Andrei Konchalovsky
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Andrei Konchalovsky
Quelle est votre opinion sur ce cinéaste?
On lui doit au moins deux (très) bons films pour la Cannon ,"Maria's lovers" et "Runaway train".
Son "Tango et cash" (qu'il n'a d'ailleurs pas signé jusqu'au bout...) est un buddy movie plutôt sympathique...j'aimerais bien voir son "Shy People"/"Le Bayou",avec la grande Barbara Hershey.
La filmo du Mr:
http://www.imdb.com/name/nm0464846/
On lui doit au moins deux (très) bons films pour la Cannon ,"Maria's lovers" et "Runaway train".
Son "Tango et cash" (qu'il n'a d'ailleurs pas signé jusqu'au bout...) est un buddy movie plutôt sympathique...j'aimerais bien voir son "Shy People"/"Le Bayou",avec la grande Barbara Hershey.
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http://www.imdb.com/name/nm0464846/
Dernière modification par mannhunter le 22 janv. 13, 11:42, modifié 1 fois.
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à propos de "Tango et Cash",malgré les punchlines de Sly et Kurt,on pense pas mal à "Runaway Train" dans la description assez âpre de l'unvivers carcéral.
"According to his own book of memoirs he was fired after three quarter of production was filmed. All final chases and fights were directed by Albert Magnoli."
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Ses premiers films russes sont très réputés: "Le Premier Maître" et "Le Bonheur d'Assia".
J'aimerais bien les voir.
J'aimerais bien les voir.
Meilleur topic de l'univers
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Re: Andrei Konchalovsky
Ah ben finalement retrouvé le topic dans les profondeurs
Maria's Lovers de Andreï Kontchalovski (1984)
Après avoir passé plusieurs années de captivité dans un camp japonais, Ivan rentre en Pennsylvanie. Seul, un rêve fou lui a permis de surmonter cette terrible épreuve: épouser a son retour, la plus belle fille du pays. Mais à Brownsville, Maria est déjà très convoitée.
Maria's Lovers est le premier film américain du réalisateur russe Andreï Kontchalovski qui signe d'emblée un coup de maître. Ancrage profond dans l'histoire de son pays d'accueil, mythologie, psychanalyse et une âme russe néanmoins toujours vivace, Kontchalovski triomphe sur tous les points dans ce mélodrame puissant. En 1997 Kontchalovski avait réalisé une assez médiocre adaptation de L'Odyssée pour la télévision américaine, sauf que finalement sa vraie vision du poème d'Homère il l'avait déjà signée de manière toute personnelle avec Maria's Lovers.
Après plusieurs années au front à affronter les japonais durant la Deuxième Guerre Mondiale, Ivan (John Savage) est de retour au pays en Pennsylvanie. Dès son retour il n'espère qu'une chose, retrouve celle dont le doux souvenir l'a aidée à traverser toute les épreuves et privation, Maria (Nastassja Kinski) son amour d'enfance et de toujours. Seulement Maria et sa beauté ravageuse est courtisée par tous les mâles de la région mais contre toute attente elle ne l'a pas oubliée non plus et ils vont pouvoir se marier et s'aimer. La première partie du film s'amorce comme un rêve éveillé où les rares nuages (Savage narrant ses terribles souvenirs à son amante d'un soir) ne laissent pas présager de la suite et l'on est émerveillé par les paysages de cette Pennsylvanie provinciale (photo somptueuse de Juan Ruiz Anchía), la candeur touchante de John Savage en vétéran timide et amoureux et bien sûr par la sensualité charnelle et les regards ardents d'une Nastassja Kinski qui n'a jamais été aussi belle, aussi désirable. Ivan/Ulysse après avoir guerroyé à Troie/ Pacifique est revenu en Ithaque/Pennsylvanie, a vaincu les prétendants de Maria/Penelope dans une réinterprétation qui semble même adoucir la plus sanglante conclusion d'Homère.
Un problème se pose pourtant à notre Ulysse moderne, il n'a pas laissé derrière lui les cyclopes, sirènes et magiciennes rencontrés durant sa quête et ils continuent à le hanter. Cela se manifeste par un terrible et sordide souvenir des maltraitances au sein des geôles japonaises qui nous sont d'abord narré par un John Savage encore transi d'effroi, puis qui s'illustrera de manière symbolique tout au long du film à travers des visions cauchemardesques récurrentes avec l'apparition d'un rat ensanglanté. Pire, celle dont l'image l'aura aidé à surmonter toutes ses horreurs leur est définitivement associée et Ivan va s'avérer incapable de coucher avec Maria dont le moindre contact le rend soudain impuissant. L'Odyssée selon Kontchalovski peut alors réellement commencer avec le lent chemin de croix du couple.
