Commentaires à propos de votre film du mois
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- Jeremy Fox
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
37 films vus ce mois et 5 coups de cœur, tous américains ; dans l'ordre, les cinéastes qui m'ont marqué sont Terrence Malick, Gordon Douglas, Carlos Saldanha, Anthony Mann et Jack Conway.
Le résumé du mois :
Films découverts, redécouverts ou revus (Hors competition) par ordre décroissant d'appréciation
* Le Traître du Texas (Horizons West) : Budd Boetticher 1952 : 8.5/10
* La Nuit nous appartient (We Own the Night) : James Gray 2007 : 8.5/10
* The Tree of Life : Terrence Malick 2011 : 8/10
* Face au chatiment (The Doolins of Oklahoma) : Gordon Douglas 1949 : 7.5/10
* Quand les tambours s'arrêteront (Apache Drums) : Hugo Fregonese 1951 : 7.5/10
* Rio : Carlos Saldanha 2011 : 7.5/10
* Casino Royale : Martin Campbell 2006 : 7/10
* Le Livre noir (Reign of Terror) : Anthony Mann 1949 : 7/10
* Le Déserteur de Fort Alamo (The Man from Alamo) : Budd Boetticher 1953 : 7/10
* Red-Headed Woman : Jack Conway 1932 : 7/10
* Un Nommé Cable Hogue (The Ballad of Cable Hogue) : Sam Peckinpah 1970 : 7/10
* La Trahison du Capitaine Porter (Thunder over the Plains) : André de Toth 1953 : 6.5/10
* Baby Face : Alfred E. Green 1933 : 6.5/10
* Permis de tuer (License to kill) : John Glen 1989 : 6.5/10
* Meurs un autre jour (Die Another Day) : Lee Tamahori 2002 : 6.5/10
* La Colline aux coquelicots (Kokuriko zaka kara) : Goro Myiazaki 2011 : 6/10
* Les Forçats de la gloire (The Story of GI Joe) : William Wellman 1945 : 6/10
* Voyage sans retour (One Way Passage) : Tay Garnett 1932 : 6/10
* Le Monde ne suffit pas (The World is not enough) : Michael Apted 1999 : 6/10
* Demain ne meurt jamais (Tomorrow never dies) : Roger Spottiswoode 1997 : 6/10
* Goldeneye : Martin Campbell 1995 : 6/10
* The Shocking Miss Pilgrim : George Seaton 1947 : 6/10
* Exodus : Otto Preminger 1960 : 6/10
* Bataille sans merci (Gun Fury) : Raoul Walsh 1953 : 5.5/10
* Capitaine Kidd (Captain Kidd) : Rowland V. Lee 1945 : 5.5/10
* The Moonlighter : Roy Rowland 1953 : 5/10
* L'aventure est à l'Ouest (The Great Sioux Uprising) : Lloyd Bacon 1953 : 5/10
* Jamais deux sans toi (The Duchess of Idaho) : Robert Z. Leonard 1950 : 5/10
* Quantum of Solace : Marc Foster 2008 : 4.5/10
* The Reivers : Mark Rydell 1969 : 4/10
* Stranger on Horseback : Jacques Tourneur 1955 : 4/10
* Femme de feu (Ramrod) : André de Toth 1947 : 3.5/10
* Rango : Gore Verbinski 2011 : 3.5/10
* Les Massacreurs du Kansas (The Stranger wore a gun) : André de Toth 1953 : 3/10
* Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) : Tim Burton 2010 : 2.5/10
* Le Sorcier du Rio Grande (Arrowhead) : Charles Marquis Warren 1953 : 1.5/10
* La Fureur des Apaches (Apache Rifles) : William Witney 1964 : 1.5/10
Le résumé du mois :
Films découverts, redécouverts ou revus (Hors competition) par ordre décroissant d'appréciation
* Le Traître du Texas (Horizons West) : Budd Boetticher 1952 : 8.5/10
* La Nuit nous appartient (We Own the Night) : James Gray 2007 : 8.5/10
* The Tree of Life : Terrence Malick 2011 : 8/10
* Face au chatiment (The Doolins of Oklahoma) : Gordon Douglas 1949 : 7.5/10
* Quand les tambours s'arrêteront (Apache Drums) : Hugo Fregonese 1951 : 7.5/10
* Rio : Carlos Saldanha 2011 : 7.5/10
* Casino Royale : Martin Campbell 2006 : 7/10
* Le Livre noir (Reign of Terror) : Anthony Mann 1949 : 7/10
* Le Déserteur de Fort Alamo (The Man from Alamo) : Budd Boetticher 1953 : 7/10
* Red-Headed Woman : Jack Conway 1932 : 7/10
