Notez les films Décembre 2012

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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nobody smith
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par nobody smith »

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Produit au début des années 2000, 3 Histoires De L’Au-Delà semble avoir vu le jour pour surfer sur l'engouement post-Ring pour l'horreur asiatique. Ce film à sketch offre ainsi trois histoires par trois réalisateurs de nationalités différentes (Corée, Thaïlande, Hong-Kong) mettant en scène quelques éléments de la culture locale. Ironiquement, le meilleur segment reste le Souvenirs de Kim Jee-Woon qui n’exploite pas vraiment de folklore. Lors de la sortie en salles, Souvenirs fut rapidement résumé comme un brouillon de 2 Sœurs. Il est clair que la filiation entre les deux œuvres est évidente. Jee-Woon joue de manière similaire sur le montage et la notion de perception pour créer une prenante atmosphère de confusion. Toutefois, à l’inverse de 2 Sœurs, la finalité de l’histoire se devine aisément dans le cas présent. Le film reste brillant néanmoins grâce à l’emballage très classieux qu’en fait Jee-Woon. Magnifiques compositions de cadre et mouvements de caméra judicieux donnent un sacré cachet à ce segment. Le rythme très posé participe également à la fascination de l'objet.

Dans une moindre mesure, Chez Nous de Peter Ho-Sun Chan bénéficie du même constat. L’introduction est pourtant assez horripilante. Un père emménage avec son fils dans un immeuble sur le point d’être démoli. Les seuls autres occupants sont un homme inquiétant, sa femme paralysée et leur petite fille. Le début fait croire que l’on va assister à un ersatz de Dark Water (le film d'Hideo Nakata est sorti la même année). Le certain soin dans les images (la présentation des lieux, l’utilisation des miroirs…) permet de ne pas s’ennuyer mais l’ensemble n’est pas passionnant pour autant. Or surprise, le segment change du tout au tout à mi-parcours. Plutôt que de se concentrer sur l’enfant, l’attention se reporte sur le personnage du père. A l’histoire de fantôme attendu se substitue une tragicomédie en huis-clos pour le moins savoureuse. Malgré ce revirement, la conclusion de l’histoire reste cela dit prévisible comme sur Souvenirs. Mais, à quelques effets de style foirés près, Chez Nous arrive à affirmer une identité touchante et habile.

Entre ces deux sketchs, le thaïlandais Nonzee Nimibutr aura lui offert le segment le moins intéressant. La Roue propose une histoire de marionnettes maudites là encore assez classique. Le caractère exotique et l’ambiance mystérieuse qui en ai tiré assure toutefois un minimum le spectacle. Malheureusement, la mise en scène collectionne les tics et effets de style pompeux. Aux quelques ratages du même cru dans Chez Nous, La Roue verse dans une surenchère gâchant petit à petit l’intérêt. C’est heureusement le segment le plus court de l’anthologie qui du coup laisse une impression plutôt positive.
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Eusebio Cafarelli
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Message par Eusebio Cafarelli »

Alien 3 version longue

Version longue, longue... beaucoup moins bien que dans mon souvenir (version ciné) et abimé par la vision trop précoce et effets spéciaux pas réussis de l'Alien...
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Flol
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Flol »

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Time Out de Andrew Niccol

Une bonne idée de départ, pour un résultat final à la limite de l'indigence.
Ça aurait pu être passionnant sur le papier, mais ça se borne à n'être qu'un film de course-poursuite, où les persos passent leur temps à courir en soufflant très fort, dans des décors d'une pauvreté affligeante (ça a été tourné dans des hangars de Bucarest, rassurez-moi ?), boosté par une musique technoïde moche de Craig Armstrong.
Et puis c'est quoi cette idée grotesque qui veut que, sous prétexte que les gens arrêtent de vieillir à partir de 25 ans, toutes les nanas deviennent automatiques des grosses bonnasses habillées en putes ? Y compris dans un ghetto où les gens sont supposés galérer pour survivre (ça ressemble surtout à un gros prétexte pour faire étalage de jolies filles dans tous les sens)...
Et quand est arrivé le générique de fin, je me suis encore plus dit qu'on tient là un sacré gros gâchis : avoir Roger Deakins à la photo, Alex McDowell au production design et Colleen Atwood aux costumes pour en faire ça...c'est digne de Brett Ratner, pas de Andrew Niccol. :|