Ivan rongé par la culpabilité et la honte (le film multipliant les figures d'hommes virils renvoyant le héros à sa faiblesse notamment l'imposant patriarche joué par Robert Mitchum) s'éloigne et rejette Maria, cette dernière blessée réfrénant un désir inassouvi et de plus en plus pressant. Les deux acteurs délivrent de très grandes prestations où Konchalovsky les fait alterner entre les registres tout en retenu et en non-dits (Ivan feignant d'être endormi lorsqu'il est sollicité par Maria, les embrassades timides qui tournent court, le malaise dès que Maria est dans une tenues affriolantes) avec une outrance où ce mal être explose avec fureur. John Savage masque de douleur contenu excelle dans la sobriété tandis que Nastassja Kinski est incandescente en femme n'étant plus que désir et frustration, s'abandonnant de façon déconcertante tel ce moment où elle se caresse fiévreusement (ou encore lorsque la séduction agressive de Keith Carradine la met dans tous ses états).
C'est donc au terme d'un nouvel et terrible affrontement avec ses démons (dans une scène de cauchemar tétanisante) et après avoir cette dû réellement terrasser son rival qu'Ivan pourra enfin achever son odyssée intérieure et reconquérir sa Pénélope qui n'a cessé de l'attendre. Grand film romanesque, intimiste et passionné dont on se demande encore par quel miracle il a pu être produit par la Cannon, firme plutôt habituée aux exploits musclés de Chuck Norris dans des nanars bas du front. 5,5/6
Maria's Lovers de Andreï Kontchalovski (1984)
Après avoir passé plusieurs années de captivité dans un camp japonais, Ivan rentre en Pennsylvanie. Seul, un rêve fou lui a permis de surmonter cette terrible épreuve: épouser a son retour, la plus belle fille du pays. Mais à Brownsville, Maria est déjà très convoitée.
Maria's Lovers est le premier film américain du réalisateur russe Andreï Kontchalovski qui signe d'emblée un coup de maître. Ancrage profond dans l'histoire de son pays d'accueil, mythologie, psychanalyse et une âme russe néanmoins toujours vivace, Kontchalovski triomphe sur tous les points dans ce mélodrame puissant. En 1997 Kontchalovski avait réalisé une assez médiocre adaptation de L'Odyssée pour la télévision américaine, sauf que finalement sa vraie vision du poème d'Homère il l'avait déjà signée de manière toute personnelle avec Maria's Lovers.
Après plusieurs années au front à affronter les japonais durant la Deuxième Guerre Mondiale, Ivan (John Savage) est de retour au pays en Pennsylvanie. Dès son retour il n'espère qu'une chose, retrouve celle dont le doux souvenir l'a aidée à traverser toute les épreuves et privation, Maria (Nastassja Kinski) son amour d'enfance et de toujours. Seulement Maria et sa beauté ravageuse est courtisée par tous les mâles de la région mais contre toute attente elle ne l'a pas oubliée non plus et ils vont pouvoir se marier et s'aimer. La première partie du film s'amorce comme un rêve éveillé où les rares nuages (Savage narrant ses terribles souvenirs à son amante d'un soir) ne laissent pas présager de la suite et l'on est émerveillé par les paysages de cette Pennsylvanie provinciale (photo somptueuse de Juan Ruiz Anchía), la candeur touchante de John Savage en vétéran timide et amoureux et bien sûr par la sensualité charnelle et les regards ardents d'une Nastassja Kinski qui n'a jamais été aussi belle, aussi désirable. Ivan/Ulysse après avoir guerroyé à Troie/ Pacifique est revenu en Ithaque/Pennsylvanie, a vaincu les prétendants de Maria/Penelope dans une réinterprétation qui semble même adoucir la plus sanglante conclusion d'Homère.