* Un Nommé Cable Hogue (The Ballad of Cable Hogue) : Sam Peckinpah 1970 : 7/10
* La Trahison du Capitaine Porter (Thunder over the Plains) : André de Toth 1953 : 6.5/10
* Baby Face : Alfred E. Green 1933 : 6.5/10
* Permis de tuer (License to kill) : John Glen 1989 : 6.5/10
* Meurs un autre jour (Die Another Day) : Lee Tamahori 2002 : 6.5/10
* La Colline aux coquelicots (Kokuriko zaka kara) : Goro Myiazaki 2011 : 6/10
* Les Forçats de la gloire (The Story of GI Joe) : William Wellman 1945 : 6/10
* Voyage sans retour (One Way Passage) : Tay Garnett 1932 : 6/10
* Le Monde ne suffit pas (The World is not enough) : Michael Apted 1999 : 6/10
* Demain ne meurt jamais (Tomorrow never dies) : Roger Spottiswoode 1997 : 6/10
* Goldeneye : Martin Campbell 1995 : 6/10
* The Shocking Miss Pilgrim : George Seaton 1947 : 6/10
* Exodus : Otto Preminger 1960 : 6/10
* Bataille sans merci (Gun Fury) : Raoul Walsh 1953 : 5.5/10
* Capitaine Kidd (Captain Kidd) : Rowland V. Lee 1945 : 5.5/10
* The Moonlighter : Roy Rowland 1953 : 5/10
* L'aventure est à l'Ouest (The Great Sioux Uprising) : Lloyd Bacon 1953 : 5/10
* Jamais deux sans toi (The Duchess of Idaho) : Robert Z. Leonard 1950 : 5/10
* Quantum of Solace : Marc Foster 2008 : 4.5/10
* The Reivers : Mark Rydell 1969 : 4/10
* Stranger on Horseback : Jacques Tourneur 1955 : 4/10
* Femme de feu (Ramrod) : André de Toth 1947 : 3.5/10
* Rango : Gore Verbinski 2011 : 3.5/10
* Les Massacreurs du Kansas (The Stranger wore a gun) : André de Toth 1953 : 3/10
* Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) : Tim Burton 2010 : 2.5/10
* Le Sorcier du Rio Grande (Arrowhead) : Charles Marquis Warren 1953 : 1.5/10
* La Fureur des Apaches (Apache Rifles) : William Witney 1964 : 1.5/10
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je n'y manquerai pas si j'ai l'occasion un jour !Jeremy Fox a écrit :Oui, go on : revois le Malick sur grand écranWatkinssien a écrit :
Go on !
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ah oui effectivement, ça à l'air plus qu’intéressant!! (et donc encore une réussite Scott/Brown...). Vivement la chroniqueJeremy Fox a écrit :3
* Face au chatiment (The Doolins of Oklahoma) : Gordon Douglas 1949 : 7.5/10
Si Sidonis nous lit, je suis acheteur...
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Deux forumeurs m'ont interdit de voir un meilleur film que Dressé pour tuer jusqu'à la fin du mois, donc mon classement de Janvier :
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- cinephage
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Janvier 2012 se révèle pour moi un bon début d’année. Par principe, je préfère donner l’avantage à un film découvert en salle, et c’est donc l’excellent Take Shelter qui rafle la mise. Anxiogène, troublant, ce petit chef-d’œuvre n’en finit pas d’inspirer les exégètes, comme l’illustre le topic du forum dédié au film.
Pour ma part, je vois dans le film une espèce d’allégorie politique, où le héros donne corps aux angoisses de notre actuelle société, qui prédit d’année en année la fin du monde ou l’explosion de la société (technologique, économique, environnementaliste, politique, et j’en passe). Alors que les experts et les rationalistes cherchent à marginaliser ce discours en panique, sont-ils vraiment en mesure d’affirmer que le monde est aussi stable qu’ils voudraient l’affirmer. En cela, le film s’affirme comme post-11 septembre (lorsque l’impossible – comprendre l’impensable- se réalise) et en prise avec l’angoisse de nos sociétés occidentales déclinantes.
