StoneBlueSunset a écrit :Peu de maquillage effectivement mais beaucoup de travail. La finesse des traits vieillis de Gloria Stuart et la texture de sa peau ne vous ont sans doute pas échappés
,alors que là j'ai plutôt l'impression d'un travail assez grossier.
En fait StoneBlueSunset, c'est un troll, c'est pas possible autrement...
monfilm a écrit :Revu le film ce soir et je ne comprends pas l'acharnement de certains. Le scénar et les personnages secondaires ne valent pas mieux que dans le 1er Alien. Visuellement quelques scènes sont vraiment magnifiques et l'ensemble très chiadé. Le making-of montre entre autres l'évolution de l'élaboration graphique. La seule erreur incompréhensible pour moi c'est effectivement ce choix idiot de grimer un acteur alors qu'll y en a tant déjà vieux qui pouvaient faire le job. L'histoire en elle-même n'a rien de honteux non plus et traquer les incohérences pour me gâcher le plaisir s'il y en a je ne vois pas l'intérêt. Je précise que j'ai vu Alien à sa sortie cinoche, j'avais 13 ans et je pouvais légitimement me faire bouffer moi aussi par des attentes trop importantes. Comme quoi cela a du bon de rester à l'écart des teasers et autres spéculations de forums avant la sortie d'un film très, trop attendu (au tournant).
C'est pas de l'acharnement, c'est de la lucidité.
En effet, les personnages secondaires et le scénar ne valent pas mieux que ceux d'
Alien, ils valent beaucoup, beaucoup moins. Le scénar de Prometheus veut en faire trop, beaucoup trop, de nombreux personnages ne servent à rien dans le film, et dans la logique même de l'expédition (et d'où sortent tout à coup les "soigneurs" qui s'occupent de Weyland ? etc).
Comme le dit Rick juste avant moins, même pas besoin de traquer les incohérences, elles sautent à la gueule du spectateur. Et rien à voir avec l'attente et les diverses manifestations du marketing avant la sortie. On est en droit d'attendre d'un film qu'il ne nous prennent pas pour des neuneus.
Quant à la remarque sur le "making of" qui montre bien le boulot sur le film, excuse-moi mais si le boulot ne se voit pas dans le film lui-même, on s'en tamponne sérieusement le coquillard de ce que raconte ce making of, qui est après tout un outil purement promotionnel.