An American Werewolf in London)
1983 : Un fauteuil pour deux (Trading Places)
1983 : La Quatrième Dimension (Twilight Zone: The Movie) - prologue et premier segment
1985 : Série noire pour une nuit blanche (Into the Night)
1985 : Drôles d'espions (Spies Like Us)
1986 : Trois Amigos! (¡Three Amigos!)
1986 : Cheeseburger film sandwich (Amazon Women on the Moon)
1988 : Un prince à New York (Coming to America)
1991 : L'embrouille est dans le sac (Oscar)
1992 : Innocent Blood
1994 : Le Flic de Beverly Hills 3 (Beverly Hills Cop III)
1996 : Les Stupides (The Stupids)
1998 : Blues Brothers 2000
1998 : Susan a un plan (Susan's Plan)
2010 : Cadavres à la pelle (Burke and Hare)
John LANDIS ( 1950-)

1973 : Schlock
1977 : Hamburger film sandwich (The Kentucky Fried Movie)
1978 : American College (Animal House)
1980 : The Blues Brothers
1981 : Le Loup-garou de Londres (An American Werewolf in London)
1983 : Un fauteuil pour deux (Trading Places)
1983 : La Quatrième Dimension (Twilight Zone: The Movie) - prologue et premier segment
1985 : Série noire pour une nuit blanche (Into the Night)
1985 : Drôles d'espions (Spies Like Us)
1986 : Trois Amigos! (¡Three Amigos!)
1986 : Cheeseburger film sandwich (Amazon Women on the Moon)
1988 : Un prince à New York (Coming to America)
1991 : L'embrouille est dans le sac (Oscar)
1992 : Innocent Blood
1994 : Le Flic de Beverly Hills 3 (Beverly Hills Cop III)
1996 : Les Stupides (The Stupids)
1998 : Blues Brothers 2000
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2010 : Cadavres à la pelle (Burke and Hare)
- hellrick
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
pour Landis bah la transformation du Loup Garou de Londres qui reste inégalée...le film étant pour moi dans son ensemble une réussite absolue et sans doute la meilleure "comédie horrifique" de tous les temps. C'est dit.
Puis la scène du "avez vous vu la lumière" des Blues Brothers, les gars qui sont en mission pour le seigneur
La scène de la "toge partie" avec l'orgie romaine qui a du faire fantasmer bien des cercles estudiantins dans American College.
Puis la scène du "avez vous vu la lumière" des Blues Brothers, les gars qui sont en mission pour le seigneur
La scène de la "toge partie" avec l'orgie romaine qui a du faire fantasmer bien des cercles estudiantins dans American College.
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Parfait exemple de cinéaste inégal mais sympathique. Il me tarde de découvrir ses premiers films mais c'est vrai que Le loup-garou de Londres comportait des séquences très réussies.
Même vu et archi-revu, les Blues Brothers en comptent à la pelle : le concert "en cage" chez les rednecks ("Rawhide !!") ; la cambuse miteuse d'Elwood avec son petit pick-up et le passage du métro aérien ; le test du piano par "The Genius" et la danse frénétique des passants dans la rue ; chaque entrée en scène de Carrie Fisher en psychopathe lourdement armée ; le caméo de Spielberg à la fin... Sa séquelle est par contre à mettre au cabinet.
Mais mon préféré reste de loin Un fauteuil pour deux, petit bijou de comédie à la Capra dont la puissance satirique n'a pas perdu un cent (et pour cause) : l'entrée en scène d'Eddie Murphy en faux cul-de-jatte Viet-Vet ; la classe ultra british de Denholm Elliott ; le duo des affreux vieux jojos roublards ; la séquence finale de panique boursière... Et, question scène à faire fantasmer bien au-delà des cercles estudiantins, la plastique (c'est fantastique) de Jamie Lee Curtis (qui donnera lieu au commentaire le plus hilarant que j'ai jamais entendu dans un supplément de DVD : celui de Dan Aykroyd).
J'aime aussi beaucoup le sketch qui sert de prologue à La 4ème dimension avec sa chute à effet "dressage de tifs" garanti.
Même vu et archi-revu, les Blues Brothers en comptent à la pelle : le concert "en cage" chez les rednecks ("Rawhide !!") ; la cambuse miteuse d'Elwood avec son petit pick-up et le passage du métro aérien ; le test du piano par "The Genius" et la danse frénétique des passants dans la rue ; chaque entrée en scène de Carrie Fisher en psychopathe lourdement armée ; le caméo de Spielberg à la fin... Sa séquelle est par contre à mettre au cabinet.
Mais mon préféré reste de loin Un fauteuil pour deux, petit bijou de comédie à la Capra dont la puissance satirique n'a pas perdu un cent (et pour cause) : l'entrée en scène d'Eddie Murphy en faux cul-de-jatte Viet-Vet ; la classe ultra british de Denholm Elliott ; le duo des affreux vieux jojos roublards ; la séquence finale de panique boursière... Et, question scène à faire fantasmer bien au-delà des cercles estudiantins, la plastique (c'est fantastique) de Jamie Lee Curtis (qui donnera lieu au commentaire le plus hilarant que j'ai jamais entendu dans un supplément de DVD : celui de Dan Aykroyd).

