J'en pense la même chose (même si je n'ai pas vu énormément de documentaires). Je tenterai effectivement SANS TOIT NI LOI cette semaine...Jeremy Fox a écrit :Hâte de découvrir ses autres documentaires, genre qu'elle réussit mieux que la fiction dans ce que j'ai pu voir jusqu'à présent.
Agnès Varda (1928 - 2019)
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Re: Agnès Varda
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Agnès Varda
Sans toit ni loi (1985)
Un très beau film que je viens de découvrir ce soir.
Un portait à la fois sensible et dur d'une jeune marginale, magnifiquement interprétée par Sandrine Bonnaire (dont certaines intonations de voix, une certaine candeur allié au désir de liberté m'a fait pensé aux personnage interprétés par Bardot, mais dans un contexte social tout autre que celui où évoluait son aînée). Le mélange entre comédiens amateurs et professionnels (dont une Yolande Moreau toute jeune mais déjà bien ancrée de son personnage) est détonnant, la caméra de Varda est d'une fluidité impressionnante (avec ses travellings lateraux qui accompagnent puis dépassent ses personnages), la photographie contre toute attente joue la carte de la composition picturale (le plan d'ouverture sur lequel déroule le générique est magnifique, presque une peinture). Et le film développe une réflexion pertinente sur la liberté et la marginalité, les peurs, les désirs, les frustrations et les lâchetés qu'elles peuvent susciter sur les personnages que croisent Bonnaire sur sa route.
Un très beau film que je viens de découvrir ce soir.
Un portait à la fois sensible et dur d'une jeune marginale, magnifiquement interprétée par Sandrine Bonnaire (dont certaines intonations de voix, une certaine candeur allié au désir de liberté m'a fait pensé aux personnage interprétés par Bardot, mais dans un contexte social tout autre que celui où évoluait son aînée). Le mélange entre comédiens amateurs et professionnels (dont une Yolande Moreau toute jeune mais déjà bien ancrée de son personnage) est détonnant, la caméra de Varda est d'une fluidité impressionnante (avec ses travellings lateraux qui accompagnent puis dépassent ses personnages), la photographie contre toute attente joue la carte de la composition picturale (le plan d'ouverture sur lequel déroule le générique est magnifique, presque une peinture). Et le film développe une réflexion pertinente sur la liberté et la marginalité, les peurs, les désirs, les frustrations et les lâchetés qu'elles peuvent susciter sur les personnages que croisent Bonnaire sur sa route.
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Re: Agnès Varda
SANS TOIT NI LOI (1985)
Découvert aussi sur Arte (en HD). C'est un film très intéressant car il traite des exclus de la société, un sujet que l'on ne veut pas aborder dans la vie et qu'on ne croise pas non plus au cinéma. Varda refuse la fiction totale et imprègne son film d'un réalisme étrange, d'une proximité troublante entre le spectateur et l'histoire contée (visiblement réelle) avec notamment un mélange entre comédiens et non professionnels (et vrais témoins de l'histoire?).
On observe surtout un personnage singulier, à la fois fascinant par le parcours, intriguant par les comportements et repoussant par un mode de vie plus que spartiate (qui relève parfois presque de l'âge de pierre). "En voulant prouver son inutilité, elle joue le jeu d'un système qu'elle refuse. C'est l'erreur, pas l'errance", dit le berger. On est surpris par cette fille sans but qui refuse systématiquement toute récupération dans le mode de vie de la communauté: elle ne fait aucun effort pour travailler, ne montre pas de reconnaissance aux personnes qui lui offrent de l'aide, etc. C'est un roc sans attache qui ne sait pas où il va et dont l'issue fatale ne surprend pas.
Le film est également une observation de notre société face à ceux qui ne suivent pas le courant, qui vont dans leur propre direction, qui se distinguent radicalement de la masse. Ce qui est différent fait peur et Mona incarne un rejet, une méfiance. Si elle peut fasciner certains (Yolande Moreau, la bonne, par exemple), en émouvoir d'autres (Macha Méril), elle concrétise surtout aux yeux de beaucoup le mauvais exemple, ce qu'il ne faut pas faire. Or Varda montre en même temps les contradictions quotidiennes d'une société qui accepte silencieusement l'immoralité (le neveu motivé par l'argent et qui s'approprie les biens de sa grand mère en virant la bonne) ou la passivité devant l'injustice (la bonne qui accepte son licenciement abusif). Il y a les profiteurs, ceux qui abusent d'une jeune femme, d'un être isolé: viol, sexe, emprise psychologique. Comme Mona n'a pas de fonction dans la société, elle est pour beaucoup des personnages qui la croisent un simple objet utilitaire.