D’autres excellents films auraient aussi fait de bons films du mois, notamment Camille, où Cukor et Greta Garbo parviennent à construire une figure à la fois frivole et tragique, s’inscrivant dans la grande tradition des mélodrames hollywoodiens. Drole de drame, de Marcel Carné, est une comédie fabuleuse, où l’absurde le dispute au ludique, et où l’intrigue policière est constamment battue en brèche par une potacherie permanente. Mon épouse favorite, de Garson Kanin, est un film délicieux, où toute la malice de Leo Mc Carey donne à Cary Grant et Irene Dunne les moyens de s’épanouir à l’écran, dans une hilarante série de délicieux tête-à-têtes. The Train, de John Frankenheimer, commence comme un remarquable film sur la résistance française, mais se transforme progressivement en un redoutable duel à mort. Enfin, la découverte de Stalker se révèle à la fois passionnante et déroutante, tant ce film à l’atmosphère envoutante parvient à jouer des pouvoirs de l’allégorie, de la poésie, et de l’esthétique en les combinant d’une façon bien unique.
Quelques déceptions sont à noter, notamment les égarés, film verbeux et convenu, dans lequel j’ai bien cherché le Téchiné que j’aime tant, ou à cause, à cause d’une femme, premier film de Michel Deville assez faible.
Parmi les points forts du mois, je note le défilé de sales gueules de Kansas City Confidential (Phil Karlson, 1952), qui commence vraiment très bien avant de ralentir sérieusement, l’étonnant et ésotérique Marebito, de Takashi Shimizu (2006), film dickien qui appelle à être revu. Enfin, Trust, de David Schwimmer, est un remarquable film, très bien vu, sur les dangers de l’internet, qui m’a semblé assez édifiant dans son approche de la problématique. Les cousins, film très parisien et assez cruel de Claude Chabrol dans lequel Jean-Claude Brialy m’a totalement soufflé, me laissera longtemps en tête son monologue grandiloquent sur l’ouverture de Tristant et Isolde. Enfin, le visuel très travaillé de Brueghel, le moulin et la croix, est à signaler, parce que le film de Majewska est une promenade dans un tableau qui s’avère fructueux, et enrichit grandement mon gout pour l’œuvre de Brueghel.
Un dernier point pour évoquer l’animation, parce que janvier a été l’occasion de plusieurs découvertes dans ce domaine. A commencer par le très mélancolique, et très joli More, de Mark Osborne, futur réalisateur de Kung-fu Panda. Découvrant Fantasia 2000, j’y ai repéré un magnifique film court accompagnant visuellement Rhapsody in Blue, de Gershwin. Je recommande très fortement ces deux titres à tout amateur d’animation. Enfin, le fan de Chuck Jones que je suis a pu découvrir, en bonus de La blonde défie le FBI (une comédie loufoque de Frank Tashlin), un excellent cartoon de Chuck Jones, The Dot and the Line: A Romance in Lower Mathematics (1965), soit une véritable histoire d'amour entre une ligne et un point, dont la découverte justifie à elle seule, n’en déplaise à Jeremy Fox, l’acquisition de la boite métal qu’Amazon écoule encore pour moins de 12 euros.
J'attends donc février de pied ferme...
Pour ma part, je vois dans le film une espèce d’allégorie politique, où le héros donne corps aux angoisses de notre actuelle société, qui prédit d’année en année la fin du monde ou l’explosion de la société (technologique, économique, environnementaliste, politique, et j’en passe). Alors que les experts et les rationalistes cherchent à marginaliser ce discours en panique, sont-ils vraiment en mesure d’affirmer que le monde est aussi stable qu’ils voudraient l’affirmer. En cela, le film s’affirme comme post-11 septembre (lorsque l’impossible – comprendre l’impensable- se réalise) et en prise avec l’angoisse de nos sociétés occidentales déclinantes.
D’autres excellents films auraient aussi fait de bons films du mois, notamment Camille, où Cukor et Greta Garbo parviennent à construire une figure à la fois frivole et tragique, s’inscrivant dans la grande tradition des mélodrames hollywoodiens. Drole de drame, de Marcel Carné, est une comédie fabuleuse, où l’absurde le dispute au ludique, et où l’intrigue policière est constamment battue en brèche par une potacherie permanente. Mon épouse favorite, de Garson Kanin, est un film délicieux, où toute la malice de Leo Mc Carey donne à Cary Grant et Irene Dunne les moyens de s’épanouir à l’écran, dans une hilarante série de délicieux tête-à-têtes. The Train, de John Frankenheimer, commence comme un remarquable film sur la résistance française, mais se transforme progressivement en un redoutable duel à mort. Enfin, la découverte de Stalker se révèle à la fois passionnante et déroutante, tant ce film à l’atmosphère envoutante parvient à jouer des pouvoirs de l’allégorie, de la poésie, et de l’esthétique en les combinant d’une façon bien unique.