J'aime aussi beaucoup le sketch qui sert de prologue à La 4ème dimension avec sa chute à effet "dressage de tifs" garanti.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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- hellrick
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Ils sont eux aussi, inégaux mais sympathiques...le Hamburger Film Sandwich (qui a très certainement inspiré des gens comme les Inconnus pour leur "télé des...") comporte quelques sketches hilarants mais aussi d'autres tirés en longueur qui deviennent un peu barbant...en bon déviant je me souviens surtout de "Pour une poignée de yen", parodie rigolote des films de kung fu certes un peu longuette mais plein de bons gags et puis surtout de la parodie de film porno ("étudiantes catholiques en chaleur" ou un truc du genreFederico a écrit :Parfait exemple de cinéaste inégal mais sympathique. Il me tarde de découvrir ses premiers films.


Schlock je m'en souviens plus des masses et American College c'est surtout la Toge party qui marque, le reste ne vole pas très haut malgré quelques gags énormes plutôt marrant (oui c'est culte mais bon on est quand même plus proche d'American Pie que d'American graffiti)
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
En fait je pourrais quasiment citer tout ce putain de film. "La verge princière est lavée."
Un fauteuil pour deux, je l'ai revu récemment et là par contre grosse déception. J'ai trouvé l'ensemble peu amusant (bon ça c'est subjectif) mais aussi très laborieux... trop long, trop timide, et la mise en scène de Landis est insignifiante. Up par contre pour Jamie dénudée ou avec ses tresses d'Autrichienne.
- Demi-Lune
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Dans Le loup-garou de Londres, outre la scène de transformation hallucinante, il y a deux scènes absurdes qui me foutent un malaise incroyable : le cauchemar avec les monstres nazis et les morts qui viennent voir David dans le cinéma porno.
Et ce plan de faux réveil où David, à l'hôpital, émerge en bondissant avec ses yeux jaunes et son sourire de monstre.
Et ce plan de faux réveil où David, à l'hôpital, émerge en bondissant avec ses yeux jaunes et son sourire de monstre.

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- Laspalès
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Philippe DE BROCA (1933-2004)

1960 : Le Farceur
1960 : Les Jeux de l'amour
1961 : L'Amant de cinq jours
1962 : Cartouche
1964 : L'Homme de Rio
1964 : Un monsieur de compagnie
1965 : Les Tribulations d'un Chinois en Chine
1966 : Le Roi de cœur
1968 : Le Diable par la queue
1970 : Les Caprices de Marie
1971 : La Poudre d'escampette
1972 : Chère Louise
1973 : Le Magnifique
1975 : L'Incorrigible
1977 : Julie pot de colle
1978 : Tendre Poulet
1979 : Le Cavaleur
1980 : On a volé la cuisse de Jupiter
1981 : Psy
1983 : L'Africain
1984 : Louisiane
1986 : La Gitane
1988 : Chouans !
1990 : Les 1001 nuits
1991 : Les Clés du paradis
1997 : Le Bossu
2000 : Amazone
2004 : Vipère au poing
1960 : Le Farceur
1960 : Les Jeux de l'amour
1961 : L'Amant de cinq jours
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1964 : L'Homme de Rio
1964 : Un monsieur de compagnie
1965 : Les Tribulations d'un Chinois en Chine
1966 : Le Roi de cœur
1968 : Le Diable par la queue
1970 : Les Caprices de Marie
1971 : La Poudre d'escampette
1972 : Chère Louise
1973 : Le Magnifique
1975 : L'Incorrigible
1977 : Julie pot de colle
1978 : Tendre Poulet
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1980 : On a volé la cuisse de Jupiter
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2000 : Amazone
2004 : Vipère au poing
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
La poésie, la folie douce et l'humour mélancolique du Roi de coeur dans la séquence d'après-fête et du départ des Anglais. Entre Demy, Lewis Carroll et le Grand Magic Circus mais avec le désespoir en plus (et un bien mignon Coquelicot
). Avec les gentilles marionnettes qui retournent dans leur coffre et la phrase de conclusion de Brialy :

(à partir de 8'30)
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Joseph L. Mankiewicz
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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Les funérailles de Vénus dans Cartouche
...



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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Bob Saint-Clar prenant la pose pour faire le cake auprès de la sublime Tatiana dans Le magnifique :

- Comme votre peau va bien avec Bach...
- Haendel !
- Pfouh...

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Re: Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...
Et bien sûr des dizaines de scènes et répliques de L'homme de Rio avec le duo virevoltant et mutin Belmondo-Dorléac.
Bébel errant dans le décor futuriste et désertique de Brasilia, la découverte des caterpillars de la Transamazonienne... Jusqu'à l'ultime séquence des retrouvailles des deux bidasses dans le train et la dernière réplique moqueuse de Belmondo :
"Quelle aventure !"
Bébel errant dans le décor futuriste et désertique de Brasilia, la découverte des caterpillars de la Transamazonienne... Jusqu'à l'ultime séquence des retrouvailles des deux bidasses dans le train et la dernière réplique moqueuse de Belmondo :
"Quelle aventure !"

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