Il n'y a pas qu'une seule voix dans le film mais beaucoup d'exemples possibles, ce qui en fait aussi quelque chose de pertinent.
Découvert aussi sur Arte (en HD). C'est un film très intéressant car il traite des exclus de la société, un sujet que l'on ne veut pas aborder dans la vie et qu'on ne croise pas non plus au cinéma. Varda refuse la fiction totale et imprègne son film d'un réalisme étrange, d'une proximité troublante entre le spectateur et l'histoire contée (visiblement réelle) avec notamment un mélange entre comédiens et non professionnels (et vrais témoins de l'histoire?).
On observe surtout un personnage singulier, à la fois fascinant par le parcours, intriguant par les comportements et repoussant par un mode de vie plus que spartiate (qui relève parfois presque de l'âge de pierre). "En voulant prouver son inutilité, elle joue le jeu d'un système qu'elle refuse. C'est l'erreur, pas l'errance", dit le berger. On est surpris par cette fille sans but qui refuse systématiquement toute récupération dans le mode de vie de la communauté: elle ne fait aucun effort pour travailler, ne montre pas de reconnaissance aux personnes qui lui offrent de l'aide, etc. C'est un roc sans attache qui ne sait pas où il va et dont l'issue fatale ne surprend pas.
Le film est également une observation de notre société face à ceux qui ne suivent pas le courant, qui vont dans leur propre direction, qui se distinguent radicalement de la masse. Ce qui est différent fait peur et Mona incarne un rejet, une méfiance. Si elle peut fasciner certains (Yolande Moreau, la bonne, par exemple), en émouvoir d'autres (Macha Méril), elle concrétise surtout aux yeux de beaucoup le mauvais exemple, ce qu'il ne faut pas faire. Or Varda montre en même temps les contradictions quotidiennes d'une société qui accepte silencieusement l'immoralité (le neveu motivé par l'argent et qui s'approprie les biens de sa grand mère en virant la bonne) ou la passivité devant l'injustice (la bonne qui accepte son licenciement abusif). Il y a les profiteurs, ceux qui abusent d'une jeune femme, d'un être isolé: viol, sexe, emprise psychologique. Comme Mona n'a pas de fonction dans la société, elle est pour beaucoup des personnages qui la croisent un simple objet utilitaire.
Il n'y a pas qu'une seule voix dans le film mais beaucoup d'exemples possibles, ce qui en fait aussi quelque chose de pertinent.
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Re: Agnès Varda
Je ne me souvenais plus qu'il y avait Yolande Moreau dans ce film. Je me rappelle surtout de la scène avec la prostituée parce qu'elle avait été tournée juste à côté de chez moi. Prés d'un cimetière. D'ailleurs à l'époque on trouvait réellement des prostitués dans ce coin là. C'est du cinéma brut de décoffrage, assez glauque où rien n'est édulcoré ; un peu à la Pialat mais dans une veine encore plus réaliste.
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Re: Agnès Varda
Moi non plus, je ne me souviens pas de Yolande Moreau dans ce film. Il est vrai que je ne l'ai pas revu depuis sa sortie, et qu'à l'époque Yolande Moreau n'était pas connue.
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Re: Agnès Varda
Un gros + 1 avec ton texte, Nestor. Je souscris aux idées que tu as bien mis en exergue. D'accord aussi avec le commentaire d'O'Malley.Nestor Almendros a écrit :SANS TOIT NI LOI (1985)
C'est un film très intéressant car il traite des exclus de la société, un sujet que l'on ne veut pas aborder dans la vie et qu'on ne croise pas non plus au cinéma. Varda refuse la fiction totale et imprègne son film d'un réalisme étrange, d'une proximité troublante entre le spectateur et l'histoire contée (visiblement réelle) avec notamment un mélange entre comédiens et non professionnels (et vrais témoins de l'histoire?).
On observe surtout un personnage singulier, à la fois fascinant par le parcours, intriguant par les comportements et repoussant par un mode de vie plus que spartiate (qui relève parfois presque de l'âge de pierre). "En voulant prouver son inutilité, elle joue le jeu d'un système qu'elle refuse. C'est l'erreur, pas l'errance", dit le berger. On est surpris par cette fille sans but qui refuse systématiquement toute récupération dans le mode de vie de la communauté: elle ne fait aucun effort pour travailler, ne montre pas de reconnaissance aux personnes qui lui offrent de l'aide, etc. C'est un roc sans attache qui ne sait pas où il va et dont l'issue fatale ne surprend pas.