Quelques déceptions sont à noter, notamment les égarés, film verbeux et convenu, dans lequel j’ai bien cherché le Téchiné que j’aime tant, ou à cause, à cause d’une femme, premier film de Michel Deville assez faible.
Parmi les points forts du mois, je note le défilé de sales gueules de Kansas City Confidential (Phil Karlson, 1952), qui commence vraiment très bien avant de ralentir sérieusement, l’étonnant et ésotérique Marebito, de Takashi Shimizu (2006), film dickien qui appelle à être revu. Enfin, Trust, de David Schwimmer, est un remarquable film, très bien vu, sur les dangers de l’internet, qui m’a semblé assez édifiant dans son approche de la problématique. Les cousins, film très parisien et assez cruel de Claude Chabrol dans lequel Jean-Claude Brialy m’a totalement soufflé, me laissera longtemps en tête son monologue grandiloquent sur l’ouverture de Tristant et Isolde. Enfin, le visuel très travaillé de Brueghel, le moulin et la croix, est à signaler, parce que le film de Majewska est une promenade dans un tableau qui s’avère fructueux, et enrichit grandement mon gout pour l’œuvre de Brueghel.
Un dernier point pour évoquer l’animation, parce que janvier a été l’occasion de plusieurs découvertes dans ce domaine. A commencer par le très mélancolique, et très joli More, de Mark Osborne, futur réalisateur de Kung-fu Panda. Découvrant Fantasia 2000, j’y ai repéré un magnifique film court accompagnant visuellement Rhapsody in Blue, de Gershwin. Je recommande très fortement ces deux titres à tout amateur d’animation. Enfin, le fan de Chuck Jones que je suis a pu découvrir, en bonus de La blonde défie le FBI (une comédie loufoque de Frank Tashlin), un excellent cartoon de Chuck Jones, The Dot and the Line: A Romance in Lower Mathematics (1965), soit une véritable histoire d'amour entre une ligne et un point, dont la découverte justifie à elle seule, n’en déplaise à Jeremy Fox, l’acquisition de la boite métal qu’Amazon écoule encore pour moins de 12 euros.
J'attends donc février de pied ferme...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Que ça fait plaisir de te voir poster ça dans les films du moisJeremy Fox a écrit :
- Sybille
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pourtant, je croyais que tu n'aimais pas (trop) le film ?feb a écrit :Que ça fait plaisir de te voir poster ça dans les films du moisJeremy Fox a écrit :
- hellrick
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
et voilà le podium avec l'envie de mettre en premier un film à sketches délirants et un bel hommage au cinéma Z.
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- I want to be alone with Garbo
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Tu as raison Sybille, je lui préfère largement Baby Face. Je me suis mal exprimé, disons que je suis content de voir que M. Fox a accroché à certain films Pré-Code...et j'espère que ça va continuer avec les Wellman du coffret Forbidden Vol. 3Sybille a écrit :Pourtant, je croyais que tu n'aimais pas (trop) le film ?
- Flol
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je ne verrai de film ni ce soir, ni demain...mon gagnant du mois (et haut la main) est donc :
- Watkinssien
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Et pour moi, ce sera pour ce premier mois 2012 la découverte "naphtalinée" du somptueux et baroque Quasimodo qui confirme tout le bien que je pense de William Dieterle :
Mother, I miss you
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois de Janvier dominé par deux films contemporains aux sujets forts et ambitieux.
Et un magnifique divertissement, véritable antidote contre la morosité, signé Jacques Tourneur. (du coup je pense me le reprogrammer lors de l'Intégrale TCM d'Avril puisqu'il est annoncé dans une copie HD !)
Cà, c'est pour Feb :
Et un magnifique divertissement, véritable antidote contre la morosité, signé Jacques Tourneur. (du coup je pense me le reprogrammer lors de l'Intégrale TCM d'Avril puisqu'il est annoncé dans une copie HD !)
Cà, c'est pour Feb :
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- Major Tom
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
32 films vus ou revus ce mois-ci, ce n'est pas trop mal.
