Hé hé... Pendant treize ans, il a eu le temps de réfléchir Leos, et notamment à la façon de s'y prendre pour se mettre un maximum de gens dans la poche.Ratatouille a écrit :Voilà. Rien qu'avec cette phrase, Carax peut désamorcer n'importe quelle velléité critique. Le petit chenapan...
Je vois que t'es en mode tir à boulets rouges.AtCloseRange a écrit :On ne parle pas assez sinon de cette formidable scène en hommage à la Boum.
Mais pourquoi sa fille est-elle donc restée enfermée dans les toilettes alors qu'elle aurait pu danser avec tous ces garçons?
Que d'occasions manquées... Quelle sourde mélancolie derrière ce désespoir adolescent...
C'est pas une critique, hein, le film t'a manifestement bien énervé, et le ton bien sarcastique peut du coup se comprendre.
Je laisse les vrais défenseurs réagir là-dessus. Pour ma part, c'est l'une de mes scènes préférées, peut-être la seule qui me touche un peu, parce que Carax laisse vivre ses personnages, qu'il se met totalement, et de manière très sobre, au service de ce qui se passe entre eux, à travers un échange à la fois simple et beau. Le spleen de l'ado, la manière dont la tendresse complice du père se change en une cruauté larvée, le sentiment d'un lien très fort en passe de se défaire à ce moment-là... Non vraiment, pour moi c'est une des scènes qui "marchent" le mieux.
Je crois que c'est la propre fille de Carax qui joue le rôle, non ? A confirmer.