Le film est également une observation de notre société face à ceux qui ne suivent pas le courant, qui vont dans leur propre direction, qui se distinguent radicalement de la masse. Ce qui est différent fait peur et Mona incarne un rejet, une méfiance. Si elle peut fasciner certains (Yolande Moreau, la bonne, par exemple), en émouvoir d'autres (Macha Méril), elle concrétise surtout aux yeux de beaucoup le mauvais exemple, ce qu'il ne faut pas faire. Or Varda montre en même temps les contradictions quotidiennes d'une société qui accepte silencieusement l'immoralité (le neveu motivé par l'argent et qui s'approprie les biens de sa grand mère en virant la bonne) ou la passivité devant l'injustice (la bonne qui accepte son licenciement abusif). Il y a les profiteurs, ceux qui abusent d'une jeune femme, d'un être isolé: viol, sexe, emprise psychologique. Comme Mona n'a pas de fonction dans la société, elle est pour beaucoup des personnages qui la croisent un simple objet utilitaire.
Il n'y a pas qu'une seule voix dans le film mais beaucoup d'exemples possibles, ce qui en fait aussi quelque chose de pertinent.
Je rajouterai pour ma part que le réalisme poussé du film et la fragilité qu'inspire finalement Mona sous ses allures de baroudeuse libertaire, conduisent progressivement, au fil de sa progression en forme de décrépitude physique et psychologique, à ressentir une sorte de malaise très désagréable : celui de l'impuissance d'un spectateur comme sollicité dans sa charité, perturbé par la réalité douloureuse d'une existence à laquelle il n'a peut-être jamais vraiment réfléchi, et dans le même temps questionné sur les gestes et les attitudes qu'il pourrait avoir si son destin croisait un jour celui d'un être comme Mona. En cela, il y a presque deux portraits d'égale importance dans Sans toit ni loi : celui de sa jeune héroïne, et celui, encore plus dur, des gens qui rencontrent son chemin. La musique glaçante, quasiment angoissante, de Joanna Bruzdowicz (c'est, si je ne m'abuse, un trio de violoncelles), renforce ce côté dérangeant en ponctuant parcimonieusement les errances rurales de Sandrine Bonnaire. J'ai peut-être deux ou trois réserves marginales (comme le fait qu'on sente parfois bien que les acteurs non professionnels soient effectivement des acteurs non professionnels, ou le fait que certains travellings d'Agnès Varda n'aboutissent pas sur des informations visuelles pertinentes), mais Sans toit ni loi n'en demeure pas moins une belle réussite. Réussite qu'on peut largement mettre au crédit de la performance de Sandrine Bonnaire, tout bonnement fabuleuse, entre candeur et mélancolie sourde, pour un personnage tout en complexité.
- Jeremy Fox
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Re: Agnès Varda
Découvert hier soir Les glaneurs et la glaneuse et sa suite Deux ans après. Ce ne sont pas tant les sujets qu'aborde la réalisatrice qui sont passionnants mais sa manière de les traiter et surtout les personnages rencontrés. Bref, c'est une nouvelle fois simple dans la démarche mais plein d'élan, de vitalité et surtout très attachant, constamment inventif et profondément humain. Ceux qui ont aimé Les Plages d'Agnès (plus poignant forcément puisque ça touche à sa vie privée) aimeront ce dytique et vice versa puisque le style reste le même.
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Re: Agnès Varda
Excellent souvenir que ce film documentaire de Varda, passionnant et touchant.Jeremy Fox a écrit :Découvert hier soir Les glaneurs et la glaneuse
Sinon, je me rends compte que généralement, j'ai apprécié les films de la réalisatrice (sauf son hommage aux cents ans du cinéma: Les cents et une nuit je crois) avec une mention spéciale à un petit bijou, Le bonheur qu'elle a réalisé en 1965, avec Jean-Claude Drouot. Pas revu depuis quinze ans mais j'en garde un souvenir très fort: une superbe étude sur l'amour, la liberté et la jalousie, avec une photo magnifique.
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Re: Agnès Varda
Agnès de ci de là Varda
du lundi 19 au vendredi 23 décembre 2011 à partir de 22.00
Une série documentaire réalisée et commentée par Agnès Varda (5x45mn, France, 2011).