Je n'aurai certainement le temps de voir d'autres films demain, et de toute façon c'était plié depuis belle lurette:
Films découverts ◄► Films revus :
● L'Aurore (Sunrise, 1927) de Friedrich Wilhelm Murnau
● Je t'aime je t'aime (1968) de Alain Resnais
● Le Déserteur de Fort Alamo (The Man from the Alamo, 1953) de Budd Boetticher
● La Comtesse aux pieds nus (The Barefoot Contessa, 1954) de Joseph L. Mankiewicz
● The Boy Friend (1971) de Ken Russell
● King of New York (1990) de Abel Ferrara
● Carnage (2011) de Roman Polanski
● À feu et à sang (The Cimarron Kid, 1952) de Budd Boetticher
● Témoin à charge (Witness For The Prosecution, 1957) de Billy Wilder
● L'Horloger de Saint Paul (1973) de Bertrand Tavernier
● Amadeus (Peter Shaffer's Amadeus - Director's Cut, 1984) de Miloš Forman
● Le Disque rouge (Il ferroviere, 1956) de Pietro Germi
● Le Dahlia bleu (The Blue Dahlia, 1946) de George Marshall
● Take Shelter (2012) de Jeff Nichols
● La Double vie de Véronique (1991) de Krzysztof Kieślowski
● Traquée (Someone To Watch Over Me, 1987) de Ridley Scott
● La Chute du faucon noir (Black Hawk Down, 2001) de Ridley Scott
● Une Femme dangereuse (They Drive By Night,1940) de Raoul Walsh
● Mesure d'urgence (Extreme Measures, 1996) de Michael Apted
● Je suis vivant! (La Corta Notte Delle Bambole Di Vetro, 1971) de Aldo Lado
● Ombres et brouillard (Shadows And Fog, 1991) de Woody Allen
● L'Homme des cavernes (Caveman, 1981) de Carl Gottlieb
● La Tarentule au ventre noir (La tarantola dal ventre nero, 1971) de Paolo Cavara
● The Social Network (2010) de David Fincher
● Cantique d'amour (The Song of the Songs, 1933) de Rouben Mamoulian
● L'Incroyable Destin de Harold Crick (Stranger than Fiction, 2007) de Marc Forster
● JF partagerait appartement (Single White Female, 1992) de Barbet Schroeder
● Ton vice est une chambre close dont moi seul ai la clef (Il tuo vizio è una stanza chiusa e solo io ne ho la chiave, 1972) de Sergio Martino
● La Prisonnière (1969) de Henri-Georges Clouzot
● Malicia (Malizia, 1973) de Salvatore Samperi
● Les Sous doués passent le bac (1980) de Claude Zidi
● Howard... une nouvelle race de héros (Howard the Duck, 1986) de Willard Huyck
BARÈME :
Je n'aurai certainement le temps de voir d'autres films demain, et de toute façon c'était plié depuis belle lurette:
Films découverts ◄► Films revus :
● L'Aurore (Sunrise, 1927) de Friedrich Wilhelm Murnau
● Je t'aime je t'aime (1968) de Alain Resnais
● Le Déserteur de Fort Alamo (The Man from the Alamo, 1953) de Budd Boetticher
● La Comtesse aux pieds nus (The Barefoot Contessa, 1954) de Joseph L. Mankiewicz
● The Boy Friend (1971) de Ken Russell
● King of New York (1990) de Abel Ferrara
● Carnage (2011) de Roman Polanski
● À feu et à sang (The Cimarron Kid, 1952) de Budd Boetticher
● Témoin à charge (Witness For The Prosecution, 1957) de Billy Wilder
● L'Horloger de Saint Paul (1973) de Bertrand Tavernier
● Amadeus (Peter Shaffer's Amadeus - Director's Cut, 1984) de Miloš Forman
● Le Disque rouge (Il ferroviere, 1956) de Pietro Germi
● Le Dahlia bleu (The Blue Dahlia, 1946) de George Marshall
● Take Shelter (2012) de Jeff Nichols
● La Double vie de Véronique (1991) de Krzysztof Kieślowski
● Traquée (Someone To Watch Over Me, 1987) de Ridley Scott
● La Chute du faucon noir (Black Hawk Down, 2001) de Ridley Scott
● Une Femme dangereuse (They Drive By Night,1940) de Raoul Walsh
● Mesure d'urgence (Extreme Measures, 1996) de Michael Apted
● Je suis vivant! (La Corta Notte Delle Bambole Di Vetro, 1971) de Aldo Lado
● Ombres et brouillard (Shadows And Fog, 1991) de Woody Allen
● L'Homme des cavernes (Caveman, 1981) de Carl Gottlieb
● La Tarentule au ventre noir (La tarantola dal ventre nero, 1971) de Paolo Cavara
● The Social Network (2010) de David Fincher
● Cantique d'amour (The Song of the Songs, 1933) de Rouben Mamoulian
● L'Incroyable Destin de Harold Crick (Stranger than Fiction, 2007) de Marc Forster
● JF partagerait appartement (Single White Female, 1992) de Barbet Schroeder
● Ton vice est une chambre close dont moi seul ai la clef (Il tuo vizio è una stanza chiusa e solo io ne ho la chiave, 1972) de Sergio Martino
● La Prisonnière (1969) de Henri-Georges Clouzot