4/10
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AtCloseRange
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par AtCloseRange »

Ratatouille a écrit :Image

Time Out de Andrew Niccol

Une bonne idée de départ, pour un résultat final à la limite de l'indigence.
Ça aurait pu être passionnant sur le papier, mais ça se borne à n'être qu'un film de course-poursuite, où les persos passent leur temps à courir en soufflant très fort, dans des décors d'une pauvreté affligeante (ça a été tourné dans des hangars de Bucarest, rassurez-moi ?), boosté par une musique technoïde moche de Craig Armstrong.
Et puis c'est quoi cette idée grotesque qui veut que, sous prétexte que les gens arrêtent de vieillir à partir de 25 ans, toutes les nanas deviennent automatiques des grosses bonnasses habillées en putes ? Y compris dans un ghetto où les gens sont supposés galérer pour survivre (ça ressemble surtout à un gros prétexte pour faire étalage de jolies filles dans tous les sens)...
Et quand est arrivé le générique de fin, je me suis encore plus dit qu'on tient là un sacré gros gâchis : avoir Roger Deakins à la photo, Alex McDowell au production design et Colleen Atwood aux costumes pour en faire ça...c'est digne de Brett Ratner, pas de Andrew Niccol. :|

4/10
Un bon gros ratage accueilli avec énormément de mansuétude (c'est du Andrew Niccol, ça ne peut pas être aussi mauvais...).
Helward
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Helward »

Bien déçu par ce Time out également. Vu hier par hasard sans connaitre le nom du réal, jusqu'au générique de fin. Le mec qui a fait Gattaca quand même...
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monk
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Message par monk »

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Encounters at the End of the World de Werner Herzog

Herzog part pour l’Antarctique pour y rencontrer non pas des manchots (bien qu'il en rencontrera) mais des gens, le pourquoi, le comment, le où et plus encore. Le documentaire se s'arrête pas juste à ces gens mais va bien au delà, en passant aussi par l'expérience propre à Herzog dans cet environnement et ses réflexions (et celle de quelques autres) sur notre présence là-bas, ou ailleurs. J'en suis sorti fasciné par les images sous marines et ces paysages uniques à la puissance folle; les images sus marines elles aussi uniques mais un peu plus connues (bien que l'intérieur du volcan marque des points); par la mécanique scientifique et le passif de ses personnes de l’extrême évidement; le son hallucinant produit par les phoques...et plus encore.
Chaudement recommandé, car on est loin du simple doc pédagogique standard. Je garde !
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Anorya »

monk a écrit :Image

Encounters at the End of the World de Werner Herzog

Herzog part pour l’Antarctique pour y rencontrer non pas des manchots (bien qu'il en rencontrera) mais des gens, le pourquoi, le comment, le où et plus encore. Le documentaire se s'arrête pas juste à ces gens mais va bien au delà, en passant aussi par l'expérience propre à Herzog dans cet environnement et ses réflexions (et celle de quelques autres) sur notre présence là-bas, ou ailleurs. J'en suis sorti fasciné par les images sous marines et ces paysages uniques à la puissance folle; les images sus marines elles aussi uniques mais un peu plus connues (bien que l'intérieur du volcan marque des points); par la mécanique scientifique et le passif de ses personnes de l’extrême évidement; le son hallucinant produit par les phoques...et plus encore.
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Yeah, c'était mon film du mois d'octobre ou novembre quasiment. Plus qu'un documentaire, comme souvent avec Herzog, une expérience à part.
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hellrick
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par hellrick »

Time Out aussi

Beaucoup aimé pour ma part , de la bonne science-fiction divertissante sous forme de course poursuite qui ne laisse pas le temps de s'ennuyer. J'aime bien les tenues sexy et cuir aussi :oops:
Critiques ciné bis http://bis.cinemaland.net et asiatiques http://asia.cinemaland.net

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Kevin95
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Kevin95 »

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L.A. Takedown (Michael Mann, 1989) Découverte