Agnès de ci de là Varda est une série de chroniques, filmées par Agnès Varda avec une petite caméra au cours des deux dernières années à l’occasion de ses voyages, et commentées par elle. La cinéaste a longé des fleuves inconnus, filmé des élagueurs d’amendoeiras à Copacabana, exploré des lieux oubliés comme les Watts Towers à Los Angeles ou une friche artistique sur une terrasse à Saint-Pétersbourg… Son projet ? Filmer la vie et l’art contemporain là où il se trouve (musées, expositions, biennales), en donnant la parole à des artistes comme Soulages, Boltanski, Messager, Barcelo, Pierrick Sorin ou bien à d’autres comme Monsieur Bouton de Lyon, ou Kiki Crèvecoeur de Bruxelles. Croisés en route, Manoel de Oliveira improvise une danse au Portugal et Carlos Reygadas évoque ses parties de foot au Mexique… Des carnets de voyages dans lesquels Agnès Varda se livre entre deux entretiens, avant d’assembler, de façon originale, sa récolte d’images et d’impressions.
Un cinéma plein de fantaisie, d’humour et de talent, de-ci de-là.
(source : Arte)
Lundi 19 /12 - Episode 1 à 22.20
Mardi 20/12 - Episode 2 à 22.35
Mercredi 21/12 - Episode 3 à 22.00
Jeudi 22/12 - Episode 4 à 22.35
Vendredi 23/12 - Episode 5 à 22.25
En coffret 2 DVD le 6 decembre 2011 chez ARTE Editions et Cine-Tamaris Vidéo
Une édition bilingue français, anglais + livret 16 pages : photos et textes d’Agnes Varda
du lundi 19 au vendredi 23 décembre 2011 à partir de 22.00
Une série documentaire réalisée et commentée par Agnès Varda (5x45mn, France, 2011).
Agnès de ci de là Varda est une série de chroniques, filmées par Agnès Varda avec une petite caméra au cours des deux dernières années à l’occasion de ses voyages, et commentées par elle. La cinéaste a longé des fleuves inconnus, filmé des élagueurs d’amendoeiras à Copacabana, exploré des lieux oubliés comme les Watts Towers à Los Angeles ou une friche artistique sur une terrasse à Saint-Pétersbourg… Son projet ? Filmer la vie et l’art contemporain là où il se trouve (musées, expositions, biennales), en donnant la parole à des artistes comme Soulages, Boltanski, Messager, Barcelo, Pierrick Sorin ou bien à d’autres comme Monsieur Bouton de Lyon, ou Kiki Crèvecoeur de Bruxelles. Croisés en route, Manoel de Oliveira improvise une danse au Portugal et Carlos Reygadas évoque ses parties de foot au Mexique… Des carnets de voyages dans lesquels Agnès Varda se livre entre deux entretiens, avant d’assembler, de façon originale, sa récolte d’images et d’impressions.
Un cinéma plein de fantaisie, d’humour et de talent, de-ci de-là.
(source : Arte)
Lundi 19 /12 - Episode 1 à 22.20
Mardi 20/12 - Episode 2 à 22.35
Mercredi 21/12 - Episode 3 à 22.00
Jeudi 22/12 - Episode 4 à 22.35
Vendredi 23/12 - Episode 5 à 22.25
En coffret 2 DVD le 6 decembre 2011 chez ARTE Editions et Cine-Tamaris Vidéo
Une édition bilingue français, anglais + livret 16 pages : photos et textes d’Agnes Varda
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Re: Agnès Varda
Attention événement !!!
Tout(e) Varda : coffret 22 dvd (119€), le 21 novembre prochain chez Arte !!!
Pour moi, clairement "LA" sortie de l'année !!!
Tout(e) Varda : coffret 22 dvd (119€), le 21 novembre prochain chez Arte !!!
Pour moi, clairement "LA" sortie de l'année !!!
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Re: Agnès Varda
Grosse sortie effectivement. En espérant qu'ils ont prévu de sortir les films à l'unité pour ceux qui comme moi ont déjà une partie des films (forcément achetés au prix fort car je n'ai jamais vu de Varda en solde ou dans une offre)Amarcord a écrit :Attention événement !!!
Tout(e) Varda : coffret 22 dvd (119€), le 21 novembre prochain chez Arte !!!
Pour moi, clairement "LA" sortie de l'année !!!
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- Mogul
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Re: Agnès Varda
Amarcord a écrit :Attention événement !!!
Tout(e) Varda : coffret 22 dvd (119€), le 21 novembre prochain chez Arte !!!
Pour moi, clairement "LA" sortie de l'année !!!
J'ai bien fait d'attendre et de n'avoir jamais acheté un DVD d'Agnès !
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Re: Agnès Varda
Un de mes très gros coups de coeur de ces dernières années ! Bouleversant !Wagner a écrit :les plages d'Agnès ce soir sur Arte.
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Re: Agnès Varda
Et si l'on a rien vu de la madame, est-ce que vous conseilleriez tout de même le visionnage de cette autobio filmée ?