● Malicia (Malizia, 1973) de Salvatore Samperi
● Les Sous doués passent le bac (1980) de Claude Zidi
● Howard... une nouvelle race de héros (Howard the Duck, 1986) de Willard Huyck
BARÈME :
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Ça peut aller dans le topic érotique pré-60's.daniel gregg a écrit :Cà, c'est pour Feb :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Comme je te comprends Quel film...Major Tom a écrit :...et de toute façon c'était plié depuis belle lurette:
● L'Aurore (Sunrise, 1927) de Friedrich Wilhelm Murnau
Même plus besoin de se parler pour se comprendredaniel gregg a écrit :Cà, c'est pour Feb :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en janvier
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Mildred Pierce (Todd Haynes, 2011) **
Ce n'est pas un remake du film de Curtiz avec Crawford mais une nouvelle adaptation, fidèle à la lettre et au détail, du roman de Cain. Comme à son habitude, Haynes tient l'émotion à distance, ce qui confère au film (pour HBO, en 5 épisodes d'1h), une intéressante froideur. Il faut le voir comme un exercice post-moderne, porté par le jeu en retenue de Winslet. BR US
Meek's cutoff / La dernière piste (Kelly Reichardt, 2010) ***
Les éprouvantes incertitudes auxquelles étaient soumis les colons des pistes de l'Ouest sont formidablement retranscrites dans ce western contemplatif et pourtant nerveux, presque sans action, sur le périple de deux familles en 1845. On peut y voir du symbolisme ou non mais on ne peut pas ne pas être subjugué par la beauté des images. DVD Z2 UK
Essential killing (Jerzy Skolimowski, 2010) *
En ne donnant pas d'information sur l'identité et le parcours de ce Taliban (?) qui fuit de captivité dans l'hiver d'une forêt polonaise, le réalisateur oblige le spectateur à se concentrer sur le calvaire physique enduré par son personnage (et son acteur, Gallo). La photo est splendide, le rythme soutenu, les flashs mémoriels superflus et le tout n'a rien à dire. DVD Z2 Fr
Come back to the 5 & Dime, Jimmy Dean, Jimmy Dean / Reviens, Jimmy Dean, reviens (Robert Altman, 1982) *** Mon film du mois
Un décor unique (un vieux drugstore texan), l'utilisation inventive d'un miroir sans tain pour évoquer des flashbacks et un scénario tendu riche - trop ? - en révélations : cette adaptation d'une pièce de Broadway est une réussite qui laisse s'épanouir les talents de ses formidables actrices (Dennis, Cher, Black, Bates). Cinémathèque Française
Contagion (Steven Soderbergh, 2011) ***
La dynamique d'une pandémie virale mortelle par voie de contact est très bien évoquée dans ce film de SF angoissant qui rappelle des alertes globales récentes (et sans aucun doute futures). Le casting hors-pair (Damon, Fishburne, Winslet, Law, Cotillard, Paltrow) est au service d'un scénario sombre, sobre et intelligemment informé. BR US
The black book / Reign of terror (Anthony Mann, 1949) ***
Les grandes figures de la Révolution Française sont convoquées dans ce thriller bondissant dont le scénario malmène l'Histoire à la recherche d'un "Livre Noir" de Robespierre. Courses-poursuites, trahisons, usurpations d'identités : c'est un véritable Pulp Movie en costumes que Mann nous sert, surclassé par la photo N&B expressionniste. DVD Sony on Demand
Incendies (Denis Villeneuve, 2010) ***
L'avalanche de révélations identitaires de la dernière demi-heure font brusquement passer le film d'un bouleversant drame de la guerre à une sorte de tragédie antique aux relents de mélodrame. Si ce glissement des genres ne m'a pas trop convaincu, j'ai admiré sans réserve la puissance de la réalisation et la présence des deux actrices principales. BR UK
Underground (Anthony Asquith, 1928) **
La rencontre d'un jeune couple dans le métro londonien est contrariée par un agressif admirateur de la jeune femme, qui tente de les séparer. Les scènes du métro et de la rue, splendides de dynamisme, et le jeu sensible des acteurs donnent toute sa force à ce film muet. Je l'ai vu, hélas, avec un accompagnement musical live jazzy répétitif et assommant. Théâtre du Châtelet
Wrangler : Anatony of an icon (Jeffrey Schwarz, 2008) **