Téléfilm à l'origine de l’indispensable Heat (1995), L.A. Takedown peut se regarder de deux manières. La première, quasi impossible, avec un regard neuf (mais qui à vu et revu Heat, l'exercice est peine perdue) et la deuxième en comparant les deux films, opération cinéphilique aussi jouissive que réductrice (envers la producteur télé à l'ampleur forcement moindre). Alors pour le dire vite, il y a tout de Heat dans L.A. Takedown, même scènes, mêmes dialogues et parfois même plans. Mais là où ça devient plus intéressant, c'est de voir les changements que Mann va faire en passant sur grand écran. Comme écarter certaines kitcheries, approfondir la place qu'occupe la ville de Los Angeles dans l'intrigue ou transformer le cadre et l'action de la conclusion. L'autre intérêt de L.A. Takedown est d'y déceler un certain nombre de motifs ou d'effets visuelles que le cinéaste a ou va utiliser tout le long de sa filmographie. De l'intro qui renvoi à Miami Vice (2006) jusqu'aux lumières de Thief (1981), un grand nombre d’éléments du film sont fortement estampillés Michael Mann. S'il on prend un peu de recul, on peut presque voir dans L.A. Takedown un tournant dans la carrière du réalisateur. Une sorte d'aboutissement d'une certaines grammaire télévisuelle (on sait que Mann débuta en tant que scénariste sur Starsky and Hutch et surtout fut le producteur et quasiment concepteur visuel de la série symbolique des 80's, Miami Vice) comme un point de non retour tant le cadre étriqué du tube cathodique semble handicaper la narration du metteur en scène. Quand on sait qu'avec le même script il donnera un des plus grands films des 90's, ce téléfilm-ci apparait donc comme une lettre d'adieu (éphémère on le sait) de Mann envers la télévision.
Pour le film en lui-même (essayons de lui effacer toutes sortes de références passés ou futures), L.A. Takedown est un agréable polar mais bourré de défauts tels ces effets trop datés ou trop dans l'esprit série tv voir ces comédiens dans l’ensemble très médiocres (mauvais pour une poignée d'entre eux à commencer par Scott Plank). Heureusement que De Niro et Pacino passeront ensuite car en l'état ce n'est pas folichon (à croire que Mann ait eu envie de faire Heat juste pour ça). Mais impossible d'être réellement objectif puisqu'en qualité de fan du réalisateur, ce téléfilm est aussi indispensable qu'attachant (le brouillon d'un chef d’œuvre est toujours galvanisé par l'aura de son descendant).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Profondo Rosso
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Profondo Rosso »

Nowhere in Africa de Caroline Link (2001)

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En 1938, fuyant une Allemagne de plus en plus inhospitalière pour les Juifs, les Redlich partent s’installer au Kenya où Walter, avocat de formation, s’occupe désormais d’une ferme. Son épouse, Jettel, issue d’une famille aisée, a toutes les peines du monde à accepter cette rupture. Seule leur fille, Régina, s’adapte et découvre ce nouveau monde en se liant d’amitié avec Owuor, leur cuisinier kényan.

Superbe film que ce Out of Africa allemand se penchant sur un aspect méconnu de la Seconde Guerre Mondiale, le sort des juifs allemands en exil à travers le monde. On suit ici le destin de la famille Redlich qui, sentant l'étau des mesures nazies se faire de plus en plus oppressant fuit l'Allemagne dès 1938 pour l'Afrique et le Kenya. Le père Walter (Merab Ninidze) parti en reconnaissance sera bientôt rejoint par son épouse Jettel (Juliane Köhler) et leur fillette Régina (Lea Kurka) où ils seront en charge de la gestion d'une ferme. Un déracinement profond où chacun réagira à sa façon. Régina, gamine chétive et craintive en Allemagne s'épanouit et s'imprègne des rites et mœurs locaux sous l'influence du cuisinier Owuor (Sidede Onyulo) qui deviendra un second père, son meilleur ami et confident. Walter fait contre mauvaise fortune bon cœur et oublie son ancienne vie d'avocat pour se démener à la tâche tandis que Jettel ne parvient pas à se faire au changement après le train de vie aisée qu'elle a connu.