Un problème se pose pourtant à notre Ulysse moderne, il n'a pas laissé derrière lui les cyclopes, sirènes et magiciennes rencontrés durant sa quête et ils continuent à le hanter. Cela se manifeste par un terrible et sordide souvenir des maltraitances au sein des geôles japonaises qui nous sont d'abord narré par un John Savage encore transi d'effroi, puis qui s'illustrera de manière symbolique tout au long du film à travers des visions cauchemardesques récurrentes avec l'apparition d'un rat ensanglanté. Pire, celle dont l'image l'aura aidé à surmonter toutes ses horreurs leur est définitivement associée et Ivan va s'avérer incapable de coucher avec Maria dont le moindre contact le rend soudain impuissant. L'Odyssée selon Kontchalovski peut alors réellement commencer avec le lent chemin de croix du couple.
Ivan rongé par la culpabilité et la honte (le film multipliant les figures d'hommes virils renvoyant le héros à sa faiblesse notamment l'imposant patriarche joué par Robert Mitchum) s'éloigne et rejette Maria, cette dernière blessée réfrénant un désir inassouvi et de plus en plus pressant. Les deux acteurs délivrent de très grandes prestations où Konchalovsky les fait alterner entre les registres tout en retenu et en non-dits (Ivan feignant d'être endormi lorsqu'il est sollicité par Maria, les embrassades timides qui tournent court, le malaise dès que Maria est dans une tenues affriolantes) avec une outrance où ce mal être explose avec fureur. John Savage masque de douleur contenu excelle dans la sobriété tandis que Nastassja Kinski est incandescente en femme n'étant plus que désir et frustration, s'abandonnant de façon déconcertante tel ce moment où elle se caresse fiévreusement (ou encore lorsque la séduction agressive de Keith Carradine la met dans tous ses états).
C'est donc au terme d'un nouvel et terrible affrontement avec ses démons (dans une scène de cauchemar tétanisante) et après avoir cette dû réellement terrasser son rival qu'Ivan pourra enfin achever son odyssée intérieure et reconquérir sa Pénélope qui n'a cessé de l'attendre. Grand film romanesque, intimiste et passionné dont on se demande encore par quel miracle il a pu être produit par la Cannon, firme plutôt habituée aux exploits musclés de Chuck Norris dans des nanars bas du front. 5,5/6
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Re: Andrei Konchalovsky
c'était un très bon chef op' ce Juan Ruiz Anchia, son travail sur "Comme un chien enragé" était également remarquable.Profondo Rosso a écrit :photo somptueuse de Juan Ruiz Anchía
Très bon souvenir de ce "Maria's lovers" que je vais revoir incessamment sous peu...en espérant qu'un éditeur dvd/blu ray songe à nous déterrer "Shy People"...
ils n'ont pas produit que des bêtises..Profondo Rosso a écrit :on se demande encore par quel miracle il a pu être produit par la Cannon
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Re: Andrei Konchalovsky
Oui tu as raison surtout au tout début avec du Goadrd, Altman, Cassavetes mais c'est vrai que dans l'inconscient Cannon = Delta Force, Portés Disparus , Over the top et Superman 4 donc un petit choc en voyant le logo Cannon en début de filmmannhunter a écrit :ils n'ont pas produit que des bêtises..Profondo Rosso a écrit :on se demande encore par quel miracle il a pu être produit par la Cannon
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Re: Andrei Konchalovsky
Perso j'aime bien...:
1985 Lifeforce (Tobe Hooper)
1985 Runaway Train (Andreï Konchalovsky)
1985 Le Justicier de New York (Death Wish 3, Michael Winner)
1985 Berlin Affair (Liliana Cavani)
1986 L'Invasion vient de Mars (Invaders from Mars, Tobe Hooper)
1986 Massacre à la tronçonneuse 2 (The Texas Chainsaw Massacre 2)
1987 Paiement cash (52 Pick-Up, John Frankenheimer)
1987 Barfly (Barbet Schroeder)
1987 Les Vrais durs ne dansent pas (Tough Guys don't Dance, Norman Mailer)
1987 Street Smart (Jerry Schatzberg)
1988 Haunted Summer (Hivan Passer)
1989 Cyborg (Albert Pyun)
Ils avaient aussi produit un autre Konchalovsky, "Duo pour une soliste".