Un documentaire assez bien foutu sur le parcours de Jack Stillman (1946-2009), un riche gosse de Beverly Hills qui devint, sous le nom de Jack Wrangler, l'icône du porno gay des Seventies puis s'aventura dans le porno straight avant d'épouser la diva de Broadway Margaret Whiting, de vingt-deux ans son aînée. Le tout avec une sympathique insouciance. DVD Z1
Role models / Les grands frères (David Wain, 2008) **
J'aime ces films de copains trentenaires impliqués dans des situations adolescentes, comme ceux d'Apatow qui aurait pu signer celui-ci, où deux types - dont Paul Rudd, toujours formidable - se retrouvent à parrainer deux gamins à problèmes (un petit noir qui jure comme un charretier et un grand binoclard fan de jeu de rôles). C'est drôle, vulgaire et tendre à la fois. DVD Z2 UK
Le défroqué (Léo Joannon, 1954) ***
Un prêtre défroqué (Fresnais, habité) qui a pris l'Eglise en haine tente d'arracher un jeune novice à la soutane. Avec sa scène de consécration du calice dans un cabaret russe, sa réunion de défroqués, son meurtre catholique et ses autres outrances du genre, ce film enfiévré est un formidable sommet de camp traité avec la plus grande révérence. Web
Rio (Carlos Saldanha, 2011) **
L'utilisation de Rio comme décor est la belle surprise de ce film d'animation familial dont le scénario, assez peu original (dans la lignée des "101 Dalmatiens"), est transcendé par le carnaval de ses couleurs, de son énergie et de ses rythmes de samba. En faisant d'oiseaux ses héros, le réalisateur fait décoller ses plans, parfois jusqu'au vertige. BR Fr
The human centipede 2 (Tom Six, 2011) ***
Un pauvre type handicapé (l'acteur est hallucinant), obsédé par le DVD du "Human centipede", décide de créer son propre mille-pattes humain en cousant douze victimes par la bouche et l'anus. Il faut prendre comme une farce hénaurme (je crois) ce film qui accumule les scènes ignominieuses. Du cinéma extrême, interdit de sortie en salles un peu partout. BR UK (censuré de 2'30)
Gardiens de phare (Jean Grémillon, 1929) *
Au large de la Bretagne, un père et son fils atteint de la rage se retrouvent en huis-clos dans le phare qu'ils gardent. Une fois la belle introduction passée, il n'y a pas assez de péripéties pour maintenir l'attention dans ce muet qui abuse d'effets formalistes et de gros plans de visages. Un petit exercice pour Grémillon qui fera bien mieux dans le parlant. Cinémathèque Française
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Mildred Pierce (Todd Haynes, 2011) **
Ce n'est pas un remake du film de Curtiz avec Crawford mais une nouvelle adaptation, fidèle à la lettre et au détail, du roman de Cain. Comme à son habitude, Haynes tient l'émotion à distance, ce qui confère au film (pour HBO, en 5 épisodes d'1h), une intéressante froideur. Il faut le voir comme un exercice post-moderne, porté par le jeu en retenue de Winslet. BR US
Meek's cutoff / La dernière piste (Kelly Reichardt, 2010) ***
Les éprouvantes incertitudes auxquelles étaient soumis les colons des pistes de l'Ouest sont formidablement retranscrites dans ce western contemplatif et pourtant nerveux, presque sans action, sur le périple de deux familles en 1845. On peut y voir du symbolisme ou non mais on ne peut pas ne pas être subjugué par la beauté des images. DVD Z2 UK
Essential killing (Jerzy Skolimowski, 2010) *
En ne donnant pas d'information sur l'identité et le parcours de ce Taliban (?) qui fuit de captivité dans l'hiver d'une forêt polonaise, le réalisateur oblige le spectateur à se concentrer sur le calvaire physique enduré par son personnage (et son acteur, Gallo). La photo est splendide, le rythme soutenu, les flashs mémoriels superflus et le tout n'a rien à dire. DVD Z2 Fr
Come back to the 5 & Dime, Jimmy Dean, Jimmy Dean / Reviens, Jimmy Dean, reviens (Robert Altman, 1982) *** Mon film du mois
Un décor unique (un vieux drugstore texan), l'utilisation inventive d'un miroir sans tain pour évoquer des flashbacks et un scénario tendu riche - trop ? - en révélations : cette adaptation d'une pièce de Broadway est une réussite qui laisse s'épanouir les talents de ses formidables actrices (Dennis, Cher, Black, Bates). Cinémathèque Française
