Ah zut alors . Tu ne me rassures pas...Jericho a écrit :Si vous voulez garder une bonne opinion de Mottola, ne regardez pas Paul. C'est une grosse déception ce film.
Cela dit, je serai tout de même assez curieux de découvrir ce Paul...
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Ah zut alors . Tu ne me rassures pas...Jericho a écrit :Si vous voulez garder une bonne opinion de Mottola, ne regardez pas Paul. C'est une grosse déception ce film.
Tu pouvais pas faire plus clair. Tu me confirmes que je dois rester loin de ce film alors, le trailer déjà était pas terrible, j'y toucherai pas.Jericho a écrit :Si vous voulez garder une bonne opinion de Mottola, ne regardez pas Paul. C'est une grosse déception ce film.
Tiens ? Tu étais à la japan expo aussi Locktal ?
C'est le contraire un peu pour ma part puisque je l'ai aussi vu il y a peu. Pour ma part, mon préféré est celui de Kawajiri, sans doute pour son style et les prémisses qui se dessinent ici (vitesse, lumières, visages déformés...). Je l'ai trouvé aussi parfait que celui de Rintaro à savoir que si ici il y a linéarité, c'est finalement au service comme chez ce dernier d'une certaine abstraction. Visuelle et narrative chez Rintaro, arrivant vers la fin chez Kawajiri quand finalement le dernier concurrent n'est autre que son propre fantôme, bouclant la boucle d'une manière plus qu'ambigüe. En revanche celui d'Otomo m'a semblé basique, le bonhomme à déjà exprimé de nombreuses fois son point de vue sur les machines et l'absurdité des situations générées que j'y ai vu un pastiche en moins bien de ce qu'on avait déjà dans la sève de Katsuhiro Otomo Anthology, Roujin-Z voire des passages de Memories... Et sinon le segment de Rintaro m'a furieusement donné envie de me réécouter du Satie, ce que je fais avec bonheur depuis peu.Un animé qui regroupe trois histoires distinctes, qui emmènent le spectateur dans trois mondes totalement différents... Si on peut regretter le manque de liant entre les trois sketches, Manie Manie est une expérience assez remarquable, notamment grâce aux 2 petits films de Rintaro et d'Otomo (celui de Kawajiri me semble un ton en dessous, même s'il n'est pas inintéressant).
Hélas non, Anorya . Mais j'aurai bien aimé y aller, à cette Japan expo !Anorya a écrit : Tiens ? Tu étais à la japan expo aussi Locktal ?
Je dis ça car j'avais profité des promos pour le prendre là-bas il y a quelques jours. C'était l'occasion idéale pour pas mal de choses à vrai dire.
Ton interprétation du film de Kawajiri est intéressante ! Je n'avais pas vu cela de cette façon ! Tu me donnes envie de revoir son sketch, tiens !Anorya a écrit : C'est le contraire un peu pour ma part puisque je l'ai aussi vu il y a peu. Pour ma part, mon préféré est celui de Kawajiri, sans doute pour son style et les prémisses qui se dessinent ici (vitesse, lumières, visages déformés...). Je l'ai trouvé aussi parfait que celui de Rintaro à savoir que si ici il y a linéarité, c'est finalement au service comme chez ce dernier d'une certaine abstraction. Visuelle et narrative chez Rintaro, arrivant vers la fin chez Kawajiri quand finalement le dernier concurrent n'est autre que son propre fantôme, bouclant la boucle d'une manière plus qu'ambigüe
Le début est drôle. Après, quand ça vire dans le film d'action à base de course-poursuites (un des fléaux de la comédie US actuelle), ça devient totalement inintéressant.Colqhoun a écrit :Ouais c'est clairement anecdotique et pas spécialement drôle.
J'avais bien aimé la pirouette scénaristique :cinephage a écrit :Destination finale 5, de Steven Quale
Le film commence avec un formidable générique (comme Destination finale 4, qui avait un formidable générique de fin, je crois). Après, ça se corse, le film commence. Les ficelles sont très usées, les scénaristes ne savent plus quoi trouver, et du coup ils tombent dans le panneau... Alors que la force de la série était son "méchant" implacable (la mort qui rattrape ceux qui lui ont échappé en créant des coincidences fatales), on nous affuble ici d'un méchant humain. En outre, ce dernier est débile et pas crédible, sa transformation en méchant est mal fichue. Ajoutons que la mise en scène est ici totalement ratée et lourdaude...
Bref, le film est totalement évitable. Seuls les amateurs de morts loufoques à l'écran (une sous-catégorie de cinéphiles à laquelle j'appartiens, nourrie dès le plus jeune age de Looney Tunes, de coyotes tombant dans le ravin et autres explosions ACME, et ayant basculé dans le gore à la puberté... ) y trouveront leur compte, le film se payant le luxe d'une rétrospective des meilleures morts dans son générique de fin.