C'est cette ouverture et ce bonheur simple africain que Caroline Link cherche principalement à traduire et ce de manière de plus en plus prononcée au fil de l'intrigue. Les premières scènes en Allemagne sont ainsi grisâtre, austère et monotone, la menace nazie se traduisant de manière feutrée mais déjà angoissante (ce petit garçon arborant le sigle nazi sur un terrain de jeu) tandis les séquences au Kenya en adoptant surtout le point de vue de Régina ne sont que mystères, curiosités et espaces à perte de vue. La scène où Régina pose pour la première fois le pied sur le sable rouge de la ferme portée tout sourire par Owuor exprime déjà la grande histoire d'amour que vivra la fillette avec le continent noir. Le film est d'ailleurs adapté du roman éponyme de Stephanie Zweig qui y narrait les souvenirs de cette enfance africaine puisque cette histoire est la sienne et celle de ses parents qui vécurent 9 ans au Kenya. Caroline Link cerce donc avant tout à adopter le point de vue émerveillé de Regina et nous faire partager la découverte de ce nouveau monde. Ainsi une grande partie du film est en Swahili qu'apprend rapidement Régina partagée entre éducation occidentale et sagesse, pragmatisme et philosophie de vie locale. La jeune Lea Kurka jouant Régina enfant est des plus attachante avec une bouille avenante pleine de curiosité et Karoline Eckertz prenant le relai pour la jouer adolescente dans une superbe ellipse est tout aussi épatante.

Le film dépasse ce simple effet dépaysant et carte postale par les questionnements des adultes moins immédiatement séduit. Rongés par l'angoisse pour leur proches demeurés en Allemagne, Jettel et Walter s'interroge ainsi tout au long du film sur leur identité allemande, reniée ou revendiquée et seul lien avec leur vie passée. Le couple sera en conflit constant tout au long de l'histoire. Jettel d'abord dans le rejet de ce nouveau cadre et au comportement hautain avec les autochtones y trouve finalement une seconde famille, une autonomie en tant que femme où elle ne sera plus la simple épouse suivant son époux où qu'il aille (un rebondissement va particulièrement dans ce sens). A l'inverse, Walter n'aura de cesse de chercher à revendiquer ses racines souillées par le nazisme en se portant volontaire auprès des alliés où par sa volonté de retour final. La quête de soi est un des grands thèmes du film d'autant qu'on évoque ici des faits méconnus comme l'isolement des juifs au sein même de cette communauté des alliés tel ces moment révoltant où les enfant juifs sont désignés et mis de côté dans l'école anglaise que fréquente Régina. L'universalité et la fraternité tient donc finalement plus aux liens que tissera la famille avec les diverses personnalité rencontrée et le film regorge de moment de grâce : Régina escaladant à moitié nue sans pudeur les arbres avec son meilleur ami kenyan, n'arrivant pas à dormir et allant se blottir dans la couche d'Owuor ou encore toute la ferme unie pour chasser une invasion de sauterelle. C'est avec une même mélancolie que les Redlich sur le départ qu'on quitte ce film enchanteur (un des meilleurs films allemands des années 2000 décennie du renouveau) et qui obtiendra en 2003 l'Oscar du meilleur film étranger. Il est dommage que le livre suivant de Stephanie Zweig Irgendwo in Deutschland racontant le retour en Allemagne n'ai pas été adapté ensuite tant on s'est attaché aux personnages. 5/6
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Colqhoun
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Colqhoun »

The Hunter | Daniel Nettheim
Peut-être l'un de mes coups de coeur de l'année.
Partant sur un postulat assez simple (un homme est engagé par une firme pour aller chasser le dernier tigre de tasmanie mais se retrouvera confronté à différentes menaces), le réalisateur opte pour une approche presque contemplative, où l'on suit Dafoe dans ses recherches dans la nature sauvage de Tasmanie. Le récit volontairement opaque, ne nous permet pas tout de suite d'appréhender le sujet réel du film, même si peu à peu l'épais mystère se dévoile. A ce titre les 20 dernières sont d'une fantastique intensité, non seulement en termes d'images, mais aussi d'un propos d'une morosité plutôt déprimante. On regrettera une petite faute de goût sur le dernier plan, seul véritable ombre au tableau (de chasse) de ce Chasseur. Et Willem Dafoe est, comme à son habitude, un grand acteur.

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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par El Dadal »

Un film que j'aurai vraiment aimé découvrir en salle. Nous aurons droit à la place à une sortie directe en vidéo la semaine prochaine, chez Seven7... :roll:
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Re: Notez les films Décembre 2012

Message par Colqhoun »

Ouais j'ai vu ça.
J'aurais bien voulu le découvrir en salle aussi.
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