Contagion (Steven Soderbergh, 2011) ***
La dynamique d'une pandémie virale mortelle par voie de contact est très bien évoquée dans ce film de SF angoissant qui rappelle des alertes globales récentes (et sans aucun doute futures). Le casting hors-pair (Damon, Fishburne, Winslet, Law, Cotillard, Paltrow) est au service d'un scénario sombre, sobre et intelligemment informé. BR US
The black book / Reign of terror (Anthony Mann, 1949) ***
Les grandes figures de la Révolution Française sont convoquées dans ce thriller bondissant dont le scénario malmène l'Histoire à la recherche d'un "Livre Noir" de Robespierre. Courses-poursuites, trahisons, usurpations d'identités : c'est un véritable Pulp Movie en costumes que Mann nous sert, surclassé par la photo N&B expressionniste. DVD Sony on Demand
Incendies (Denis Villeneuve, 2010) ***
L'avalanche de révélations identitaires de la dernière demi-heure font brusquement passer le film d'un bouleversant drame de la guerre à une sorte de tragédie antique aux relents de mélodrame. Si ce glissement des genres ne m'a pas trop convaincu, j'ai admiré sans réserve la puissance de la réalisation et la présence des deux actrices principales. BR UK
Underground (Anthony Asquith, 1928) **
La rencontre d'un jeune couple dans le métro londonien est contrariée par un agressif admirateur de la jeune femme, qui tente de les séparer. Les scènes du métro et de la rue, splendides de dynamisme, et le jeu sensible des acteurs donnent toute sa force à ce film muet. Je l'ai vu, hélas, avec un accompagnement musical live jazzy répétitif et assommant. Théâtre du Châtelet
Wrangler : Anatony of an icon (Jeffrey Schwarz, 2008) **
Un documentaire assez bien foutu sur le parcours de Jack Stillman (1946-2009), un riche gosse de Beverly Hills qui devint, sous le nom de Jack Wrangler, l'icône du porno gay des Seventies puis s'aventura dans le porno straight avant d'épouser la diva de Broadway Margaret Whiting, de vingt-deux ans son aînée. Le tout avec une sympathique insouciance. DVD Z1
Role models / Les grands frères (David Wain, 2008) **
J'aime ces films de copains trentenaires impliqués dans des situations adolescentes, comme ceux d'Apatow qui aurait pu signer celui-ci, où deux types - dont Paul Rudd, toujours formidable - se retrouvent à parrainer deux gamins à problèmes (un petit noir qui jure comme un charretier et un grand binoclard fan de jeu de rôles). C'est drôle, vulgaire et tendre à la fois. DVD Z2 UK
Le défroqué (Léo Joannon, 1954) ***
Un prêtre défroqué (Fresnais, habité) qui a pris l'Eglise en haine tente d'arracher un jeune novice à la soutane. Avec sa scène de consécration du calice dans un cabaret russe, sa réunion de défroqués, son meurtre catholique et ses autres outrances du genre, ce film enfiévré est un formidable sommet de camp traité avec la plus grande révérence. Web
Rio (Carlos Saldanha, 2011) **
L'utilisation de Rio comme décor est la belle surprise de ce film d'animation familial dont le scénario, assez peu original (dans la lignée des "101 Dalmatiens"), est transcendé par le carnaval de ses couleurs, de son énergie et de ses rythmes de samba. En faisant d'oiseaux ses héros, le réalisateur fait décoller ses plans, parfois jusqu'au vertige. BR Fr
The human centipede 2 (Tom Six, 2011) ***
Un pauvre type handicapé (l'acteur est hallucinant), obsédé par le DVD du "Human centipede", décide de créer son propre mille-pattes humain en cousant douze victimes par la bouche et l'anus. Il faut prendre comme une farce hénaurme (je crois) ce film qui accumule les scènes ignominieuses. Du cinéma extrême, interdit de sortie en salles un peu partout. BR UK (censuré de 2'30)
Gardiens de phare (Jean Grémillon, 1929) *
Au large de la Bretagne, un père et son fils atteint de la rage se retrouvent en huis-clos dans le phare qu'ils gardent. Une fois la belle introduction passée, il n'y a pas assez de péripéties pour maintenir l'attention dans ce muet qui abuse d'effets formalistes et de gros plans de visages. Un petit exercice pour Grémillon qui fera bien mieux dans le parlant. Cinémathèque Française
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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