Anorya a écrit :Je pense que Johell, Hellrick et Jordan White apprécieront s'ils ne l'ont pas déjà vu.
Bien envie de le voir. Si il est toujours en salles sur Paris début mars, j'irai le voir là-bas.
Anorya a écrit :
johell a écrit :TAKE SHELTER de Jeff Nichols : 8/10
Ah ben tu vois quand tu veux.
Ben oui... Et ce n'est pas mon premier 8/10 sur un film vu en salles, tu sais. D'ailleurs, en ce début d'année je n'ai pour l'instant mis que 3 fois des 1/10. Sur 28 séances de cinéma. C'est pas trop mal, je trouve...
TRUST: 7/10
Pas complètement fan de la mise en scène, absolument pas de la photographie, mais le scénario est très solide (qui évite le suspense facile pour se rapprocher d'un drame presque documentaire) et condense de façon assez maline beaucoup d'éléments de réflexion (le vocabulaire de Charlie, le trouble vengeur de Clive Owen et les connotations publicitaires quand il regarde ses affiches tendancieuses,etc.). A voir!
LA VERITE SI JE MENS: 5/10
Je ne voulais pas y aller et puis finalement... Aucune surprise par rapport aux précédents, la recette est respectée au millimètre. C'est un téléfilm de luxe mi-sitcom, mi-je ne sais quoi, parfois amusant, souvent paresseux. En cette période de crise, c'est assez étonnant de voir un film aussi bling bling, à ce point porté sur l'argent. Curieux de voir l'accueil du public...
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
Tucker & Dale fightent le mal d'Eli Craig : 7:10
Un concentré de fun qui parodie tous les tics des films d'horreur du type survival avec grand bonheur. C'est drôle et gore juste un peu (mais pas trop) jusqu'à un final un peu plus laborieux. De plus, et c'est pas rien, l'héroine blondinette est plutôt agréable à regarder. Par contre le titre français est nul.
Je ne sais pas vraiment quoi penser au final, alors je laisse le ressenti parler. Tout d'abord, même si on décèle une dose intéressante d'humour noir, j'ai du mal à comprendre la classification du film dans la catégorie comédie. On en est très éloigné. C'est plus la souffrance, le mal-être des personnages et leur profond désabusement qui ressort, même mêlé à l'humour irrigué par cet environnement familial complètement halluciné. Car il y a là tout un panel de protagonistes tous plus secoués les uns que les autres. L'atmosphère créée ainsi que la grande majorité des événements qui défilent à l'écran vont dans le sens du drame. En y repensant, les maladresses participent également à donner ce résultat assez curieux, mais pas déplaisant, loin de là.