1985 Lifeforce (Tobe Hooper)
1985 Runaway Train (Andreï Konchalovsky)
1985 Le Justicier de New York (Death Wish 3, Michael Winner)
1985 Berlin Affair (Liliana Cavani)
1986 L'Invasion vient de Mars (Invaders from Mars, Tobe Hooper)
1986 Massacre à la tronçonneuse 2 (The Texas Chainsaw Massacre 2)
1987 Paiement cash (52 Pick-Up, John Frankenheimer)
1987 Barfly (Barbet Schroeder)
1987 Les Vrais durs ne dansent pas (Tough Guys don't Dance, Norman Mailer)
1987 Street Smart (Jerry Schatzberg)
1988 Haunted Summer (Hivan Passer)
1989 Cyborg (Albert Pyun)
Ils avaient aussi produit un autre Konchalovsky, "Duo pour une soliste".
- manuma
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Re: Andrei Konchalovsky
A l'époque, j'avais bien aimé son Homer and Eddie, film flingué par l'intégralité de la critique. Je serais curieux de le revoir...
- AtCloseRange
- Mémé Lenchon
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Re: Andrei Konchalovsky
Une bien belle brochette de navets à quelques exceptions près.mannhunter a écrit :Perso j'aime bien...:
1985 Lifeforce (Tobe Hooper)
1985 Runaway Train (Andreï Konchalovsky)
1985 Le Justicier de New York (Death Wish 3, Michael Winner)
1985 Berlin Affair (Liliana Cavani)
1986 L'Invasion vient de Mars (Invaders from Mars, Tobe Hooper)
1986 Massacre à la tronçonneuse 2 (The Texas Chainsaw Massacre 2)
1987 Paiement cash (52 Pick-Up, John Frankenheimer)
1987 Barfly (Barbet Schroeder)
1987 Les Vrais durs ne dansent pas (Tough Guys don't Dance, Norman Mailer)
1987 Street Smart (Jerry Schatzberg)
1988 Haunted Summer (Hivan Passer)
1989 Cyborg (Albert Pyun)
Ils avaient aussi produit un autre Konchalovsky, "Duo pour une soliste".
C'est quand même triste qu'on finisse par toujours parler autant de cette pauvre Cannon (ici ou ailleurs). S'il y avait un logo qui a compté pour moi dans les années 80, c'est Orion. Je ne sais pas qui se cachait derrière (l'identité était sans doute moins forte) mais c'était très souvent un gage de qualité. On finit toujours par parler moins de la qualité que de ce qui fait du bruit (et la Cannon en faisait... elle ne faisait même souvent que cela).
Mais je digresse...
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Re: Andrei Konchalovsky
PareilAtCloseRange a écrit : C'est quand même triste qu'on finisse par toujours parler autant de cette pauvre Cannon (ici ou ailleurs). S'il y avait un logo qui a compté pour moi dans les années 80, c'est Orion. Je ne sais pas qui se cachait derrière (l'identité était sans doute moins forte) mais c'était très souvent un gage de qualité. On finit toujours par parler moins de la qualité que de ce qui fait du bruit (et la Cannon en faisait... elle ne faisait même souvent que cela).
Mais je digresse...
- El Dadal
- Producteur Exécutif
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Re: Andrei Konchalovsky
Orion? Vous parlez de la fameuse firme qui a coulé la franchise RoboCop avec ses suites débilisantes?
- AtCloseRange
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Re: Andrei Konchalovsky
Génial...El Dadal a écrit :Orion? Vous parlez de la fameuse firme qui a coulé la franchise RoboCop avec ses suites débilisantes?
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Re: Andrei Konchalovsky
Eventuellement "Le justicier de New York" et "Cyborg", le reste je trouve que ça se tient..AtCloseRange a écrit :Une bien belle brochette de navets à quelques exceptions près.
Il y a déjà un topic sur la Cannon tu pourrais créer celui sur Orion?AtCloseRange a écrit :S'il y avait un logo qui a compté pour moi dans les années 80, c'est Orion.
Perso j'aimais bien Orion et aussi Hemdale.
- AtCloseRange
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Re: Andrei Konchalovsky
T'as mis des Tobe Hooper dedansmannhunter a écrit :Eventuellement "Le justicier de New York" et "Cyborg", le reste je trouve que ça se tient..AtCloseRange a écrit :Une bien belle brochette de navets à quelques exceptions près.
J'y pense et puis j'ai la flemme sans trop savoir quoi dire si ce n'est qu'en regardant tout ce qu'ils ont produit, pratiquement tous mes films préférés des années 80 y sont.mannhunter a écrit :Il y a déjà un topic sur la Cannon tu pourrais créer celui sur Orion?
Perso j'aimais bien Orion et aussi Hemdale.
Hemdale aussi, c'était très bien.
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